37 résultats trouvés pour récoltedefondsadams
Granny Runner [Windian
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tw : vieillesse - humour noir
Granny runner ▬ ♪♫♪
Parce que l’étudiant regarde sa montre afin de vérifier les dires de la brune, elle fronce directement les sourcils, faute de la possibilité de voir le vieil homme douter de son excuse et de sa véracité. Mais contre toute attente, les voilà donc d’abord à trois, puis – après un regard en sa direction pour s’en assurer – à quatre à fouler les pavés du supermarché afin de récupérer les derniers articles espérés.
Le tableau est assez étrange, l’on ne peut le nier, mais tout aussi curieusement, Haiwee doit pincer ses lèvres afin d’avorter la naissance d’un sourire. L’espace d’une seconde, elle aime ce moment plus que ce qu’elle n’est en droit de le dire. Alors sur un rythme assez soutenu, ils longent un nouveau rayon, si bien qu’une inconnue commente la situation. « Ce n’est pas ma fille ni son gendre qui feraient çà. » D’un côté, elle en éprouve une pointe de fierté, après tout, la bienveillance de l’amérindienne n’est plus à démontrer. « Les jeunes de nos jours. Heureusement, il y a encore des exceptions. » Cependant, ce qui l’interpelle, c’est Sheng et son énigmatique expression. Elle n’a pas le temps d’analyser correctement la situation, qu’elle l’entend élever le ton. « Bon il est où le rayon des surgelés, qu’on y mette ta mère ? » Elle en manque de s’étouffer avec sa salive tant elle ne s’y attendait pas, et le choc, il doit pouvoir se lire sur ses traits, le rouge aux joues, et l’envie de lui souffler qu’il est fou.
Une fois encore, elle ouvre la bouche deux ou trois fois, sans savoir quoi ajouter, Sheng, il a l’art et la manière de laisser l’étudiante en journalisme sans voix. Son regard, il jongle entre lui et les deux personnes âgées, et les deux intruses féminines sur le côté, avant de bafouiller, le nez baissé vers la liste des articles à acheter, « Des pommes pour… Les compotes. » blague un brin vicieuse qu’elle fait malgré elle en souriant, évoquant, leur manque évident de dents.
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Le tableau est assez étrange, l’on ne peut le nier, mais tout aussi curieusement, Haiwee doit pincer ses lèvres afin d’avorter la naissance d’un sourire. L’espace d’une seconde, elle aime ce moment plus que ce qu’elle n’est en droit de le dire. Alors sur un rythme assez soutenu, ils longent un nouveau rayon, si bien qu’une inconnue commente la situation. « Ce n’est pas ma fille ni son gendre qui feraient çà. » D’un côté, elle en éprouve une pointe de fierté, après tout, la bienveillance de l’amérindienne n’est plus à démontrer. « Les jeunes de nos jours. Heureusement, il y a encore des exceptions. » Cependant, ce qui l’interpelle, c’est Sheng et son énigmatique expression. Elle n’a pas le temps d’analyser correctement la situation, qu’elle l’entend élever le ton. « Bon il est où le rayon des surgelés, qu’on y mette ta mère ? » Elle en manque de s’étouffer avec sa salive tant elle ne s’y attendait pas, et le choc, il doit pouvoir se lire sur ses traits, le rouge aux joues, et l’envie de lui souffler qu’il est fou.
Une fois encore, elle ouvre la bouche deux ou trois fois, sans savoir quoi ajouter, Sheng, il a l’art et la manière de laisser l’étudiante en journalisme sans voix. Son regard, il jongle entre lui et les deux personnes âgées, et les deux intruses féminines sur le côté, avant de bafouiller, le nez baissé vers la liste des articles à acheter, « Des pommes pour… Les compotes. » blague un brin vicieuse qu’elle fait malgré elle en souriant, évoquant, leur manque évident de dents.
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Granny Runner [Windian
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Granny runner ▬ ♪♫♪
Elles sont minimes, ses justifications, de toutes les façons, elle s’est emmêlée les pinceaux, dans ses propres mots. Et pour le coup, tout ce qui lui importe, c’est de terminer cette liste de courses et de passer à l’après, quand dans l’appartement à Sheng, ils pourront se retrouver. Qu’elle puisse revendiquer tout ce qu’elle peut désirer, et parce qu’elle est en constant manque de lui, il ne sera pas étonné, que ce soit charnel, pas vrai ?
