Aujourd'hui c'était le grand jour ! Ton grand-frère Andrea allait enfin se marier à sa Dulcinée Nevada, et honnêtement, tu étais heureux pour lui. Surtout avec ses soucis de santé et tout ! Au moins il allait pouvoir profiter la femme de sa vie, pour le peu de temps qu'il lui restait à vivre. C'était à toi de porter le lourd fardeau d'être fiancé politiquement à une princesse. D'ailleurs, après ta petite inspection des forces de sécurité, tu allais retrouver ta fiancée, Nova qui était revenue de son voyage... Elle avait dû retrouver l'autre mauviette mais ça tu t'en foutais. Tant qu'elle remplissait sa part du contrat, tu la laissais faire ce qu'elle désirait. De toute façon, tu étais connu pour tout garder pour toi, ne rien ressentir tant que ça n'explose pas comme la soirée du Bal. Et tu n'allais sûrement pas faire d'esclandre lors du jour de Bonheur de ton frère... Qu'importe, tu lui avais demandé de t'attendre au Palais le temps que tu finissais ton travail de Prince. Féliciter, encourager ces hommes qui protégeraient toutes les têtes couronnées, tout le gratin de l'Europe, c'était ce que tu devais faire en lieu et place de ton Paternel. Finalement, tu retournas au Palais afin d'enfiler ta tenue de cérémonie puis tu vins auprès de ta fiancée. « Tu es ravissante, Nova ! » dis-tu en lui prenant la main afin d'y déposer un doux baiser comme il sied à un homme de ton rang, puis tu lui tendis le bras afin que vous puissiez vous rendre jusqu'à ta voiture officielle. C'était tout près mais il fallait respecter à la lettre le protocole aujourd'hui ! Ton véhicule arriva devant la grande Eglise. Tu invitas ta fiancée à sortir du véhicule avant de vous arrêter sur les marches afin que vous puissiez vous tourner vers la foule et les journalistes, les photographes. « Comment te sens-tu ? Prête à vivre cet événement mondial ? » demandas-tu doucement à la jeune femme, lui adressant un aimable sourire. Puis une fois, la séance photo terminée, c'était le moment pour vous de soigner votre entrée.

Deuxième mariage et pourtant l'angoisse t'envahissait toujours autant. Lier ta vie avec celle d'Andrea ne te faisait pas peur, au contraire tu attendais ce jour depuis des mois mais être épiée par des milliers d'yeux ne te convenait guère. Le moindre faux pas et tu pouvais être sûre que cela serait relayé dans le monde entier. Cette surexposition médiatique durant ce qui se voulait être un des plus beaux jours de ta vie te pesait sur l'estomac. Heureusement pour toi qu'Alice était présente pour détendre l'atmosphère." Je ne suis pas certaine que le faire pleurer soit une bonne idée. " C'est pas très royal que de pleurer en public même si c'est de circonstance. Dernières recommandations à ton fils avant de grimper dans cette voiture te menant à ton destin, à ton futur mari, celui qui te comble comme personne. Jouant nerveusement avec tes mains, Alice te ramène sur terre alors qu'il ne vous reste plus que quelques mètres avant d'arriver à l'Eglise." Prête à épouser ton frère, oui. Prête à ce que l'attention soit portée sur moi, pas du tout. " Jamais tu n'as cherché à être sous le feu des projecteurs sauf qu'aujourd'hui tu n'as pas vraiment le choix. Vous voilà devant cette fameuse Eglise. Le coeur tambour battant, tu n'oses plus dire mot alors qu'on t'ouvre la portière. Sortie qui se fait avec autant de grâce que possible, dévoilant enfin ta robe qui à coup sur sera décrypté par bon nombre de personnes en ce monde. Bêtement tu cherches Andrea du regard, sachant pertinemment qu'il t'attendait à l'intérieur. Le stress te fait tourner en bourrique, mais tu ne peux pas te permettre de le montrer. Espérons que ton large sourire camoufle cette nervosité incessante. Grimpant les quelques marches, avec Alice et ton fils derrière toi, tu attends qu'Abelard se montre. Ton premier soutien, ta béquille pour te mener jusqu'à l'autel.

