Je te provoquais légèrement et bien sûr que tu répliquais. J’avais oublié qui j’avais en face de moi. Carter, la nana qui ne refusait aucun défi. À part bouffer des trucs dégueulasses, apparemment. Alors je te regardais dénouer le haut de ton bikini et me le lancer. Heureusement qu’il faisait nuit, ça m’empêchait d’être tenté de regarder à travers l’eau transparente en journée. À tes mots, j’esquissais un petit sourire, mes dents se plantant légèrement dans ma lèvre inférieure. Est-ce que j’avais trouvé mon égale? Parce que moi non plus, je n’étais pas très pudique. Presque qu’exhibitionniste même. Si j’pouvais vivre ma vie à poil, je le ferais. Dommage que ce ne soit pas accepté dans les moeurs. Je te donnais la bouteille après avoir bu quelques gorgées, tenais ton haut de maillot de bain entre mes dents et de mes mains libres, retirais à mon tour mon short de bain pour finir nu sous l’eau. Pendant ce temps, tu profitais de boire et quelques secondes après, tu retirais également ton bas. Très bien, on était quittes maintenant. Tous les deux en tenue d’Adam et Ève. « Attends, reste là. Te noies pas hein. » Je réceptionne la deuxième partie de ton ensemble, mon short également dans la main et je nage habilement vers le bord de plage. Ça ne me prend pas longtemps, l’eau a toujours été mon élément. Je sors de l’eau nu, dos à toi, et vais poser nos maillots de bain à côté de nos affaires déjà sur le sable. Je me retourne pour revenir dans l’eau, cette fois face à toi donc je pose mes deux mains par dessus ma virilité. Bah ouais, j’vais pas t’imposer cette vision, les filles n’aiment pas recevoir des dick pics non-demandées, alors j’suppose que c’était pareil. Une fois dans l’eau, je reviens vers toi à la nage et t’offre un petit sourire. « J’espère que t’as apprécié la vue. » dis-je, non sans un petit sourire en coin charmeur. « Reste plus qu’à prier que des petits malins ne nous volent pas nos fringues. » Ça serait malencontreux non?

Elle avait compris à force qu’elle devait vivre sa vie à fond, qu’elle devait arrêter de se poser des questions et vivre juste les choses à fond. Alors ce soir, elle suivait ses propres pensées. Qu’importe ce qu’il allait se passer, qu’importe elle s’en fichait tout simplement. Puis de toute manière, elle ne devait rien à personne. Elle était célibataire. La blonde profitait autant qu’eux, eux couchaient avec n’importe qui et elle, elle ne devait pas le faire ? Grosse blague. Après avoir bu plusieurs gorgées de la bouteille qu’elle avait dans les mains, elle finit par enlever son bas à son tour pour lui lancer. Autant le faire à fond, totalement. « Je te manquerais trop si je me noie donc ça risque pas t’en fais pas. » Puis elle riait une nouvelle fois, peut-être qu’il en avait rien à foutre. Enfin bref, elle restait dans l’eau avec la bouteille et elle ne se gênait pas d’en prendre plusieurs gorgées. C’était pas une bouteille de Tequilla qui allait lui tourner la tête, mais ça aidait pas mal à profiter de la soirée, à ne pas se prendre la tête et surtout à laisser ses yeux se posaient sur Elliot qui était en train de sortir de l’eau. Ok, c’était trop facile de mettre cet acte sur le dos de l’alcool, mais en fait elle ne pouvait pas faire autrement. Il était loin d’être moche, il était canon même et puis merde, elle n’avait pas besoin de s’en cacher alors qu’importe qu’il remarque ses yeux sur lui, sa lèvre inférieure coincée entre ses dents. « C’est trop court. » Haussement d’épaule et sourire en coin. Elle était honnête, au moins elle ne niait pas et puis c’était ce qu’elle avait fait. « Je crois que ça serait marrant dans le fond. » Ouais, un peu gênant aussi, mais plus marrant qu’autre chose de trouver un moyen de rentrer sans vêtement.

