Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityTag "sanie" sur I LOVE HARVARD - Page 5
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    77 résultats trouvés pour Sanie

    Invitéle Mar 17 Jan 2017 - 4:41Rechercher dans: Archives 2012-2019
    fck u i love u
    et nous nous aimons, et nous sommes dingues l'un de l'autre. et nous rions, et nous pleurons. et nous avons des nuits plus belles que vos jours.



    {#}Sanie{/#}
    Invitéle Lun 16 Jan 2017 - 19:30Rechercher dans: Archives 2012-2019
    Les emmerdeurs
    et nous nous aimons, et nous sommes dingues l'un de l'autre. et nous rions, et nous pleurons. et nous avons des nuits plus belles que vos jours.



     
    {#}Sanie{/#}
    Invitéle Lun 16 Jan 2017 - 19:14Rechercher dans: Archives 2012-2019
    Je... Il.. ?! Nous ?! - JALEY
    13 Réponses756 Vues
    Pardon.
    Il l'aimait avec ses doutes, son désespoir, il l'aimait depuis le plus sombre de lui-même, au cœur de ses lignes de faille, dans la pulsation de ses propres blessures. Il l'aimait avec la peur de le perdre, tout le temps.

    Je ne cessais de regarder mon époux, qui se tenait à mon chevet depuis pas mal de temps. C’était difficile, de le voir ainsi. Je savais pertinemment qu’il était là. Pas seulement pour moi, mais parce que lui aussi. A été ramené aux urgences. Je fronce les sourcils en essayant de réfléchir comment il se serait retrouvé là. Pourtant, cela en devenait logique. Il n’avait pas dormi de la nuit et évidemment le lendemain il a dû oublier de prendre ces médicaments. Dans un sens, je devrais lui en vouloir de s’être laisser aller ainsi, d’avoir sacrifier sa santé pour finalement en arriver là. Je détourne le regard, quand il me rejette. Je ne dis rien mais ce comportement venait de me blesser au plus haut point. J’essayais de planter mes yeux dans les siens mais il préférait regarder comment le médecin traitait ma blessure en l’examinant correctement de tous les côtés. Histoire de ne pas avoir d’infection ou une merde pareille. Le plus dingue dans tout ça c’est que la souffrance physique n’a rien à voir avec la douleur mentale. C’est de se dire qu’encore une fois je venais de gâcher quelque chose dont j’avais construit depuis si longtemps. J’avais réussi à calmer ces vieux démons en moi en m’obligeant à réaliser qu’un malheur ne vient jamais seul. Mais non, j’étais redevenu le même type qu’auparavant et je commençais à me dire que cette facette de moi, ne s’en irait jamais. J’écarquillais des yeux, brutalement tirer de mes pensées alors qu’Harley me demande qui est l’auteur de ces dégâts. Je le fusille du regard, une fois. Puis la deuxième fois je décide de simplement me clouer le bec. Jamais je ne viendrais à dire qui cela serait. Encore moins en sachant comment est Harley. En attendant que le médecin parte, je reste silencieux, un peu trop à mon goût mais je jongle entre plusieurs émotions et l’envie d’hurler m’a pris aux tripes quand il m’a posé cette question. Il croit vraiment que je vais lui dire ? Il croit que je vais le mettre en danger ? Comme si cela ne suffisait pas que nous deux se retrouvent à l’hôpital. Mais je sais, putain. Je sais qu’il fait ça par amour qu’il ne fait pas ça simplement pour se venger, mais que derrière il y a cette faim de vengeance de m’avoir touché. Quand il se cale contre moi, j’ai à peine écouter ces dernières paroles. Ma tête ne cesse de tourner et j’essayais de réfléchir à plusieurs décisions qui s’offrent à nous. J’hoche la tête, en trouvant son idée plutôt bonne. Celle de partir loin d’ici quelques temps sans réellement prendre des nouvelles des autres. Mais plutôt pour nous. Parce que ces derniers temps on n’a pas arrêté d’avoir des merdes et j’ai la sensation que ce ne sera jamais terminé. Quoiqu’il en soit, j’eu à peine de force pour placer ma main sur la colonne vertébrale de mon mari, la caresser de manière à ce qu’il comprenne que je suis là, et que je vais bien aller. Le médecin quittait la pièce, en m’informant qu’il fallait boire beaucoup d’eau, que je me repose le plus possible et que ma guérison ne devrait pas poser de problème. Je lui remerciais à ma manière, d’un faible sourire crispé qui en voulait dire long. C’était assez pour que la police vienne m’interroger comme un véritable délinquant.