Te voilà stresser pour un rien, putain, c’est l’horreur, tu soupires doucement, tu finis par dire bonjour à tout le monde, cela sera beaucoup plus simple pour Clio et toi finalement. Tu t’approches de plusieurs personnes pour discuter avec eux, notamment Louison que tu souris. Cela faisait un moment que tu ne l’avais pas vu, tu t’en voulais fortement de cet éloignement, surtout depuis qu’Ezio était partit de Havard avec Lucky pour vivre leur vie. Mais ce n’était qu’un détail. Tu souris grandement à ses mots, cela te touchait Sache que je serais là aussi à ton mariage Louison et j’espère que tu trouveras quelqu’un de bien avec qui te marier, j’espère surtout que c’est monsieur dis-tu en désignant Pluton à ses côtés et tu lui serres la main pour ensuite regarder Clio et Louison discuter. Tu les laisses une seconde pour venir dire bonjour à d’autres personnes et te voilà devant. Tu regardes l’allée, tu regardes cette putain de fucking allée. Et tu attends, tu as peur, vraiment peur qu’elle ne vienne pas et finalement tu soupires doucement. Tu attends, d’autres personnes arrivent encore et tu vois Arthur arrivé enfin. Tu souris un peu pour faire un signe à ton frère, sympa le garçon d’honneur en retard..

Pendant ce temps, ton père sort de la voiture, en parfait costume officiel avant de se rendre aux côtés de Nevada Vous êtes magnifiques aujourd’hui Et le Roi décide de lui faire la bise. Etrange mais il devait se montrer parfait aujourd’hui, il avait intérêt en fait, il avait promis à son fils de faire des efforts sur son choix et sur sa vie et il ne pouvait que respecter cela. Le Roi décida mettre de lâcher la main de la Reine qui avançait directement dans l’église, pour tendre son coude à la future femme de son fils. Je sais que la tradition souhaite que votre père vous accompagne, je me suis permis de lui demander de le faire, si cela vous convient ? Et il sourit tellement rarement qu’il était très sérieux aujourd’hui, il en profite même pour faire un signe à sa fille juste derrière


@C. Nevada Grimaldi-D.M. @Arthur Grimaldi-D.M. @Y. Clio Force @Pluton Westerberg @Louison Chamberlain

Ca me revenait d'où j'avais déjà vu la fille qui se trouvait à côté du futur fiancé, celle qui était actuellement en train de parler à ma petite amie. C'était la cavalière de Liam, celle qui de toute évidence, avait mal pris le fait que j'avoue qu'il soit un violeur. Aucun regret pourtant, elle semblait bien le vivre. Au pire, je lui aurai évité une relation avec un connard sans vergogne. Quoiqu'il en soit, Louison discutait avec Andrea qui venait parler mariage auprès d'elle, espérant même qu'elle se marie avec moi. Wait, what? C'était pas un peu trop tôt pour le coup ? « Peut-être, qui sait. Seul l'avenir nous le dira » Je tournais la tête vers Louison, sourire sur les lèvres avant de venir lui voler un baiser. Puis elle se mit à parler avec Clio, comme quoi elles venaient toutes les deux de France donc dans le fond, je me concentrais de nouveau sur les décorations jusqu'à ce que ma petite amie soit de nouveau libre de discuter avec moi. « J'ai toujours rêvé de voir un mariage princier de près... J'ai pourtant toujours cru que j'irai à celui d'un des Windsor, va savoir pourquoi » que je disais en rigolant avant de l'entendre me parler de sa fierté. « Oh oui, quelle tristesse que de venir ici, seule... Tu te serais faite draguée par un prince tout beau tout mignon. A la place, tu te retrouves avec un suédois maladroit et poissard à souhait. T'es sûre que t'as gagné au change ? » Je rigolais alors avant de poser mes lèvres sur sa tempe, m'installant sur le siège.

