( j'ai tant besoin d'y croire encore )
@Mael I. Rowan

encore un soir à se demander ce que t’as foutue, encore un soir à tout gâcher pour une jalousie mal placer et une système d’auto destruction dont tu es la seule maitresse. comment tu fais ? vraiment, lexa, comment tu fais pour tout foutre en l’air tout le temps? le cerveau en feu, la tête en vracs, t’arrive à rien, tes cheveux en crotte sur ta tête, et un vieux bas de pyjama, les yeux gonfler par les torrent de larme, ascenseur émotionnelle qui ne cesse depuis des jours. il fini par arriver, la porte à moitié ouverte, tu lui dit d’entrée sans frapper, de toute façon y a jamais personne ici, pas un chat, juste toi et ton âme perturber. un petit regard presque timide quand il arrive et qu’il est juste là, devant toi, tu te dit que t’aurais peut être du te changer au lieu d’arborer un tee-shirt pyjama d’Homer Simpson et son bas orner de donut, peut être te maquiller pour pas avoir l’air aussi fatigué. mais tu peut pas cacher ton désespoir qui se lit même à travers ta voix triste, quand tu lances un. « je suis contente que tu soit venu. » même pire que contente, quand tes yeux se rive sur lui et que ta seule envie et de lui sauter dans les bras, mais non, trop tôt, trop de mauvaise chose entre vous et tu t’es jamais sentit aussi nul que maintenant. « Maël… je pense que je suis pas fait pour tout ça. regarde moi, regarde toi, j’ai jamais été aussi dévaster pour quelqu’un que pour toi, et j’arrive pas à me dire que j’ai aucune raison d’être jalouse alors que j’en ai 1 milliards. toute les raisons que j’ai de t’aimer sont des raisons pour lequel n’importe quel fille aurait envie de t’avoir dans ses bras et j’me sent… pas à la hauteur. » de toi, de nous, de ce que je peux te donner. « je t’aime comme une folle, ça me rend malade. » tu te laisse tomber sur le canapé, parce que t’arrives plus à tenir sur tes jambes beaucoup trop frêle pour rester fix.

( j'ai tant besoin d'y croire encore )
@Lexa Archibald

elle a été horrible et pourtant j'suis là... deuxième fois qu'elle me dit des choses comme ça, deuxième fois alors que j'avais dis plus jamais. pourquoi je reviens inlassablement comme ça..? comme un putain de canard, comme l'idiot trop gentil que je suis en fait. parce que je l'aime, tout simplement. que j'ai pas envie que ça se termine comme ça, d'une façon aussi pourrie, de cette façon là. non lexa... tu ne te débarrasseras pas de moi aussi facilement, pas en me traitant de ce que je ne suis pas, pas en m'accusant de ce que je n'ai pas fait. alors ouais, j'suis là devant sa porte à hésiter un instant avant de me décider à l'ouvrir. porte qu'elle m'a laissé entre ouverte comme pour m'inviter à entrer d'office sans même frapper. c'est vrai qu'elle est seule désormais et j'trouve ça plus triste encore. j'ai le cœur qui bat fort... j'ai beau l'air calme, au fond de moi j'suis tendu, stressé de ce qu'il va se passer ensuite. j'ai... peur que tout s'arrête pour de vrai maintenant. peur d'être malheureux, peur d'avoir mal au cœur par amour encore une fois. et elle est là, l'air plus triste que jamais, anéanti limite et je ne m'attendais tellement pas à ça, à la voir comme ça... je la pensais forte, à pester contre moi et ce que je vois c'est limite tout l'inverse. on dirait presque que je l'ai détruite moi même et ça me fend le cœur de la voir ainsi. j'suis plus fort que j'en ai l'air on dirait... je m'approche un peu plus et sans trop quoi faire, dire ni ou me mettre, j'reste figé là devant elle, me contentant d'me mordre la lèvre inférieur quand je l'entends m'dire « je suis contente que tu soit venu. », les yeux baissés un instant, je les relève sur elle "j'me voyais pas faire autrement." quoi dire non? tout lâcher for real comme ça? non j'peux pas lexa... c'est là qu'elle me lâche sa bombe, d'un coup sans prévenir « Maël… je pense que je suis pas fait pour tout ça. regarde moi, regarde toi, j’ai jamais été aussi dévaster pour quelqu’un que pour toi, et j’arrive pas à me dire que j’ai aucune raison d’être jalouse alors que j’en ai 1 milliards. toute les raisons que j’ai de t’aimer sont des raisons pour lequel n’importe quel fille aurait envie de t’avoir dans ses bras et j’me sent… pas à la hauteur. » , et je baisse les yeux d'un soupir car... c'est pas ce que j'veux entendre... « je t’aime comme une folle, ça me rend malade. » et elle se laisse tomber sur le canapé. les poings plus ou moins serrés, je gratte nerveusement mes doigts les uns contre les autres, me mordillant toujours la lèvre inférieur avant de me décider à m'approcher, m'accroupissant devant elle pour prendre sa main d'un "j'en ai... rien à foutre des autres lexa. de ce qu'elles peuvent penser de moi, de ce qu'elles voudraient de moi... puisque je t'ai toi. j'ai pas besoin d'elles, juste de toi. c'est tout ce que j'veux, ton amour, le tiens et aucun autre." caressant doucement sa main dans les miennes "mais si c'est trop te demander, si tu n'as pas confiance, si ça te fais plus de mal que de bien de m'aimer alors je ne te forcerais pas." si pour toi c'est too much tout ça alors... je te laisserais aller ouais "parce que j'veux ton bonheur bien plus que fort que le reste." et c'est ce qui m'importe le plus en vérité.

