Ce n’était pas un secret que Liam était un coureur de jupon. Pourtant il n’avait pas envie de balancé à Noalyne un «  J’voulais sauter une fille mais au final elle m’a jeté dans le couloir. »  Non. Il était du genre cru et sans tabou, mais allez savoir pourquoi avec elle il avait une retenu. A croire qu’il se souciait de ce qu’elle pensait de lui et qu’il ne voulait pas la choquer. Noa était déjà assez timide face à lui, il ne voulait pas rajouter d’autre argument à sa gêne. Pour coupé un peu court à leur échange Liam demandé à la demoiselle s’il pouvait prendre une douche. Noalyne passa devant lui, sans doute pour lui indiquer la direction mais le couloir étant étroit, ils se retrouvèrent côte à côté. De nouveau, ils croisèrent leurs regards. Ils étaient proche, trop proches. «  Je crois que j’ai vraiment besoin de cette douche » dit-il en déglutissant alors que clairement, une certaine partie de son corps commençait à… grossir ? Se tendre ? Appelait ça comme vous voulez, clairement le fait qu’elle lui plaisait était visible. Il n’avait aucun caleçon pour le cacher. Il réalisa que trop tard qu’elle s’était avancé vers son visage, peut-être pour l’embrassé. Allez savoir. Noa ne semblait pas être du genre à faire ce genre de premier pas mais il pouvait se trompé. Il lui avait déjà dit, à son sens elle n’était pas comme les autres filles.  Dans tout les cas, si c’était le cas il venait malgré lui de rompre son geste…

Je ne pouvais plus respirer intérieurement et pourtant mon souffle, si rapide, était là. Je ne savais pas quoi penser de ces envies, de ces choses là. Oui, trop de choses se produisaient en moi. Était-ce enfin de l'attirance ? Avais-je enfin l'autorisation de mon esprit d'apprécier quelqu'un ? Je fus coupée dans mon élan de courage par le jeune homme surement dégoutée de moi en fait. Il m'assure avoir besoin d'une douche et se dirige vers l'endroit que j'ai indiqué. Du coup, avec ma remise en question, ma semi dépression et cet étrange moment, mon visage se referme et je fais volte face pour retourner dans la chambre, pièce principale et je lui cris néanmoins assez doucement pour pas éveiller toute la lowell : Bonne douche ! Je me met au plus dans le coin pour enfiler mon change de sous-vêtements. Je m'habille, je vais te prendre des fringues et je te laisserais tranquille... dis-je perdue et résignée du fait que je finirais seule avec mes chats, ou tout simplement, que je n'étais pas le genre de fille qui plait, juste bonne à me faire violer. Rien que cette pensée me fit monter les larmes aux yeux. Doucement Noa! Pensais-je.

Noalyne n’avait pas baisé les yeux sur la chose qui s’était durcie, comme si elle n’avait pas compris pourquoi il avait tant besoin de cette douche. Froide. Idéale pour se calmé en cas d’excitation. Elle l’avait laissé partir avec facilité et Liam se maudit intérieurement d’avoir ouvert sa gueule. Maintenant à presque l’air triste et lui aussi perd son sourire alors qu’il se dirige vers la salle de bain. Il posa la main sur la poignée de la cabine de douche et hésita un instant. Il pouvait prendre une douche ou alors… Il lâcha la poignée et chercha Noalyne des yeux qu’il vit – habillé malheureusement ! – dans sa chambre. « j’suis pas un garçon qui vit avec des regrets » dit-il avant de s’avancer vers elle pour l’embrassé, pris dans le vif de l’action, il n’avait pas vu qu’elle pleurer…

