— it's an accident. it's just one of those things.

— spring break 2018
j’poussais un soupir reposant mon téléphone dans mon sac alors qu’abelard payait les consommations que l’on venait juste de prendre. il faisait une chaleur étouffante, c’était dingue. et j’crois que là, la seule chose que j’avais envie de faire c’était de rentrer m’étaler sur le lit et me laisser mourir sous la climatisation. sauf qu’en soit, on passait plutôt une bonne journée. juste abé et moi -et les gardes du corps un peu plus loin l’air de rien- mais ouais, c’était plutôt sympa. j’avais passé ma matinée à m’émerveiller devant tout et rien comme une enfant lui faisant remarquer toutes les choses que je pouvais trouver jolies -et dieu seul savait à quel point je pouvais être en admiration devant tout et n’importe quoi-. ajustant mon sac sur mon épaule, j’attrapais sa main alors que l’on sortait de l’espèce de café marchant côte à côte dans la rue. « tu veux faire quoi maintenant ? » j’avais passé les trois quarts du temps à le guider, je pouvais bien le laisser décider de la prochaine activité. lui volant un léger baiser, je finissais par ressortir mon iphone l’air de rien me positionnant face à lui avant de prendre une photo. « va falloir que tu songes à arrêter d’être beau tout le temps. » c’était typiquement en faisant ce genre d’action avec moi qu’on pouvait se retrouver avec la pire photo de tous les temps. pour la simple et bonne raison que j’aurais sûrement la bonne idée de fermer les yeux ou bien de loucher pile à ce moment. bref. esquissant un léger sourire, j’éloignais mon portable de lui pour être certaine qu’il ne saisisse pas l’occasion d’effacer mon chef d’oeuvre continuant à marcher à reculons. « on va regarder les étoiles ce soir ? » que je demandais avant d’être interrompus par un groupe de jeune l’air visiblement éméchée. wow, le spring break ça réussissait pas à tout le monde fallait croire. puis le reste, ça allait sûrement un peu trop vite. le trottoir un peu trop étroit, une bousculade et je reculais sans même me rendre compte que j’avais quitté le trottoir pour la route. un coup de klaxon, des crissements de pneus et l’impact.

@Abelard Z. de Belgique-S.

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— spring break 2018
C'est une belle soirée qui est là. T'es avec ta fiancé dans un café. Les lieux ne sont pas médiocres même si il y a quand même bien mieux tu te contentera de ça pour l'instant. Tu bois leurs cafés qui n'est pas mal du tous et tu règles avant de sortir main dans la main avec ta belle. Schatz est rayonnante ce soir. Elle est heureuse, elle est bien et tu lui souris légèrement alors qu'elle te demande ce que vous allez faire après. Tu hausses les épaules reprenant Si t'as pas trop froid on peut se balader pour découvrir les bahamas la nuit. oui tous les deux mains dans la main si c'est pas romantique ça Abelard. Elle s'éloigne de toi un instant pour te prendre en photo et tu gardes un visage impassible la laissant prendre sa photo alors que tu auras le même air que toutes les autres qu'elle a pu prendre. Oui t'es pas le genre ouistiti ou pitre sur les photos. T'es sérieux fidèle à toi même. Tu finis par reprendre T'as fini de me prendre en photo ? Pire qu'une paparazzi toi que tu reprends en plaisantant venant lui voler un baiser rapide. Elle range rapidement son portable, encore une fois tu ne verras pas ta beauté a travers son appareil. Tu la gardes près de toi, elle est souriante et le monde est a vos pieds comme si tout allait mieux, vous pouvez enfin avancer. Elle marche a reculons et tu surveille un peu les alentours, perpétuellement dans le contrôle tu regardes, t'observes. Je vais t'apprendre toutes les constellations oui c'est quelque chose de très important t'es content de ça. Ca fait parti de la culture. Et tous va très vite, des personnes bourrées au spring break Camila que tu perds des yeux un instant pour incendier du regard un mec et un bruit de klaxone. Camila ! que tu reprends en la voyant par terre. Les gardes du corps arrivent vite et tu reprends en Norvégien tes instructions. Celle d'appeler les secours et d'arrêter ce malade. Le suspect est appréhendé sans mal. Il a beau s'excuser tu t'en fiches t'as des envies de meurtres mais tu restes près d'elle. Camila reste avec moi s'te plais que tu reprends paniqué de la voir comme ça. Tu tiens sa tête t'essaie de voir si elle respire alors qu'Antonacien et Franck prennent le reste de la situation en main pour éloigner la foule de toi, d'elle, pour appréhender le suspect. Les secours arrivent, tu les vois s'occuper d'elle quand tu ressens une peur constante, perpétuelle, celle de la perdre.