( j'ai tant besoin d'y croire encore )
@Mael I. Rowan

presse obsédée je pense à toi, dépossédée je pense à toi. la nuit qui engouffre ton âme, je pense à toi et pourtant j’arrive à rien faire d’autre à par nous détruire. tu restes assise, la tête entre tes mains, elle été si lourde et elle te faisait tellement mal que t’aurais aimer pouvoir la dévisser et la poser à coter toi pour shooter dedans comme un ballon de foot. peut être que ça te remettra les idées en place. il se met près de toi, son odeur et sa présence été un vrai délice, tu es partager entre l’idée de le prendre dans tes bras, fort fort fort jusqu’à ce que son corps est enrobée le tiens dans son intégral, que ses bras répare tout ce qu’y est brisée, toute les peurs, les angoisses, cette paranoïa et cette maladie mal placer. ses doigts caresses ta peau et ses mots ton âme, tu relève les yeux vers lui, affronte enfin ce regard qui t’avais tellement manquer. « j’arrive pas à me dire que c’est possible, je doute tout le temps, tout ce que tu es Maël, tout ce que tu as, j’ai constamment peur qu’on me le vole et ça me rend.. » odieuse ? méchante ? mauvaise ? une vipère qui crache son venin dans un flot de méchanceté. tu inspires, expire lourdement, tu laches sa main pour venir coller ton dos contre le dossier du canapé, replier tes jambes sur toi même. il pensait te voir comme un rock a trôner que tu pouvais te faire baiser par n’importe qui, il pensait voir celle que tu prétend être, lexa la peste. loin de la gamine en pleure qu’il a devant lui. « je suis désolée.. je suis tellement désolée pour tout ça. pour toi, pour nous, tu mérites tellement mieux que cette relation de merde. je suis vraiment nulle comme copine, je suis vraiment… » débile. tu pourrais finir tes phrases, si les sanglots revenait pas en vague, comme pour te submerger d’émotion. comme un méli-mélo de sentiment embrouiller, le manque de sommeil y joue aussi et la fatigue également. tu n’arrives plus à réfléchir, ni a respirer. « je suis heureuse quand je suis avec toi Maël, tu l’es toi? » sincèrement ?

