i don't wanna loose control
→ ft. @Sofia Dunn-Aguera
j'ai le moral dans les chaussettes ce soir, je me sens mal, je me sens vraiment à côté de mes pompes alors je reste tranquille. je sais pas ce que jax et dylan ont prévu mais je serais pas de la partie ce soir. je passe voir mon beau frère en vitesse, on se quelques shots de saké qu'il a ramené du japon et je retourne dans ma chambre geeker un peu sur the last of us. puis je reçois tes messages et je crois que j'ai besoin d'un moment de tendresse. j'en ai marre de tout ce qui trotte dans ma tête. mes sentiments pour laïa aussi douloureux et délicieux soient-ils. ce que tu me provoques, les messages de selena qui m'ont perturbé, me re balançant toutes mes horreurs en pleine gueule. je devrais rester seul dans ma chambre pour faire le point, pourtant je ressens le besoin d'une présence, de ta présence. j'enfile un jogging et un t-shirt avant de me pointer devant ta chambre. je récupère le bandeau que tu m'as laissé, je l'enfile et j'entre dans la chambre. « j'suis là » que je chuchote, refermant la porte derrière moi, tâtonnant  pour trouver le lit, posant ma main sur ton genou et lâchant un petit rire avant de m'allonger sur le dos, à côté de toi. en silence.

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→ ft. @Sofia Dunn-Aguera
@Aidan Nesbitt
Je sais pas ce qu'il se passe dans ta vie, Aidan, et j'ai pas envie de te forcer. J'ai pas envie que tu me raconte avec un couteau sous la gorge. Si tu me le dis, c'est que t'en aura envie, que t'en aura le besoin. Tout ce que je peux faire, ce que j'ai envie de faire, c'est d'être présente pour toi. J'ai cru comprendre que tu dois remonter ta pente tout seul, et je ne serais pas la main qui te tirera, je serai plutôt la personne en haut de la colline, qui te fera des grands sourires et qui t'attendra, un verre d'eau fraîche à la main. « j'suis là » le sourire se plaque à mes lèvres, je sais, j'ai entendu la porte. "Par ici, faut que t'ailles un peu sur la droite.." mais très vite, ta main trouve mon genou et ça me fait rire. Je sens ton poids qui s'installe à côté de moi, qui s'allonge à mes côtés. T'aurais pu y croire, toi, à ça ? Je me mords la lèvre, hésite un peu, et lentement, ma main viens trouver la tienne, mes doigts qui se mêlent aux tiens, qui remonte sur ton avant bras et qui fait des petites caresses, des vagues, qui montent, qui descendent. La voix qui murmure ; "heureusement que tu t'es pas trompé de porte, à côté de chez moi c'est Ghislaine.. la femme de Michel.." allez Aidan, prends ma main et quitte ton monde, ce soir. Viens dans le mien.

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→ ft. @Sofia Dunn-Aguera
@Aidan Nesbitt
"Par ici, faut que t'ailles un peu sur la droite.." j'hésite deux secondes comme un teubé avant d'aller un peu plus sur la droite et de trouver .. ton genou. je m'aide de ta jambe pour comprendre dans quel sens t'es couchée et je m'allonge à côté de toi, sur le dos. je suis censé regarder le plafond mais le bandeau m'empêche de voir quoi que ce soit. d'un côté ça me fait du bien, ça me donne la sensation d'être enfin seul avec moi même pour me remettre les idées en place. d'un autre côté ça me fait paniquer. parce que je me sens déjà enfermé dans des décisions foireuses et là, ça contribue à me faire me sentir piégé. mais t'es là, alors je crois que ça va mieux. étrangement cette fois quand ta main prend la mienne, je sens pas de décharge. non pas que la magie ce soit évanouie pas du tout, mais c'est comme si.. tout ton être s'adaptait à mes besoins. quand j'ai eu besoin d'un coup d'électricité, quelque chose qui me percute, c'était le cas. là, j'ai besoin d'une présence qui pourrait combler le vide en moi. et c'est ce qui se passe. cette fois c'est une vague de chaleur qui m'envahi. je me sens bien, je me sens en paix alors que quelques minutes plus tôt j'angoissais. "heureusement que tu t'es pas trompé de porte, à côté de chez moi c'est Ghislaine.. la femme de Michel.." je ris doucement, attrapant ta main pour la bloquer dans la mienne. « elle a enfin réussi à retrouver son mari. il va passer un sale quart d'heure. »  je caresse ta main, je la presse un peu plus contre la mienne par moment. « merci » que je chuchote. merci de me laisser être là.  