J'avais légèrement les yeux, mouillés. Je ne me sentais plus du tout à l'aise et je rêvais de foncer pour fuir loin, très très loin. Néanmoins, je devais d'abord m'habiller. j'enfilais d'abord mes sous vêtements peinant à cause du choc que la non réaction envers ce lien avait provoqué. Je fus alors surprise de le voir venir dans la chambre alors que je me trouvais vêtu de mes sous vêtements; honteuse, je me cachais derrière mes bras de manière débile. Je... Je ne pus continuer que le jeune homme poursuivait en m'expliquant qu'il n'aimait pas regretter les choses non faites, c'est ce que je comprenais et il fondit sur mes lèvres. J'ouvrais grand les yeux d'étonnement et si en général, la peur m'aurait envahi... la fille peureuse que je suis des hommes n'en fit rien, je laissais mes yeux se clore et approfondir ce baiser, cette chose si nouvelle pour moi. Je passais mes bras autour de son cour, étrangement sensuelle. Ma peau contre la sienne me tira un frisson et je rougissais tellement que j’espérais que ses yeux soient tout aussi fermés que les miens. Qu'est-ce qui se passait ? Louison ? Liam ? Elle est gentille, mais il est tellement... charismatique ? Que faire ? tout stopper... je m'en sentais incapable, l'embrasser, c'était une benediction même si je commençais à montrer de mon doigtés sur la peau de son coup... le doute, la peur de ne pas se stopper car a vrai dire, tout cela... c'était si nouveau.

C’était sans doute le fait qu’elle soit à moitié nu et lui totalement à poil qui mettait Liam dans cet états, après tout il était humain, mais il était du genre à cédé à ses pulsions. Clairement il regretta d’avoir coupé l’élan de Noalyne au moment même où il avait commencé à parler. Aussi il avait le choix, prendre cette satanée douche froide ou la rejoindre. Le choix était vite fait. Quand il commença à l’embrasser et il la sentit faiblir, posant ses mains sur son cou alors qu’il posait une main sur sa taille et l’autre derrière son cou. Le baiser s’intensifier de seconde en seconde et Liam l’embrassé avec fougue. De son poids, il s’avança vers elle pour la faire reculé, pour qu’elle se cogne au lit et qu’elle puisse finir par s’y appuyer, peut-être même par s’y allonger…

Le baiser s'approfondit et je fond, je sens du... oh purée, un énorme désir. Ça brule en moi comme une flamme qu'on ne peut plus éteindre et je suis apeurée de cela. A 16 ans, j'avais été violé et depuis, plus rien, je me sentais sale et je ne m'étais plus rien autorisé : chose qui me pesait beaucoup à présent. Alors ... oser ? Je me sentais ouf d'un coup et la flamme dansait en moi tandis que le jeune homme exerçait une pression me faisant reculer contre le lit comme pour aller un plus loin dans les choses. Que faire ? Je me sentais perdue, mille et une idées me passaient dans l'esprit. Je ne me laissais pas tomber sur le lit et si je continuais nos embrassades, caressant l'arrière de son cou, je rompis un instant le baiser, mais pas l'étreinte et je croisais ses yeux splendides, ce regard pénétrant : Je... tu sais, je ne veux pas être juste une conquête... je ne peux pas et j'en suis désolé si cela te déçois... Je montrais la tristesse dans mon regard partagée entre la tristesse de ne pas avoir la force de le faire, de faire ces choses juste comme ça et la tristesse que surement cela n'aurait donc été qu'un mirage et que nos lèvres ne croiseraient donc plus.

Le baiser s’intensifia mais Noalyne finit par lâcher ses lèvres pour plongea son regard dans le sien. Le cœur de Liam battait la chamade et il avait envie d’aller plus loin. «  Pourquoi forcément posé une étiquette sur ce que nous somme en train de faire ? » Parce que ce nommer en tant «  conquêtes » c’était ce mettre dans une case, penser, réfléchir, au lieu de saisir l’instant présent. Liam ne pensait pas dans ce genre de situation, il agissait ! Si on se mettait à penser on ne faisait plus jamais rien. C’était ça la vie : agir. Existé. Faire preuve d’acte au lieu de retombé l’instant d’après. «  T’en a pas envie ? » Doucement il caressa son bras alors que son autre main se posait sur son sein.