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@Lexa Archibald

Je comprends pas pourquoi on doit vivre ça, pourquoi elle se fait autant de mal, pourquoi elle me fait autant de mal... il n'y a tellement pas de raisons, j'fais tout pour être avec elle, pour la convaincre qu'il n'y a qu'elle, je lui donne tout et pourtant ça ne suffit toujours pas... clairement, j'commence à déséspérer à ce niveau là. Le regard humide elle me dit « j’arrive pas à me dire que c’est possible, je doute tout le temps, tout ce que tu es Maël, tout ce que tu as, j’ai constamment peur qu’on me le vole et ça me rend.. » , horrible... c'est le terme. Tu es méchante, mauvaise comme jamais, tu m'dis des choses affreuses. Je fronce un peu les sourcils, mes doigts glissants toujours sur sa peau pour lâcher "pourquoi c'est à moi que tu t'en prends dans ce cas Lexa..? Pourquoi c'est moi qui doit payer alors que j'fais tout pour toi..?" Tu as peur? Ok j'peux le comprendre. Tu es jalouse? Ok ça aussi j'peux comprendre mais... pourquoi c'est moi qui trinque? Vas plutôt agresser les autres, celles qui te font si peur mais s'il te plait pas moi. Et elle retire sa main des mienne, se colle au fond du canapé ses genous remontés contre elle pour enchainer « je suis désolée.. je suis tellement désolée pour tout ça. pour toi, pour nous, tu mérites tellement mieux que cette relation de merde. je suis vraiment nulle comme copine, je suis vraiment… » , et je baisse les yeux d'un soupir... lassé et fatigué de l'entendre dire ça. De voir que quoi que je dise, quoi que je fasse on en arrive toujours là. "Pourquoi les choses ne peuvent pas être simples..." c'est plus une question posée à moi même qu'autre chose à vrai dire. On dirait que dans le monde de Lexa tout doit être terrible, le bonheur n'y a pas sa place. Un instant passe et je reste à fixer dans le vide devant moi, pensif, triste, déçus... au bout d'idée et de courage limite... c'est là qu'elle demande « je suis heureuse quand je suis avec toi Maël, tu l’es toi? » et je relève doucement mon regard vers elle pour répondre "oui je le suis... la plupart du temps, mais pas dans des moments comme celui là." Pas quand tu me pète des crises à me dire des horreurs à la gueule, pas quand tu es mal comme ça parce que tu m'aimes...

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@Mael I. Rowan

on fait quoi ? on fait rien ? on se bouffe et on attend que le coeur briser se répare. tu avales ta salives, parce que t’as compris que c’était la fin, qu’y avait plus rien à sauver, qu’il aller trouver mieux ailleurs et que t’allais pourrir dans ton coin. t’essaie d’arrêter de chialer, pour garder le peu de dignité que t’as, mais bordel t’y arrives juste pas. les larmes coule le long de ton visage, sans s’arrêter, visage que tu niches dans les hauteurs de tes jambes pour qu’il ne voit pas l’atrocité de ces pommettes gonfler et de ce nez rougie. « je sais pas… j’en ai marre d’être désolée. » de pas être à la hauteur, de laisser parler mes sentiments embrouiller dans un tourbillons de colère, de jouer à celle qui ne sera jamais perdante alors qu’elle perd tout, tout le temps. toi. j’veux pas te perdre toi, parce que je te l’ai déjà dit et je continue à le dire : je serais plus rien si tu me quitte. et je suis déjà plus rien, regarde moi, incapable de travail, incapable de me ressaisir. « je t’aime Maël. » c’est plus suffisant, c’est pas assez comme raison. c’est plus un motif qui peut tout réparer. « et je sais peut être pas géré tout ça, mais je sais que ce que je ressent pour toi est plus fort que tout. que si tu veux que je fasse des efforts j’en ferai, parce que tu m’as demander de me battre pour nous. mais si tu penses que tu m’aimes plus, que tu pourras trouver mieux alors me demande pas de me battre pour une cause déjà perdu. » tu relèves la tête, chasse la flaque que tu as sous les yeux du révère de ta manche, encore tremper.

