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1 résultat trouvé pour FinDuChallengeRP

Sujet: thunderclouds (pluson)
par Kaze Faulkner
le Ven 16 Nov - 8:12
Rechercher dans: Archives 2012-2019
Réponses: 32
Vues: 1573

thunderclouds (pluson)


pluson ★ thunderclouds — w/ Louison Chamberlain
@ aéroport de Boston, novembre 2018

« Une chance qu'on vive ensemble, on va pouvoir rajouter pleins de suites à cette collection » Parce que ouais, je comptais continuer à lui faire vivre le rêve éveillé, je voulais lui en faire voir pleins les yeux et ça commençait par ces moments en tête à tête, intimes et romantiques, ces moments un peu plus vivants, sans réel arrondis. Du brut de décoffrage. Elle adorait ça Louison et il fallait que je devienne un peu plus avenant de ce côté là. Elle avait appris le nénuphar, j'allais devoir apprendre la tulipe, qu'il y en ait pour tous les goûts. Il suffisait de voir nos ébats en globalité pour voir qu'on était un catalogue à nous deux. Du tendre, du moins tendre, du passionné. En réalité, c'était souvent du passionné. La passion nous animait et on était incapable de l'éteindre. En même temps, c'est pas comme si on en avait envie. Maintenant, il fallait qu'on devienne tous les deux le couple rêvé, celui qui faisait envier les moindres personnes. Et surtout, celui qui était intouchable. Impossible de nous séparer, impossible de se mettre entre nous. C'était ça qu'il fallait faire dans cette relation, nous souder au point qu'on devienne inséparable. Les experts en métallurgie, c'est nous ! C'est fou à quel point j'avais envie de l'embrasser en cet instant. Mais c'était le moment de nous rendre dans l'appartement, au chaud. La valise à mes pieds, je la tirais et puis on se retrouvait enfin dans l'intimité la plus totale. Alors qu'elle me déshabillait, elle me posait une question à laquelle je répondais le plus sincèrement et... ouais, elle kiffait. Elle adorait même, c'était plus que ce que j'avais espéré. Ses lèvres se plaquaient contre les miennes et j'étais tout bonnement subjugué par elle. Son aura m'avait envouté, je n'étais plus vraiment moi sans elle à présent. C'était dingue. C'était une fois dans l'appart qu'elle me faisait une dernière supplique, celle qui me retournait. Reste, qu'elle me demandait. Alors pour lui prouver que je ne m'en irai pas, pour lui prouver que les choses ne bougeraient pas entre nous, je mentionne le bail. Cet appartement, on le prend ensemble. Ce n'est pas juste le sien que je squatte continuellement. Je vais apporter mes affaires, plus d'affaires et ce sera chez moi, chez nous. De toute évidence, ces mots semblent lui faire l'effet escompté puisqu'elle venait chercher mes lèvres sans détour. Ses lèvres contre les miennes, j'étais tout bonnement conquis. C'était naturellement qu'on se retrouvait tous les deux dans la chambre, notre chambre. Dans cette pièce où on a failli vivre une catastrophe, bien heureusement évitée. Dans cette pièce où le ‘toi’ et ‘moi’ se conjugue en ‘nous’. Mon pull détale, je suis alors torse nu face à cette créature exquise et je me laissais faire, je ne ronchonnais pas quand ses ongles marquaient ma peau, encore moins quand ses lèvres s'approchaient de mon cou, dans le simple but d'y laisser une marque. Et elle y allait franchement, sans détour, si bien que ouais, je sentais une marque bien visible de sa part, histoire de marquer son territoire. Des gosses qu'on est, de toute évidence. Quand finalement elle cherchait à instaurer un jeu entre nous, je me mettais à répondre sans détour. Oui, elle était tout ça pour moi et je comptais pas faire en sorte que ça change, du tout. Je l'aimais comme ça et il était hors de question qu'il en soit autrement. De toute évidence, c'était le choc pour elle. Mes lèvres contre les siennes, le feu s'emparant de moi, elle ne semblait pas tellement réagir dans un premier temps. Il a