Et bien que ses joues s’empourprent à voir son petit vieil homme s’agacer, continuer à roundiner, elle s’essaie à ne pas perdre la face, surtout quand il lui semble que la partenaire de l’étudiant parle à sa place. « Maboule ! » Elle en fronce les sourcils, parce que cela renforce sa gêne, le mot balancé, l’insulte détournée, « Pauvre petite. » et la voilà qui la prend en pitié. Elle qui tient toujours son papi par la main, qui regrette presque d’avoir recroiser leur chemin.
Ses mâchoires serrées, elle ne bouge pas, elle en a même oublié ce qu’elle cherchait voyant la sénior s’approcher d’elle, totalement figée. « Pauvre Haiwee... » réenchérit l’Adams, tandis que la brune observe celle qui vient de se glisser à ses côtés, comme si elle se portait garante des prochains gestes de celui qu’elle parraine. Faute d'une vieille personne, elle se retrouve avec deux, et si au départ elle ressentait une tendresse pour eux... « Cadeau ? » A présent, la douceur s'est estompée, et une légère grimace traverse l’expression de l’amérindienne, de sa main libre, elle balaie la proposition, sans se douter que sa nouvelle copine verrait ce mouvement comme une invitation. Elle pose sa paume sur son avant-bras, bienveillante et lui offre un sourire franc qui lui glace quasiment le sang. De demander de l’aide à Sheng, Haiwee en est à deux doigts, mais avant de le faire, elle s’essaie à bafouiller, « Je, » mais elle ignore même ce qu’elle pourrait prononcer, elle se contente piètrement s’excuser, « je vous remercie, ça va aller. » bien que dans sa voix, le doute plane, n’est-ce pas ? « On devrait continuer, sinon le magasin va fermer. » Excuse toute trouvée, puisqu’ils ont commencé leurs œuvres de charité en bons derniers.
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Et bien que ses joues s’empourprent à voir son petit vieil homme s’agacer, continuer à roundiner, elle s’essaie à ne pas perdre la face, surtout quand il lui semble que la partenaire de l’étudiant parle à sa place. « Maboule ! » Elle en fronce les sourcils, parce que cela renforce sa gêne, le mot balancé, l’insulte détournée, « Pauvre petite. » et la voilà qui la prend en pitié. Elle qui tient toujours son papi par la main, qui regrette presque d’avoir recroiser leur chemin.
Ses mâchoires serrées, elle ne bouge pas, elle en a même oublié ce qu’elle cherchait voyant la sénior s’approcher d’elle, totalement figée. « Pauvre Haiwee... » réenchérit l’Adams, tandis que la brune observe celle qui vient de se glisser à ses côtés, comme si elle se portait garante des prochains gestes de celui qu’elle parraine. Faute d'une vieille personne, elle se retrouve avec deux, et si au départ elle ressentait une tendresse pour eux... « Cadeau ? » A présent, la douceur s'est estompée, et une légère grimace traverse l’expression de l’amérindienne, de sa main libre, elle balaie la proposition, sans se douter que sa nouvelle copine verrait ce mouvement comme une invitation. Elle pose sa paume sur son avant-bras, bienveillante et lui offre un sourire franc qui lui glace quasiment le sang. De demander de l’aide à Sheng, Haiwee en est à deux doigts, mais avant de le faire, elle s’essaie à bafouiller, « Je, » mais elle ignore même ce qu’elle pourrait prononcer, elle se contente piètrement s’excuser, « je vous remercie, ça va aller. » bien que dans sa voix, le doute plane, n’est-ce pas ? « On devrait continuer, sinon le magasin va fermer. » Excuse toute trouvée, puisqu’ils ont commencé leurs œuvres de charité en bons derniers.
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Granny Runner [Windian
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Granny runner ▬ ♪♫♪
A son interrogation, l’ainé ne répond rien, alors elle tente de poursuivre le chemin. Elle est donc main dans la main avec un vieux bonhomme qui commence à râler, à faire quelques tentatives afin de bouger ses phalanges et se libérer de ses doigts. Elle en grince des dents, sa patience mise à rude épreuve, elle s’essaie à lui ordonner, « C’est bientôt terminé, » une façon pour elle de lui dire qu’il faut qu’il parvienne à se calmer, sinon… C’est encore longtemps qu’il va la supporter. Chose qu’il semble ne pas désirer. Il marmonne plusieurs mots, qui ne font pas de sens pour la Haiwee, concentrée sur la recherche des piles qui sont inscrites sur le papier.
