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pourquoi fallait-il que les ombres se fassent silencieuses ? avaient-ils vraiment décidé que je ne serai que l'amante de la gamine alors que criait le feu entre mes cuisses. j'aimais le contact féminin, énormément, appétissant corps qui ondulait sous moi. de ses pressantes envies qui venaient déterminé le chant de la faucheuse et alors que mon regard accroche celui de l'homme, les lèvres de l'enfant viennent chercher une attention toute particulière. l'unique. là où il y avait pourtant de la place pour deux, je me retrouvais frustrée à ne m'emparer que d'une seule âme.
mais soit, je veux bien faire cet effort encore quelques instants. mon regard glacial tombant dans le sien plus ténébreux, j'embrasse sa mâchoire puis son cou avant de descendre à la naissance de ses seins.

« tu es bonne. » à bouffer... et tu aurais été parfaite à détruire.
« mais c'est dommage, non ? » que je dis en me redressant, quittant le confort de son corps. « dommage de n'être que deux. » que je dis en me rapprochant dangereusement de l'homme, les mains sur les épaules, un sourire enjôleur me retournant vers la gamine.
peut-être un peu trop tard, non ?

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Témoin de ce rapprochement entre toi et la jeune femme, je restais dans mon coin, debout contre un mur, avec la ferme intention de ne louper aucune miette de ce qui se passerait. Je t’offrais ce moment sur un plateau d’argent, bien que la colère m’habitait. Je n’aimais pas te partager, tout comme tu n’aimais pas me partager. Après tout, c’était comme ça qu’on se construisait, dans la violence et la jalousie. Passion dévorante pour me débarrasser de cette femme qui a ses mains sur toi pour prendre sa place. Mais je me contrôlais. Je n’oublie pas que j’étais l’initiateur de ce qui se passait. J’avais lancé l’idée, il fallait à présent que j’assume mes choix. Bras croisés et proéminence au niveau de mon pantalon. Il était indéniable que je lui faisais de l’effet aussi, ses regards qui me cherchaient. Tu l’avais bien remarqué, j’ai décrypté ton agacement quand tu cherchais à capter son attention, en dévorant ses lèvres. Mais elle avait beau t’offrir quelques caresses, soufflant le chaud et le froid, ce n’était pas suffisant. Tu ne lui suffisais pas, de ta gueule de gamine. Elle me voulait moi, se défaisant du lit, totalement dénudée, pour me rejoindre, ses mains se posant sur mes épaules. Un sourire apparaissait enfin sur son visage, si fermé depuis le début pourtant. « Tu joues avec le feu. » la prévenais-je alors. Elle ne se doute pas que tu puisses être un ouragan, motivé par la haine et la jalousie. Parce que tu la hais en ce moment-même, d’avoir tenté une approche. De me toucher même. Même si j’avais des vêtements, elle me touchait, et je sentais la colère t’envahir en cet instant. Et le sourire en coin apparaissait ainsi sur mon visage. Que la guerre commence.

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Je suis une provocante qui vient répondre à ton défi, dans ce but malsain de tester nos limites. Est-ce que tu fléchiras face à une femme comme elle ? Elle est tout ce que je ne suis pas mais que je serai peut-être un jour. Déterminée, charismatique, sensuelle jusqu’au bout de ses ongles. Je me laisse aller au jeu, des courbes féminines qui en explorent d’autres. Me laissant dévêtir par ses doigts graciles et experts, je laisse aller quelques soupirs de bienfait aux caresses qu’elle me prodigue. C’est une douceur inédite, agréable certes, mais à laquelle je n’attache pas particulièrement d’importance. Ce qui m’excite davantage c’est de te savoir en retrait toi mon Diable, observant un peu malmené la scène. De ce rempart de flammes qu’on embrase, mon regard s’attarde à l’Amazone alors qu’elle vient me flatter avant de s’éloigner dangereusement vers toi, dans le plus simple appareil. Elle a besoin de vice, elle a besoin de force, et c’est sans doute légitime qu’elle pense le trouver sur l’appui de tes épaules pétries du mal. J’hausse les sourcils alors que la femme me pose cette question. Ce qu’elle ignore, c’est que tu es à moi. A personne d’autre et surtout pas elle. Mais c’est un sourire doucereux qui envahit mes lèvres.  « Tu le veux lui ? »  Innocence en masque, mais essaie un peu pour voir. Déjà, je me redresse, gagnant le bord du lit. Puis quelques pas qui me mène droit sur vous. Mes mains se posent sur les tiennes, avant de descendre le long du dos de mon Diable. Ma bouche s’appuyant sur l'épaule masculine, à l’affût de vos deux réactions. Essaie un peu pour voir.