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— spring break 2018
j’crois qu’on ne se rendait jamais assez compte d’à quel point un seul évènement pouvait tout changer soudainement. la mauvaise personne au mauvais moment. un seul pas en trop. c’était exactement ce qui venait d’arriver. tout allait bien, j’étais sur mon petit nuage, je ne cessais de gazouiller juste heureuse d’être là avec lui. je faisais des projets, des demandes, cherchait à partager ses passions sur les planètes, les étoiles et tout ce qui pouvait composer le ciel et soudainement tout s’écroulait. ouais, le mauvais endroit au mauvais moment. tout était une question de timing et j’avais pas été le bon. j’avais même pas eu le temps de comprendre ce qui m’arrivait que c’était déjà trop tard. y avait eu les grands phare aveuglant, le klaxon tellement fort que j’avais l’impression qu’il résonnait encore dans mes oreilles et soudainement, j’avais froid. juste froid. allongée sur le bitume, les cris autour de moi qui me paraissait pourtant si lointain. le visage d’abelard par intermittence et cette douleur dans l’abdomen. cette douleur qui se propageait dans chacun de mes membres comme si aucune partie de mon corps n’avait été épargnée. je sentais des mains tenir ma tête, m’empêchant probablement de bouger. j’entendais sa voix sans réussir à capter ce qu’il disait puis.. le trou noir. et l’instant d’après, je réouvrais les yeux, des inconnus au dessus de moi m’immobilisant de toute part, me faisant glisser sur une civière. j’avais mal, terriblement mal. et dans tout ça, je le cherchais lui, tentant de parler sans y arriver. y avait ce liquide au goût de fer dans ma bouche me donnant l’impression que j’allais étouffer et même respirer devenait une épreuve. […] quand je rouvrais les yeux, la douleur était toujours là. sûrement plus soutenable mais présente. les bips incessants, le blanc partout autour de moi, l’odeur de désinfectant flottant dans les airs. l’hôpital. « abelard » que je finissais par souffler à la recherche de quelqu’un de familier. et pitié qu’il soit là.

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— spring break 2018
Ca va vite trop vite pour que tu puisses comprendre, pour que tu puisses faire quelque chose, changer quelque chose a cette situation parce que tu n'as aucun contrôle dessus. D'un coup t'entends un bruit sourd puis plus rien et elle est là par terre. T'arrives vers elle, tu l'appelles ton coeur se glace est-ce qu'elle est encore en vie ? Heureusement Franck et Constantin ne trainent pas a arriver. Ils gèrent la situation mieux que toi même si les consignes sont claires. Ils arrêtent la conductrice de la voiture, elle n'en sortira pas comme ça. Ils éloignent la foule tandis que t'es près d'elle. Tu lui tiens la tête pour qu'elle ne se fasse pas mal, tu la supplie de rester avec toi alors que les minutes sont longues. Franck retires sa veste de costume et couvre ta fiancé avec, certains osent prendre des photos de vous dans cet état ça va faire le tour du net mais là maintenant tu t'en fiches. Tous ce qui importe c'est elle. Les minutes sont longues alors que tu la supplies de rester avec toi de pas partir. T'essaie de savoir si elle respire mais c'est compliqué et t'es pas médecin non plus. Les pompiers arrivent et la mettent sur une civière quand toi tu te retrouves seul là maintenant. Ils n'ont pas le choix, t'es décontenancé mais tu suis le mouvement tu montes dans le camion avec les autres et tu tiens sa main pendant le trajet alors qu'ils tentent de la stabiliser. Tu sais pas si elle va bien tu l'espères que tout ira bien parce que t'es pas prêt a la perdre là maintenant. Tu n'entends plus rien, tu ne vois plus rien à part elle, elle est la seule qui compte a cet instant précis. Ils l'emmènent pour une intervention et tu te retrouves seul avec toi même dans une salle isolée des autres. T'es couvert de sang, du sien et t'as envie de tous casser. Tu essaie de garder la face, de garder le controle mais c'est compliqué alors t'attends tu fais les cents pas dans la chambre espérant que ça ira jusqu'à ce qu'ils la ramène. Les médecins te parlent mais tu ne comprends pas grands choses, quelques brides de phrases sur des séquelles et autres heureusement Constantin est là pour noter quand Franck est parti interrogé à la manière dure la chauffard. Les médecins quittent la pièce et tu donnes tes instructions a Constantin quand tu l'entends prononcé ton nom doucement. Tu te précipites vers elle prenant sa main Je suis là Schatz, je bouge pas d'ici c'est promis. non tu la laisseras pas une seule seconde seule. Pas une seule.

