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I LOVE HARVARD
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    ((sonnie)) - aloha nani po
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    Lien du postJeu 14 Mar 2019 - 14:12
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    aloha nani po // @solel bjorn ※※※ Tu ne fais vraiment pas exprès de le provoquer, c'est tout naturel chez toi et souvent, tu ne t'en rends même pas compte. D'ailleurs, l'atmosphère semble se détendre autour de cette petite provocation innocente. T'es douée pour réparer certaines choses, mais pas souvent. « Nada. Rien. Juste un drap pour te couvrir et un coussin pour y déposer ta grosse tête. » réponds-tu moqueuse. Tu rigoles légèrement, tout en dégageant des mèches rebelles de ton front. Tu sembles aller mieux en tout cas, fin, si on enlève cette gêne qui s'empare de ton corps à cette idée de te retrouver en tenu légère devant lui. Tes doigts jouent nerveusement avec le pan de ta chemise et tu te rends compte que ça fait longtemps que tu n'avais plus dormi dans le même lit qu'un garçon. Alors tu restes de debout à le fixer comme une débile. C'est toi qui l'as invité à dormir, alors maintenant tu assumes Win ! Il te sort de tes pensées par sa remarque et tu laisses courir tes doigts sur ton ventre pour agripper d'une poignée, ton débardeur, un fin sourire te montant aux lèvres. « C'est juste que... Je n'ai pas partagé de lit avec un mec depuis que... » tu stoppes tes charnues qui s'apprêtaient à dévoiler ton secret. Franchement, quand tu es gênée, tu ne sais plus te contrôler. « ... Depuis longtemps. Je me rends compte que ça fait beaucoup quand même... » Genre comment t'as fait ? C'est presque un record pour une fille qui n'est plus vierge. T'as peut-être même perdu ton expérience ? Peut-être que t'es redevenue vierge sans l'être réellement ? Et puis pourquoi tu penses à ça maintenant ? Ce n'est pas comme s'il allait se passer quelque chose ce soir ! Pourtant, ce n'est pas l'envie qui te manque quand tu le regardes. Il ferme ses yeux pour exténuer sûrement ta gêne, te laissant quelque peu perplexe. Si c’était possible de dévorer quelqu’un des yeux, tu l'aurais fait avec Solel. Tu le fixes intensément sans rien dire. Tu es naturellement quelqu'un de réfléchi, mais tu laisses la pulsion agir pour une fois. Tu grimpes sur le lit pour t'avancer un peu plus vers lui, et levant le bras, tu finis par laisser ta main caresser son visage. « Non, n'ouvre pas les yeux ! » que tu reprends rapidement en posant ta main sur ses yeux, l'empêchant ainsi de les rouvrir. Tes lèvres se posent tout doucement sur les siennes, ta langue traverse timidement la barrière pour aller s'enrouler autour de sa jumelle. Vos lèvres se scellent, la tendresse s'en mêle, tu te mets à rougir sans arrêter ton action pour autant. C'est un baiser à la fois d’adolescent timide et insouciant et à la fois d’amant passionné et violent. Un baiser où tu retiens ton souffle comme si ta vie en dépendait, mais hélas, tu romps le geste à contrecœur. Tu pourrais mourir sur ses lèvres, car c'est quand même mieux que te laisser prendre par cette fichue maladie, mais tu sais que ce n'est pas possible. Un baiser n'a jamais ôté la vie à quelqu'un. Au contraire, tu es sur un petit nuage. Sa peau est si douce. Ses lèvres si délicieuses, et lui, si beau. Si différent de la fille banale que tu es. Il va finir par te prendre pour une folle. Seigneur ! Pourquoi t'as fait ça ? Okay fille. On se calme ! « Je.. Suis désolé... C'était plus fort que moi, je... Cette foutue pulsion. » balbutiant comme une conne, tu finis par te glisser sous le drap, te couvrant entièrement le corps. « Bonne nuit ! » Bien sûr, tu ne regrettes pas ton geste. Il restera imprimé dans ton esprit et la sensation de tes doigts sur sa peau, de tes lèvres sur les siennes, tu ne l’oublieras jamais. T'es tellement idiote que t'as même pas fait attention que le derrière de ton corps est totalement collée à son corps. Toi, t'as juste tes deux mains plaquées contre ta poitrine pour essayer de calmer les battements de ton cœur. Les yeux fermés te maudissent de paniquer aussi rapidement.
