JAGA, you and i and nobody else ❀ et même si j’avais résisté de toute mes forces pour ne pas fondre en larmes, j’avais craqué. parce que là, toi comme moi, on était en train de remuer le passé et c’était pas ce qui faisait le plus de bien. peut être qu’on devrait pas avoir cette conversation en fait. peut être que dans tous les cas on pourrait jamais s’entendre ou se mettre d’accord. là, moi, j’avais l’impression que t’étais en train de porter tous les tords sur moi et.. ouais, je pouvais pas encaisser des conneries pareilles. parce que c’était certainement pas de ma faute. notre relation, elle était pas partie en vrille à cause de moi et t’étais absolument pas fair play de me positionner en fautive alors que c’était toi qu’avait joué aux cons. alors ouais, je m’énervais dans mes mots, dans ma tête, jusqu’à fondre en larme parce que clairement, j’arrivais pas à saisir comment est-ce que tu pouvais autant manquer d’objectivité dans tout ça. sauf que mes larmes, elles avaient l’air de t’atteindre et l’instant d’après, je finissais dans tes bras, ma tête contre toi, ta main caressant mes cheveux. « c’était pas de ma faute, t’as pas le droit de dire que c’était à cause de moi » t’aurais jamais enduré ce que moi j’avais enduré pour que ça marche. j’aurais fait le quart de tes actions que tu m’aurais probablement jeté alors t’es tellement injuste de faire comme si j’étais tout aussi fautive que toi. et nos yeux entraient une nouvelle fois en contact quand tu prononçais tes excuses. et si tu savais à quel point ça pouvait faire du bien de t’entendre dire pardon. peut être que c’était rien pour toi, que ça comptait pas mais pour moi, ça signifiait tellement de chose. « c’était pas que de la communication. tu m’as manqué de respect. » dit le. assume m’avoir manqué de respect. assume être allé trop loin dans tes actes s’il te plaît. juste assume. c’est pas si compliqué. « tu m’as laissé partir après trois ans sans rien faire. t’aurais du te battre pour moi. t’aurais du te battre comme je me suis battue pendant un an pour essayer de te retrouver »

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crédit/ tumblr ✰ w/jaga

Peut-être que je n’aurais pas du lui dire de venir en fin de compte. Parce qu’on remuait tout là, vraiment tout. J’étais le fautif dans l’histoire d’après elle et ouais, c’était dur à encaisser. Je n’avais rien fait de mal, même si j’aurais mal vécu le fait qu’elle fasse la même chose avec d’autres hommes. Cependant, je ne l’avais jamais trompée et je suppose que ça restait tout de même important puisqu’elle, elle l’avait fait. Elle avait prévu de rompre mais elle avait couché avec mon petit frère. Pire encore, elle avait manqué d’honnêteté quand elle a rompu le lendemain. Enfin, j’oubliais tout quand elle se mettait à pleurer devant moi, venant récupérer son corps pour le coller à moi et la réconforter un peu, ne serait-ce que par une présence câline. «D’accord… d’accord, c’était tout de ma faute » Même si j’avais une grosse part de responsabilité, je n’étais pas forcément d’accord avec tout ça mais pour lui faire plaisir, je le lui disais. Préférant clairement céder plutôt que la voir se refermer de nouveau et ne pas me laisser le bénéfice du doute. Mais par la suite, j’avais l’impression qu’elle m’en demandait encore plus. Dire que j’étais la cause de tous les maux de notre couple était une chose. Dire que je lui avais manqué de respect en était une autre. Je soupirais, alors que j’avais toujours le visage proche du sien. Je ne savais pas quoi dire ou quoi faire. M’incliner, lui dire que oui, je lui avais manqué de respect, ou alors ne pas céder et risquer de réellement la perdre ? Je restais alors silencieux, alors qu’elle continuait. « Je suis désolé, pour tout ce que j’ai fait » finissais-je par dire. « Les body shots, les danses… j’aurais pas du » Et ouais, en quelque sorte, j’assumais ce que j’avais fait, parce que j’aurais jamais voulu qu’elle fasse la même chose avec des hommes autres que moi. « Je sais… j’ai merdé, j’ai… j’sais pas, peut-être qu’à ce moment là, je voulais ma liberté, apprendre à être célibataire pour me déchaîner et ne plus me brider dans ce que je voulais faire… mais je voulais être avec toi en même temps et c’était incompatible. Alors je suis parti » soufflais-je, conscient que ce n’était pas forcément ce qu’elle voulait entendre. Mais c’était la vérité et pas sûr que ça m’aide dans cette histoire.

