337 résultats trouvés pour RPLIBRE
(libre/m) black out | tw
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(tw) morphée t'offre une pause. un répit. douce nuit que tu passes là, aria. bercée par un joli rêve. enchanté. une vision calme, douce et reposante de ton inconscient. pause dans tes révisions. dans tout ce stress qui t'envahit depuis plus de deux semaines maintenant. tu as du mal à gérer la pression d'harvard. à chaque exams c'est pareil. tu te mets dans le même état à chaque fois. pourtant tu gères bien. très bien. parmi les élèves les plus brillants de ta promo, tu te mets une telle pression toute seule. besoin de réussir pour prouver à ton père que tu peux y arriver, toi aussi. digne fille. à la hauteur des espoirs qu'il place en toi. tu serais bien resté dans ce doux rêve mais la réalité te rappelle à la raison. yeux qui s'ouvrent doucement. presque douloureusement. reprends conscience de ton corps. de la gorge prêteuse à cause de l'alcool. et cette odeur. tu n'es pas chez toi. petit corps qui se redresse légèrement. tête qui se tourne sur le côté. tu vois cet homme, de dos. yeux qui s'écarquillent. il est torse nu. tu ne reconnais pas cette silhouette. cri strident qui s'échappe de tes lèvres.haaaa . tu plaques tes mains sur son dos et le pousses de toutes tes forcesmais t'es qui toi ? DEGAGE . carcasse lourde qui tombe sur le sol. la panique dans les veines. pic d'adrénaline. tu ne te souviens de rien de la soirée de la veille. c'est le flou le plus complet. tu n'es pas chez toi. tu ignores ce qu'il a pu se passer. - #rplibre
Cela devait être une balade |RPLIBRE
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Cela devait être une balade /pseudo
Lyle s'était coucher tôt, s'étant promis de rendre son devoir a son professeur en bon état demain avant ses cours de la matinée. C'est ainsi qu'il avait pris soin de préparer ses affaires pour terminer demain matin avant de quitter son chez lui. Son chez lui avec la vue sur la forêt de Mohawk Trail.
Le temps semblait être désagréable au loin, mais ici ils étaient en sécurité, Lyle se rappelait qu'une vieille dame lorsqu'il était au Japon lui avait fait des prédictions, des prédictions de voyante dont-il n'avait pas pris au sérieux, car toutes dames ainsi veulent de l'argent.
Mais la nuit lui avait été horrible, ayant des flash de son enfance, des flash enfoui au fond de lui pour ne pas le blessé. Mais ce cerveau bien plus horrible que l'on peut croire. Puis vient au rêve qui lui semble réel. Celui de sa mère qui lui sourit et viens lui faire un câlin. Alors qu'il a vue l'horreur sous ses yeux étant plus jeune. Puis le voilà qui se réveil d'un coup se relevant d'un bond dans son lit, seul observant la pièce vide.
Les larmes viennes à couler et il renifle pour prendre un sweat et un pantalon dans son armoire. Pour ensuite enfiler ses baskets et aller vers la forêt. Connaissant les lieux!
Ayant pris une lampe avec lui, il commence a s'engouffrer dans la forêt. L'esprit encore prit par ce rêve cauchemardesque. Puis en continuant sa foulée. Il entend des bruits ou comme des gémissement. Ne sachant pas quoi faire. Il décide de se rendre vers le bruit, puis découvre une personne. Il espère que la personne ne présente d'ailleurs pas la même maladie que lui. Lui qui a l'insensibilité congénitale à la douleur. Se baissant et regardant un peu la personne, il vient dire.
Vous avez mal où? Et vous êtes là depuis quand?
Le temps semblait être désagréable au loin, mais ici ils étaient en sécurité, Lyle se rappelait qu'une vieille dame lorsqu'il était au Japon lui avait fait des prédictions, des prédictions de voyante dont-il n'avait pas pris au sérieux, car toutes dames ainsi veulent de l'argent.
Mais la nuit lui avait été horrible, ayant des flash de son enfance, des flash enfoui au fond de lui pour ne pas le blessé. Mais ce cerveau bien plus horrible que l'on peut croire. Puis vient au rêve qui lui semble réel. Celui de sa mère qui lui sourit et viens lui faire un câlin. Alors qu'il a vue l'horreur sous ses yeux étant plus jeune. Puis le voilà qui se réveil d'un coup se relevant d'un bond dans son lit, seul observant la pièce vide.