Quand elle pose les yeux sur le carton qui indique ce qui se trouve à l’entrée du rayon, elle est soulagée d’y lire l’objet qu’elle recherche par procuration. « Mignon petit couple. » Elle ne regarde plus l’indication, aux mots, elle retourne la tête directement, exagérant une grimace à son intention. Lui montre combien elle est paumée, que si elle n’y avait pas en elle, cette rage de vaincre, elle aurait déjà abandonné, lui aurait dit qu’elle lui laisse le contrôle des paris mais de sa destinée, aussi. « Il a la bougeotte, » le murmure d'une expression ridicule et veillotte, qu’il répète, énervé, « Bougeotte ! » ça paralyse la Haiwee, les yeux écarquillés. Après un compte à rebours silencieux, elle s’égare en des « Oui, fin… » Mais elle manque d'arguments, car après tout c’est vrai, pas de quoi être âgé et à la fois crétin.
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Quand elle pose les yeux sur le carton qui indique ce qui se trouve à l’entrée du rayon, elle est soulagée d’y lire l’objet qu’elle recherche par procuration. « Mignon petit couple. » Elle ne regarde plus l’indication, aux mots, elle retourne la tête directement, exagérant une grimace à son intention. Lui montre combien elle est paumée, que si elle n’y avait pas en elle, cette rage de vaincre, elle aurait déjà abandonné, lui aurait dit qu’elle lui laisse le contrôle des paris mais de sa destinée, aussi. « Il a la bougeotte, » le murmure d'une expression ridicule et veillotte, qu’il répète, énervé, « Bougeotte ! » ça paralyse la Haiwee, les yeux écarquillés. Après un compte à rebours silencieux, elle s’égare en des « Oui, fin… » Mais elle manque d'arguments, car après tout c’est vrai, pas de quoi être âgé et à la fois crétin.
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Granny Runner [Windian
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Granny runner ▬ ♪♫♪
Alors elle tente de se concentrer sur la prise en main du caddie et aussi sur le fait de ne pas égarer le papi. Sauf qu’elle doit aussi se rendre à l’évidence, c’est vers Sheng que son attention se veut se centrer, incapable de réagir autrement lorsqu’elle se trouve à proximité de l’étudiant. « Autant ?l » Ca la fait sourire, et elle en omet l’objectif du journal, ses prunelles cherchant à se reposer sur la silhouette d’un Sheng exaspéré, ayant l’envie de lui remémorer, que c’est sa faute – en toute mauvaise foi – puisque c’est pour les Adams qu’ils sont là. « Aille » elle doit pincer ses lèvres pour ne pas se mettre à rigoler. Elle secoue le visage, consciente qu’elle perd du temps, et que cette lignée d’arrivée, il va finir par la passer en premier.
Du coup, elle s’en revient au grand-père à ses côtés, ou presque à ses côtés, car il semble vouloir une nouvelle fois se tirer sans elle, celui-là. Elle en soupire longuement, tente de conserver ce calme qu’on lui connaît, ne serait plus une Haiwee si elle se mettait à hurler sur un senior qu’elle ne connaît. « Où est-c… » elle amorce quand Sheng refait son apparition et qu’il lui lance, moufles à la main. « Merci » et il se perd dans sa gorge, le de rien. Parce qu'elle s’agace, parce qu’il reprend son chemin, de fait, en se tournant vers le fuyard elle intime, le ton beaucoup moins serein, « On ne va pas y rester jusqu’à demain, » comme un enfant, réticente d'un brin, elle lui attrape la main et le guide dans les allés pour trouver ce fameux journal, enfin. Prête à attaquer, la quête des articles prochains…
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Du coup, elle s’en revient au grand-père à ses côtés, ou presque à ses côtés, car il semble vouloir une nouvelle fois se tirer sans elle, celui-là. Elle en soupire longuement, tente de conserver ce calme qu’on lui connaît, ne serait plus une Haiwee si elle se mettait à hurler sur un senior qu’elle ne connaît. « Où est-c… » elle amorce quand Sheng refait son apparition et qu’il lui lance, moufles à la main. « Merci » et il se perd dans sa gorge, le de rien. Parce qu'elle s’agace, parce qu’il reprend son chemin, de fait, en se tournant vers le fuyard elle intime, le ton beaucoup moins serein, « On ne va pas y rester jusqu’à demain, » comme un enfant, réticente d'un brin, elle lui attrape la main et le guide dans les allés pour trouver ce fameux journal, enfin. Prête à attaquer, la quête des articles prochains…