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    Lien du postJeu 14 Mar 2019 - 14:58
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    aloha nani po // @WINNIE-FELD DARLING ※※※ « Ma grosse tête ? Oh ben voilà, j’ai une grosse tête. Une grande gueule, ça je le savais, mais une grosse tête… » Je prends un air outré, néanmoins amusé alors que je finis par prendre mes aises dans le lit en attendant que la brune finisse de s’apprêter pour venir me rejoindre. Si on m’avait dit que je serais ici, ce soir, je ne l’aurais pas spécialement cru. Disons qu’à chaque fois quelque chose vient empêcher un quelconque rapprochement entre nous, comme si le destin ne cessait de venir nous tenir tête, nous envoyer balader. Mais ce soir, il semblerait que nous soyons tranquilles. Enfin, si elle se décide à venir me rejoindre dans le lit…parce que vu son comportement, elle semble retarder les choses, repousser le moment du coucher. « Dis-toi que t’es pas avec un gros pervers qui va te sauter dessus, je garderais mes mains chez moi, promis. Maintenant arrête de faire la statue et viens dormir. » Dis-je en souriant en coin, lui lançant un petit regard amusé tout en fermant ensuite les yeux. Comme ça, elle n’a plus partagé son lit depuis quelques temps…ce n’est pas mon cas, au contraire, j’ai tendance à partager mon lit avec quelques personnes bien spécifiques. Berlioz, Lucrezia notamment. Des amis avec des affinités plus intimes et, parfois, des inconnues et inconnus. Le sexe est devenu un pansement, une façon pour moi d’oublier, d’effacer les souffrances l’espace de quelques heures. Une manière comme une autre de fermer les yeux sur ce que je peux vraiment éprouver, sur ce qui se passe vraiment en moi. Alors, quand elle approche enfin et que le lit bouge je ne bronche pas…mais quand ses doigts se posent sur mon visage et que je m’apprête à ouvrir les yeux, elle me retient. « Ok, ok. » Dis-je assez surpris par cette demande, comprenant néanmoins le sens lorsque ses lèvres se posent de nouveau sur les miennes. Je réagis sans hésitation. Ma langue retrouve la sienne, mes doigts glissent dans sa nuque alors que ma respiration devient plus chaude. Un baiser tendre d’un côté, plus avide d’un autre. Un mélange parfait qui ne fait que faire grimper la température, réveillant des envies que je ne cesse de contrôler depuis que j’ai passé cette foutue porte. Mes lèvres s’appuyant davantage sur les siennes, ma seconde main glisse sur sa hanche, mon myocarde s’accélère, tambourine dans ma poitrine. Un baiser trop court, car déjà, elle le stoppe en s’excusant me laissant à bout de souffle. J’ouvre brusquement les yeux alors qu’elle se retourne, me souhaite bonne nuit. What ?! « Je…euh…bonne nuit. » Ouai Solel, tu peux faire mieux non…mais ce qui suit fini par m’achever. Je me tourne de profil et là, son corps se colle au mien. Vous savez ce que ça fait que d’avoir des fesses collées à un corps vêtu d’un simple boxer ? C’est juste…c’est tenter le diable quoi ! Non, non, tu as promis d’être sage, tu as promis de ne pas le toucher. Mais après ce baiser, peut-être que je peux au moins me rapprocher ne serait-ce qu’un peu. Mon corps vient se coller au sien, mon bras passe autour de sa taille mes doigts se posant sur son ventre. Mon visage s’enfuis dans son cou et je soupire, essayant de contenir la pression qui s’accumule dans ce foutu sous-vêtement. « Si tu t’excuse à chaque fois que tu laisse parler tes pulsions, tu risques de t’excuser beaucoup… » Murmurais-je avec amusement à son oreille. Mauvaise idée, parce que mes lèvres frôlent sa peau et l’envie soudaine de s’y poser se fait ressentir…envie que je ne contrôle pas, envie qui me brûle de l’intérieur et qui prend le contrôle. Sans vraiment pouvoir résister, mes lippes vient se poser dans la peau de son cou, ma main sur son ventre appuie davantage sur celui-ci pour augmenter la pression de nos corps l’un contre l’autre. Bon, nouvelle mauvaise idée, parce que l’excitation chez un homme se fait directement remarquer et là, ça ne passe plus vraiment inaperçu chez moi. En-même temps, ce n’est pas quelque chose qui me gêne en soit, c’est naturel j’ai envie de dire. Elle est là, collée à moi après m’avoir embrassée. Pourtant, je me contente de poser des baisers dans son cou, ma serpentine y traînant également. Mes mains, elles, restent gentiment sur place même si ma main au niveau de son ventre brule de descendre plus bas. Solel, respire…quoi que, vu le rythme de ma respiration qui augmente, mon corps qui bouge légèrement contre le sien engageant des pressions plus fortes quelques fois, ce n’est pas évident.