Je suis apeurée. Je ne sais plus quoi faire. Je sens du désir. On se regarde et Liam m'explique qu'on a aucune obligation de mettre une étiquette sur la relation. Cela m'offusque un peu et je me défais doucement de l'étreinte. Je le regarde alors qu'il poursuit; et me demande si j'en ai envie. Je reste incrédule les yeux mouillés d'émotion, pailletés d'envie mais une lueur de peur. Maintenant, il caresse mon bras et je ne sais comment réagir jusqu'à ce qu'il touche ma poitrine : J'en ai envie mais pas comme ça ! Dis-je incertaine. Je me recule et je prend ma tète dans mes mains, saoulée. Je ne suis pas ce style de fille, je suis désolé ! Je me pose sur le lit, pensive.

Liam avait envie de Noalyne et il avait cru avec ses baiser que c’était réciproque. Il pensait qu’elle avait seulement besoin qu’il fasse un peu plus monté le désir, voilà pourquoi il l’a toucha d’avantage. Seulement elle se braqua et il pût voir la peur dans ses yeux. Le regret. Les mots qu’elle prononça ne lui plus pas des masses. «  Ce genre de filles ? » Reprit-il, se sentant insulté. «  Ce genre de filles comme tu les appelles ne sont pas des putes, des trainés ou autre insultes dont tu pourrais les affublé. Les filles avaient qui je couche elles méritent le respect. Contrairement à ce que tu crois penser elles ne sont pas juste un nom de plus sur la longue liste des nana que j’me suis tapé ! Ces filles, chacune d’entre elles ont ressentit un désir, une envie et ont eut l’audace de saisir l’instant présents, d’oser ce laissé aller face à moi, sans honte, sans regrets. Ces filles ont choisit de me donné quelque chose d’unique : une nuit. Ce n’est peut-être pas grand-chose à tes yeux et ça ne change ni leurs vies ni la mienne mais à mes yeux c’est beaucoup. Chaque être humains vit avec ses secrets, ses apparences, ses faux semblants. Au lit on ne ment pas. Au lit on n’a pas d’autre choix que d’être celui qu’on est et ça n’a rien de facile ! Ce n’est pas facile de se donné à l’autre et pourquoi elles l'ont fait ! «  ce genre de filles » chacune d’entre elles ont su me charmé, me plaire, m’impressionné. Alors ne parle pas d’elles comme si aucune n’avait compté parce que c'est faux ! » dit-il avant de quitté la chambre pour rejoindre la salle de bain.  Comment Noalyne faisait pour le chamboulé à ce point ?! Il poussa la porte de la salle de bain et ouvrit la cabin,e de douche. Encore nu, il attrapa la paume de douche et l'eau commença à coulé sur lui...

Étrangement, il ne tenta pas de me rassurer pourtant dans le lien de nos yeux, alors qu'il devait surement voir la détresse. Oui, je ressentais un feu bruler en moi, mais je ne me sentais pas capable et je ne croyais pas normal de coucher pour n’être personne ensuite, ne pas pouvoir dire c'est mon mec, voyez vous ? Liam s'offusqua clairement partant dans un monologue qui me laissa pantoise, sur le lit, posée et bientot trop déconfite pour le retenir lorsqu'il partit à la douche. Je débutais juste me sentant prise au dépourvu : j'ai pas... Je grimaçais et tortillais mes doigts entre eux ne sachant que faire. Il était dans la salle de bain et moi, j'étais là, déjà sa présence me manquait atrocement et le fille fière en moi, la carapace que j'avais créer face aux autres me fit dire qu'il était hors de question qu'on me parle ainsi ou qu'on me fasse dire ce que je n'ai pas dit. Décidée, j'inspirais fortement et je fonçais faisant presque voler la porte de la salle de bain. J'entrais dans la douche, en sous vêtements, prise d'une poussée d'adrénaline voulant défendre mes pensées ; Je n'ai pas insulté tes conquêtes déjà... avais-je telle un petit député du sénat. Ma première fois était un viol putain... n'a donc débouché sur rien, je suis vierge et je veux pouvoir faire l'amour, apprécier ce moment formidable avec quelqu'un qui me plait comme toi, qui peut me correspondre me faire vivre une belle histoire mais pas qu'une nuit bien que ce soit forcément formidable tu vois ? Je me grattais l'arrière de la tete comprenant tous ce que je venais d'avouer.