Né Théodore dans la ville de Madison (Maine, USA). Petit fils de Robert Rushworth, pilote d'essai USAF.
Fils unique de Susan, Hearst américaine (avocate) et de Benjamin Rushworth, aussi américain (propriétaire de ranch). La première passion, le premier amour, la ville versus la campagne. Une venant de New-York et l’autre du Maine. Une déménageant de la maison secondaire de sa famille à Augusta et l’autre ayant son ranch dans la ville familiale depuis des générations, Madison.
Mort d’une grande sœur (âgée de 5 ans à l’époque), ayant eu le syndrome de Kawasaki qui est une pathologie inflammatoire qui affecte la paroi des vaisseaux sanguins alors que le petit dernier de la famille n’avait que 3 ans.
Enfant voulant être tour à tour pour être : pilote d’avion, cow-boy, pâtissier, collectionneur de tente de camping, dresseur de chiens.
Une enfance heureuse malgré tous, passant la moitié de son enfance dans une école publique à Madison.
Proche de son père enfant, l’aidant à s’occuper du ranch comme un vrai cow-boy la plupart du temps après l’école, une enfance sans figure maternelle (hormis sa grand-mère paternelle).
A l’âge de 11 ans, madame Hearst, voulant reprendre son rôle de mère reprit contact avec les deux Rushworth pour pouvoir élever et connaître son seul et unique fils.
6. Famille Hearst ayant de bons réseaux et des aisances financières, cela a été facile de donner la garde plénière à la mère.
Déménagement à 12 ans de Théo dans la ville de New-York. Il laisse derrière lui son père, le fantôme de sa sœur, sa famille paternelle, ses amis, le ranch, les animaux, la vie simple.
Une mère a apprivoisé, une personne totalement inconnue, une famille riche inconnue, totalement nouveau pour lui, une maison à Manhattan de 680 m2, une femme de ménage, une école privée, des nouvelles coutumes a apprendre.
Cabinet Hearst, reprise de Hearst de génération en générations depuis que la famille est arrivée aux États-Unis : pas le choix de reprendre un jour le flambeau familial pour le beau brun.
9. Il est très fier de ses racines et retourne régulièrement dans le petit coin familial paternel et coupe tous ses moyens de communication pendant plusieurs jours.
A toujours été le clown de la famille : celui qui fait sourire les enfants, mais qui gêne les parents. L’humour est la seule chose qui lui appartient. Mais également le clown pendant son parcours scolaire : ayant de bon résultat, mais toujours une petite phrase, une attitude pour amuser la galerie.
Étudiant ni trop intelligent, ni cancre, mais il sait se débrouiller. Il a toujours su se dépatouiller comme il pouvait : tout savoir sur l’adversaire, prévoir même l’imprévisible, faire le niai s’il le faut, faire l’arrogant s’il le faut.
Famille allant à Harvard depuis des générations, alors Théodore ira à Harvard : c’est écrit.