En fait, c’était bien là, tranquillement sous la couette, seuls et ensemble à la fois. Vous étiez bien, faut être honnête deux secondes et autant dire que cela te faisait du bien d’être vu et sourit par un homme ou même une femme. Tu finis même par rire doucement alors qu’il te proposa quand même de te réchauffer Je crois que c’est ce que t’es déjà en train de faire dis-tu sans aucune rancoeur mais bien avec du plaisir divin. Quand il commença à lui caresser le torse, Hugo était bien, il avait pas trop froid, juste bien, de façon parfait et cela lui permis même de lâcher des sons plutôt honteux pour toi mais parfaitement bien et cool pour lui. D’ailleurs, un rire sortit de ta bouche une nouvelle fois à son petit sadisme, tu viens de nouveau l’embrasser, réellement, caresses en plus, et ta jambe s’enroule autour de son bassin comme réflexe. Si être malade c’est être parfait alors je suis parfait et tu l’embrasses une nouvelle fois Mais tu l’es encore plus parce que tu ne sais pas quoi répondre à part ça, tu viens même l’embrasser une nouvelle fois, jusqu’à sa phrase, tu arrêtes ton baiser, tu le fixes ses yeux et tu touches d’un coup sa petite bosse Déjà j’ai encore rien fait en même temps, c’est amusant, tu l’embrasses sauvagement alors que tu continues avec ta main, mais t’es un petit con. C’est délicat et tout mignon non ? Ah non c’est sadique oups.

Tout était parfait avec Hugo. Wade avait l'impression qu'il allait rester longtemps sur son petit nuage de bonheur. Pour le moment, il ne pensait pas au fait que son meilleur ami pouvait être encore amoureux de Royce, son petit-ami. Il ne pensait à rien d'autre qu'Hugo qui était dans son lit. « Ah oui? Je suis en train de te réchauffer? » Le jeune homme se mordilla la lèvre inférieure, heureux de l'apprendre. Il continua de l'embrasser, tout en lui caressant le torse. Ce moment était absolument parfait et ne voulait pas que ce moment cesse. « Tu n'es pas parfait, à cause que tu es malade. Tu es parfait tout court. Pour la personne que tu es. » Wade trouvait cela triste que son meilleur ami soit malade, mais ça faisait parti de la vie. Toutefois, il espérait que la maladie allait le lâcher, une bonne fois pour toute. « Si tu le dis. » Wade n'avait pas nécessairement envie de s'obstiner avec son meilleur ami. Ils étaient occupés à faire autre chose, en ce moment.