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les filaments de la toile d'araignée s’emmêlaient autour de mes poignets et de mes chevilles, comme les fils d'un pantin, j'étais guidée par les doigts noirs du vice et de la débauche.
personne ne me donnait d'ordre, et pourtant je suivais avec les pulsions avec une envie débordante d'écouter, de soumettre mon corps et mes besoins à des vices bien plus profonds que d'embrasser la peau juvénile d'une enfant à peine majeure, semble-t-il. et bien que la douceur de sa perle de lait me rend ivre d'excitation, j'avais un penchant pour la masculinité couplé à la candeur.
le jeu est souvent prisé chez les jeunes gens, de ces découvertes qui se font au fil des années, je me sentais comme une maîtresse des intempérances.
les mains posées gracieusement sur les épaules de l'homme, de cet homme qui avait souffler le chaud et le froid, rester en retrait comme les vieux pervers derrière le rideau de leurs fenêtres.
j'entends mais je n'écoute pas. qui m'empêcherait de jouir de ce dont j'ai besoin ? j'étais ici pour découvrir, dominer... montrer qu'on aborde pas n'importe qui. encore moins alyson nelson.
si je décidais que nous serions trois, nous le serions. la frustration n'est bonne que chez les pervers narcissiques. loin de se douter des mains qui commençaient doucement à se serrer autour de ma gorge, de la mort qui venait pourtant me sommer de prendre garde à mes paroles.
douce et gracile qu'elle semblait être, mensonge dans un regard jaloux. je le connais pour avoir le même... mais la jalousie n'est pas dangereuse, si ? de cette demande, je me laisse prendre au jeu. après tout, quel serait le risque ? « oui, c'est lui que je veux. » défi, autorité.
défiance quelque part, de cette condescendance qui pourrait me valoir bien plus d'ennui qu'escompté.

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Ton corps s’approchait du mien, de façon un peu trop féline pour le coup. Oh oui, tu me voulais, je le voyais dans ton corps, dans ton attitude. Ton regard, ton sourire qui apparaissait pour la première fois de la soirée. Tu ferais de moi ton dessert, de toute évidence. Mais tu n’as aucune idée de la bête qui sommeille en Lyra, en cette fille qui a su me séduire de bien des façons. Ma femme pour toi, ma moitié en réalité. Aucun engagement si ce n’est ce médaillon qui surplombait sa poitrine. Elle venait d’ailleurs nous rejoindre, ses mains sur les tiennes, avant de se placer dans mon dos, le regard rivé sur toi. C’est moi que tu veux, en es-tu bien sûre ? Après tout, il fallait que tu comprennes que cette question n’était pas sans conséquence. Mon visage se tournait vers elle, la blondinette dans mon dos, sourire en coin. « C’est moi qu’elle veut. » Et je te poussais, m’avançant avec toi, avant d’attraper ton visage entre mes mains pour capturer tes lèvres sans aucun détour. Tu me voulais ? N’as-tu donc pas encore compris que me vouloir signifiait signer ton arrêt de mort ? Si ce n’était pas encore le cas, tu allais très vite le saisir, de la manière la plus forte qui soit. Ce n’était pas le baiser d’un homme attiré vers toi, cherchant à te posséder, non. C’était le baiser de la mort, le dernier que tu allais pouvoir goûter.

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Mes lèvres s’agacent à l’abri de l’épiderme masculin. Je veux dire. Ne suis-je pas un présent suffisant pour tes vices, Amazone ? Ma peau juvénile et candide offerte. Il semble pourtant que tu t’en lasses. Qu’au profit de la silhouette porcelaine, tu apprivoises une carcasse bien plus virile et démoniaque. Tu es magnifique certes, altière, charismatique mais sans doute un peu trop fière là sur ton trône de glace. Telle la Reine face à la candide Blanche-Neige. Tu ne te méfies pas de l’innocence apparente, tu prends entêtée et capricieuse ce que je t’ai refusé quelques instants plus tôt pourtant. Je viens te poser cette question, en apparence innocente. Mais le sang commence à bouillir dans mes artères pour retrouver aussitôt une froideur meurtrière. Tu éveilles mes plus sombres instincts, à l’opposé de ce que tu peux imaginer. C’est le Diable qui s’arme face à ta provocation, appuyant d’un regard le brasier dans mes chairs. De ses lèvres qu’ils posent sur les tiennes, et toi trop heureuse de le voir céder à ton caprice de Reine trop fière pour être destituée. Méfie-toi. De l’ombre qui rôde, de l’apparence frêle. Trop occupée à le goûter, à te soumettre aux supplices de tes vices pour sa chair virile, tu ne me vois pas bouger, aller à ton dos de femme. Et mes paumes habiles qui viennent caresser tes courbes, tu ne t’en méfies pas, trop soumise au plaisir. Mes phalanges qui détaillent quelques instants les contours de tes seins, pour remonter à ta gorge. Quel dommage. Que tu veuilles le prendre lui, car je te prendrai autre chose. Et ce sont mes phalanges qui prennent en étau ta gorge, une rage froide qui fulmine de mes orbes incandescents de froideur, le gracile des doigts qui serrent un peu plus encore, déterminée, arrogante. C’est moi la Reine. Et je m’impose en ôtant jusqu’à ton dernier souffle. Le regard plongé dans celui de mon Roi. Un sourire des plus malsains aux lèvres.