    (a) blue moon
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    Lien du postJeu 14 Mar 2019 - 16:33
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    aloha nani po // @solel bjorn ※※※ « Dixie le mec qui a certifié loucher sur mes nichons parce que c'était sa nature d'être pervers ! » tu lui offres un jeu de sourcils, amusée. Tu sais qu'il n'était pas sérieux en te le disant, mais tu t'amuses simplement de la situation. Outre ça, tu as le mec qui te plaît en face de toi, allongée dans ton lit et tu fais ta chieuse ? Sérieusement ? T'es tellement pas douée que tu fais pitié par moment Winnie-Feld. Heureusement que tu peux encore compter sur tes pulsions pour te faire agir sans réfléchir. Tu as cueilli ses lèvres dans un élan de fièvre, sans même lui demander s'il le désirait. Et comme tu as du mal à t'exprimer en sa présence, le baiser est pour toi, la plus sûre façon de se taire en disant tout. C'est un secret qui prend la bouche pour oreille et tu espères y avoir fait passer tout ce que tu ressens à cet instant. Ensuite, viens le moment où tu t'excuses, pas que tu regrettes soyons clair à ce sujet, car goûter à ses lèvres est sans doute la plus belle chose qui te soit arrivée ce soir et en ces débuts de spring break. Aussi, maladroite, en lui donnant dos et en lui souhaitant bonne nuit, ton corps s'est automatiquement collé au sien comme un aimant. Ce n'est que lorsque sa main glisse sur ton ventre que tu t'en rends compte en écarquillant les yeux. Surprise. Agréablement certes, mais surprise. Tu deviens écarlate, et ça ne s'arrange pas en sentant son corps se coller davantage contre le tien, son souffle sur ton cou, son... entre-jambe durcir. Ô JÉSUS MARIE JOSEPH, si vous nous regardez, vous êtes priés de faire descendre vos esprits saints sur nous, parce que là, tu as une tonne d'images peu catholiques traversant ton esprit. Bon sang ce que tu peux aimer être si proche de lui de cette façon ! Rien que de l'avoir contre toi, te donnes envie de te battre. De rester encore longtemps en vie, rien que pour avoir encore ce genre de moment. Lui. Lui tout simplement. Il est magique et à cet instant, tu comprends pourquoi ton cœur bat si vite lorsqu'il est là ou lorsqu'il le cherche. C'est si évident, et t'es peut-être la seule à n'avoir rien pigé. Normal, t'es toi après tout. T'es mal luné, et ta vie est déjà assez merdique pour que tu fasses attention à ce que ton cœur ressent. L'une de tes mains glisse le long de son bras posé sur ton ventre, vos doigts s'entremêlent et tu serres très fort l'étreinte. Tu fermes les yeux en sentent son souffle chaud glisser sur ton cou. Et il ne s'arrête pas là, non, il pousse le vice plus loin Solel, il marque ton cou de ses délicieuses charnues. En gros, il veut ta mort. Il veut que tu fasses une crise cardiaque parce qu'elle n'est pas loin d'arriver là. Instinctivement, tu tends légèrement ton cou pour le laisser faire, tes pulpeuses s'ouvrent légèrement pour libérer ton souffle. À chacune de tes respirations, tu fonds de plus en plus. Ton cœur s'apprête à sortir de ta poitrine tellement il bat si fort. Si on t'avait dit que tu serais comme ça quelques mois plus tôt, tu aurais rigolé au visage de cette personne. « C'est... De ta faute... Je ne sais pas le pouvoir que t'as sur moi, mais... C'est si enivrant... » cette phrase sort difficilement de ta bouche parce que tu respires beaucoup trop fort, beaucoup trop vite, prise d'une excitation grandissante. « Merde t'es le mal Solel... » que tu couines en te retournant soudainement pour accrocher tes lèvres aux siennes, sans ménagement. Tes mains emprisonnent son visage tendis que tu l'embrasses goulûment, vos langues se mélangeant. Avidement tout en le mordillant. Follement, vos cœurs s'attirant. Chaudement, vos corps s'embrasant, tu fais glisser une jambe entre les siennes, puis cambrant légèrement ton corps. Cette fois, le baiser est plus long et il ne s'arrête que pour te laisser murmurer ces quelques mots. « J'ai envie de toi Solel. J'ai vraiment envie de toi. Mais... » tu ne termines pas ta phrase encore à bout de souffle et tu as peur qu'il le prenne mal, t'as peur qu'il ne soit pas patient, qu'il se lasse de tes réticences. « C'est inhumain de ressentir tout ça, ça me dépasse... Ça m'prend de court... » et tais-toi et embrasse-le ! Finis la pause, tu reprends ses lèvres entre les tiennes, enroule ta langue autour de la sienne, tu espères qu'il comprendra qu'il faut de la patience avec toi, que ce soir, seules vos lèvres et vos caresses pourront briller sous les projecteurs. Tu espères que qu'il en conviendra pour le moment. « Cette bouche va me conduire à ma perte... » libères-tu entre ses charnues avant de rouler sa lèvre inférieure entre tes dents et le mordre sans pour autant lui faire mal. Tu le regardes avec tendresse, sourire aux lèvres. Pas de crise. Dieu merci.
