feat. Julian Schratter
- 03.01.1991
- FLORENCE, ITALIE
- 27 ANS
- ITALO-AMERICAIN
- HETERO
- CELIBATAIRE
- JEUNESSE DOREE
- SPORT
- MEDECINE
- COUREUR AUTOMOBILE PRO
- NON BOURSIER
Vincenzo connait Harvard depuis qu’il est petit. Son père étant déjà passé par là, il sait ce que ça vaut, puisque ce dernier n’a jamais cessé d’en parler. Autant dire que faire ses études là-bas, semble être le graal de la famille et c’est la raison pour laquelle Vincenzo avait déjà son destin tout tracé dès sa naissance. Il a grandi pour ça, il a évolué en fonction de son admission à Harvard et a toujours tout fait pour pouvoir être un étudiant modèle et exemplaire. Le dossier de candidature, ils l’ont monté au fur et à mesure que son cv s’agrandissait. Vince ayant été dans de bonnes écoles, il a pu mettre à profit ses compétences et mettre toutes les chances de son côté pour pouvoir obtenir diverses lettres de recommandation. Lorsqu’il a pu obtenir un rendez-vous avec le Doyen d’Harvard, Vincenzo a mis en avant sa tchatche, son charisme et sa personnalité pour se vendre et montrer sa détermination. Il n’y a qu’à voir où il en est aujourd’hui, sans même avoir terminé ses études, il obtient déjà un petit palmarès en tant que pilote automobile professionnel. Il a également démontré sa force de caractère et son ambition en présentant son plan de carrière en lien avec l’entreprise de son père et tout ça, de façon judicieuse et bien réfléchie, avec des exemples concrets.
ELIOT HOUSE: Dans un premier temps, Vincenzo vient d’une famille de la haute société. Son père est dirigeant d’une multinationale, sa mère n’est autre qu’une styliste de renommée en Italie, ce jeune homme a donc un destin bien tracé de base, celui d’un petit prince. Pas franchement attiré par le monde des entreprises, ni par le stylisme qui est à son goût un peu trop féminin pour un gars de son calibre, Vincenzo il veut être puissant à sa façon. Et pour ça, il travaille dur, il enchaine les heures d’entrainement pour être un nom dans le monde de l’automobile. Passionné de vitesse, de belles voitures et d’adrénaline depuis sa plus tendre enfance, Vincenzo a réussi à percer dans ce domaine qu’est la course automobile. Le monde des affaires, il les touche du bout des doigts, tout comme la puissance. Il sait que son physique plait, son nom aussi. Vincenzo n’est pas à l’abri de pression familial au niveau du mariage, mais aussi de la réputation qu’il a à tenir. Si sa demi-sœur semble se foutre du nom qu’elle porte, il n’en est pas le cas de Vincenzo qui sait que sa belle gueule, son nom, son charisme et son talent en tant que pilote automobile professionnel le mèneront loin, et haut.
Vincenzo est un homme avec beaucoup d’ambition, mais surtout de détermination. Il sait d’où il vient, comme il sait où il va. Il ne laisse rien au hasard et ce n’est peut-être pas plus mal comme ça. Ce n’est pas un homme qui se prend la tête pour des conneries et pourtant, il connait ses valeurs. Il est fidèle dans la personne qu’il est, mais aussi envers les personnes qui lui sont chères. C’est un garçon têtu, qui lorsqu’il a une idée en tête, il ne l’a pas ailleurs. Il fait tout pour y parvenir, parce qu’il sait que seuls les efforts paient. Il a grandi avec l’argent, il a grandi dans le luxe et a toujours eu tout ce qu’il voulait. Aujourd’hui encore, c’est son crédo et il se donne les moyens d’y arriver. C’est un garçon bourré d’énergie, qui peine à rester en place. Le sport est sa plus grande passion, mais le sport automobile est une véritable addiction. L’adrénaline l’aide à vivre au mieux et à se sentir libre tout comme ça lui sert aussi de défouloir. C’est un homme colérique, qui a besoin d’extérioriser toute la colère, la frustration et la haine qu’il encaisse et pour ça, rien de tel que la boxe. Il ne pratique pas les combats, mais