Tu arrives a la fête remonté comme jamais, avec cette envie folle de faire la fête, de bouger, de voir du monde. T'es souriant, t'aimes voir du monde, et t'es probablement pas complètement redescendu de la veille. T'es juste trop heureux d'être là, à voir le monde, à assister à un mariage royal. Ton poto, ton frère va se marier putain si ca c'est pas un exploit ! Sa copine est canon, du peu que tu l'as rencontré et tu te dis que peut être un jour, toi aussi tu auras quelqu'un dans ta vie comme là. Peut être que tu auras ce genre de relation, peut être que tu réussiras à te construire, tout ça. Que tu seras heureux et amoureux mais pour l'instant t'es juste toi, t'es a la ramasse complet, tu fumes trop, tu bois trop, tu sors trop enfaite, mais c'est toi, c'est ce qui fait ton charme pas vrai ? En plus de ça, t'as choisi une cavalière à problème. Belle et piquante, Agathe de Belgique, Princesse de sang est ta cavalière. Elle commence fort, elle attaque, toi, ça te fait sourire et tu te contente de fumer sans répliquer. Une fois dans l'église, tu regardes un peu partout avant de te tourner vers elle Tu perds pas de temps, toi, pas vrai ? tu fais un sourire à ta cavalière de la soirée en lui donnant un coup dans le bras. C'est une pote de la fille du bal, donc en plus ça t'arrange Aufaite, elle va bien ta pote ? une brune sexy. Okay Néo t'aime trop les femmes, c'est une cata. Tu fais un sourire à Louison que t'as croisé au bal et reporte ton attention sur ta cavalière.@Louison Chamberlain

Andrea est un homme bon, l’homme qui se battra sûrement jusqu’à son dernier souffle pour les beaux yeux de Nevada. Dès l’instant où j’ai rencontré ce couple, j’ai pu constater à quel point c’était pur entre eux, à quel point ils tenaient l’un à l’autre et que ça finirait donc ici, dans cette église. À l’époque, j’avais aussi espéré que ça se terminerait comme ça pour Ezio et moi. Je croyais qu’il était l’homme de ma vie et forcément, je me suis plantée en beauté. Ainsi, quand le prince t'affiche comme étant potentiellement le bon, je me crispe et te lorgne à peine pour apercevoir ta réaction. Je sais que tu es bien plus prudent que mon ex, vraiment plus prudent. Toi et moi, nous progressons lentement, sans se presser, ce qui est sûrement plus raisonnable. J’ignore encore où nous allons tous les deux, mais c’est carrément différent de tout ce que j’ai pu essayer par le passé. Parfois je crois qu’on pourrait tracer une longue route ensemble et parfois, tout s’écroule et s’obscurcit. Je passerais les raisons de cette perte d’optimisme, tout le monde les connaît. « Oui, l’avenir nous le dira… » répétai-je en clignant des yeux maintes et maintes fois, totalement déboussolée. Tu me le paieras Andrea. Heureusement, Clio vient me taper la discut’, laissant ainsi ce sujet en suspend. Puis, lorsque la petite brune poursuit son chemin, je me focalise de nouveau sur toi. « Eh bien non, grâce à ta petite-amie, tu assistes à ceux des Grimaldi, le coin est bien plus beau t'façon » Le sud de la France, ce sont toutes mes vacances, mon adolescence et mes espoirs désormais réduits à néant. « T’as raison, j’aurais dû cohabiter avec ma fierté et venir seule, merde alors » te répondis-je un sourire en coin tout en t’imitant pour m’asseoir à mon tour. Regardant droit devant moi, j’attrape une de tes mains entre tes cuisses afin d’attirer ton attention « Je ne changerais pour rien au monde ce que nous avons, pas même pour une vie de château pareille. Je suis certaine du choix que j’ai fait aux Bahamas, certaine » t’assurai-je en me penchant vers toi pour embrasser tendrement tes lèvres « Désolée pour la réflexion d’Andrea, j’espère que ça ne t’a pas mis mal à l’aise » avouai-je en regardant autour de moi. Dans mon balayage très rapide, je croise le regard d’un jeune homme (Néo) que j’ai rencontré au bal, je lui fais alors un coucou ridicule tout en lui rendant son sourire. Allez Nevada, montre toi maintenant, on attend que toi.

