L'avantage de vivre ici dans l’université c'est qu'il a beaucoup de ses amis et amis à portée de main, même chez les Eliot alors qu'ils sont très certainement les plus riches de l'établissement et dans les plus riches de la ville, ils préfèrent tous vivre ici sur le campus. Alors oui tout comme Andrew ils ont à côté de ça des appartements dans la ville pour se ressourcer, pour emmener des filles qui ne sont pas de l’université, un petit bol d'oxygène quoi. En attendant il passe le plus clair de son temps ici, toute manière à Harvard il ne manque rien, tout est là, les installations sportives sont les meilleurs, la bibliothèque et la vidéothèque y sont très fournis, alors pourquoi sortir ? Pour faire des rencontres ? Je pense sans m'avancer que les plus belles femmes de son âge, se trouvent ici. Certes en soirée il tombe souvent sur de belles femmes, soit plus vielles que lui, soient plus jeunes, mais voilà le plus gros vivier se trouve ici à Harvard. Les Eliots sont souvent ensemble, déjà parce qu'ils vivent au même endroit et même s'il n'y a pas de chambre mixte, ils vont et viennent sans faire attention s 'ily a des femmes ou pas dans la pièce. Il n'est pas rare qu'Andrew sorte des douches avec pour celle vêtements une serviette autour de la taille et qu'il retrouve une fille en train de discuter avec son camarade de chambre.
Nous le retrouvons dans ca chambre, un dimanche matin, enfin plutôt un dimanche midi, petit lendemain de fête ou fort heureusement pour lui il n'a pas bu une seule goutte d'alcool. Pour ceux qui ne le savent pas encore le jeune homme ne tien, mais alors pas du tout l'alcool. Allez savoir pourquoi, mais après deux verres il est ivre et oublie tout. Alors non il ne se montre jamais en spectacle, mais souvent il dit des choses dont il ne se souvient plus, revoit des personnes le lendemain dont il pense tout ignorer alors qu'il y a eu échange de salive. Autant de choses qui font qu'il sort du commun dans cet univers jeune où boire de l'alcool à outrance est gage de qualité.

Revenons à nos moutons, il est 11 heures, la chambre est calme et il est sur sa tablette en train de regarder les nouvelles du monde, l'évolution des différentes bourses qui bougent quoi que l'on en dise même le dimanche. Ensuite il fait un petit tour sur les brève international avec un président qui est encore en train de perdre des points face à la France et qui pourtant relève le pays comme personne ne l'a fait les dix dernières années. Vient ensuite le moment des brèves nationales et là, Walton et la photo de sa petite protégée Poppy. Andrew devient rouge comme une tomate, il ne supporte plus de voir les noms de ses amis sur les tabloïds. Franchement on peut être gosse de riche avec un nom connu et être tranquille ? Non pas vraiment, il ne compte même plus le nombre de fois où il s'est retrouvé sur du papier glacé. Quand c'est lui il grogne, mais se débrouille toujours pour voir le bon côté. Il aime que l'on parle de lui, il veut devenir aussi célèbre que son père et sa mère réunit, il veut devenir le numéro 1 du classement FORBES. Il doit donc s'habituer dès maintenant a être suivi, a voir tous ses gestes analysés. Mais quand il s'agit d'ami ou amie à lui qui en plus de ça sont un peu au fond du sceau il n'aime pas ça. Avouons aussi quelque chose qu'il n'avouera jamais. Quand cela touche la petite Poppy le jeune homme peut devenir extrêmement agressif. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il la connait depuis longtemps... et qu'il a peut être encore quelques sentiments pour elle... et peut être que le fait que leurs parents pensent que son enfant et d'eux joue aussi. Bon je vous l'accorde il y a énormément de raisons pour qu'il la défende.

Prenant le premier vêtement qui lui venait sous la main, ne prenant même pas le temps de se coiffer, il se brossa les dents et en deux minutes il était devant la porte de la belle. Voilà encore une avant de vivre en universités, vous pouvez sortir habillé n'importe comment. Vous ne tomberez que sur des gens de votre maison. Personne ne va vous mettre dans la merde, même si tous les Eliots ne sont pas forcement copain. Il frappa donc à la porte attendant qu'elle lui ouvre ce qu'il ne faisait pas en temps normal. La plupart du temps il frappait à la porte puis entrait ensuite. Il était tôt, elle n'était peut être pas seule (même si cette idée ne lui plaisait pas forcement) donc il fallait être un peu plus prudent qu'en journée.
Quelques secondes passèrent avant que la porte s'ouvre doucement, Andrew déposa un baiser sur le front de la petite Poppy avant de rentrer sans même demander l'autorisation « Ca va toi ? » lança t'il d'un air inquiet avant de s'écrouler sur le lit de la jeune femme attendant ça réponse. Sa colocataire ne devait pas encore être rentrée vu que le lit était encore fait .