Une fois qu’on a tous les deux décidé d’honorer la tradition naturiste du bain de minuit, j’me retrouve avec nos affaires dans les mains, et c’est quelque peu handicapant. J’peux pas utiliser mes mains quoi… Pas pour nager, pas pour tenir la bouteille de tequila, pas pour… quoi que ce soit d’autre. Du coup, je rejoignais le bord du plage pour déposer nos maillots de bain sur le sable avec le reste de nos affaires. J’prenais pas la peine de me cacher — t’façon, la moitié d’Harvard m’avait sûrement déjà vu à poil. J’camouflais juste ma virilité en revenant dans l’eau, nageant jusqu’à toi. Ça va, tu t’étais bien rincé l’oeil? Et à ta réponse, je lâchais un petit rire. Au moins t’étais honnête. J’appréciais. Alors je me rapprochais un peu plus de toi, un air de défi dans le regard. « T’avais qu’à demander, tu sais… » Je posais les yeux sur toi, les laissant se balader sur les courbes de ton cou, puis tes épaules qui dépassaient légèrement de la surface de l’eau. Oups. Alors je relevais le regard pour le planter dans le tien, esquissant à nouveau un sourire en coin. « Ça te dit un petit jeu? » J’haussais quelque peu les sourcils de façon suggestive. « 20 points. » ajoutais-je dans un énième sourire. Allez, t’as pas le droit de refuser. T’façon, je te laisse pas le choix. « Action ou vérité? » Bah quoi? C’était pas une situation propice à ce genre d’amusement?

Elle voulait faire ce bain de minuit à fond, tant pis si ça lui causait des soucis par la suite, elle était clairement plus à ça près maintenant. Carter lançait son haut avant de le regarder sortir de l’eau ne se cachant clairement pas, pourquoi faire après tout ? Elle avait des yeux, c’était pour regarder non ? Puis si ça ne lui plaisait pas, il pourrait toujours lui dire, mais apparemment à sa question ce n’était pas le cas. Puis elle répondait honnêtement, elle était bien trop franche de toute manière et ouais, si ça avait été plus long, elle n’aurait pas dit non quoi. Elliot était loin d’être moche, il était très agréable à le regarder même et elle continuait de boire. « C’est trop facile de demander… » Et la facilité ce n’était clairement pas drôle dans le fond, elle aimait bien les défis, même si bon il ne représentait pas totalement un défi. Un sourire en coin naissait une nouvelle fois sur ses lèvres en voyant ses yeux, tout aussi discret qu’elle apparemment. « Si tu veux en voir plus tu n’as qu’à le dire… » Elle haussait ses sourcils tout en laissant un petit rire sortir de sa bouche, incapable de faire autrement avant de lui tendre la bouteille parce qu’elle allait la terminée si elle continuait comme ça, ce n’était pas l’idée. Ses sourcils se froncèrent en entendant sa question puis entendant un nombre de points sortir de sa bouche. Donc il reprenait ce jeu complètement idiot ? Ils ne savaient même pas qui avait été le vainqueur la première fois, mais tant pis. C’était beaucoup trop amusant pour qu’elle refuse un truc pareil surtout un action/vérité, c’était assez enfantin, mais toujours marrant. « On va commencer fort et avec une action. » Après tout, elle était là pour s’amuser par pour jouer à celle qui prenait la sécurité. Façon, elle en avait peut-être déjà un peu trop fait avec lui, devant lui, un peu plus ou un peu moins elle n’était plus à ce détail près.

