Après avoir papoté avec hermès sur l'excursion et une fois que celui-ci ait accepté -même si c'est très certainement ironique- de le porter sur son dos si simen galère, son regard croise celui de colombe. Et bien évidemment vu ce qu'il y en a jeu entre eux, l'étudiant ne peut pas s'empêcher d'être méprisant, comme à son habitude. Même si avant le spring break ils se sont croisés et qu'il n'y a pas eu d'embrouille, leur petit "jeu" subsiste. Du coup le prince annonce direct la couleur en mettant en garde son bro' et en ignorant la jeune femme. « Une histoire à la con qui fait qu'on ne peut pas être "copain" » Offre-t-il comme réponse au pauvre philip qui s'interroge. Bon ce n'est pas très détaillé pour expliquer l'histoire, mais ça résume plutôt bien la situation. A cause du chantage, impossible pour les deux de s'accorder. D'où la réserve de simen face à la jeune femme. Il préfère rester méfiant en sa présence, on ne sait jamais quels coups elle peut faire. « Mais nous sommes là pour profiter d'une belle excursion dans la nature n'est-ce pas ? » No stress, c'est les vacances.

Forcément, tu ne peux pas passer une journée tranquille en compagnie d'un beau jeune homme. Non, il faut que Simen intervienne et gâche tout. Comme d'habitude. Tu fronces légèrement les sourcils lorsqu'il s'approche de vous en compagnie de son pote. Tu adoptes un air étonné lorsqu'il ajoute qu'il vaut mieux se méfier de toi.Tu... T'as pas le temps d'ajouter quoique ce soit que son pote te complimente sur ta tenue. Tu souris légèrement pour faire bonne impression même si les paroles de monsieur De Glücksbourg te restent en travers la gorge. Je te remercie, c'est gentil. Forcément, Philip commence à poser des questions et tu soupires légèrement en te tournant vers lui. Tu hausses légèrement les épaules avant de prendre la parole : Il peut pas me voir en peinture. Pourquoi ? J'en sais trop rien. Forcément, tu décides d'adopter un air innocent. Après tout, il l'est autant que toi ou tu ne l'es pas moins que lui.

En allant saluer tes frères Winthrop, tu ne t'attendais clairement pas à provoquer une telle réaction chez Simen. Sans la moindre gêne, ton bizut te conseille ouvertement de te méfier de ta jolie compagne et tu n'as pas la moindre idée de ce qui peut motiver un tel avertissement. Alors que tu essayes d'en savoir plus, Hermes a la gentillesse et la présence d'esprit de tenter de faire distraction auprès de la Cabot. Faudra que tu l'en remercies plus tard mais pour l'heure, tu tends l'oreille pour écouter le norvégien, qui ne te livre guère d'éléments en fait. Ta curiosité devra visiblement être satisfaite plus tard et vu la tension dans l'air, tu ne comptes pas insister pour avoir tes réponses dans l'immédiat. Colombe remet un peu d'huile sur le feu mais tu choisis de ne pas t'attarder sur cet incident. « Ok ok, bon effectivement il vaut mieux profiter de notre balade en toute tranquillité. » Inutile de gâcher la sortie de tout le monde. « Viens on part par là. » ajoutes-tu à l'attention de la jeune femme en glissant une main dans le creux de ses reins pour la guider un peu à l'écart du groupe. « A plus tard les gars. » lances-tu à tes camarades rouges, jetant un dernier coup d'oeil à Simen pour lui faire comprendre que tu ne cherches rien de bien sérieux avec la Cabot. Ta main toujours dans le dos de la brune, tu reportes toute ton attention sur elle et lui adresses un sourire enjôleur. « Bon on en était où nous déjà ? »