    En prenant une grande respiration, je reposais mes pupilles dilatées sur le visage de mon tendre amour. Alors que mes sourcils se fronçaient. Je raclais ma gorge afin d’accentuer mes paroles le plus que je pouvais. « Non. Tu ne feras rien, qui pourrait te nuire. Regarde ton état, tu as été interné à l’hôpital. Et tu veux revenir encore plus ? Je ne te dirais rien Harley. Rien du tout. Et tu n’auras pas d’informations. Tu ne te vengeras pas. » Ne soit pas comme moi, n’agit pas de la même manière que moi. Ça n’importe que des ennuis. Je grimace en essayant de me tourner légèrement pour tendre mon bras et prendre le verre d’eau qui m’était accessible. Je tremble, je n’arrive pas à aligner correctement le verre et l’emmener jusqu’à moi. Je m’énerve, subitement. Pris dans un élan, et je jette le verre à travers la pièce en hurlant une plainte qui me fit tellement mal que je m’étalais sur le lit. Les mains sur le ventre, sur cette blessure qui me tirait. J’avais envie de vomir, de sortir toute cette haine que j’avais en moi, mais la seule chose que j’arrivais à faire. C’était de détourner le regard ver la fenêtre. Comme si j’espérais un signe, une réponse d’une force supérieure. « Ne fais pas ça. Pour moi, Harley. Pour nous. Ne te venge pas. » Le bruit du verre, brisé en mille morceaux à attirer une infirmière. Elle nous scrute longuement, et moi. Encore une fois, je grogne entre mes dents en abaissant mes paupières. Elle me gueule limite dessus, en articulant le fait que je ne dois pas faire de mouvements trop brusques parce que je venais de sortir du bloc opératoire. Ma mâchoire serrée, je n’aime pas quand on me parle comme si j’avais cinq ans putain. « Je sais, les procédures. Je travaille dans un hôpital, je fais des études pour devenir médecin. Alors ne venez pas m’emmerder, parce que vous n’êtes qu’une infirmière ! » Je gueule à travers la petite pièce. Elle me regarde, les yeux rivés en ma direction puis change vers la tête d’Harley. Je ne regarde plus personne. Parce que je ne veux pas de pitié, je ne veux pas des explications sur mon état. Parce que j’ai l’impression que les gens ne comprennent pas que je n’ai pas fait ça pour me rendre intéressant mais que j’ai fait ça. Parce qu’un homme a osé entrer dans notre intimité, qu’il s’est permit d’agresser l’homme que j’aimais et que la justice elle, ne bougeait pas son putain de cul. Je me calme, ou presque. J’essaie.
    {#}Sanie{/#}
    Invitéle Lun 16 Jan 2017 - 16:30Rechercher dans: Archives 2012-2019
    Petit con.
    “Trois variétés de femmes : les emmerdeuses, les emmerdantes, les emmerderesses. Cette dernière catégorie comprenant celles qui amènent l'homme à la passivité totale.”