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Chouchous et croustillons (Arlo)
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  | ★ ─ Chouchous et croustillons |
Il avait offert une boisson chaude à son camarade qui devait se geler sur ce marché depuis un moment maintenant. Partageant sablés et cookies ils se partageant le stand en installant les gourmandises de l’écossais qui sourit à la proposition de Rainier “
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House of biscuits | Windian
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House of biscuits | 11/12/2022
L’attirance qu’elle éprouve pour lui, elle n’est pas discutable et ce depuis le jour de leur rencontre, et quand elle l’embrasse, c’est tout son corps qui s’embrase. Alors dans sa lutte personnelle pour ne pas se laisser enivrer par les envies qui résultent de se baiser, elle se contente d’aller entourer les phalanges de l’une de ses paumes à la bordure de son pull, sur le côté, et exulte un soupir qui s’approche d’un gémissement lorsque les tierces personnes présentes avortent pour eux ce moment. Dans une bulle quand elle se fond dans ses bras, elle craque en un faible rire qui répond à la malice de son sourire. « Mais la paix, c’est… » loin d’être le bon mot pour les qualifier, mais elle se contente d’arquer ses lèvres à le regarder tenter de retirer une nouvelle fois les paillettes qu’elle a laissées sur lui, ici et là. Puis finalement, ils s’en retournent à leur objectif commun pour cette journée, vendre des biscuits avec la bonne humeur qui s’amalgame avec les fêtes de fin d’année. A chaque vente, elle est de plus en plus ravie d’aider sa maison à financer ce voyage prévu pour le mois de février. Les minutes s’accumulent, les heures à la finalité, et les voilà déjà à remballer. Contre toute attente, c’est rapidement que c’est passé. Et tandis qu’elle range de son côté, elle l’entend demander, « Qu’est-ce que tu fais après ? » elle relève son regard en sa direction, seulement c’est une autre voix qui répond à sa question. « Moi je sais. » et même si elle n’est pas experte en sous-entendu, elle croit entrevoir la teneur de celui-là, si bien qu’elle pince sa bouche, lui décoche une œillade, complice et amusée.
Elle termine de rassembler ses affaires, et toujours affublée de son bonnet de mère Noël, elle le rejoint, naturellement, lui qui l’attend. Pas très loin de sa maison, ils marchent donc côte à côte durant quelques instants. Jusqu’à ce qu’ils croisent la route d’un individu qui leur est totalement opposé, et comme à chaque fois, ça crève le cœur à l’étudiante. Cette impression d’avoir tout quand une partie du monde a faim … Mais sur le fil de ses pensées, c’est l’étudiant qui ravive ses instincts. Quand elle l’observe donner ce qu’il a ramené de la vente à cet homme qui n’a rien, du pourquoi et combien elle l’aime, elle se souvient. Même si elle souhaite les étouffer, elle les reprend en plein visage quelques fois, comme maintenant quand ses empreintes se lient à ses doigts.
C’est dans un mimétisme presque parfait, qu’elle aussi, des mets qu’elle a rapporté, elle se défait, précisant à l’inconnu que, « Si vous connaissez une autre personne dans le besoin, » ou même pour lui plus tard, elle n’en sait rien. Un énième sourire avant de le quitter, pour s’en revenir à Sheng pour ce qui leur reste à parcourir comme chemin.
Une fois qu’ils se trouvent face au perron de sa maison, qu’elle considère toujours comme nouvelle habitation, elle s’aventure à lui souffler, en écho à la brève discussion qu’ils ont eu sous le gui. « Je t’invite à faire la guerre ? » Un sous-entendu, cette fois, on ne peut plus clair. Puisqu’il est le seul avec lequel elle accepte de la faire. Pour réinventer ses besoins et ses sentiments, Sheng aura toujours l’art et la manière.
