( j'ai tant besoin d'y croire encore )
@Mael I. Rowan

les mots ont été dit, les choses ont été mis à plat. vous n’êtiez plus deux coeurs torturer, mais deux adultes capables de se dire : on est pas fait pour être ensemble, du moins, pas maintenant. Lexa été remplis de peine et de tristesse, la pire sensation qui exister été surement celle si : rompre avec Maël mais avoir envie d’en parler avec Maël. Elle avait envie de ses bras, qu’elle le sert jusqu’à ce que la peine soit partit, entre ensevelit par ses membres et son odeur jusqu’à s’en endormis. mais elle n’aurait plus le privilège de ses bras, de ses mots et de ses baises et ce genre de penser lui détruire le coeur. elle en été gravement amoureuse, c’est grave docteur parce qu’il est impossible de se détacher de l’image presque trop parfaite qu’elle avait du jeune Rowan. Chaque détail de sa peau été un vrai délice, du bout de ses cheveux multicolore, jusqu’à la pointe de ses doigts de pieds en knakie enrouler dans ses chaussettes nike trop épaisse. Rien de tout ça n’existerais plus quand il sera avec elle, rien de tout mexa n’existera plus quand il sera avec Saphir. Alors un lache un soupire, long de profond soupire, se disant qu’être adulte ne valait pas du tout la peine, qu’elle aurait préféré être dans uen série d’adolescente et devoir se battre pour son prince charmant. « j’pense qu’on a pas d’autre choix. » elle laisser sa tête se repousser contre le rebord du canapé, les yeux rivés vers son plafond. pour éviter son regard, mais aussi pour évite toute envie de lui sauter à la gorge et l’embrasser goulument juqsqu’à mourir sous les poids de ses baiser. « comme hazel grace lancaster à dit l’amour de sa vie, augustus waters :  Tu m'as offert une éternité dans un nombre de jours limités, et j'en suis heureuse.. » ses yeux finissent par se poser sur lui, une dernière fois, une tote dernière fois. « y a deux jours à peine tu m’appartenais tout en entier. merci pour tout, mon amour. »

( j'ai tant besoin d'y croire encore )
@Lexa Archibald

c'est difficile et ça fait mal... ouais, aimer fait mal ça c'est une leçon que j'ai clairement bien apprise. que ce soit avec vega et maintenant lexa... c'est dure putain. à croire que j'sais pas, je ne sais pas m'y prendre? j'ai pas ce qu'il faut pour savoir les garder? j'en sais rien. l résultat pique c'est tout et là ouais j'sais plus quoi faire j'avoue. entendre qu'on serait mieux d'en rester là? c'est pire que tout et ouais, j'commence à avoir du mal à garder la tête haute. j'en baisse d'ailleurs les yeux lorsque je l'entends confirmer « j’pense qu’on a pas d’autre choix. » , vraiment? tu es sûre de toi? voilà ce que j'ai envie de répondre car j'ai envie d'avoir le choix, d'être bête et égoïste et de foncer vers elle malgré tout. mais non... j'me contente de me mordiller la lèvre inférieur, le regard humide comme un gamin qu'on viendrait d'engueuler ou d'avouer que le père noel n'existe pas. là? j'sais juste plus quoi dire, plus quoi faire. j'suis figé à ses pieds, en silence, ravalant ma peine autant que possible en fait « comme hazel grace lancaster à dit l’amour de sa vie, augustus waters : Tu m'as offert une éternité dans un nombre de jours limités, et j'en suis heureuse.. », un très bref et léger sourire en coin et... je relevais les yeux sur elle d'un petit "c'est beau mais triste." ouais, j'peux pas m'empêcher de trouver ça surtout triste en fait. et enfin son regard recroise le mien « y a deux jours à peine tu m’appartenais tout en entier. merci pour tout, mon amour. » , le regard peiné mais touché à la fois, je la fixe un instant, souriant en coin un peu plus en prenant sa main dans la mienne car ça reste plus fort que moi "j'ai fais de mon mieux lexa j'te jure." portant sa main à mes lèvres pour l'embrasser en me relevant enfin "tu es sans doute ma plus belle expérience j'espère que tu en as conscience..?" ouais avant elle j'ai enchainé catastrophe sur cata'... là j'étais heureux. me mordillant encore la lèvre pour regarder un peu dans le vide d'un "j'espère que ça me servira de leçon." faut que j'en apprenne car j'ai l'impression de justement jamais apprendre de mes histoires.