Je savais que Louison avait eu une vie avant moi, c’était assez évident. Mais c’était toujours aussi étrange de voir quel type de relation elle pouvait avoir. Ici, c’était un des princes de Monaco. Autant dire, c’était assez fou comme relation. Mais ça me permettait d’être au premier plan d’un des événements assez important de l’histoire européenne alors je n’étais pas contre concilier ce passé avec notre présent. Bon, j’aurais quand même pu éviter les questions embarrassantes, mais bon, je tentais de me dépatouiller comme je pouvais. Avec une évasion qui m’était propre. Je resserrais cependant ma main dans celle de Louison, pour pas qu’elle sente quoique ce soit de ces mots. Tous ceux qui nous avaient été présentés s’en allaient, nous laissant de nouveau en face à face, ce qui n’était pas plus mal. « J’en doute pas une seule seconde » Je ne connaissais pas vraiment le coin puisque j’avais surtout fait Paris quand j’étais jeune. Mais qu’importe, je ne doutais pas de la véracité de ses mots. « Je le savais ! » que je disais en rigolant, voyant bien ce sourire en coin sur ses lèvres. Mais de toute évidence, j’étais bien mieux avec sa main dans la mienne, et ses mots qui me rassuraient tout autant. Ses lèvres contre les miennes, mon cœur se mit à battre un peu plus vite, comme à chaque fois. « Pas de regrets vis à vis de ton autre prétendant ? » Après tout, elle aurait pu avoir moins de bagages à gérer de son côté à lui que du mien.. Elle y était plus gagnante, j’en suis toujours aussi certain. « Non t’en fais pas.. j’espère que toi tu ne l’es pas surtout » Après tout, je ne savais pas trop quelles étaient ses attentes sur le mariage, surtout avec le fiasco de ses fiançailles en début d’année.

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Quitter Monaco quelques jours pour y revenir, c’était ton choix. Aujourd’hui, c’était le grand jour pour le frère d’Arthur. Il allait se marier avec celle qu’il aimait devant des millions de personne et tout le gratin de l’Europe. Étant fiancée à Arthur, tu étais invité à ce grand événement tout comme le reste de ta famille. T’attendais Arthur au Palais comme il te l’avait demandé. Arrivé la veille de Montréal, les choses s’étaient un peu arrangé entre toi et Nathan même si sa demande en fiançailles foutait un peu plus la merde. Chose où tu trouvais déjà depuis un moment… Ce n’était pas le jour et encore moins le moment de parler de tout ça. Juste de profiter de ce mariage qui s’annonçait merveilleux et rien d’autre. C’était le premier mariage royal auquel tu assistais et t’avais un peu peur de ne pas être assez bien ou de faire un pas de travers. Une robe légèrement colorée et longue recouvrant ton corps, les cheveux lâchés, Arthur ne mis pas bien longtemps pour te rejoindre. Sa tenue lui allait si bien, il était séduisant et c’était dans ce genre de moment que tu te rendais compte de l’importance de votre « union » ou votre « rôle » dans toute cette histoire. « Tu es très séduisant également. » lâchais-tu avant d’attraper son bras pour gagner la voiture qui vous emmenait jusqu’à l’église toute proche. Le protocole, la façon d’agir, Arthur connaissait ça sur le bout des doigts et tu ne faisais que suivre. Arrivé à l’entrée, tu sortais de la voiture au bras de ton fiancé, grimpant doucement les marches en t’arrêtant quelques secondes pour les photographes présent à cet événement mondial. « Un peu stressé, mais ça va être un beau mariage. » glissais-tu à son oreille pour que lui seul entende. La séance photo terminée, tu accompagnais Arthur à l’intérieur de l’église où tu découvrais la décoration. C’était tellement magnifique. « C’est juste magnifique. » dis-tu dans un souffle en regardant autour de toi tout en avançant à la recherche de Simen que tu ne voyais toujours pas, mais ta petite sœur Noalyne était déjà là ce qui te faisais sourire.