Trop facile de demander? « Mais si tu demandes pas, tu risques de ne jamais rien avoir ma belle. » Parce que, sachant qu’on était amis, j’allais pas de moi-même t’offrir une belle vue sur mon corps nu. J’allais pas franchir cette ligne qui séparait l’amitié de… de je sais pas quoi en fait. Après tout, ça changerait quoi? T’étais célibataire, j’étais célibataire… Des yeux qui veulent en voir un peu trop, des mains baladeuses… C’était pas si mal, si? « J’oserai pas. J’suis un gentleman, tu crois quoi? Si une femme veut se montrer à moi, elle le fera. » que je réplique dans un sourire en coin non-dissimulé, mes yeux remontant à une hauteur décente, sur les tiens. Bah ouais, j’pouvais pas fixer tes courbes suggestives indéfiniment. Alors je te proposais un petit jeu, histoire que cette soirée nous ressemble un peu plus. Un jeu enfantin en apparence, mais qui avait mené à bien des situations inattendues… Action ou vérité, Carter? Et sans surprise, c’est la première option que tu choisis. Action. « J’t’aurais bien dit de m’enlever un vêtement mais… oups. » Déjà fait. J’suppose qu’on passe donc à l’étape supérieure? Allez, j’vais la faire soft pour démarrer. « Fais-moi toucher la partie préférée de ton corps. » dis-je en tendant une main vers toi. Bon, si c’était ton entrecuisse… J’étais dans la merde. « Ou touche une partie de mon corps de ton choix. » Voilà, tu choisissais ce que tu préférais, ça serait plus safe. Surtout que bon, ça se trouve, tu voudrais pas forcément que j’pose la main sur toi et j’voulais pas être incarcéré pour abus sexuel.  

« Pourtant je n’ai rien demandé et j’ai eu un aperçue. » La blonde haussa seulement les épaules, peut-être que c’est un peu trop dangereux ce qu’il se passait. Elle l’aimait bien Elliot et elle n’avait clairement pas envie de perdre un ami, déjà que les hommes dans sa vie, elle pouvait les compter sur les doigts d’une seule main alors si elle continuait d’en perdre, elle serait dans une merde pas possible. Sauf que c’était plus fort qu’elle, ils étaient peut-être aller trop loin pour retourner en arrière, elle ne savait pas trop et surtout elle ne se demandait pas comment la soirée allait se finir. La blonde vivait juste l’instant présent. « Et moi je dois demander ? C’est pas réellement équitable tout ça, tu sais ? » Puis peut-être qu’il l’était gentleman, elle n’en savait trop rien. Puis le jeu reprenait le dessus sur tout le reste, elle acceptait comme toujours parce que c’était marrant encore plus en sachant ce qu’il lui proposait. Sans attendre, elle prenait action se demandant bien ce qu’il allait pouvoir lui faire faire. Elle avait la réponse et elle se mettait à réfléchir, un endroit qu’elle préférait chez elle ? Ce n’était pas réellement un endroit, enfin si un peu. Bref, elle savait où elle allait poser sa main, donc elle finit par se rapprocher un peu de lui pour prendre sa main et la poser contre son flanc droit, contre le tatouage qu’elle avait été capable de se faire plus jeune pour sa mère. « C’est pas vraiment un endroit, mais plus un tatouage quoi que… » Elle laissait la main du jeune homme glissait le long de son ventre pour aller de l’autre côté, sur l’autre flanc et lui faire sentir son autre tatouage sur ce côté-là. « Il y a cet endroit aussi que je préfère chez moi. Parce qu’il est sensé m’aider à éloigner mes démons… » Juste sensé, elle l’avait fait pour faire rentrer de la lumière dans sa vie, mais ce n’était pas toujours facile. La blonde laissait ses doigts sur sa peau avant de prendre la parole à son tour. « Action ou vérité ? »