Simen et toi, c'est tout bonnement impossible. Vous ne pouvez pas vous empêcher de vous tirez dans les pattes pourtant, tu n'en attendais pas autant venant de sa part. Tu te dis que soit c'est une vengeance par rapport à la dernière fois, soit il a décidé de te pourrir la vie jusqu'au bout ou alors, ça le fait vraiment chier que tu tournes autour de ses amis. Dans ce cas là alors, il ferait mieux d'en choisir des un petit peu moins canons. En tout cas, tu adoptes un air totalement innocent alors qu'il t'attaque sans tarder. Tu te dis que de toute façon, il est obligé de tenir sa langue sinon, toi aussi t'auras des choses à balancer à son sujet. En fait, vous vous tirez mutuellement vers les bas alors que ça serait si facile pour vous de vous entendre au vu de vos comportements et caractères assez similaires. Philip décide de mettre fin à cette conversation qui n'a ni queue ni tête lorsqu'on y réfléchit bien. il pose sa main aux creux de tes reins pour t'éloigner des deux garçons. tu adresses un large sourire à Simen, assez contente de toi. Raté chéri ! que tu aimerais lui crier mais, tu te retiens. Enfin tous les deux, Philip reporte son attention sur ta petite personne et tu fais semblant de réfléchir un instant à sa question avant de répondre d'un ton plutôt provocateur mais à la fois complètement détaché : Je crois que t'étais en train de dire à quel point tu meurs d'envie de m'embrasser...

N'ayant pas le moindre indice sur la nature du différent entre Colombe et Simen, tu décides de passer outre l'avertissement de ton bizut pour t'isoler avec la belle sur un autre sentier. De toute manière tu veux juste passer du bon temps avec elle, rien de plus. Vous n'avez même pas besoin d'être amis ni même de vous connaître pour faire ça et probablement que vous vous ne croiserez plus après aujourd'hui. Tu fonces donc tête baissée, conformément à ce que tu avais prévu pour cette sortie en pleine nature. Parmi ses multiples qualités, le Spring Break a l'avantage de faire sauter quelques étapes traditionnelles dans les relations humaines et t'es agréablement surpris de constater que la Cabot semble être exactement sur la même longueur d'ondes que toi. Elle ne bronche pas lorsque tu poses ta main dans son dos et dès que vous vous retrouvez un peu à l'écart, elle t'aguiche ouvertement. « Ah oui ? » réponds-tu d'un air faussement étonné, comme en réaction à cette assurance certaine qu'elle affiche sans aucun complexe. « Mais j'crois bien que t'as raison. » avoues-tu pour briser un suspense qui n'a jamais existé. Tu stoppes votre marche pour attirer la brune contre toi et l'embrasser avec envie. T'es pas mécontent de pouvoir éviter tout le blabla préliminaire pour aller droit au but.  

T'as toujours été le genre de filles que l'on juge. Parfois, on a une bonne image de toi parce que tu te montres souriante, sociable, ouverte d'esprit, généreuse bref, la petite fille à papa on ne peut plus parfaite à qui on a vraiment rien à reprocher. Et puis parfois, tu décides de montrer la vraie toi. Cette petite garce sans cœur qui s'amuse avec les gens, légèrement égocentrique pour ne pas dire, uniquement tournée vers sa petite personne. Tu te montres manipulatrice, sournoise, prête à tout pour arriver à tes fins. Tu te dis que, comme c'est le Spring Break, tu vas faire des efforts pour te comporter comme une jeune femme normale. Tu vas faire un mixte de ces deux personnalités et tu vas passer de superbes vacances. Mais voilà, Simen arrive et il ne peut s'empêcher de te mettre des batons dans les roues. Tu tentes de ne rien montrer mais, t'as juste envie de lui en coller une sur le coup. Alors, peut-être un peu par vengeance, pour lui montrer que quoiqu'il dise, quoiqu'il fasse, il ne pourra pas t'atteindre, tu décides de jouer franc jeu avec Philip. Tu te montres on ne peut plus franche du moins, tu tentes de deviner ce qu'il attend de toi -comme la plupart des mecs, c'est ce que tu te dis. Et tu agis dans son sens. Il semble un peu surpris par tant d'honnêteté de ta part mais, ça finit par marcher puisqu'il t'attire contre lui pour t'embrasser. T'as rien à redire à cela. Tu te contentes de prolonger le baiser, nouant tes mains derrière sa nuque pour réduire davantage l'espace qui existe encore entre vous deux.