( j'ai tant besoin d'y croire encore )
@Lexa Archibald

elle me fait tellement de peine... je supporte pas la voir dans cet état, ça me brise le coeur... « je sais pas… j’en ai marre d’être désolée. » , comme j'en ai marre qu'elle est besoin de l'être, comme j'en ai marre qu'on en soit arrivé si loin pour se faire si mal, pour rien. J'étais prêt à tout lui donner mais avec la crise qu'elle m'a faite, l'état dans lequel elle se met pour ça... je commence à douter. Et pourtant « je t’aime Maël. » et je relève les yeux sur elle avec de l'espoir quand elle enchaine « et je sais peut être pas géré tout ça, mais je sais que ce que je ressent pour toi est plus fort que tout. que si tu veux que je fasse des efforts j’en ferai, parce que tu m’as demander de me battre pour nous. mais si tu penses que tu m’aimes plus, que tu pourras trouver mieux alors me demande pas de me battre pour une cause déjà perdu. » essuyant ses larmes autant que possible et moi? Je me lèche la lèvre inférieur, me la mordillant avant d'me redresser pour venir vers elle, pousser ses genoux et attraper son visage afin de l'embrasser. Parce que si les mots ne suffisent plus alors, j'peux encore faire ça pour lui prouver, pour appuyer le fait que... "Je t'aime Lexa... et je ne veux plus t'entendre dire le contraire." Est-ce que c'est clair dit comme ça? Parce sinon j'sais vraiment plus quoi faire j'te jure. Un autre regard, mes doigts qui glissent sur sa joue pour sécher ses larmes et je reviens l'embrasser encore, tendrement... plusieurs secondes pour ensuite venir la prendre dans mes bras "j'veux pas te laisser..." j'en ai pas envie du tout même.

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@Mael I. Rowan

est-ce qu’il le pensais vraiment ? est-ce qu’il ne venait pas de t’embrasser par pur pitié et sympathie envers ce que vous étiez ? est-ce qu’il pense pas que le seul moyen de faire taire ses sanglots horrible c’est d’embrasser pour te faire taire ? aucune idée, en réalité, ta tête est un flan et tout coule sans réellement donner quelques choses de concret. mais tu acceptes son baiser, tu y prend gout, son odeur, sa personne, son toucher, toute ces choses qui font de Maël l’être le plus extraordinaire de ce monde. il pouvait ne rien faire du tout, il pouvait juste expirée que tu trouverais ça formidable. et de pouvoir de nouveau renaître entre ses bras, te donner une lueur d’espoir. « je t’aime tellement. je t’aime tellement, je.. » des mots se fonde alors que tes lèvres touche de nouveau les siennes, tu reprend vie, comme une fleure qu’on aurai oublier d’arroser et qu’on met à la fenêtre pour qu’elle prenne son bain de soleil. des frissons et un coeur tambourinant dans ta poitrine, tu l’aimes, c’est sans aucun doute. mais le doute reste là, pourtant, sur ce que vous êtes, et ce que vous fait à présent. « on fait quoi alors? » des mots plus doux, presque une caresse, des larmes qui ont cesser et des iris qui se perdent dans l’intensité de ses yeux. « j’veux que tu doit heureux, Maël. c’est tout ce qui compte vraiment. je veux que tu soit content que tu te réveil, content quand tu composes, content quand tu vas fumer ta clope, content quand tu te laisses tomber sur ton matelas plein de fringue de la vielle. j’veux que ta vie ne soit qu’une suite de moment heureux, que tu n’es jamais à te dire qu’à un moment de la journée tu vas devoir être triste, parce que ta folle dingue de copine va encore pété son capable. » un soupire, et un sourire, tu le connais maintenant, ses habitudes sont devenu les tiens, sa vie et devenue la tienne.