Ouais t’avais rien demandé. “Pas de ma faute, fallait bien que je sorte de l’eau pour aller déposer nos affaires.” Ou pas. Peut-être que je l’avais cherchée, cette situation. Peut-être que je jouais avec le feu depuis le début. Mais est-ce que j’y pouvais quelque chose moi, si t’étais une nana que j’appréciais et qui était foutrement attirante ? Et qui en plus, venait de m’annoncer qu’elle divorçait ? Alors, ouais, je l’avoue, je jouais avec le feu. Mais j’voulais pas te faire craquer. Pas totalement. J’voulais pas aller jusqu’au bout. J’voulais juste… qu’on se laisse un peu aller toi et moi. Parce qu’on vivait trop de merdes en ce moment, et que se sentir désiré entre les mains de l’autre, ça faisait toujours du bien, ça aidait toujours à atténuer un peu les peines. Et finalement, au lieu de demander clairement, je proposais cet action ou vérité. Parce que tu savais où je voulais en venir, n’est-ce pas ? Parce qu’un action ou vérité, ça ne finissait jamais bien, ça n’était jamais sage. Pas chez moi, en tout cas. Alors je te quémande de me faire toucher la partie de ton corps que tu préfères. Et c’est sans plus attendre que tu t’approches de moi et saisis ma main pour la plonger dans l’eau et la faire se poser sur ton flanc droit. Des tracés en relief – un tatouage. Puis tu guides ma main sur ton ventre, pour qu’elle rejoigne ton flanc gauche, cette fois. Là aussi, des lignes qui se distinguent de ta peau lisse. J’hoche doucement la tête à tes mots, décidant de ne pas poser de questions sur les sujets qui fâchent. Tu me retournais la fameuse question, ma main reposant sur ta taille. « Action. » J’aurais pu demander une vérité. Mais c’est ton contact qui m’avait poussé à choisir de poursuivre ça. Et puis, tu t’en doutais que j’allais choisir d’agir non ? J’étais comme ça. Agir valait mieux que parler. A voir selon ce que tu allais me demander de faire. 

« L’excuse bidon. » Elle finit par laisser un petit rire sortir de sa bouche parce que c’était plus fort qu’elle. Il aurait pu laisser les affaires dans l’eau, non ? Peut-être, elle ne savait pas trop et puis elle préférait croire qu’il aurait pu faire autrement. La blonde laissait sa langue glisser sur ses lèvres avant de répondre à sa demande, en glissant sa main sur son flanc droit, sur son tatouage avant de faire traverser cette main sur son ventre pour toucher son flanc gauche, son autre tatouage. Celui qui avait le plus d’importance en quelque sorte, celui qui devait l’aider dans le fond, mais bon parfois il fallait plus qu’un tatouage, surtout dans son cas, dans sa propre vie. Elle le regardait, laissant sa main sur sa peau se foutant clairement que ce n’était pas réellement une bonne idée. Ce n’était pas interdit non plus, si ? Sûrement pas, ils étaient tous les deux célibataires puis ils ne faisaient rien de mal, c’était toujours plaisant d’être désiré non ? De voir qu’on plaisait dans les regards d’un homme ou même d’une femme. C’était exactement ce qu’il se passait actuellement dans cette eau aux Bahamas, entre deux amis. Ouais, vraiment étrange dans le fond. La blonde laissait le silence se faire entre eux, réfléchissant à ce qu’il pourrait lui demander. Un sourire en coin finit par se dessiner sur ses lèvres avant qu’elle n’ouvre la bouche pour lui donner son défi. « Embrasse sur mon corps, la partie que tu préfères chez les femmes. » Légèrement dangereuse cette question, mais qu’importe. Elle se foutait clairement des conséquences et puis c’était toujours bien de connaître ce genre de détail, non ? La blonde le regardait attendant qu’il agisse, attendant qu’il le fasse et qu’elle découvre quelque chose sur lui. En soit, elle ne connaissait que très peu de choses sur l’homme qui était en face d’elle.