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    Lien du postVen 15 Mar 2019 - 19:31
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    aloha nani po // @WINNIE-FELD DARLING ※※※ Mon corps se rapproche du sien, mes doigts glissent sur son ventre alors que l’envie grimpe, que la tentation se fait bien plus forte. Putain, c’est tenter le diable, c’est jouer avec le feu, mais j’en crève d’envie. Mes lèvres se posent dans son cou, je sens son souffle se renforcer, ses doigts s’entremêler aux miens. Rapidement, mes baisers se font plus imposants, mon corps se presse davantage au sien comme un appel à la débauche alors qu’elle répond difficilement à mes paroles. J’aurais pu sourire si je n’avais pas d’autres envies, si le simple fait de l’embrasser dans le cou ne me rendrait pas fou d’envie. La preuve en est, mon corps réagit instinctivement, montrant le désir qui grimpe, qui s’écoule dans mes veines. Je me contente de continuer, de laisser mes lippes descendre jusqu’à son épaule, mes dents mordiller sa peau alors qu’elle fini par me dire que je suis le mal. Je n’ai pas le temps de répliquer que ses lèvres viennent prendre possession des miennes. Inutile de dire que je réagis au quart de tour, ma langue venant chercher la sienne, mes doigts s’engouffrant dans sa tignasse brune. Respiration plus lourde, plus saccadée, ma main de libre glisse dans son dos, passe sous son débardeur pour caresser sa peau. Je dévore ses lèvres autant qu’elle dévore les miennes, mon bassin venant instinctivement se coller au sien. Baiser plus long, plus fougueux, mais qui prend fin pour laisser place à quelques paroles. Elle a envie de moi mais semble prise de court par la situation. Je comprends parfaitement le message et grogne légèrement lorsque ses dents viennent mordiller ma lèvre inférieure. « C’est pas en faisant ce genre de chose que tu vas arriver à calmer mes ardeurs. » Dis-je en souriant alors que ma serpentine vient caresser sa lèvre doucement, d’une façon bien trop sensuelle avant que mes lèvres reprennent possession des siennes. Mon corps pousse le sien pour qu’elle s’allonge sur le dos, me glissant sur elle en prenant appuie sur mes avant-bras. Mes baisers se font plus rapides, mes doigts glissent sous sa cuisse pour remonter une de ses jambes, pour que nos corps s’emboitent parfaitement malgré les remparts de nos vêtements…OK ! Je stoppe le baiser à bout de souffle, le palpitant qui cogne brutalement dans ma cage thoracique. Un léger sourire amusé vient se positionner sur mes lèvres alors que je recule le visage, l’empêchant de m’embrasser de nouveau. « Ca suffit pour ce soir… » Murmurais-je doucement en posant un baiser sur le bout de son nez, puis sur son front. « Il est temps de dormir… » Oui, parce que si elle continue à m’embrasser je ne vais plus me contenir et dépasser les limites, mon corps en crève d’envie. Sans plus attendre, je retombe sur le côté et replace les couvertures sur moi. Néanmoins, je l’attire contre moi, entourant mon bras autour d’elle, restant sur le dos pour être sûr de ne plus être tenté de quoi que ce soit. « Bonne nuit. » Dis-je avec un certain amusement non feint. Seigneur, si la frustration pouvait tuer, je serais déjà mort…

    - END -

    (a) blue moon
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