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→ ft. @Sofia Dunn-Aguera
@Aidan Nesbitt
C'est différent, cette fois, tu sens ? J'ai envie de croire que c'est parce qu'on s'habitue à nos corps qui vibrent dans tous les sens quand on s'approche, qu'ils sont fait à l'idée. La vérité c'est que t'es la pièce manquante de mon être, Aidan. T'es cette personne là. « elle a enfin réussi à retrouver son mari. il va passer un sale quart d'heure. » je rigole légèrement, laisse un silence, me laisse faire, profite de ta main dans la mienne. Rien que ce contact et je sens que tout vas bien. « merci » je souris, profites de ce chuchotement, lui emprunte, comme pour ne pas briser la bulle qu'il nous forme ; "chuuut.. me remercie pas, c'est normal." et mon corps se tourne vers toi, comme si je pouvais te voir alors que ce n'est pas le cas. Ma main cherche son visage, glisse sur sa mâchoire, dans son cou, lentement, tendrement. La main se pose sur la joue et le pouce glisse sur ses lèvres, un sourire en coin en repensant à ce baiser, notre baiser. Je recule ma main doucement, qui retombe sur ton épaules, qui caresse du bout des ongles. "T'aimes bien les concombres ?" je me sors de mes propres idées, parce que j'ai envie de m'approcher, de caler mon corps contre le tiens et de ne plus bouger. Je garde encore un peu de distance, parce que j'ai pas envie de briser ce qu'on a.

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→ ft. @Sofia Dunn-Aguera
@Aidan Nesbitt
"chuuut.. me remercie pas, c'est normal." que tu me chuchotes. bah si. quand même. j'suis pas d'humeur, j'suis un peu à plat, le moral qui se barre en courant et pourtant t'es d'accord pour m'accueillir alors que tu pourrais avoir d'autres trucs à faire. « j'dis merci si j'ai envie » que je réponds pour te taquiner. ta main dans la mienne, je profite de ce moment de tendresse et de calme. j'ai pas envie que ça s'arrête, je pourrais rester ici des heures et des heures. ta mains qui touche ma peau, glisse contre ma mâchoire, caresse mes lèvres avant de rejoindre mon épaule. doux frisson qui me parcours. "T'aimes bien les concombres ?" j'explose de rire, j'ai même pas le temps de me retenir quoi, c'est plus fort que moi. « mais d'où tu me sors cette question. » je secoue la tête. « ça dépend ce que tu veux en faire. en salade ouais. dans un orifice un peu moins.. voire pas du tout même. » je pouffe de rire. « t'es vraiment un drôle d'oiseau » que je dis en continuant de "fixer" le plafond. t'as pas conscience comme je me sens bien là, à tes côtés. mon angoisse elle commence petit à petit à se calmer.

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→ ft. @Sofia Dunn-Aguera
@Aidan Nesbitt
« j'dis merci si j'ai envie » je souris en me mordant la lèvre ; "alors dis merci si t'as envie." et ajoute, l'air de rien ; "mais à chaque fois que tu dira merci pour rien, j'te ferai un bisou." tu l'aura cherché, si tu dis merci pour des bêtises. Ma main caresse alors ton corps, ta peau, ta mâchoire, et j'aime ça. Te découvrir sans te voir, toucher ton grain de peau, la chaleur qui s'en dégage. Sauf que c'est pas sain, si je continue, alors je casse tout d'une question un peu aléatoire. « mais d'où tu me sors cette question. » ton rire est contagieux, ça me fait rire aussi. « ça dépend ce que tu veux en faire. en salade ouais. dans un orifice un peu moins.. voire pas du tout même. » je rigole et me balance contre lui, un coup d'épaule léger ; "mais pas dans un orifice !" qu'elle rigole. « t'es vraiment un drôle d'oiseau » je souris et secoue la tête ; "si j'suis un oiseau, t'es quoi toi ?" au moins je peux voler, c'est pas si mal, non ? "attends j'peux devin- non je sais déjà ce que tu es." mais t'es pas encore prêt à l'assumer, alors je le dirais pas. T'es une girafe, mais pas encore accomplie. "T'es une antilope." et moi je suis une lionne, et je te veux. C'est réfléchis tout ça, mine de rien. "J'peux même me poser sur tes fesses quand j'en ai marre de voler." tait-toi Sofia, tait-toi.