FIN DU RP 
#récoltedefondsadams #adamscalendar #standsadams
House of biscuits | Windian
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H
ouse of
Biscuits
Biscuits
C
et air qui sillonne la place bondée, il l’a entendu bien des fois mais c’est véritablement ce soir que, les traits légèrement froncés, il en comprend – un peu confus – l’importance et la symbolique, quelques sentiments dissimulés derrière des paroles enjouées. « Ça veut dire qu’on rend les armes, chez moi… » La devanture du stand délaissée, il observe ce qu’elle vient de lui faire à nouveau remarquer, cette branche de gui avant d’être agréablement pris d’assaut par une Haiwee qui le met au défi. « Essaies de retirer celles-là. » Contact beaucoup plus prononcé qu’au premier, c’est à la ferveur de l’amérindienne qu’il prend plaisir de gouter, oubliant les conséquences de ce geste le temps que dure ce baiser. Ses mains auraient tendance à venir se perdre sur ses hanches afin de conserver leur promiscuité mais un bruit de papier froissé sur le coté lui fait abandonner cette idée, quittant ses lèvres en faveur de l’origine de la nuisance et des regards qui se sont furtivement braqués sur eux. Il ne peut dissimuler l’embarras qui le gagne parce que flirter avec les étudiantes n’a jamais été l’image qu’il se charge de renvoyer. Et pourtant il assume, un sourire narquois pour en revenir à ce qu’elle lui a au préalable glissé. « Mais la paix, c’est… » assez plat, trop monotone pour celui qui apprécie la voir agressive entre leurs draps. Du revers de son pouce il tente une dernière fois d’essuyer les paillettes venues sur lui s’incruster, jauge des quelques traces qu’il ait parvenu tant bien que mal à retirer. C’est peine perdue et il le sait alors, geste infructueux, il baisse les bras et abdique pour l’inviter à revenir auprès des mets qu’ils ont concoctés, faisant fi des sourires des autres étudiants les ayant grillés.
Ce n’est qu’après avoir vendu quelques biscuits, une heure plus tard, que la place commence à se vider. Il leur reste encore bien des croustillons, baniques et gourmandises mais à défaut de les jeter, chacun remmène ou offre ce qu’il lui reste. Quant au sino, il prend le temps de les emballer dans un torchon qu’il noue et installe dans une boite, les biscuits tous fermement calés. « Qu’est-ce que tu fais après ? » Le stand perd soudainement de sa splendide, les derniers étudiants s’occupant de fermer, éteignant les spots et guirlandes qui l’animaient. « Moi je sais. » Preuve qu’encore une fois, le sino n’a pas été des plus discrets lorsqu’il se retourne légèrement vers l’Adams qui vient de les narguer en quittant lui aussi le chalet. Sac à l’épaule, il fait quelques pas avant de l’attendre et faire en sa compagnie un bout de chemin, la raccompagnant jusqu’à chez elle. Ce n’est qu’au détour d’une rue qu’il a cette étrange idée en voyant un homme, à l'abri sous un arrêt de bus et vêtu de guenilles, se frictionner les mains pour se les réchauffer. Il n’a rien pour lui et se contente de peu pour survivre, contraste flagrant avec les deux étudiants de la plus prestigieuse des universités. Alors prétextant la soi-disant lourdeur des biscuits qui lui cingle l’épaule, il invite l’amérindienne, sa main allant chercher la sienne, à s’approcher pour donner ce que contient son sac, boissons et calories sèches, maigre
MADE BY @ICE AND FIRE.
Chouchous et croustillons (Arlo)
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Vous voilà en train de partager un casse-croûte, même s'il ne s'agissait que de cookies et de thé chaud. Les cookies étaient particulièrement réussis, aussi n'y avait-il aucune raison pour que vous n'arriviez pas à vendre ces biscuits. Arlo venait de les étaler sur la table d'exposition, à côté de tes sablés ils faisaient la paire! "On pourrait même faire des lots, histoire de mutualiser nos efforts." Tu suggéras en sirotant ton thé. "Je n'y connais pas grand-chose aux affaires mais si on vend ensemble mes sablés et tes cookies, on pourrait ajouter un ou deux dollars en plus par rapport au prix de chaque sachet individuel?" Tu ne savais pas si tu avais expliqué correctement ton idée ou si au contraire tu t'étais exprimé comme un manche mais dans ta tête ça te semblait parfaitement cohérent. Puis, la conversation dévia vers votre chorale et surtout, vos costumes. Tu écoutais les explications de ton camarade tout en terminant ton cookie. "Je vois. Un atelier de création de costumes pourrait être sympa. Ma sœur aussi pourrait théoriquement donner des cours de design et de couture mais..." Tu t'interrompis avant de faire la moue. Tu t'étais soudainement rappelé de Veritas et de cette trahison que tu avais apprise en même temps que tous les autres, alors de là à solliciter ton aide...Tu soupiras longuement et te pinças l'arête du nez comme si tu venais de sentir une odeur désagréable. "En tout cas c'est une bonne idée qu'on se réunisse chez toi, surtout si tu as une pièce entièrement dédiée à la musique. On aura le temps d'en discuter avec les autres." Mais pas trop non plus, hein, puisque il y avait peu de dates prévues au programme alors cela devra se faire, que vous soyez prêts ou non. Ton regard se posa sur les passants, quand tu repéras deux filles qui semblaient se diriger vers votre stand. "Hé, on a des clientes potentielles en approche!" tu chuchotas le plus discrètement possible alors que les jeunes femmes s'arrêtaient effectivement devant vous. "Mesdames." Tu saluas chaleureusement, un léger sourire accroché aux lèvres. "Que diriez-vous de goûtet nos biscuits spécialement faits pour cette occasion? Vous avez des cookies et des sablés, le tout fait main. On les vend deux dollars l'unité." Tu te tournas alors vers Arlo, pour voir s'il avait quelque chose à ajouter pour appuyer ton propos.