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— spring break 2018
j’avais pas envie d’être toute seule. je ne pouvais pas être toute seule. je crois que dans le fond, au delà de la douleur, la sensation qui prenait le plus de place était la peur. j’étais terrorisée d’être ici parce que ça me rappelait des tas de mauvais souvenirs. je voulais pas être là. je voulais pas entendre les bips des machines. je voulais retourner sur cette foutue rue et continuer à parler des étoiles. c’était pas si compliqué ? j’arrivais même pas à me remémorer exactement ce qui avait pu se passer. je savais juste que d’un coup, j’avais été frappé. que j’avais été au sol avec la sensation de m’étouffer et puis plus rien. j’étais ici et je le cherchais parce que j’étais terrifiée. et je sentais sa main prendre la mienne et dans le fond, ça me soulageait. j’inspirais difficilement essayant de m’accrocher à lui alors que le son de sa voix suffisait à m’apaiser au moins un peu. « ça fait mal » que je soufflais une nouvelle fois grimaçant légèrement. j’avais tous les membres engourdis en fait. j’avais du mal à bouger, j’étais incapable de me redresser et chaque inspiration me donnait l’impression qu’un couteau était en train de me perforer les poumons. c’était atroce. je détestais ça. « je veux sortir, fais moi sortir d’ici » que je le suppliais. je détestais réellement être là. j’voulais pas être entre ces quatre murs. j’voulais pas être dans cet endroit. j’avais l’impression de retourner voir mon père et son cancer. d’y voir dimitri et son coma. cole et sa tumeur. moi et ma chute du troisième étage. peut être que les wildingham étaient maudits en fait. « s’il te plaît » que je murmurais dans une supplique serrant un peu plus sa main.

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— spring break 2018
Tu pensais que t'allais passer une bonne soirée avec ta fiancé a te balader dans les rues a éviter les paparazzis même si c'est pas toi que les flash dérange. T'es comme ça, t'as été exposé depuis ton enfance et ça ne te gêne pas le moins du monde. Tu parcours la rue avec elle et ça va vite, trop vite tu la perds des yeux et c'est le drame. L'ambulance arrive et tu ne saurais pas dire combien de temps, combien de minutes t'as passé là a tenir sa tête a la supplier de rester avec toi. La haine est montée en toi et t'as des envies de meurtre sur la personne qui a fait ça. Tu finis a l'hopital dans sa chambre a l'attendre. Elle arrive endormie et tu restes près d'elle tenant sa main quand elle ouvre les yeux t'appelant. D'un coté t'es soulagé mais de l'autre la voir souffrir est un supplice. Tu serres sa main alors qu'elle te demande de partir. T'en as des pouvoirs, t'en as des tas mais tu peux pas risquer sa vie en la sortant de là. Tu t'approches d'elle et tu l'embrasses sur le front pour reprendre Faut que tu te reposes Schatz, je sais que t'aimes pas les hôpitaux mais c'est pour ta sécurité. oui et si vraiment elle ne veut pas tu feras venir un hélicoptère et vous rentrerez en Belgique parce qu'une chose est sure : si elle part tu pars aussi. Tu la laisseras pas seule dans sa vie ou dans un coin il faut le dire. Tu lui as promis d'être son rock, c'est ce que tu seras.

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— spring break 2018
j’avais la sensation que ma tête allait exploser. vraiment. j’me sentais pas bien, j’avais mal, respirer était en soit une épreuve et là, je cherchais juste quelque chose de réconfortant. abelard. j’étais soulagée qu’il soit ici. qu’il ne m’ait pas laissé tomber. qu’il soit présent à mes côtés mais moi, tout ce que je voulais, c’était ne plus être entre ces quatre murs. j’pouvais pas, je détestais l’endroit et clairement, ça me rendait dingue. comment est-ce qu’un truc pareil avait pu arriver ? c’était ce que je me demandais en boucle. parce que tout allait bien. tout allait vraiment bien et en l’espace d’une fraction de seconde, tout avait dérapé. j’revoyais la voiture, j’entendais les coups de klaxon comme si ça continuait à sonner dans mes oreilles mais j’comprenais pas. j’avais rien fait, j’avais juste été bousculé et maintenant, je me retrouvais là sans trop savoir ce que j’avais, si c’était grave ou pas, si j’allais pouvoir sortir bientôt, s’il y aurait des séquelles. tout ce que je voulais moi, c’était m’en aller. peu importe comment tant que je sortais. et c’était pour cette raison que je lui demandais. parce que je savais que s’il y avait bien quelqu’un qui pouvait me faire sortir d’ici c’était lui. à la place, je récoltais un baiser sur le front et des paroles réconfortantes mais qui n’allaient pas dans le sens que je voulais. « j’veux rentrer s’il te plaît, me laisse pas ici. » que je murmurais serrant un peu plus fort sa main. c’était encore pire dans un pays inconnu, j’voulais pas rester ici moi. « c’est si grave que ça ? j’ai pas le droit de sortir ? »