@Arthur Grimaldi-D.M. @Noalyne R. De Glücksbourg @Simen De Glücksbourg

Tu ne pouvais pas afficher un regard triste pour le mariage de ton frère, qui allait vivre ce bonheur qu'il méritait tant. Pour ta part, tu faisais en sorte que tout se passe bien en allant voir toutes les équipes de protection de cet événement si important. C'était un peu comme si c'était de nouveau le Grand Prix de Monaco... Sauf que cette fois, c'était surtout le haut gratin des têtes couronnées européennes qui se trouvaient parmi les invités. Fin bref, tu étais vite revenu auprès de ta « fiancée » à laquelle tu disais qu'elle était ravissante. Elle te retournait le compliment auquel tu affichais un sourire de remerciement, avant que vous ne montiez dans votre véhicule officiel. C'était l'heure de respecter tout ce putain de protocole. Cet événement était retransmis dans le monde entier donc tout serait minutieusement scruté. Les erreurs etc seront commentées en long et en large. Tu t'en fichais, à tes yeux tout se passerait bien ! Du coup, une fois hors du véhicule devant l'église, vous montiez les marches avant de vous arrêter pour les photos. « Sois naturelle, tout simplement. Je te guiderais pour le reste » lui répondis-tu sur le même ton de voix. Il était temps que la bien chiante séance photo se termine pour que vous puissiez remonter l'allée dans l'église. Vous alliez à votre place tandis que tu rejoignais rapidement ton frère. « Désolé du retard... Je devais vérifier que tout le système de sécurité était bien en place. dis-tu avant de serrer ton frère dans les bras. « Je suis fier de toi, mon frère. Sois heureux avec ta future femme ». Par la suite, tu retournas à ta place à temps... Puisque la cérémonie commençait finalement.

Inspire. Expire. Inspire. Expire. Une tactique qu'elle connaît bien pour l'avoir pratiquer lors de son accouchement mais aujourd'hui cela ne fonctionnait nullement. L'unique chose qui pourrait lui retirer tout le poids qui repose sur ses épaules était d'apercevoir le regard d'Andrea. Ses yeux perçants capables de la rassurer en ce jour qu'ils attendaient depuis bien des mois, celui qui scellerait leur histoire dans le temps. Le pied à peine posée dans l'Eglise qu'elle sent les frissons parcoururent ses bras. La française a bien du mal à comprendre la ferveur autour d'elle, ses oreilles bourdonnent et la présence de son futur beau père n'arrange pas la situation. Pourtant les paroles de ce dernier se veulent rassurantes. " Merci à vous, votre Altesse. " Surprenante bise échangée. D'ailleurs Neva adresse un regard dubitatif à Alice, son plus grand soutien à l'instant t. Remonter l'allée accompagnée du Roi, elle ne peut bien évidemment pas refuser, question d'image. Mais Nevada espère surtout que son intention se veut sincère, qu'il fait cela pour le bien de son fils, pour une rare fois. Geste attentif à l'attention de son fils avant d'offrir son bras au Roi. " Ce serait même un honneur. " Tête haute. Elle est prête à affronter à son avenir. Elle le veut plus que tout au monde alors elle enterre son stress au plus profond de son être. " Merci pour votre confiance et de votre approbation. Je ne vous décevrai pas. " C'est tellement idiot de le remercier mais sans son autorisation, cette cérémonie n'aurait pas vu le jour. Au silence qui résonne désormais dans l'Eglise, son coeur s'emballe et son sourire ne se fait que plus large à l'idée d'enfin le rejoindre.