durant les entrainements, il n’y va pas de mains mortes. Avec les femmes, c’est un homme respectueux et attentif. Il ne se cherche pas un palmarès, mais se laisse aller par ses envies et ses sentiments. Ne jamais regretter, c’est ce qu’il aime se répéter. Il ne promet pas la lune, il ne cherche pas à se marier, il veut juste vivre sa vie de petit prince héritier. C’est un homme ultra protecteur avec sa famille, comme avec ses amis proches. Il est du genre taquin, attentionné et souriant, voir même charmant. Le charme à l’italienne, on ne peut lui enlever, mais au fond qu’importe, qui le voudrait ? Vincenzo, c’est un homme impulsif. Il démarre au quart de tour et parfois, pour de la merde. Il n’est pas curieux et ne se sent pas forcément concerné, c’est pourquoi il ne s’intéresse pas spontanément et ne pose pas les questions qu’il faut. Parfois ça énerve, parfois il donne l’impression d’un je-m’en-foutiste né. Il a la rancune tenace, mais il pardonne malgré tout. Il pardonne, oui, mais il n’oublie pas. Il manque cruellement de patience, il faut que les choses bougent, que ça aille vite et si possible, dans son sens. Pour ça, il est intransigeant et très autoritaire. C’est un homme qui a tendance à détester l’imperfection, et pourtant il vit dans un monde imparfait. Alors il survit, tout simplement.
DéterminécolériqueAttentionnéTêtuExigeantsurprotecteur
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[/font] je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
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si personnage inventé:
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8818]☆[/url] ☆ <span class="pris">JULIAN SCHRATTER</span> ◊ “ Vincenzo Z. Delfino ”[/size]
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Monsieur et Madame Delfino ont le bonheur d’annoncer à leurs proches et clients fidèles, la naissance de leur fils : Vincenzo Zeno Delfino. Un petit gars qui a déjà les traits de son père et les yeux de sa mère. C’est ce qu’ils disaient tous. Vincenzo a grandi avec un père voyageant entre deux continents, et une mère à la recherche de gloire et de prestige. Des nounous, il en a vu des tas et en grandissant, il a probablement été le responsable de leurs départs anticipés. Des démissions, ses parents en ont vu, et pourtant ce n’est pas faute de lui inculquer des valeurs et une éducation. Lui, il est aux anges parce qu’il est au centre de l’attention de ses parents lorsqu’ils sont là, il a tout ce qu’il veut et il mène sa vie de petit prince à la perfection, quitte à pousser ses nounous à la dépression, ou au burnout.
1997. FLORENCE, ITALIE.
A l’âge de sept ans, Vincenzo a découvert le goût de l’adrénaline, et surtout du sport automobile. La première fois qu’il s’est mis au volant d’un de ces petits bolides était la fois où son père l’a emmené passer l’après-midi à faire du karting. Ces petites voitures qui vont vite, qui procure un bien être intense et une puissance à peine maitrisée, Vincenzo avait déjà trouvé son futur métier : plus tard, il conduira des voitures, il participerait à des courses automobiles et il misera l’excellence, la perfection. Il s’est passionné par ces engins, il s’est renseigné et n’a eu d’autres envies que de courir sur les circuits trois fois par semaine. C’est quelque chose qui l’aide à le canaliser, à le rendre heureux et à calmer les colères dont il ne parvient à se défaire depuis sa plus tendre enfance. Un an après ses exploits et entrainement en tant que petit pilote de kart junior, il participe à sa première compétition « minime ». Ce n’est pas un palmarès très glorieux encore, mais il en est déjà fier alors qu’il n’a que huit ans. Ca le stimule, le motive et il persévère là-dedans. Pour sa réussite, son père lui offre sa première combinaison, son premier casque, et lui il est déjà très fier.