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triste épilogue de ma vie.
si je devais retracer le chemin de l'histoire, je pense que je me perdrais davantage dans des endroits sombres que j'ai cherché à occulter plutôt qu'à chercher une réelle place dans le bonheur.
l'ai-je seulement déjà connu ? de ces coups tombé sur la figure, abusée par son propre sang. destituée et bafouée par celle qui était censée vous protéger.
la vie n'avait pas été un cadeau. en réalité, j'aurais pu volontiers la céder à d'autres. car le combat que j'ai mené semble vain. je n'ai rien à offrir, rien à recevoir. j'arrache à ceux qui refusent de m'octroyer le plaisir, omettant que la mort n'est jamais bien loin.
de ces deux tentatives échouées, j'avais cru être immunisé contre ses doigts frêles.
et alors que je succombe à des pulsions malignes, de ses lèvres qu'il vient happer, je me laisse bercer par l'illusion d'être plus que jamais celle qui règne en maîtresse sur le monde.
protégée par le chaos et le désespoir, de ces chiens de l'enfer qui viennent aboyer chaque fois que mon âme semble prise en proie à l'attachement.
et de ce corps gracile et jeune qui glisse dans mon dos, de ses doigts qui caressent la peau, rappelle combien je reste vulnérable. de ces frissons qui se dessinent doucement sur la peau à chaque geste, et de cette prise sur ma gorge qui n'est pas sans rappeler la virulence de wyatt.
peut-être parce qu'elle serre trop fort... peut-être parce que l'air me manque. quittant les lèvres de l'homme, tentant de passer mes doigts entre mon cou et les siens. du sang qui monte bien trop vite à la tête, de ces quelques étoiles qui se dessinent dans le monde, bien blanche sur un écran qui se veut de plus en plus noir.
les ongles s'enfoncent dans sa peau de lait, arrache le sang à sa chair.
une perte total de contrôle.
et c'est bien l'épilogue de ma vie qui se dessine... de ce visage qui prend place tout à coup, et qui fait lumière sur tout ce qui aurait du être. de cet homme qui avait toujours su voir en moi qui j'étais en acceptant le démon que je voulais être. l'erreur de ma vie avait été de l'ignorer, de ne pas y penser. alors qu'en réalité, ça aurait toujours du être lui.
de cette perle qui roule sur ma joue, j'ai d'infinis regrets. mais uniquement te concernant. j'ai toujours été faible... et par une mégarde qui passait aisément aux yeux des autres, j'arrivais à rendre ma vie pathétique plus envieuse aux yeux des autres.
habile menteuse. mais elle va me lâcher, hein ? le regard qui glisse sur la silhouette flou de l'homme.

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Je le savais, à l’instant où elle me voulait, qu’elle ne quitterait cette pièce sans aucune vie. Je te connais Lyra, je te connais à présent et je sais qu’il est inconcevable pour toi de me partager d’une quelconque façon. Alors j’en jouais, je te provoquais. Elle me voulait ? Alors je lui donnais mes lèvres en ultime cadeau, avant que la colère de la jeune femme en toi ne vienne s’abattre sur elle. Tu n’étais pas inoffensive, malgré ce que ton apparence laisse envisager. Tu étais l’élève du Diable, prête à abattre le chaos sur cette terre, juste pour mes beaux yeux. Quand tes mains venaient trouver son corps, ses formes, remontant peu à peu jusqu’à son cou, je comprenais que venaient à présent ses derniers instants. J’aurais du lui tenir les mains, ça t’aurait épargné quelques blessures. Mais qu’importe, elle manque d’air, suffoque. Cherche la libération quelque part. Mais tu es la Mort. Et la Mort ne fait aucun cadeau. Je finissais par m’éloigner, te laissant faire, comme tu aimais faire : seule. Ton regard captait le mien et j’en étais tout excité. Te voir jouer avec la vie, la retirant comme ça, sans crier gare, c’était une vision qui ne me laissait pas insensible. Croisant les bras, penchant la tête sur le côté, je voyais la vie quitter son corps, au fur et à mesure que tu l’asphyxiais à l’aide de tes mains douces et subtiles. Comment un corps aussi délicat que le tien peut faire autant de dégâts ? Une question que je veux laisser sans réponse, bien heureux de te voir faire, pour mieux en profiter par la suite. Crois pas que je vais laisser ta frustration en l’état, ni la mienne d’ailleurs.