    C’était réellement amusant de la voir agir de cette manière. Je ne suis pas idiot, je sais très bien qu’elle rentre dans mon jeu pour m’énerver. Sauf que ce n’est pas le cas. Je hausse les épaules par ces paroles en venant même rouler des yeux exagérément. Les petites phrases comme ça sur mon physique ne me touchent particulièrement pas, je crois que c’est parce que j’ai conscience d’être quelqu’un d’assez plaisant visuellement. Je pris une grande respiration, quand je la vois débuter une marche en direction de la sortie. Je me déplaçais pour m’installer à ces côtés en croisant mes bras sur mon torse. « On t’a jamais dit que ce n’est pas bien de tourner le dos à quelqu’un qui te parler ? » Un vrai petit emmerdeur. Et encore, je crois que je suis vachement gentil là. En sortant du bâtiment, je vins sortir une clope que je coinçais entre mes chaires tout en cherchant mon briquet dans les profondeurs des poches de mon jean. « Je ne comprends pas pourquoi tu es autant méchante avec moi. Honnêtement, je suis le gars le plus gentil que tu vas croiser à l’université. » J’appuis mes mots en abordant un sourire, un très large sourire. Je sortais mon briquet pour enflammer l’embout de ma cigarette et d’aspirer cette fumée toxique.
    {#}Sanie{/#}
    Invitéle Sam 14 Jan 2017 - 18:09Rechercher dans: Archives 2012-2019
    fck u i love u
    et nous nous aimons, et nous sommes dingues l'un de l'autre. et nous rions, et nous pleurons. et nous avons des nuits plus belles que vos jours.


    {#}Sanie{/#}
    Invitéle Sam 14 Jan 2017 - 17:56Rechercher dans: Archives 2012-2019
    Les emmerdeurs
    et nous nous aimons, et nous sommes dingues l'un de l'autre. et nous rions, et nous pleurons. et nous avons des nuits plus belles que vos jours.



     
    {#}Sanie{/#}
    Invitéle Sam 14 Jan 2017 - 17:28Rechercher dans: Archives 2012-2019
    fck u i love u
    et nous nous aimons, et nous sommes dingues l'un de l'autre. et nous rions, et nous pleurons. et nous avons des nuits plus belles que vos jours.


    {#}Sanie{/#}
    Invitéle Sam 14 Jan 2017 - 16:50Rechercher dans: Archives 2012-2019
    Les emmerdeurs
    et nous nous aimons, et nous sommes dingues l'un de l'autre. et nous rions, et nous pleurons. et nous avons des nuits plus belles que vos jours.

    Ca me faisait rire, enfin bon. Il savait que finalement il aurait ce qu’il veut. Mais il faut juste être patient. Je ne l’écoutais pas, parce que à part me dire petit con, et enfoiré. Je sais qu’il m’aime au plus profond de son être. Vraiment au plus profond. Je l’entraine en dehors de la ruelle, alors que je sors mon téléphone portable pour scruter si le magasin était toujours ouvert. Ouais, je ne vais pas dire que je suis un habitué mais je vais pas dire non plus que je suis super sage et soft comme gars. Après quelques bonnes minutes de marches, nous arrivons enfin à destination. On pourrait très bien voir, la façade du magasin. Ils étaient très ouverts d’esprit et les objets ne manquaient pas là-dedans. Je raclais ma gorge, en détournant mon regard en ta direction. « On pourrait prendre… D’autres choses. N’hésite pas à prendre ce que tu veux. » J’affichais un faible sourire. Je voulais qu’il se fasse plaisir. Je veux même qu’il prenne des choses. Ca me ferait plaisir. J’ouvre la porte, et il n’y avait pas grand monde, mais cependant les vendeurs et vendeuses nous regardaient une seule fois pour ensuite détourner le regard. C’était très discret ici. Personne ne jugeait. Je prenais mon petit panier comme d’habitude, et je m’orientais vers les rayons nouveautés, en abordant un léger sourire qui voulais tout dire. J’ai envie de nouveauté, de plus…. Pour la nuit de noce et bien on pourrait déjà acheter certaines choses. J’ai même des idées. « On pourrait essayer des lubrifiants ? A certains goûts. »

     
    {#}Sanie{/#}
    Invitéle Sam 14 Jan 2017 - 14:51Rechercher dans: Archives 2012-2019
    fck u i love u
    et nous nous aimons, et nous sommes dingues l'un de l'autre. et nous rions, et nous pleurons. et nous avons des nuits plus belles que vos jours.