Les larmes viennes à couler et il renifle pour prendre un sweat et un pantalon dans son armoire. Pour ensuite enfiler ses baskets et aller vers la forêt. Connaissant les lieux!
Ayant pris une lampe avec lui, il commence a s'engouffrer dans la forêt. L'esprit encore prit par ce rêve cauchemardesque. Puis en continuant sa foulée. Il entend des bruits ou comme des gémissement. Ne sachant pas quoi faire. Il décide de se rendre vers le bruit, puis découvre une personne. Il espère que la personne ne présente d'ailleurs pas la même maladie que lui. Lui qui a l'insensibilité congénitale à la douleur. Se baissant et regardant un peu la personne, il vient dire.
Vous avez mal où? Et vous êtes là depuis quand?
code by astrophilia.
#rplibre
Morphée s’égare + Laia
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Eau paisible. Lisse. Noirceur opaque perturber par le reflet de l’opale. De ses lippes, le bâton rougeoie. Il en aspire la fumée herbeuse pour y trouver l’apaisement. Sur le ponton, ses pieds ses chaussures se balance au-dessus de l’océan. À ses oreilles claque le tambourinement discret des bateaux contre les quaies. Toc…toc…toc… Ses pensées s’egarent. Muscles endoloris par le travail pénible, il en ressent le tiraillement quand il lève une fois de plus le bras pour fumer. Peine le sommeil. Oublié par Morphée, il cherche l’envie. De dormir. De rejoindre le bateau de sa sœur et d’être enveloppé par le néant. Mais il n’y arrive pas Pax. Le cerveau toujours en action. Pense déjà à demain. Toujours sur ses gardes, il perçoit le bruit intrusif. Inconnu. Lui qui brise l’habituel cacophonie. Sur ses gardes, il patiente.
#rplibre
(TW) Sorry • Milo
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Dimanche 21 avril. Matin.
Venue express. Venue s'éternisant. J'avais pris l'avion pour rejoindre Boston le temps d'une soirée d'anniversaire. J'étais censé repartir rapidement pour m'éloigner de cet endroit qui me tordait le ventre. Cependant, un message avait changé la totalité de mes plans. En apprenant qu'Ares était à l'hôpital, je n'avais pas pris mon avion prévu samedi matin. Et, en ce dimanche, je me trouvais toujours au sein de la ville qui me rendait malade. J'avais dit que je resterais avec mon ami jusqu'à ce qu'il sorte de la cage blanche et je comptais tenir parole. De toute manière, ça restait assez facile. Je ne sortais quasiment pas de l'hôpital préférant y rester planqué pour être certain de ne voir personne et de ne subir aucune tentation. Il m'arrivait de mettre les pieds dehors lorsqu'Ares avait de la visite ou qu'il dormait profondément. Mais, je ne restais jamais trop longtemps dehors. Le temps de quelques cigarettes. Le temps d'un trajer pour aller acheter de quoi manger. Comme aujourd'hui à cette heure si matinale après une nuit encore trop courte. J'étais incapable de dormir ici. Bien trop torturé. Bien trop malade. Bien trop plongé dans le passé. Secouant la tête pour ne pas me perdre dans mes pensées, je marchais en direction de l'hôpital après avoir récupéré un petit-déjeuner plus appétissant que celui proposé par l'hôpital. Le soleil se levait à peine sur Boston. Les rues étaient presque désertes à cette heure. Glissant une cigarette entre mes lèvres, je me retrouvais foutrement incapable de l'allumer de mes doigts tremblant. Le manque cognait continuellement. La douleur frappait incessamment. Pourtant, je faisais comme si de rien n'était. J'agissais comme si cette torture n'était pas en train de me bouffer. M'arrêtant au niveau d'un banc, je déposais le sac du petit-déjeuner afin d'utiliser mes deux mains pour allumer ma cigarette. Après quelques essais, j'y parvenais soupirant de soulagement. Ma tête se renversait en arrière un instant. Mes yeux se fermaient tandis que je tirais sur le bâtonnet de nicotine. Je soufflais lentement la fumée avant de bouger de nouveau. Reprendre le sac. Me tourner. Et... Je n'avais pas fait attention à mon environnement. Mon corps venait en percuter un autre et le « F*ck... Désolé... » passait aussitôt la barrière de mes lèvres.