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Lorsque la violence s’empare de moi, rien ne me fera renoncer. Tu as franchi cette limite tacite entre plaisir et ultime provocation. De voir tes lèvres attachées aux siennes, c’est bien trop pour moi. Alors mes phalanges abattent les caresses d’abord pour mieux se resserrer sur ta gorge. Ultime étau enfantin sur ta vie de femme. C’est l’ironie du sort que tes vices s’arrachent à l’innocence incarnée. Tu le savais pourtant belle Amazone, qu’aux apparences il ne valait mieux pas s’y fier. Tes ongles tentent bien de m’en empêcher, abattant la morsure du sang sur mon épiderme, et un léger soupir de contentement s’échappe de mon sourire. « Vois comme elle lutte cette pauvre chose. » que je souffle à mon Diable. La poigne se raffermit encore et ton regard change. Ma voix douce et jeune te murmure. « Chut, ne lutte pas. » J’ai bien vu l’absence de flammes dans tes yeux, j’ai bien vu comme toute envie de vivre est vaine dans ta carcasse. Tu résistes mais tu ne te bats pas vraiment. C’est l’ultime cadeau que je t’offre quelque part. Point le temps de vieillir, de voir les années venir décharner ton corps si parfait. Pas d’angoisse à affronter de redouter que la mort ne vienne te cueillir au mépris des jours qui s’enchaînent. Finalement, la résistance s’abaisse et ton corps devient flasque. Doucement, je t’allonge comme une poupée faite femme. Bientôt l’ultime souffle s’échappe de tes lèvres. Punition d’avoir vu l’affront te mener. Tes yeux restent ouverts et vides sur le monde, sans doute envolés vers d’autres contrées obscures et d’étoiles. J’abats tes paupières, satisfaite de mon travail. N’accordant plus vraiment d’importance à ton enveloppe vide. J’ai assez joué. Mon regard se relevant vers toi Devon. « On a encore du travail. » Il va falloir se débarrasser d’elle et je n’avais pas prévu cette logistique supplémentaire. Quand on voit où te mènent tes caprices mon Diable…

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est-ce que j'aurais du demander pénitence ? ou bien est-ce l'orgueil qui refuse de demander pardon ?
j'ai beau lutté, c'est se rendre compte que j'attendais ce moment avec une certaine impatience. de ce nombre de fois où j'ai rêvé qu'elle finisse par vraiment voler mon âme pour la ramener près d'elle : la mort.
mais si mes ongles viennent pénétrer la peau de l'enfant, c'est seulement parce que le regret d'abandonner wyatt à ce monde s'insinue en moi comme un poison. il faut que je lui dise ce que je pense, ce que j'aime chez lui aussi. ce qui fait qu'aujourd'hui, c'est nous contre le monde.
ça l'aurait été, du moins.
et l'air manque, le corps brûle. l'âme s'envole. la douleur devient insupportable autour du coup alors que l'air n'est plus. les réflexes de chercher vainement de l'air, de tenter de récupérer un peu de ce qui reste alors que les doigts pressent davantage.
mon dieu, c'est donc ça la mort ? cette ultime souffrance qui vient déverser les chaînes des enfers. de cet enfant qui ne verra jamais le jour nicher au creux de mes reins. sans réussir à ramper vers la vie.
tombant avec douceur dans les drapés de la mort, enveloppée sereinement dans ses bras, refermant sur mon corps l’étole noir et cet hôtel devient mon linceul.
la douleur s'échappe, le monde n'existe plus... et d'une dernière conscience, de cette ultime pensée : puisse-t-on se retrouver en enfer, wyatt.
car la vie s'est échappé, ma mort m'a attrapé, de cette enfant messagère de cette dernière, j'ai enfin pu trouver un repos que j'ai longtemps cherché... où la culpabilité n'existe plus... et tu verras, wyatt, comme tout devient plus simple.
rejoins-moi.

alyson est décédée.

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