Tout a commencé lorsque je suis né dans la nuit du 28 août 1971 à Tirana en Albanie. J’ai vécu dans une famille aisé financièrement, mon père étant lui aussi un grand ancien footballeur ; qui aura fait la fierté de son pays pendant presque deux décennies. J’ai grandis en le voyant jouer, les étoiles dans les yeux ... J’ai fini par aimer moi aussi ce sport, et j’avais l’ambition d’avoir la même carrière que mon père ; voir même mieux. J’ai passé une enfance formidable, ne manquant strictement rien ; mes 8 ans, après que ton père se soit engager avec le club légendaire Manchester United, nous avons donc fini par quitter mon pays natal pour nous rendre en Angleterre. Ma mère était un peu sceptique de ce départ soudain, de peur à ce qu’on ne soit pas heureux là-bas. Mais c’était une occasion que mon père ne pouvait saisir qu’une fois dans sa vie, nous avons donc fini par nous installer à Manchester.

Pendant que mon père fût la joie des supporters mancuniens, je m’habituai rapidement à la culture anglaise de mon côté. Une culture dont je fini même par tomber amoureux à tel point que je considère encore aujourd’hui l’Angleterre comme mon deuxième pays.

Le temps défile et mon père enchaîne les bonnes performances avant de se faire une grande place au sein du vestiaire de Manchester ; tellement que moi aussi, je fini même par devenir populaire dans mon école comme étant le fils de celui ayant le potentiel pour devenir une légende du club.

En grandissant, mon rêve d’avoir la carrière de mon père est sur le point de se réaliser. Après m’être longtemps battu pour signer dans un club dans le but de devenir un jour joueur professionnel, ces longues heures d’entraînement dans le but de taper dans l’œil des recruteurs ; m’avais enfin réussi à rejoindre le centre de formation du club de mon père à l’âge de mes 15 ans. Un âge assez tard, j’ignores si c’est grâce à la réputation de papa mais je sais que un jour, après tout les sacrifices que j’ai fais ; ça allait payer, tôt ou tard. Je serai d’ailleurs toujours reconnaissant de ce quelques années passé chez les jeunes qui m’auront beaucoup aidé, tactiquement comme mentalement, renforçant mon mental d’acier que j’ai depuis mon enfance.

Après avoir été pendant 3 ans le leader du groupe, je m’apprêtai à enchaîner pendant 2 ans des prêt chez des clubs de seconde zone. À vrai dire j’étais prêt à relever ce défi dans le but de pouvoir montrer à mon club et aux supporters que j’avais le talent pour jouer chez eux. je passe tout d’abord ma première année dans un club de deuxième division anglaise ; où je jouais mes premiers matchs en professionnel. J’ai fais une bonne saison en marquant 7 buts en 20 matchs, pas mal pour un gosse de 19 ans. Je m’engage une deuxième fois dans un club de première division, jouant le milieu de tableau ; les débuts furent assez difficile, mais j’ai tout de même fini par garder la tête haute avant de me révéler au grand public. Je marquai 13 buts en 29 matchs, étant élu comme le meilleur espoir de l’année par la ligue.

Je reviens officiellement à Manchester à mes 20 ans, un âge assez tardif mais je finirai rapidement par impressionner et mettre d’accord tout le monde concernant mon talent. Les années passent et je suis désormais non pas qu’un simple grand joueur du ballon rond, mais aussi une superstar. En plus d’être la star de Manchester United et de l’équipe d’Angleterre, mon talent ainsi que mon charisme hors du commun auront finis par attirer l’attention de la presse people devenant mannequin à mes heures perdus ; révolutionnant à tout jamais le monde du football et la mode.

À mes 35 ans, après avoir conquis tout ce qui était possible avec Manchester ; et surtout en voyant les jeunes arriver en masse ces dernières années chez les pros, j’avais compris que je commençais à vieillir et qu’il était temps pour moi de partir et de découvrir de nouvelles choses, de nouveaux défis. Quitter mon club après plus de 20 ans d’histoire d’amour fou, c’était dur pour moi de m’imaginer ne plus jamais porter ce maillot rouge et ne plus entendre cette ambiance ardente ou encore entendre les fans scander mon nom chaque matchs à Old Trafford.

Plusieurs options s’offre à moi ; celui de signer dans un club aux États-Unis ou encore prendre ma retraite et rejoindre le staff de mon club de cœur pour espérer cette fois-ci, pourquoi pas, envisager une carrière en tant qu’entraîneur. Mais je fini par m’engager avec le Paris Saint-Germain dans le but de les envoyer jouer une compétition européenne avant de prendre ma retraite, jouant le maintien lors de ma première saison en finissant 16ème au classement. Beaucoup, après cette saison plus que raté, me voyais prendre ma retraite ... Mais j’avais encore espoir, j’avais encore cette envie de finir dans le top 4 du classement. Objectif que je fini par atteindre avec le club français en 2011, peu de temps avant le rachat du club. Une fois mon objectif atteint, je n’avais plus rien d’autre à faire si ce n’est ; prendre ma retraite.

Durant ma carrière j’avais tout remporté, sauf le Ballon d’Or, j’avais porté mon club de Manchester United deux fois pour qu’ils remportent la coupe aux grandes oreilles. J’avais mené mon pays adoptif vers la réussite et le saint graal en remportant la coupe du monde. J’étais monté sur le toit de l’Europe avec ma sélection en marquant un doublé en finale de l’euro 2008. Je n’étais pas n’importe qui, j’étais le grand Abraham Kanún.

Mais que faire ? Le monde du football me dégoûtait presque ? Mes années de gloires m’énervait, je n’étais plus aussi bon, j’étais devenu un compétiteur, avec la peur de vieillir. J’avais donc décider de me retirer de ce monde de fous... Jusqu’à ce jour, un appel, une université, la plus grande au monde. J’étais dans l’avion, prêt à renouer avec le monde du football, prêt à créé d’aussi grand joueur que moi dans le passé. Prêt à tirer cette université vers le haut.