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→ ft. @Sofia Dunn-Aguera
@Aidan Nesbitt
"alors dis merci si t'as envie." j'hoche la tête avant d'entendre la suite de ta phrase. "mais à chaque fois que tu dira merci pour rien, j'te ferai un bisou." je souris doucement. « où le bisou ? » l'endroit à toute son importance. "mais pas dans un orifice !" j'espère bien, parce que si tu penses à ça, je vais devoir y aller. « permet moi de demander quand même, y a des gens qui le font. je voulais savoir si toi aussi t'étais adeptes de.. ça » que je dis en riant. ouais de base de voulait m'allonger et ne pas parler mais avec toi c'est pas possible. inconsciemment je le savais. "si j'suis un oiseau, t'es quoi toi ?" je réfléchis quelques secondes même si je connais déjà la réponse. « j'suis un lion » mais t'as pas l'air de cet avis.. "attends j'peux devin- non je sais déjà ce que tu es." j'attends. "T'es une antilope." je grimace, fait non de la tête. « pas du tout. j'suis un lion » malheureusement. "J'peux même me poser sur tes fesses quand j'en ai marre de voler." j'espère de comprendre ce qui te pousse à dire ça et vraiment je comprends pas, pire encore, je me dis que t'es tellement dans un autre monde que c'est normal. je commence à m'y habituer. alors je me contente de jouer mon joker. « mh merci » ça non plus ça n'a pas de sens, mais c'est pour voir de quoi tu parlais.

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→ ft. @Sofia Dunn-Aguera
@Aidan Nesbitt
« où le bisou ? » si je te donne toutes les réponses, c'est moins drôle, non ? "où je veux, c'est moi qui choisi." ça peut être différent à chaque fois, en fonction de mes envies. Lui et ses idées, lui et ses mots déplacés alors que j'étais complètement innocente, avec ce concombre. « permet moi de demander quand même, y a des gens qui le font. je voulais savoir si toi aussi t'étais adeptes de.. ça » je rigole, secoue la tête ; "non non ça va pas !" c'est dégoûtant, je fais pas ça. Déjà parce que j'en ai pas spécialement besoin en plus, tu vois. On revient toujours aux animaux, avec ses idées. « j'suis un lion » T'es pas un lion, parce que moi je suis déjà une lionne. Je suis déjà reine dans la jungle, toi t'es pas encore prêt à être lion, t'es pas encore prêt à ça. Je le sais, tu le sais. « pas du tout. j'suis un lion » je rigole et secoue la tête, je sais que t'es pas un lion. Je sais que t'y crois, je sais que tu veux y croire, que c'est ce que tu pense, mais tu vois, même si j'ai encore jamais posé mes yeux dans les tiens, je sais que t'es pas un lion. Je le sais, je le vois. Je le vois en toi, que t'es pas ça. Un jour tu le verra aussi. « mh merci » j'explose de rire et me mord la lèvre, il est malin. Je me redresse légèrement, approche mon visage dans son cou. Je frôle tendrement sa peau, mes lèvres contre sa chair, remonte lentement à sa mâchoire en soufflant contre lui. J'ai envie de plus, contre lui, mais je fais attention, parce que pas comme ça, tu l'a dis toi-même. Je frôle encore, caressant sa peau de mes lèvres, riant légèrement par moment, comme une enfant. Je redescends mes caresses, reviens dans son cou, et presse mes lèvres, impose un baiser dans l'endroit premier, dans son cou. Puis dans un murmure, annonce un ; "je t'avais prévenu.." je t'avais dis, que j'étais une lionne.