JAGA, you and i and nobody else ❀ mais ce n’était pas ce qui s’était produit et voilà où on en était. c’était la merde quoi. et ouais, j’aurais tellement voulu qu’on ne se recroise jamais parce que ça nous aurait évité ce genre de souci. ce genre de prise de tête et de conversation qui dans la finalité ne nous menait à rien. alors même quand il concédait que c’était entièrement de sa faute, je le sentais pas spécialement sincère, pas spécialement d’accord avec les faits alors.. j’sais pas. j’en tenais pas compte. j’crois que dans la finalité, on arrivait juste pas à se comprendre. on avait pas la même vision du couple et visiblement, pour lui, aller en soirée et lécher la première fille venu pour enfiler un verre c’était normal et pas un manque de respect. alors ouais, peut être que dans le fond, voir cette vidéo avait été la meilleure chose au monde puisqu’au moins, ça avait séparé nos routes. et finalement, j’étais même pas sûre que ses excuses change quoi que ce soit. ouais, il n’aurait pas dû le faire mais il l’avait fait. tout comme je n’aurais pas dû coucher avec mael et pourtant, je l’avais fait. est-ce que ça nous faisait avancer ? pas vraiment. et j’crois que quand il reprenait la parole, ça avait le don de m’achever. profiter ? il ne s’était pas battu parce qu’il voulait profiter de sa vie de célibataire ? la blague. je me décalais de lui passant mes doigts sous mes yeux pour sécher mes larmes avant de me lever. partant de là, j’avais rien d’autre à ajouter en fait. il avait préféré profiter que se battre pour nous, moi je voulais avancer et plus regarder derrière moi. un point c’est tout. « profite bien de ta vie jaxon. » qu’est-ce que je pouvais dire de plus en fait ? j’arrivais pas à encaisser. j’arrivais pas à encaisser le fait qu’il avait voulu profiter de sa vie de célibataire plutôt qu’être avec moi alors.. non. qu’il profite de ce qu’il veut mais moi, j’en faisais plus partie.

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L’honnêteté était supposée avoir du bon. Dans notre cas, je ne savais pas. J’avais l’impression d’être à deux doigts de pouvoir la récupérer mais.. je sais pas, j’avais l’impression que non en même temps. La moindre parole, le moindre geste, elle pouvait de nouveau m’échapper. Mais je n’allais pas mentir pour autant. Alors ouais, je m’excusais pour tout, pour ce que j’avais bien pu lui faire subir, que ce soit les gestes un peu borderline envers les autres filles en soirée. Le manque de respect aussi, je m’excusais. Mais je sais pas, elle semblait pas vraiment convaincue et elle finissait par se décaler, par sécher ses larmes et même se relever. Quoi ? Déjà ? Non, non, non. Vega reste là s’il te plait. Seulement, je ne disais rien, la regardant faire. Je ne savais pas trop comment réagir pour le coup et j’étais encore sur le canapé, le cœur battant et l’envie qui me prenait aux tripes de la retenir. Mais à quoi ça rimerait ? Si je la retiens, si je lui dis les mots qu’elle veut entendre, est-ce que ça fait de moi un hypocrite ? Non, si je les pense, en aucun cas je ne suis hypocrite. « Non, non, attends ! » Je me relevais et je me mettais face à elle pour l’empêcher d’avancer plus loin. « Tu comprends pas… J’ai connu que toi Vega, je… J’avais l’impression qu’il fallait que je voie ailleurs pour bien vivre ma vie mais… c’est toi putain. Ça a toujours été toi, j’t’ai encore dans la peau et j’arrive pas à t’enlever de ma tête, ni de mon cœur » finissais-je par lui confier, sans pour autant la toucher. « Je sais pas où t’en es toi, mais moi, je sais que je ressens toujours autant de sentiments pour toi. Toujours autant, si ce n’est plus » Bien sûr, elle m’avait mis à rude épreuve en m’avouant avoir couché avec Mael, deux fois, mais je surmontais ça.