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— spring break 2018
Tu pensais pas que l'info fuiterais aussi vite. Elle se réveille et tu la regardes t'es prêt d'elle alors qu'elle veut partir et ton attention se reporte sur un bruit, celui de la télévision fixée sur une chaine d'information internationale. Un flash news annoncant que ta fiancé et toi avez eu un accident et qu'elle est à l'hôpital. Ca t'agaces mais tu montres rien alors que tu vois les caméra filmer l'hôpital ou vous êtes. J'reste avec toi t'en fais pas. Je bouge pas d'un pouce. t'appelle juste le garde devant la porte qui entre dans la chambre et tu reprends en Néerlandais Appelle Zephyr et Antonacien. Amenez un costume a Antonacien il fera la conférence de presse, personne d'autre. Antonacien fera ça très bien. T'as confiance en lui. Tu tiens sa main que tu ne laches pas, tu la serres, tu espères que ça ira et la voir réveillée est déjà un grand pas vers ton calme intérieur. Tu la regardes et tu lui caresse les cheveux te penchant pour lui embrasser le front. On a besoin de savoir ce qu'il s'est passé Schatz on a pas le choix. L'hôpital est sous haute sécurité et tu dois te reposer d'accord ? oui et toi tu la gardes pour toi de facon égoiste il faut bien le dire mais tu vas pas t'excuser pour ça. Tu vas pas t'excuser d'être qui tu es c'est comme ça et t'es heureux comme ça. Tant qu'elle va bien : tous va bien pour toi.

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— spring break 2018
j’avais mal, je ne comprenais pas et je voulais des réponses. je voulais surtout des réponses en fait parce que je me réveillais ici, perdue et.. ouais, je voulais juste m’en aller. j’avais besoin de prendre l’air, d’être dehors, de ne pas être enfermée dans le lieu que je détestais le plus au monde. alors bien sûr, j’étais rassurée de savoir qu’il allait rester avec moi parce que je supporterais encore moins bien les choses si j’avais été seule. et je m’accrochais à sa main avec toute la force que j’avais comme si j’avais la trouille qu’il s’en aille subitement. comme si j’avais peur qu’il finisse par passer la porte et me laisse tomber. « s’il te plaît abé.. » je pouvais le supplier longtemps comme ça. vraiment. parce que clairement, je voulais juste sortir d’ici. et ouais, ça me faisait du bien l’attention qu’il pouvait me porter. sa manière de me caresser les cheveux, de poser ses lèvres sur mon front mais.. ça ne changeait pas le fait que je ne voulais pas être ici et que je détestais ne pas avoir ce que je voulais. « c’était rien. j’ai glissé et c’était rien d’autre que de la malchance.. » fallait pas voir le mal partout, c’était juste un stupide accident. et je crois qu’en soit, je me sentais plutôt bien. c’était douloureux mais j’étais vivante et c’était sûrement le plus important. « dis moi ce que j’ai » quelque chose de grave ? quelque chose de cassé ? j’étais un peu trop dans le flou en fait pour le moment.

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— spring break 2018
Tu la préserves comme tu peux de l'environnement extérieur. Elle n'a pas encore conscience que le monde peut en vouloir aux grands de ce monde et c'est ce que vous êtes. L'argent fait des envieux, les titres aussi et cet incident ne doit pas être prit a la légère. La presse a déjà saisie l'affaire et ça te fait pas rire loin de là. Tu lui tiens la main alors qu'elle veut partir mais c'est hors de question. Tu lui dis que c'est pas négociable, tu la perdras pas pour une erreur d'inatention loin de là. Repose toi Schatz, ça va aller je m'occupe du reste tu t'occupes de veiller sur elle. Tu serres un peu plus sa main et tu t'installes près d'elle alors que tu commences a déblatérer en Néerlandais pour ordonner, donner les consignes. C'est pas rien. Cette personne aurait pu te tuer elle s'en sortira pas je te le dis. Parole de Zeus t'as le regard noir rien que d'y penser. Personne ne touche aux tiens encore moins a elle là maintenant. Elle te demande ce qu'elle a et tu reprends Je suis pas médecin, ils sont partis en chercher un, je veux qu'il nous explique tous en détail. Mais faut pas t'en faire chérie, ça va aller quoi qu'il arrive. tu remueras des montagnes pour qu'elle aille bien.