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→ ft. @Sofia Dunn-Aguera
@Aidan Nesbitt
"où je veux, c'est moi qui choisi." j'en attendais pas moins de toi. j'ai commencé à te cerner, je crois comprendre que t'es une joueuse, sensible mais assez forte pour prendre le dessus quand c'est nécessaire. t'as même un sacré caractère. alors je me doutais bien que ce serait toi qui choisirais. puis sans trop comprendre pourquoi, on se retrouve à débattre de quel animal on est. y a bien qu'avec toi que je peux me retrouver allongé habillé dans un lit, les yeux bandés à discuter de quel animal je suis. elle est là toute la beauté de la relation, y a rien qui n'a de sens et le mec complètement messed up que je suis, se complet là dedans. et puis je fais ce que je sais faire de mieux, je joue, je tente le diable, je veux voir quel endroit tu vas embrasser. et je reste immobile quand tes lèvres frôlent ma peau, quelles me font frissonner, quelles réveillent cette vague de chaleur dans le creux de mon ventre. mes mains qui se crispent quand tu poses tes lèvres dans mon cou. "je t'avais prévenu.." je souris doucement, reste allongé sur le dos, réfléchissant à quel point ma vie est un méridier sans nom. je voulais être ce mec au coeur de pierre, celui qui ne tomberait pour personne et voilà que mon coeur est habité par trois filles. pas une, pas deux mais trois. trois filles différentes qui ont réussis à me séduire comme aucune autre n'a pu le faire avant. et je m'en veux. parce que je sais que je suis un vrai connard, je sais que je peux être blessant, méchant, que j'aime toujours tout compliquer, que je suis pas stable, que je suis violent, que je suis dangereux et que malgré tout ça, il m'arrive parfois d'avoir envie d'avoir ce que ma soeur et dawie ont. alors que je le mérite pas du tout. le bonheur et la stabilité c'est pas fait pour moi, j'y est pas le droit en fait. voilà pourquoi je me contente de jouer, parce que je sais que toi si tu joues avec moi, t'as rien à perdre. « merci » que je te réponds encore une fois. pour le jeu, mais aussi parce que ta présence elle me fait du bien. je me pose des centaines de question, je sais que ce que je fais c'est mal, tout comme laïa tu pourrais trop t'attacher à moi et moi je pourrais pas te donner ce que tu veux et surtout pas te demander d'attendre un truc qui pourrait ne jamais arriver. pourtant.. t'es différente sofia. je saurais pas dire pourquoi, mais t'es différente, tout est différent avec toi, tout est plus facile, plus instinctif. tu me fais lâcher prise. et ça me fait aussi peur que ça m'intrigue.

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→ ft. @Sofia Dunn-Aguera
@Aidan Nesbitt
J'ai pas envie que tu disparaisses, j'ai pas envie que tu t'en ailles. Je sais que ça peut paraître égoïste mais je t'ai pas vu arriver dans ma vie, sauf que maintenant que tu y es, je te vois plus en dehors. Je suis bloquée sur toi, ta voix, tes gestes. Je te l'ai dis, je viens pour toi, telle la tempête Sofia. Je sais pas quand, seulement. Peut-être dans deux mois, peut-être dans deux ans, peut-être dans dix ans. Tu pourra vivre d'autres histoires, si le cœur t'en dis, mais j'ai envie d'être celle avec qui tu vieillis. Je sais encore plus quand on débats d'animaux, à deux allongés dans un lit, habillé. Je le sais quand tu dis merci, et j'en attendais pas moins de toi. Si je m'avançais, je pourrais même dire que je vais encore en entendre beaucoup, de ces mots là. Alors mes lèvres s'imposent dans ton cou, et j'aurais aimé couvrir ton corps en entier. « merci » je rigole légèrement en t'entendant. Tu m'amuse, Aidan. T'as les mêmes idées que moi, on est fait de la même matière, nous deux. Du jeu, de la tentation, de l'amusement, mais de cet autre chose qu'on nomme la douceur, aussi. Je sais pas si c'est ton cas mais tu vois moi j'y crois, que quelqu'un est fait pour moi. Et plus je te vois, plus je me dis que c'est toi. "Laisse moi faire.. ok ?" murmuré, avant que ma main se glisse sur le bas de son t-shirt, que mon autre main l'accompagne et que le haut se remonte lentement, presque d'une torture. Mon corps se redresse pour prendre appuie sur mes genoux alors que je relève son t-shirt. Le bout de mes doigts frôlent sa peau, le nombril, qui remonte le long de son ventre et se décale vers la gauche, là où bats le cœur. Une fois l'endroit repéré, mon visage s'approche et mes lèvres à leur tour frôlent la peau, joue avec la chaleur entre nos deux corps pour terminer par offrir un baiser là, sur son battant. Mes mains remontent au niveau de son visage, l'encadre, l'index qui se pose près de l'oreille, le pouce qui caresse la joue, mon visage qui s'approche du sien. Mon nez joue avec le sien, penche à gauche, à droite, ma voix qui s'élève lui demandant doucement ; "redis-le." autorise moi à t'embrasser. Dis-le. Dis que je peux.