JAGA, you and i and nobody else ❀ encore une fois, il me touchait dans mon égo. dans ma fierté. et ouais, j’avais pas envie de rester plus longtemps parce que là, tes mots, ils me touchaient trop. je détestais entendre ça et je me foutais que ça soit de l’honnêteté. j’crois qu’en étant réaliste, personne n’avait envie d’entendre ça. tout comme t’aurais pas apprécié que je te dise t’avoir quitté pour profiter de ma vie de célibataire. fallait que tu penses à te mettre un peu à ma place par moment en fait. « attends quoi ? » que je demandais alors que tu me bloquais le passage m’empêchant de partir. « t’aurais peut être dû y penser avant. » ouais, t’avais connu que moi de base. et maintenant ? maintenant t’en avais sauté combien des nanas ? t’avais été sali à quel point ? alors ouais, peut être que j’étais toujours dans ton coeur mais qu’est-ce que ça y changeait au fond ? « j’suis plus une pauvre lycéenne qui n’a d’yeux que pour toi. j’en suis à un point ou je suis une femme qui mérite de la considération, du respect et quelqu’un capable de ne pas tripoter toutes les filles passant sous ses yeux. » tu sens la pique je t’envoie là ? parce que ouais, voilà comment je te considère. comme un type qui réfléchi plus avec sa bite qu’avec son cerveau. « y a quatre ans, t’as fais le choix de profiter de ta vie plutôt que de m’avoir moi. aujourd’hui, je fais le choix de partager ma vie avec quelqu’un qui saura se rendre compte que je vaux mieux que tout ça. » parce qu’on pouvait dire ce que je voulais mais des femmes avec autant de valeur et de pudeur que moi, ça courait pas les rues. alors j’crois que ouais, t’étais bien plus perdant que moi dans la finalité.

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Non, je n’avais pas envie qu’elle s’en aille maintenant alors qu’on se reconnectait tous les deux. Mine de rien, j’avais l’impression de me retrouver cinq ans en arrière, quand on discutait jusqu’à pas d’heure. Mais là, ça tournait surtout en engueulade, d’autant plus qu’elle coupait court à tout ça, voulant s’en aller. Non, je refusais de la laisser s’en aller. Peut-être que je n’avais pas été assez intelligent y’a quatre ans pour la retenir, mais j’avais un peu plus d’années derrière moi à présent et ouais, peut-être qu’il était temps d’assumer tout ce que je ressentais pour elle. Je soupirais alors, l’entendant dire tout ce qu’elle me balançait à la gueule. Non, je n‘étais pas d’accord avec tout ce qu’elle pouvait dire. « J’ai jamais tripoté personne quand j’étais avec toi à l’époque, c’est pas ce que je ferai aujourd’hui » Danser ou faire des body shots, c’était loin de palper des fesses ou des paires de seins. « Mais je sais que tu vaux mieux que tout ça merde, je le sais ! » Et je serrais les poings, cherchant les mots pour la percuter comme il le fallait. « J’t’ai dans la peau. Je veux pas m’engager dans une relation sachant pertinemment que c’est toi que je veux. Je… ça sert à rien, ça mènerait à rien. Je préfère de loin coucher avec des filles totalement random plutôt que m’attacher, sachant que c’est toi que je veux » soufflais-je, toujours devant elle sans forcément la toucher, bien que j’en avais terriblement envie. Finalement, je cédais, glissant ma main le long de sa joue, caressant sa peau délicate de mon pouce. « Je suis désolé pour tout ce qui s’est passé… Vega, je suis désolé. Mais je peux changer, je le sais » finissais-je alors par lui dire. Oui, je pouvais changer pour elle, j’en étais certain.