Tes mains sur les hanches de la Cabot, vous échangez un baiser assez intense pour une première, qui te laisse un large sourire sur le visage lorsque tu finis par le rompre sans pour autant t'écarter d'elle et de sa plastique parfaite. « Pourquoi je ne t'ai pas rencontrée plus tôt toi ? » dis-tu en haussant les sourcils tout en conservant ton sourire. En plus d'être totalement ton style de fille et de ne pas avoir froid aux yeux, elle sait apparemment très bien se servir de sa langue. Tu relâches ta prise sur ce corps si attirant pour te tourner vers le chemin tout tracé de la visite. « Ça te dit qu'on zappe un peu la sortie officielle pour explorer d'autres horizons ? » lui demandes-tu. Faudra que vous vous éloigniez un peu du sentier habituel afin d'avoir un peu de tranquillité et d'intimité mais elle n'a pas peur de trois feuilles vertes, c'est totalement faisable.

Tu décides de profiter. Tu décides aussi de montrer à Simen que tu peux avoir tout ce que tu veux et que ce ne sont pas ses propos qui vont changer quelque se soit. Tu prends les choses en main et il finit donc par t'embrasser. Forcément, tu prolonges le baiser et ce, jusqu'à qu'il rompt le contact sans pour autant reculer. Tu souris faiblement alors qu'il pose une question à laquelle tu ne peux apporter aucune réponse. Tu te contentais d'hausser légèrement les épaules. Alors là, j'en ai aucune idée ! Tu rigoles légèrement alors qu'il te lâche pour observer le chemin principal, celui duquel vous vous êtes éloignés. Il te propose de changer d'occupation, de ne pas suivre les autres et donc, les gars. Tu fais semblant de réfléchir quelques instants avant de te rappeler que ce sont les vacances et qu'il faut en profiter. Autant satisfaire tes pulsions. Tu hausses les épaules en esquivant un fin sourire. Je pense que c'est une bonne idée ! Mine de rien, tu te demandes où il va bien pouvoir t'emmener.

Pour peu qu’elle soit aussi bonne au lit qu’elle ne l’est d’apparence, t’aurais presque pu lui proposer d’être sexfriends si tu n’avais pas déjà eu Agathe dans ton répertoire. Mais avant toute chose, tu te dois de vérifier cette première supposition et donc de vous éloigner de la masse des visiteurs du parc pour vous trouver un coin plus isolé. Tu en fais la proposition à Colombe qui semble y réfléchir un peu avant de finalement approuver, les yeux pétillants. « Top. Viens on va par-là alors. » réponds-tu simplement tout en prenant sa main pour la guider à travers les arbres qui vous entourent. Vous quittez le sentier officiel pour vous aventurer en terrain inconnu et après quelques secondes de silence, tu la taquines un peu. « T’es bien courageuse en tout cas, t’as pas peur de partir toute seule dans la forêt avec un inconnu. Une aussi jolie fille que toi en plus, il pourrait t’arriver des bricoles… » Comme dans les films d’horreur, en général une scène qui débute ainsi n’annonce rien de bon.

Tu fais semblant de réfléchir un instant. Après tout, t'es une fille bien non ? Tu te respectes en temps soit peu alors, autant ne pas faire n'importe quoi et réfléchir avant d'agir. Sauf que voilà, c'est les vacances et t'as envie de te comporter comme une étudiante normale qui profite de ses vacances. Tu acceptes donc la proposition de Philip. Il n'aura pas eu besoin de te forcer la main en tout cas. Ta réponse à l'air de le satisfaire et tu le suis, ta main dans la sienne. Tu fais attention où tu mets les pieds. T'as pas envie de te casser une jambe, ça serait con. Ta réplique te fait rire et lever les yeux au ciel. C'est vrai que ce n'est pas très malin de ta part. Il trouve ça courageux alors que la plupart trouverait ça complètement inconscient. Ouais sauf que si personne n'a de mes nouvelles avant demain matin, mes parents risquent d'envoyer les secours, les forces spéciales, la marine, la mafia même bref... Autrement dit, s'il t'arrive quelque chose, la personne qui s'en sera prise à toi risque de passer les pires dernières heures de toute sa vie. N'importe quelle personne sensée te laisserait tranquille. Et puis, t'es là pour me protéger non ?! Tu tournes la tête vers lui, large sourire collé au visage. C'est peut-être trop lui demander pour le coup !