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1 résultat trouvé pour jetedéteste

Sujet: thunderclouds (pluson)
par Kaze Faulkner
le Dim 18 Nov - 18:08
Rechercher dans: Archives 2012-2019
Réponses: 32
Vues: 1573

thunderclouds (pluson)


pluson ★ thunderclouds — w/ Louison Chamberlain
@ aéroport de Boston, novembre 2018

Elle était mon tout, mon envie, mon présent et mon futur. Je me voyais très bien avancer main dans la main à ses côtés. Certes, dans mon tableau, il n'y avait pas de souci avec mon fils et avec Camila... Je sais que c'est très utopique comme façon de voir les choses mais hey, j'étais un peu trop optimiste des fois. Seulement, c'était ce que je voulais au plus profond de moi. Que Louison soit heureuse, que Camila le soit également. Je sais bien qu'en était auprès de l'une des deux, l'autre le vivra mal... mais c'est passager, n'est-ce pas ? Je suis qui pour toucher quelqu'un aussi profond au point d'en avoir mal toute une vie ? Je ne suis que Pluton Westerberg. Suédois, maladroit et décidément pas doué en amour. Mais voilà, j'avais trouvé l'amour, plusieurs fois. Et maintenant, je tentais de m'épanouir aux côtés de la jolie française au nom mélodieux à mes oreilles. Louison Chamberlain. Je crois bien que je ne me lasserai jamais de cette mélodie. Elle était belle, elle respirait la joie, elle puait l'amour à des kilomètres. Enfin, “puait”. Pour moi c'était la plus belle odeur. Comme celle qui était dans cette chambre qui pouvait redécouvrir chacun de nos ébats. Notre chambre. Notre putain de chambre. C'était la nôtre et personne ne viendrait s'immiscer dans notre monde. C'était le nôtre et je ne laisserai personne se mettre en travers de notre histoire. Rien ni personne. Pas même moi-même. Je pouvais être un grand danger pour notre histoire, je le savais. Seulement, il fallait m'empêcher de faire n'importe quoi, il fallait faire en sorte que je me contienne. Et je crois qu'elle avait ça en elle Louison. Elle m'obnubilait par sa simple existence et j'étais incapable de détourner le regard d'elle quand elle était dans la pièce. « Mh... c'est Suisse » Est-ce que c'était un indice valable pour elle ou elle réclamait bien plus ? J'en avais aucune idée pour le coup. Mais je lui donnais ça et j'aviserai par la suite si elle en veut plus encore ou si c'est suffisant. Mais quoiqu'il en soit, on se retrouvait tous les deux aujourd'hui, dans cette pièce et on est officiellement de nouveau ensemble. Elle et moi, on était un couple et je ne laisserai rien se mettre en travers de tout ça. Je crois que je l'aime trop pour la laisser partir une nouvelle fois, je ne m'en relèverai pas. Je suis tombé amoureux d'elle sûrement au pire moment de ma vie et elle m'a aidé à me relever, elle m'a aidé à renaître de mes cendres. Et je crois que je lui en revaudrai ça toute ma vie. Elle était pure Louison, sans artifices. On l'aime ou on la déteste. Et j'ai choisi de l'aimer, sans condition. Si bien que j'étais là, avec elle, à chercher le moindre prétexte pour avoir accès à cette peau blanche et délicate, qui frissonnait à chacun de mes touchers. J'adorais l'effet que j'avais sur elle, ce sentiment de puissance, celui qu'elle aussi avait sur moi. Je la regardais se déshabiller, lui avouant alors que j'allais nourrir son minou, plusieurs fois par jour. Et rien que ça, ce regard qu'elle pouvait déposer sur moi, il me rendait fou. « C'est bien ce que j'espère oui... comblé et heureux » Je voulais la rendre heureuse et je savais pertinemment que le sexe était une bonne partie de l'équation. Pas tout, j'en suis conscient, mais une bonne partie. Et on avait tellement d'alchimie tous les deux, malgré nos différences notoires en terme de guilty pleasure, mais