( j'ai tant besoin d'y croire encore )
@Lexa Archibald

Elle ne me repousse pas, elle prend mon baiser pour ce qu'il est et ça me rassure... elle me laisse venir près d'elle pour la serrer contre moi un long moment avant qu'elle ne me réponde « je t’aime tellement. je t’aime tellement, je.. » et je ferme un peu plus fort les yeux tandis que ses lèvres viennent retrouver les miennes. Maintenant que c'est fixé, que les choses ont été dites, qu'on s'est mis au clair... fin je crois? Reste à savoir ce qu'on va faire de ça, de nous et elle me pose d'ailleurs la question  « on fait quoi alors? » bien plus douce cette fois... je la fixe un instant, pensif... elle m'aime, je l'aime mais... est-ce que ça pourrait nous faire redémarrer sur une base saine? Est-ce que ça veut dire qu'elle ne recommencera pas? Ou au contraire... est-ce que ça ne va rien changer...? Moi je l'ai dis, j'pourrais pas subir ça une fois de plus, c'est too much pour moi. J'inspire alors un grand coup pour répondre "J'en sais rien.. est-ce que... est-ce que tu réagirais comme ça de nouveau..? Si je vois Saphir par exemple ou une autre de mes amies proches. Est-ce qu'on va revivre ça?" C'est LA question qui m'fait peur en effet. Car perso' j'ai pas le courage de batailler une fois de plus pour lui prouver mes sentiments. Et c'est là qu'elle me dit « j’veux que tu doit heureux, Maël. c’est tout ce qui compte vraiment. .... j’veux que ta vie ne soit qu’une suite de moment heureux, que tu n’es jamais à te dire qu’à un moment de la journée tu vas devoir être triste, parce que ta folle dingue de copine va encore pété son capable. », ta folle et dingue de copine... l'entendre, surtout de sa bouche j'aime pas. Malgré son sourire. Elle ajoute elle même qu'elle "va péter son câble"... et j'expire longuement, baissant les yeux d'un "donc ça va arriver encore..." peut-être tout simplement parce qu'elle est comme ça, que c'est son caractère et que je ne peux rien y faire. J'peux pas la forcer à changer non plus, il est bien là le problème. Donc je m'écarte un peu, inspirant un grand coup "J'te forcerais pas à changer ça si c'est ce que tu es Lexa. J'aime tellement de choses chez toi mais ça? Non ça j'peux pas." Quand elle fait sa bitch, quand elle me parle comme une merde, quand elle me dit les pires choses du monde par pure méchanceté, par mure jalousie. Non, i can't sorry.

( j'ai tant besoin d'y croire encore )
@Mael I. Rowan

retrouver ses lèvres est un délice sans pareille, rien ne pouvait être plus beau que maintenant. leurs yeux ce sont rencontrer et pour une fois, lexa avait de nouveau envie d’y croire. mais c’était mal la connaître, mal la juger. elle été totalement paumer, encore plus maintenant. quand il pris de la distance, elle se sentait déjà mal. en premier lieu parce qu’elle savait très bien qu’elle ne pourrais pas changer, en second lieu parce qu’elle avait des raisons de douter de la soit disant amitié proche qui exister entre Maël et sa meilleure amie. « je ne pense pas que Saphir soit une de tes amies proches Maël, je pense que t’as un crush sur elle. » elle avait toujours sa voix calme et douce. en réalité, cette relation poser problème, car ils n’ont jamais été autre chose que des amants. Lexa a beau se dire qu’il aurait pu être un simple collège, Lexa a toujours eu un crush cacher sur Maël, avant même de l’avoir rencontrer et sortir avec lui été ce qu’elle souhaiter réellement. ça aurait été différent si ils avaient été ami avant, elle aurait été peut être moins jalouse, mais aujourd’hui, la jalousie lui ronger les veines et les os, comme une maladie qui se propager beaucoup trop vite. « je pense que tu n’en a juste pas conscience pour le moment parce que tu es un garçon merveilleux et que me tromper, ou juste envisager quelque chose avec quelqu’un d’autre alors que t les avec moi te semble absurde. » mais il a eu une brèche, un break, une toute petite feinte ou tu lui a laisser le temps de douter et se rendre compte qu’elle n’était pas qu’une simple amie. c’est de ta faute, tu le sais, mais tu n’y peut rien. « je t’aime tellement. » elle repris son souffle et se laisser tomber dans le canapé, une main sur son visage. « mais ça va pas s’arranger. u vas partir en vacance et je serai ici à penser, encore et encore à ce que tu peux faire, avec qui tu es, ce que tu fais de tes journées. je vais me faire des films, que ce soit avec elle ou avec d’autre et … je vais ruinée le peu d’amour qu’il reste entre nous. » alors peut être qu’on devrais se quitter ? peut être qu’on devrais se mettre d’accord pour ne pas se faire du mal et se quitter en bon terme ? peut être qu’il serait mieux de se laisser une chance d’être heureux ?