Venue express. Venue s'éternisant. J'avais pris l'avion pour rejoindre Boston le temps d'une soirée d'anniversaire. J'étais censé repartir rapidement pour m'éloigner de cet endroit qui me tordait le ventre. Cependant, un message avait changé la totalité de mes plans. En apprenant qu'Ares était à l'hôpital, je n'avais pas pris mon avion prévu samedi matin. Et, en ce dimanche, je me trouvais toujours au sein de la ville qui me rendait malade. J'avais dit que je resterais avec mon ami jusqu'à ce qu'il sorte de la cage blanche et je comptais tenir parole. De toute manière, ça restait assez facile. Je ne sortais quasiment pas de l'hôpital préférant y rester planqué pour être certain de ne voir personne et de ne subir aucune tentation. Il m'arrivait de mettre les pieds dehors lorsqu'Ares avait de la visite ou qu'il dormait profondément. Mais, je ne restais jamais trop longtemps dehors. Le temps de quelques cigarettes. Le temps d'un trajer pour aller acheter de quoi manger. Comme aujourd'hui à cette heure si matinale après une nuit encore trop courte. J'étais incapable de dormir ici. Bien trop torturé. Bien trop malade. Bien trop plongé dans le passé. Secouant la tête pour ne pas me perdre dans mes pensées, je marchais en direction de l'hôpital après avoir récupéré un petit-déjeuner plus appétissant que celui proposé par l'hôpital. Le soleil se levait à peine sur Boston. Les rues étaient presque désertes à cette heure. Glissant une cigarette entre mes lèvres, je me retrouvais foutrement incapable de l'allumer de mes doigts tremblant. Le manque cognait continuellement. La douleur frappait incessamment. Pourtant, je faisais comme si de rien n'était. J'agissais comme si cette torture n'était pas en train de me bouffer. M'arrêtant au niveau d'un banc, je déposais le sac du petit-déjeuner afin d'utiliser mes deux mains pour allumer ma cigarette. Après quelques essais, j'y parvenais soupirant de soulagement. Ma tête se renversait en arrière un instant. Mes yeux se fermaient tandis que je tirais sur le bâtonnet de nicotine. Je soufflais lentement la fumée avant de bouger de nouveau. Reprendre le sac. Me tourner. Et... Je n'avais pas fait attention à mon environnement. Mon corps venait en percuter un autre et le « F*ck... Désolé... » passait aussitôt la barrière de mes lèvres.
#rplibre
Matinale est l'échappatoire + Sofia
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Primaire bourrasque. Claque sa froideur sur son ovale. Teinte son derme d’une pellicule glacée. Brutale oxygène. Gonfle ses poumons à chaque inspiration. Rapide. Lui dont les pieds foulent le bitume avec vitesse. Il profite de l’Aube pour évacuer les pensées qui se bousculent. Les balancent dans les flots oceaniques. Il n’y a que le sport qui lui permet de s’en défaire. Même pour un court instant. Il oublie le rôle qui pèse sur ses épaules. Les contraintes. La peur des sentiments. Les examens. Il oublie Scott. Quelques heures. Braille dans ses oreilles. La musique trop forte. De l’océan , il s’éloigne. Arrête sa course contre l’esprit. Près d’un café, il s’arrête pour s’y aventurer. La respiration encore sifflante. Il est frappé par la chaleur des lieux. Choc thermique. Autour de lui, l’endroit semble presque désert. Café commandé, il se dirige vers le fond. Sans savoir que la place est déjà convoité.