on s'adaptait. Elle avait adopté le nénuphar et j'étais encore en train d'apprendre les différents aspects de la tulipe. Alors ouais, on avait encore beaucoup à apprendre et dans tous les cas, l'alchimie était présente. Je la désirais en tout temps, comme elle me désirait en tout temps. C'était beau à voir, magnifique même. Retirant mon jean, je me retrouvais en boxer sur ce même lit qui épousait nos formes à chaque fois qu'on s'allongeait dessus, ensemble. Ce lit, il avait en mémoire de beaux moments et on allait continuer de lui en donner, j'en étais certain. « Sans te toucher, c'est compliqué bébé... mais on va essayer » J'optais pour ses seins. Son sein qui me narguait depuis tout à l'heure, sorti de sa niche. Alors je soufflais dessus, pour faire sortir son téton de sa cachette. Il était là, il cherchait à sortir et je faisais en sorte que ce soit le cas. Les accessoires, c'était vraiment pour lui faire tourner la tête sans la toucher, mais je sais pas si c'était vraiment nécessaire. Je voyais que mon souffle semblait lui faire du bien, y compris le fait que mes mains soient là, sans réellement la toucher. Elle gémissait, elle faisait comprendre qu'elle voulait du contact et rien que ça, c'était frustrant. La frustration était à son comble. Mais rapidement, elle cédait, et ça me faisait plus rire qu'autre chose intérieurement. J'avais à peine le temps de jouer qu'elle se laissait prendre par l'envie d'un contact entre nous. Je pouvais le comprendre, j'étais très dur en train de résister et j'étais cependant heureux qu'elle cède avant moi. D'où ce sourire satisfait sur mes lèvres. Elle le voyait ? Je crois oui. Ses mains dans mes cheveux, je revivais. Comme si un simple toucher de Louison Chamberlain effaçait tous les maux que je pouvais avoir. Visage dans son cou, elle finissait par le redresser afin que nos regards se captent, nos regards se captivent. Ce boum dans ma cage thoracique, il était tellement bon, tellement apprécié, je voulais qu'il ne cesse jamais. « Y'a pas de mots pour décrire à quel point je t'aime » finissais-je alors par dire, la regardant avec les yeux de l'amour. Elle était mienne, elle ne serait jamais rien d'autre que mienne, je m'en faisais la promesse. Mais ce n'était pas le moment où mes lèvres retrouvaient les siennes malheureusement, puisqu'elle me poussait, se mettant à genoux sur le lit, me demandant de la copier. Ce que je faisais, avec une certaine distance entre nous. Est-ce que c'était suffisant ? Je n'avais aucune idée de ce qu'elle pouvait avoir en tête et ça m'intriguait. Finalement, elle mentionnait mon tatouage, celui que j'avais fait en réponse au sien. Oui, elle méritait sa place sur ma peau, parce qu'elle m'avait marqué au fer rouge, et je l'avais représenté à l'ancre noire. Elle méritait sa place sur le tableau qu'était ma peau. Et je n'avais cédé au tatouage que deux fois avant. Pour Camila. C'était une première, que de le faire pour une autre, pour Louison. Mais je m'en sortirai pas indemne de cette relation et je venais de le lui prouver par ce dessin, sur mon flanc gauche, pas loin de mon cœur. « Il est pas aussi beau que le tien, j'en suis sûr » Le sien était parfait, bien que trop caché à l'heure actuelle. Je voulais le voir, mais je ne pouvais pas. Sûrement dans la nuit, quand son dos sera à ma merci. Quand elle dormira profondément, je laisserai mes doigts redessiner les traits de ce dessin, à la naissance de son cou. Mais là, mon esprit devait être concentré sur elle et elle seule. Elle était là, tranquillement installée sur les rotules, à vouloir se frustrer encore une fois, me challengeant même. Et j'acceptais. Sans un mot.


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