( j'ai tant besoin d'y croire encore )
@Lexa Archibald

j'ai envie d'y croire, d'me dire que c'était qu'un dérapage, un malentendu, que c'est passé et que ça ne recommencera jamais mais... j'rêve sûrement un peu trop éveillé pour le coup. j'espère malgré tout sauf qu'elle me rétorque « je ne pense pas que Saphir soit une de tes amies proches Maël, je pense que t’as un crush sur elle. », et ça me pince le coeur de fou... elle en a pas idée là mais tout mon corps se fige. et je repense à la soirée, au jeu, à cette nuit bizarre où j'étais complètement défoncé. il n'y a rien eu mais ça aurait pu..? j'en ai l'impression quand j'essaie pas de me voiler la face. j'me focalise constamment sur lexa dans l'espoir d'me rassurer, d'me dire que je rêve, que c'est pas ça. mais peut-être que si? qu'elle a raison? qu'elle le voit et juste pas moi? non, j'veux pas... et je baisse les yeux sans rien trouver à redire. trop pensif à tout ça. je t'aime lexa c'est tout ce que je sais, c'est tout ce que j'veux sauver. le reste j'veux pas savoir... voilà qu'elle ajoute « je pense que tu n’en a juste pas conscience pour le moment parce que tu es un garçon merveilleux et que me tromper, ou juste envisager quelque chose avec quelqu’un d’autre alors que t'es avec moi te semble absurde. » et j'me mordille la lèvre inférieur toujours pensif, le regard toujours perdu entre son visage et le vide quelque part entre elle et moi "j'peux pas te tromper et j'le pourrais jamais... j'suis pas comme ça et j'veux pas l'être." clairement pas, j'suis pas de ce genre là et j'veux pas le devenir. elle est tellement plus douce dans ses propos, dans sa façon de parler, c'est comme ça que je l'aime même si ce qu'elle dit... ça fait mal? ça perturbe surtout, ça fou la merde et le doute et j'voulais pas de ça en venant, j'voulais juste savoir si elle et moi on avait encore une chance, ou pas. et elle me redit . « je t’aime tellement. » avant de se laisser tomber sur le canapé tandis que mes yeux la suivent toujours en silence « mais ça va pas s’arranger. tu vas partir en vacance et je serai ici à penser, encore et encore à ce que tu peux faire, avec qui tu es, ce que tu fais de tes journées. je vais me faire des films, que ce soit avec elle ou avec d’autre et … je vais ruinée le peu d’amour qu’il reste entre nous. », et je baisse à nouveau la tête d'une grande inspiration pour expirer longuement... me mordillant à nouveau la lèvre inférieur, je prends un instant pour fermer les yeux, penser à tout ça... "alors on arrête là hein..? c'est mieux ainsi tu penses?" pour toi ou pour moi? les deux sans doute... "cette idée me fait de la peine malgré tout lexa. j'ai l'impression d'avoir encore échoué quelque part..." comme ci c'était toujours moi le problème au fond et que je ne m'en rendais pas compte. j'en avais le regard humide, peiné et saoulé que tout foire constamment pour moi. "crois moi quand je te dis que j'suis désolé... si je t'ai blessé ce n'était pas mon attention et jamais j'ai voulu ça." je l'aime et j'étais bien avec elle, assez pour voir enfin une relation durée mais là? mon cœur il en a assez.