#rplibre
tu tombes à pic (luna/benjamin)
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une dispute par messages qui m'atteint plus qu'elle ne le devrait. des insultes, un sentiment que j'ai déjà trop connu par le passé avec mon ex. j'ai l'impression de subir à nouveau la même pression psychologique et je me suis toujours fait la promesse de ne plus jamais me rabaisser face à un homme. ce soir je dois danser dans le bar où je bosse, l'esprit totalement embrouiller lorsque je m'y suis rendue. le bar est un peu comme une boîte de nuit avec plusieurs danseurs présents autant des femmes que des hommes. j'ai bu un peu pour pouvoir me motiver sur scène, mais des flashs en tête je n'ai pas su tenir toute la soirée, je me suis rhabiller en vitesse et je suis sortie de ce bar précipitamment ce qui fait que je t'ai bousculer sans le vouloir.désolée.. l'esprit toujours embrouiller, le ventre qui se tord je n'aurais pas cru vivre ça ici. moi qui voulait simplement me sentir libre, mais ces mots par messages sont trop forts et j'ai l'impression de le revoir un peu. homme que j'ai fuis pour venir sur boston, homme qui me fait toujours peur aujourd'hui même si je ne dis rien à personne. corps qui titube légèrement et je sens des mains qui me retiennent.
#rplibre
TG Party • Unlimited Army
52 Réponses1327 Vues
Foule amassée dans la demeure. La musique est bruyante. Au point de vous plonger dans une atmosphère hors du temps. Entre les mains des étudiants, les fameux gobelets rouge camoufle le nectar alcoolisé. @Naim Wolford et @Scott Guerin on vu les choses en grand. La démesure est autorisé et les limites sont mises au placard. Ce soir, c'est votre soirée. C'est l'occasion de décompresser. De se deconnecter des études. Les harvardiens sont libre d'inviter des personnes qui ne font pas partie de la confrérie.
INFORMATIONS
Thème: Pour l'occasion, la Dudley a revêtue le camouflage. Un cliché typique des fêtes harvardienne, mais surtout indétronable. Vous trouverez dissiminé dans les lieux, des armes en plastique avec lequel vous pourrez soit faire les gamins ou vous en servir pour boire.
Alcool: Un bar est mis à disposition des étudiants. Ainsi que des futs à bière.
Musique: Un dj s'occupe de mettre le son. Sachez néanmoins, qu'elle est ouverte à toute les demandes de musique.
Tenue: Dress code obligatoire pour passer les portes de la confrérie.
(libre) emotional damage
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Ce soir, elle sort car elle a un date. Tinder ? Non, c’est révolu ça. Elle a besoin de se changer les idées, de se distraire et rien de mieux qu’un rencard dans ce bar ouvert sur la place qu'elle vient de découvrir durant le spring break. Elle quitte la chaleur du sable, entre dans ce bar et vient s’installer sur ce tabouret. L’horloge au-dessus d'elle fait tic, tac, tic, tac et les minutes défilent. Un coup d’œil rapide sur son téléphone au bout de 30 minutes et là, le drame. Un lapin. Énervée ? Non pas du tout… Enfin peut-être un peu. Signe au barman, elle commande plusieurs shoots de tequila. Comment passer du quinzième étage au sous-sol en une fraction de seconde. Elle imaginait déjà sa soirée : n'importe où, mais certainement pas seule.
#rplibre
Nuit blanche dans les opales + Artemisia
8 Réponses205 Vues
Nuit blanche. Trace des cernes discrètes. Donnant ainsi, une teinte fade à ses opales. À peine rentré de son stage dans les Caraïbes, le brun trouve refuge à la bibliothèque. Fixe d’un air vide, les cours manqués qui apparaissent sur son écran d’ordinateur. Rouages rouillés. Rien ne s’aligne. D’un claquement sec, il ferme l’ordi. Se lève pour dégourdir ses jambes, avant de prendre le risque d’ouvrir la fenêtre pour allumer une clope. Juste assez pour que son bras passe et qu’il y rejette la fumée. Il est tôt. Et il se pense malin Scott. Qu’à cette heure, personne n’aura l’envie de s’enfermer dans le fin fond de la bibliothèque.
#rplibre
douce est la mélodie (stevie)
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adossé contre un arbre, une clope au bec. les premiers rayons de soleil du printemps et t'es déjà pieds nus dans l'herbe. tu n'es pas le seul à avoir eu cette idée. quelques étudiants sont comme toi, à réviser, déjeuner. ta guitare entre les bras, tu fixes l'inconnu(e) non loin de toi. sourire malicieux sur les lèvres.j'peux accompagner tes révisions avec un peu de musique si tu veux , que tu lances en rigolant, perturbant sa séance de révision sans doute. tu t'introduis dans son espace alors qu'il/elle veut certainement avoir la paix. - #rplibre
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