Pour une fois, c'est bon de ne pas se faire traiter comme une princesse. Enfin si, Côme me traite comme telle, mais en s'occupant de moi. Il me cuisine un bon petit repas, alors que je ne lui ai rien demandé. Je suis bien avec Côme, avec sa présence. J'aime les baisers chauds qu'il me donne, sa façon d'exprimer son désir envers moi. C'est étrange ce que je ressens avec lui, il m'apprécie pour moi, pour ma personnalité. Je ne suis pas qu'un corps pour lui, en même temps, nous n'avons pas encore couché ensemble, mais ça ne saurait tarder. Non, avec lui, je ne me sens pas comme une fille avec qui on ne veut que coucher. Il m'a fait découvrir son monde et là, il prend le temps de me faire à manger. Côme me prépare un bon bœuf bourguignon, ça sent divinement bon et la sauce qu'il vient de me faire goûter est délicieuse. Sauf que là, il me provoque encore en me faisant comprendre qu'il a envie de moi. Bon, ok, là, c'est trop, moi, je n'arrive plus à me retenir. Tout comme lui, j'ai envie de le découvrir, admirer son corps, de sentir ses lèvres contre ma peau, donc le repas, bien qu'il ait l'air super bon, attendra. Je baisse donc le feu, histoire que ça cuise doucement, sans rien brûler. Mes yeux sur lui, Côme ne perd pas de temps et se débarrasse directement de ma robe, qui glisse le long de mon corps pour se retrouver sur le sol. Adieu Cruella, bonjour Alice. Me retrouvant à présent en sous-vêtements sous son regard, je passe mes bras autour de son cou lorsqu'il me porte. Je dépose des baisers dans son cou, alors qu'il me pose sur la table et m'embrasse langoureusement. Je prolonge cet échange, ma langue allant caresser la sienne. Mes mains contre son corps, je lâche un petit souffle de bien-être, sentant ses lèvres glisser le long de mon cou, passant contre le collier qu'il m'a offert pour mon anniversaire. Je souris quand il me dit que je sens bon, alors un "Merci....", sors dans un petit souffle, ma main remontant dans sa chevelure. Le redressant, je le déshabille à mon tour. Je le place bien entre mes jambes, mes mains allant chercher la fermeture de son costume. Je fais tout d'abord glisser le haut, l'arrêtant à son bassin. Je souris en admirant son corps, passant mes mains sur son torse. Il est beau, musclé, il n'y a rien à dire. Je dépose alors des baisers contre ses pecs, son cou, sa mâchoire pour finir par retrouver ses lèvres.