Un léger rapprochement grâce à ma requête. Ma main glisse sur tes flancs, avant de se reposer sur ta taille. Elle ne quitte pas ton corps, non. C’est bien trop agréable. J’suis bien trop charmeur pour ça aussi. Alors quand tu me retournes la question, moi aussi, je choisis de réaliser une action. Pour continuer sur notre lancée, pour continuer à créer cette proximité qui pourrait durer pour la nuit. Qui se serait envolée demain matin, mais ça m’allait comme ça. Peut-être qu’on avait juste besoin de quelqu’un d’autre, de quelqu’un de différent, pendant quelques heures perdues? Et puis, personne ne nous en empêchait… Au contraire, j’avais même l’impression que la tequila nous y poussait. Et ton action, elle me fait légèrement sourire. « J’peux pas. » J’aimais tout du corps féminin. Vos courbes, elles me faisaient perdre la tête. Votre poitrine, votre cou, votre taille, la cambrure de votre dos, vos hanches, vos cuisses, vos lèvres… Tout. Mais ma partie préférée… « Faudrait que je vienne t’embrasser… » Ma main toujours sur ta taille glisse maintenant un peu plus bas alors que je me rapproche de toi d’un pas assuré. Elle descend, elle passe sur ta hanche puis sur ta cuisse, avant que mes doigts ne se faufilent sur l’intérieur de celle-ci pour effleurer ta peau. « là… » terminais-je ma phrase dans un souffle. L’intérieur des cuisses. C’était pas l’entrecuisses, c’était pas votre intimité ; c’était la fine peau de l’intérieur de vos cuisses, quand on y remonte les doigts dans de douces caresses aguicheuses. Parce que cet endroit là, il ne manquait pas de vous faire frissonner. Parce que quand on arrivait là, vous saviez ce qui se préparait. Et qu’il y avait ce sentiment de désir, d’impatience parfois même qui planait dans l’air. Je relevais les yeux vers toi, plantant mes iris duochromés dans les tiens, tout près de toi maintenant, mes doigts toujours sur l’endroit où tu voulais initialement que je pose mes lèvres.  

Ce rapprochement pouvait être légèrement malsain, non ? Ou pas. Elle n’en savait trop rien, elle laissait juste les choses se faire grâce à ce jeu enfantin, c’était très clairement le cas sauf qu’ils y ajoutaient une touche un peu plus adulte, très adulte même. Ils s’étaient rapprochés, sa main était contre sa peau, sur sa taille après avoir touché ses flancs. Elle la laissait là, elle aimait bien sentir ce contact avec lui, ce premier vrai contact entre eux et c’était toujours agréable, non ? Carter lui donnait son action continuant dans le jeu, dans le rapprochement entre eux deux, c’était tellement mieux que de donner une action digne d’un enfant de trois ans. Sa lèvre se retrouvait entre ses dents alors qu’elle le laissait faire, elle lui avait donné son action donc elle attendait de savoir où il finirait par poser ses lèvres, mais il ne pouvait pas. Ouais, elle y croyait moyennement enfin sauf si cette partie se retrouvait sous l’eau, mais il avait forcément une partie préférée chez le corps d’une femme, obligatoirement. Comme les femmes préféraient une partie du corps chez les hommes, mais elle finissait par frissonner doucement en sentant sa main glisser encore sur sa peau, sa hanche, sa cuisse pour finir à l’intérieur de sa cuisse. La brune ne pouvait pas empêcher ses frissons puis pourquoi faire ? Carter ne doutait pas une seule seconde qu’il connaissait parfaitement l’effet que ça faisait chez les femmes de caresser ou même d’embrasser cette partie-là. « C’est dommage… » Ses mots sortaient dans un murmure de sa bouche ne pouvant pas faire autrement. Il ne pouvait pas le faire, mais bon il se rattrapait parfaitement en laissant ses doigts glisser sur la partie qu’il préférait. Elliot n’était pas obligé après tout. Il aurait juste pu dire l’endroit sans rien faire. « Vérité. » Carter aurait pu dire action, mais ça semblait juste trop logique dans le fond. Il devait sûrement se douter que c’était ce qu’elle allait dire, alors elle changeait pour voir ce qu’il pourrait lui dire. Mais très clairement, la jeune femme n’avait pas besoin de ce jeu pour être honnête, c’était dans sa nature de l’être voir un peu trop dans le fond.