JAGA, you and i and nobody else ❀ et ça me gonflait parce que j’avais l’impression que l’on arrivait pas à avoir une conversation normale. ça commençait bien et finalement, ça partait en vrille en un claquement de doigt. alors ouais, c’était agaçant. ouais, j’avais pas voulu que ça tourne comme ça. mais les mots qu’ils avaient eu ? c’était juste trop pour moi. j’avais pas envie d’entendre ça, j’avais pas envie de l’encaisser alors je me braquais. « ouais, t’as tripoté personnes. tu t’es juste collé à tout ce qui bougeait et amusé à faire des body shots. c’est vrai, c’est rien, excuse moi. » putain mais jamais tu te remets en question ? jamais tu te dis que ce que tu dis c’est de la merde ? « c’est peut être trop tard pour t’en rendre compte. » parce que quoi ? t’avais réalisé que j’étais mieux que tout ça quand ? quand t’étais tombée que sur des nanas sales écartant les cuisses trop facilement ? et là, tu t’es dis « vega était quand même au top » j’crois que c’est un peu tard pour les regrets moi. et ouais, j’pouvais pas dire que ça me touchait pas ce que t’étais en train de me dire parce que si, ça me touchait. ça me touchait parce que les mots que t’avais là, j’avais voulu les entendre tellement de fois que c’était limite irréel. et ça me faisait du bien ta main sur ma joue mais.. j’arrivais plus à percuter ce qui était sincère ou non. « c’est que des mots ça. c’est que des mots jax » et j’avais besoin de preuve. me dire que tu pouvais changer ne voulait pas dire que ce serait le cas. que t’allais vraiment être différent. chassez le naturel il revient au galop. et moi, j’avais plus confiance en toi, j’pouvais pas te croire sur parole. j’étais incapable de le faire. alors non, ça suffisait pas. c’était pas suffisant pour moi. « j’voudrais te croire mais j’peux pas. tu m’insultes, tu t’excuses, tu reviens, t’es déplacé dans tes messages.. comment est-ce que tu veux que je crois en toi ? » j’pouvais juste pas.

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J’étais calme, je n’allais pas dans l’excès, au contraire. Tout ce que je souhaitais dans le fond, c’était trouver un terrain d’entente entre tous les deux. Éviter de se tirer dans les pattes, éviter de se dire des méchancetés. Mais c’était compromis puisqu’elle prenait rapidement la mouche, incapable de rester calme quand je parlais des raisons de mon manque de présence après la fin de notre relation. Le manque de combativité de ma part pour la garder dans ma vie. Mais ouais, j’étais honnête avec elle. J’étais dans une des pires passes de ma vie, j’avais à peine mon frère et ma sœur pour m’aider à me relever et autant dire que j’avais pas vraiment la force de tout ça. Et puis l’attrait de la nouveauté, des filles, c’était non négligeable. C’était ça qu’elle prenait vraiment mal dans le fond mais je pouvais pas mentir. « Tu comprends ce que je veux dire… » soufflais-je, sentant qu’elle chipotait quand même. Mais là, elle m’assénait un coup sans qu’elle s’en rende compte. Trop tard ? Trop tard pour avoir une seconde chance ? Non, je ne pouvais pas considérer que ça puisse vraiment exister. Mais voilà, j’avais quand même ma main posée le long de sa joue que je caressais doucement. « Dis moi quoi faire alors ? Laisse-moi la chance de te le prouver par des actes » soufflais-je alors, tout en me rapprochant doucement d’elle. « Laisse-moi te montrer que tu vaux tous les sacrifices du monde » Parce que je l’aimais. Mais j’étais un homme qui était loin de son idéal masculin et ça me demandait bien trop d’efforts à fournir pour réussir à atteindre la cheville de cet homme de ses rêves.