    C'est vraiment un petit con quand il s'y met. Mais vraiment. Voilà, je bande à cause de lui et il ne veut rien faire pour me soulager. En même temps.. Je bande facilement. Mais c'est normal putain ! C'est James dont on parle ! Pas n'importe qui hein ! Je m'adosse au mur en croisant les bras contre mon torse. J'ai l'air con avec mon jean ouvert et mon érection mais rien à foutre. Il s'approche de moi et je le regarde d'un air boudeur avant de fermer les yeux à son toucher buccal, et je sens son regard me parcourir entièrement. Et puis je me redresse, décroisant mes bras pour coller mes mains contre le mur, et rouvrant les yeux pour le fixer, en gémissant faiblement alors qu'il me palpe. Putain. Mais quel enfoiré. Je le regarde s'éloigner, et referme finalement mon jean pour m'allumer ensuite une cigarette. « T'es un p'tit con James Fox-Anderson. » Dis-je en tirant sur ma cigarette, le fixant d'un air noir. Il me tend la main et je hausse les épaules à ses paroles, prenant sa main dans la mienne. C'est un p'tit con, mais je l'aime quand même. Et je sais qu'il va me baiser. Alors je peux pas lui en vouloir bien longtemps. « T'as intérêt à me faire avoir l'orgasme de ma vie, badboy. » Je le laisse me guider, parce que je ne sais pas où on va. Enfin, je sais qu'on va vers un sexshop mais honnêtement.. Je ne sais absolument pas où il se trouve. Je pense que James le sait mieux que moi.
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    Invitéle Sam 14 Jan 2017 - 14:40Rechercher dans: Archives 2012-2019
    Les emmerdeurs
    et nous nous aimons, et nous sommes dingues l'un de l'autre. et nous rions, et nous pleurons. et nous avons des nuits plus belles que vos jours.

    J’écarquille des yeux en les reposants immédiatement sur Harley qui de un, me frappe. Et de deux me traie d’enfoiré. Comment expliquer que là, j’ai juste envie de rire comme un con, en le regardant pointer son entrejambe. Si quelqu’un passe en ce moment dans cette ruelle et qu’il voit deux gars en train de ce tripote mais en même temps s’engueule. La personne en question elle va se tirer les cheveux. Je hausse les épaules, en m’approchant de lui. Je passe doucement le bout de ma muqueuse sur ces chairs humides alors que je me recule pour pouvoir passer mon regard sur toute la longueur. M’arrêtant à cette bosse dont je suis le coupable. « Mais, je vais te baiser. C’est juste que je me suis laissé emporter par la course. Mais je dois acheter le jouet. Parce que si on le fait maintenant, et que dans quelques bonnes minutes on le refait, et bien… ça.. » Je viens palper. J’empoigne sa verge entre mes doigts habiles en faisant tournoyer autour de mes doigts. « Ca te fera plus autant d’effet. Je préfère te voir frustré maintenant, qu’ensuite chéri. » J’avais moi aussi des projets, bien que ce fût lui qui avait tout fait, le moment intime m’était dédié. J’aimais qu’il me laisse faire à ce niveau, et puis on n’a jamais été déçu de l’autre… Au contraire. Je détournais le regard sur les alentours, m’adossant contre le mur d’en face alors que mes mains dévalent mon corps tout entier. Je passe sur mes zones assez sensibles, comme ma nuque et mon torse. Avant de tendre la main à mon amant. « Il fait encore nuit, j’achète mon truc. On va dans un magasin. Parce que ça va vraiment bientôt fermé. Et on va dans une cabine fermée, non avec de simples rideaux. » Histoire qu’on soit pas totalement surpris. Sachant que ça allait être impossible sinon.




     
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