1999. FLORENCE, ITALIE.
Depuis plusieurs jours, Vince entend ses parents se disputer, chose qui n’était jamais arrivé jusqu’ici, eux qui semblent si complémentaires et si attentionnés l’un envers l’autre. Ce soir-là, il entend la voix de son père qui lui demande de descendre pour discuter. Il n’a que huit ans alors de quoi pouvait-on bien lui parler ? Peut-être le divorce de ses parents, ce qu’il redoute… Finalement, son père annonce la couleur : quelque part en Amérique, il a une demi-sœur de six ans. Il ne comprend pas encore très bien pourquoi, si ce n’est que son père a aimé une autre femme pour avoir un autre enfant qui n’a pas la même mère que lui. Sans nul doute, Vincenzo s’est mis dans une colère noire, en espérant haut et fort, qu’un jour aussi bien la maman et la petite fille meurent. La violence de ses paroles lui vaut une gifle magistrale de la part de son père. Jamais son père n’avait été aussi fâché contre lui, jamais il n’avait levé la main sur lui. Un geste qu’il n’arrivera pas à pardonner, jamais. Lui, ce qu’il veut c’est le divorce de ses parents, et finalement il peine à comprendre comment sa mère arrive à pardonner. Il n’y arrive pas, lui. Alors il se renferme dans le sport, les voitures, toujours plus. Le jour des présentations avec Soraya, c'est pire que tout. Vincenzo lui fait bien comprendre qu'il la déteste simplement parce qu'elle est née, est c'est largement suffisant comme raison, selon lui.
2004. FLORENCE, ITALIE.
C’est à ses treize ans que Vincenzo remporte son premier championnat de Cadet en Karting. De nouveau il est fier et même s’il a encore du chemin, son rêve se concrétise petit à petit. Il est fier de lui, fier de son parcours alors qu’il n’a que treize ans. Il obtient une licence en karting lui permettant de se trouver des sponsors sérieux pour envisager le passage à la formule 1 à ses dix-huit ans. Certes, ce n’est pas pour tout de suite, mais il est prévoyant, et il mise l’excellence. Tout ça, ça le motive et la renommée de son nom de famille ne fait que le propulser au-devant des médias sportifs dans la catégorie junior. A seize ans, alors qu’ils fêtent dignement la réussite scolaire de Vincenzo, ses parents lui annoncent qu’ils ont déjà tout prévu pour lui. Et pour cause, on lui parle déjà de fiançailles avec la belle Billie. Le choix ne l’étonne pas vraiment, mais par contre la manière bien. Il n’a jamais vraiment pensé au mariage, lui, et s’il fait sa petite vie paisible, sans aucune relation sérieuse, il n’est pas prêt à se marier. Billie est une jeune fille qu’il apprécie plus qu’il ne le faudrait, une fille qu’il respecte énormément et qu’il essaie de choyer le plus possible. Il sait que parfois, c’est compliqué, mais à chaque fois qu’elle en a besoin, Vince essaie de répondre présent. Depuis des années, ils ont leurs petites habitudes et jouer au faux couple est presque inné au sein de leur relation. Billie, c’est son petit rayon de soleil, son petit joyau de Florence aussi précieux que le diamant et aussi pétillant que l’or.
2009. BOSTON, USA.
A dix-huit ans, il est temps pour Vincenzo de partir de chez papa et maman. Il quitte l’Italie pour se rendre aux Etats-Unis, à Boston plus précisément. Boston c’est là où se trouve l’entreprise de son père et ce dernier lui a dénicher un appartement luxueux. Proche d’Harvard qui plus est, quoi de mieux pour commencer une nouvelle vie ? C’est aussi cette année-là que Vince passe du Karting à la Formule 1. Une nouveauté qu’il découvre sur le sol américain. Au fur et à mesure des années, il démontre à multiple reprise qu’il peut intégrer l’université d’Harvard et à l’aube de ses 21 ans, il intègre l’université la plus prestigieuse au monde. Ce qu’il ignore, c’est que quelques années plus tard, le souhait qu’il avait fait alors qu’il n’avait que 8 ans, se réalise. Vincenzo, il se sent mal. Il déteste sa demi-sœur, à ses yeux, elle est responsable de l’échec de sa famille et pourtant, il se sent mal en apprenant que sa mère est décédée. Malgré tout, le fait de savoir qu’elle va vivre chez son père ne l’enchante vraiment pas, mais faire profil bas semble la seule solution, dans ce genre de circonstance.
kaze faulkner widower · heterosexual · |
Il nous faudra notre lien de la muerte, obligé
Bon courage pour ta fiche !!! :love2:
Bienvenue ma choupette
Bon courage pour ta fiche
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