fallu attendre que son esprit percute tout ça pour finalement avoir droit à une réaction. Je finissais par esquisser un sourire à ses mots, mon regard filant droit sur le sien. « Pleins pouvoirs oui » Elle faisait de moi ce qu'elle voulait, j'étais son pantin à présent. Seulement, quand elle me proposait de tout stopper... non. « Tu pourrais mais... après, s'il te plait » Parce que là, ça faisait plusieurs jours qu'on était séparés, plusieurs jours qu'on a du simplement s'appeler pour se faire du bien et... j'avais envie d'elle, tout simplement, et je ne voulais pas remettre à plus tard ce tête à tête tant attendu. De toute évidence, elle le voulait aussi ce moment alors remettons à plus tard ce qu'on peut faire plus tard oui. Ma main se faisait déplacer, du bas de son corps vers le haut, ses seins. J'avais ma main sur sa poitrine parce qu'elle l'avait décidé. Il me semble, je suis pas sûr, mais il me semble qu'elle aime ce côté “pleins pouvoirs”. Et ça me fait sourire, parce qu'au moins, elle est heureuse et c'est tout ce qui compte. « Tes désirs sont des ordres » Mon amour, ma chérie, mon bébé. Ma muse et mon inspiration. Elle était tout à la fois et je voulais juste me languir de nos deux corps dénudés, me languir de notre histoire. Je voulais tout et rien à la fois, découvrir encore énormément de choses petit à petit. Alors mes doigts, par dessus son soutien-gorge, dessinait sa peau, ses formes. Est-ce que ça avait son effet ? J'ose l'espérer. Elle était terriblement sensible ici, ce qui de toute évidence, me faisait bien rêver. « Sans te toucher ?! » Wow. C'était un challenge ça, et j'étais prêt à le relever, même si je n'avais aucune idée de comment je pourrais procéder. Et merde, moi qui voulait jouer avec son sein de sortie... Je le regardais, louchant presque dessus avant de la regarder elle à nouveau, soupirant. « Chiche » Mais pas le temps de me mettre à jouer de son corps sans la toucher, elle cherchait à se désaper toute seule, avec des commentaires qui me faisaient plus rire qu'autre chose dans le fond. « Son maître va s'en occuper bébé... tous les jours. Plusieurs fois par jour même » Parce qu'on a toujours été comme ça, impossible de ne pas se sauter dessus. Les fois où ce fut impossible, c'était cet été, puisqu'à la rentrée j'avais finalement cédé à la tentation. Elle me cherche, elle me provoque et... ouais, j'étais tout bonnement prêt à lui sauter dessus. Louison n'était plus que vêtue d'un soutien gorge et d'un shorty terriblement sexy. De mon côté, j'avais encore mon pantalon et mes chaussures, ce qui n'allait ne plus être le cas d'ici quelques instants. Je me redressais sur les genoux, le regard rivé sur elle, et de mes mains, je m'occupais de défaire ma ceinture, de défaire ce vêtement pour le retirer sous ses yeux, mes chaussures retirées au préalable. Me retrouvant qu'en boxer, bosse naissante visible pour elle, je finissais par m'installer à califourchon au dessus de son corps, à ma merci. Je n'allais pas la toucher, mais presque. « Tu préfères que je commence par quoi..? Tes seins ou plus bas ? » Parce que pour l'embraser, il n'y avait pas dix-mille endroits à titiller. Je n'avais pas répondu à sa question, assumant que la vue de mon boxer déformé serait la réponse adéquate. Mes deux mains se posaient de part et d'autre de son visage et doucement, je me reculais, face à sa poitrine. Je libérais le deuxième sein et je m'amusais à souffler sur ses tétons, un air vif mais chaud, dans le simple but de les stimuler. C'était affreux, parce que je voulais savoir à quel point elle était chaude, à quel point elle était réceptive à tous mes actes. Mais aucun accès à sa peau, une véritable torture. « J'ai droit aux accessoires ? » Je sais plus trop ce qu'elle a, mais je sais que je pourrais bien m'amuser avec.


#FinDuChallengeRP #OuPas

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