@Arlo Woods
#récoltedefondsAdams
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Who let the dogs out [Theng
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L
es deux Adams prennent connaissances des règles qu’il leur faudra suivre durant cette épreuve, déterminés l’un comme l’autre à apporter leur contribution dans la récolte de fonds. « Bonne idée. Tu es à l’aise avec les chiens ? » C’est un détail auquel il n’a jamais pris le temps de penser puisqu’il n’a jamais été en réel contact avec l’espèce canine si ce n’est avec le monstre sur pattes qu’à hébergé un temps Haiwee. Le sino n’a pas réellement eu l’occasion de tester les limites de sa patience, l’amérindienne l’ayant rendu à ses premiers propriétaires. Alors pour lui, « c’est une première, » qu’il confie, serein même s’il n’est en rien expérimenté, tant qu’il ne ressort pas de cette expérience la main ensanglantée... L’adresse en tête ils partent donc en direction de la demeure, le sino et l’américain côte à côte, l’étranger l’épiant de temps à autre au souvenir de ce que Veritas a pu poster. Lui un drogué ? L’asiatique a du mal à le concevoir, le trouvant plutôt tranquille bien qu’un peu morose en cette période de l’année. Après tout, Noël n’est pas synonyme de joie pour tout le monde, certains l’affrontant seuls faute d’être bien entourés. Il n’est pas rare d’apercevoir le soir des âmes esseulées s’arrêter devant les jardins joliment décorés qui arborent personnages de crèche, traineaux et Après quelques pas le plus âgé des deux se décide à parler, dégageant son col et rentrant dans le vif du sujet. « C’est bien toi que Veritas a affiché ? » Il lève une main, paume ouverte, dans la foulée pour afficher sa sincérité. « J’te juge pas. Chacun a ses petits travers » et l’héritier serait mal placé pour dire quoique ce soit, aimant un peu trop la chair. « Mais avec une Pfo… » Comme quoi derrière cette rumeur d'alliance entre les deux maisons rivales depuis tant d'années...il y a peut-être un soupçon de vérité.
MADE BY @ICE AND FIRE.
DOBBY fait des siennes [Carolina]
3 Réponses186 Vues
Les balades ça te fait toujours un bien fou d’ailleurs lorsque tu sors dehors, tu te dis toujours que tu devrais profiter d’avantage de ce que la vie a à t’offrir, moins d’écrans, plus de sorties, de randonnées, ou de loisirs en pleine air pour que tes poumons profitent eux aussi. Avoir un chien à toi te permettrait peut-être de sortir davantage même si en hiver il faut affronter le froid, tu aimes les animaux mais n’a jamais eu la possibilité d’en avoir, tes parents le refusaient catégoriquement. Une balade au parc avec Dobby, le chien que tu gardes aujourd’hui et tu te rends rapidement compte qu’il vaut mieux avoir un chien de taille raisonnable vue ta corpulence et la force que tu exerces sur la laisse. Dobby fini par terminer sa course et tu relâches la pression de sa laisse en te relevant vivement« Je suis en vie ! » dis-tu en touchant ton corps pour s’assurer que tu n’as rien de cassé, juste ton jean déchiré et des branches dans les cheveux, l’avant du corps mouillé à cause de l’herbe froide mais heureusement pas de neige. Tu observes la femme qui se retrouve sous Dobby et tire le chien en arrière, c’est comme un enfant.« Non d’un père nöel, reste calme. » dis-tu au chien fermement alors que tu aides la femme à se relever.« Je suis désolée, vous ne vous êtes pas fait mal ? » Tu l’observes en te mordant la lèvre, t’en voulant d’avoir laisser faire Dobby. Un point pour lui, zéro pour toi.« C’est mignon mais ça à de la force ces bêtes là. »
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