JAGA, you and i and nobody else ❀ ouais, je ne croyais plus en toi. j’avais plus envie d’y croire dans tous les cas parce que j’avais pas envie de tomber de haut encore une fois. alors ouais, je préférais que tu te tiennes loin de moi. et même si on avait discutés des choses, je restais sur mes positions. on avait pas les même points de vue. j’avais limite l’impression que tu ne te rendais pas compte de ton comportement à l’époque où on était ensemble et.. si tu assumais tes tords juste pour me faire plaisir sans réellement te rendre compte que tu m’avais bel et bien manqué de respect, je voyais pas l’intérêt de chercher à aller plus loin. parce que la vérité était qu’on ne ferait rien d’autre que répéter les même erreurs et il était hors de question que je reparte dans un truc pareil. « non, je ne comprends pas. parce que toi, t’es en train de minimiser les choses comme si c’était pas grave » sauf que ça l’était. et à partir du moment que tu ne te remettais pas en question, j’avais plus envie de parler avec toi. j’avais pas confiance en toi, j’étais pas prête à reprendre quoi que ce soit en ta compagnie et j’crois que ouais, sincèrement, on devrait arrêter les frais là. « c’est pas parce qu’aujourd’hui tu décides que j’en vaux la peine que je vais t’ouvrir la porte. c’est pas quand tu veux où tu veux. tu voulais profiter ? c’est moi qui vais profiter maintenant. » je crois que je m’étais déjà assez bloquée sur des tas de choses vis à vis de toi, plus maintenant. « la seule chose que t’as jamais prouvé c’est que tu étais incapable de changer » alors non, j’accorde aucun crédit à tes paroles, un point c’est tout.

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Peut-être que j’agissais mal envers elle, je l’avais compris. Mais il fallait quand même qu’elle me laisse une chance si elle voulait voir que je pouvais réellement changer pour elle. Là, c’était compromis. Elle restait butée sur ce qu’on avait pu vivre avant, sur les erreurs que j’avais commis. Je n’étais pas de ceux qui s’excusaient, ni de ceux qui regrettaient. À quoi ça pouvait bien servir ? C’était passé, c’était dans les esprits de tous ceux qui avaient été présents alors à quoi bon ? « Je minimise pas. Je t’ai blessé par le passé à cause de mon comportement et je m’excuse pour ça Vega, je sais pas quoi faire de plus pour que tu comprennes » Visiblement, tout était fait dans son esprit après tout. C’était mort pour toi Jaxon Rowan. Elle en voulait un autre, peut-être Mael ou ce mec avec qui elle était collée durant la soirée de Dina. « Avec le mec de la soirée ? » Et ouais, ça m’enrageait de voir qu’elle pouvait s’amuser. Vega, c’était la fille douce qui aimait sans condition — jusqu’à ce qu’on dépasse les bornes certes — et en aucun cas elle n’aimait les plans d’un soir, les plans éphémères. « Je suis l’amour de ta vie » finissais-je par lui dire, franchissant encore une fois l’espace qui nous séparait, laissant mon souffle se mêler au sien. « Je suis celui qui t’a le plus marqué, celui que tu n’oublieras jamais. Pas Mael, pas l’autre de la soirée. C’est moi… Tu m’as dans la peau » Sinon, elle n’aurait jamais couché avec moi la dernière fois. Sinon, elle n’aurait pas été ici à expliquer tout ce qui avait pu la toucher il y a quatre ans.