...A cet instant, quand le temps s'est arrêté...

Ouais, suite à notre appel et surtout à ses deux derniers mots, ce fut plus fort que moi, j'ai speedé jusqu'à sa chambre comme un taré, comme si ma vie en dépendait quoi. Et c'est même sans frapper que j'entrais d'un coup, me retrouvant un poil essoufflé devant elle, mon Iphone encore en ligne dans la main. Là calme plat... Je la fixais un instant, avant de repousser la porte pour qu'elle se referme derrière moi et que je ne raccroche l'appel pour m'approcher d'elle en jetant mon tel parterre pour attraper dans ce même élan son visage et... L'embrasser. Qu'est ce qu'il me prenait là? Allez savoir, une chose est sûr, je laissais faire sans rien contrôler et franchement, je me rendais compte dans mon geste que j'attendais ça depuis longtemps. Le baiser ne dura que quelques secondes avant que je ne relâche ses lèvres pour plonger mes yeux dans les siens le souffle fort et le coeur me battant le torse, mes doigts vinrent glisser sur ses joues que je gardais entre mes mains et c'est là que je compris que j'avais été bien con de ne jamais l'avoir fait plus tôt. "Moi aussi je t'aime Briony..." Refermant mes yeux, je revins alors l'embrasser avec plus de passion encore pour profiter de ce putain de moment magique et merde! Je n'avais jamais ressenti un truc comme ça avant et ça me rendait totalement ivre.

Mon oreille contre mon smartphone, je ne l'entendais pu. J'entendais même plus son souffle. Juste des pas. Et je flippais. J'aurai jamais dû dire ça. Pourquoi est-ce que je l'avais dit même ? J'étais débile ou bien ? Ma discussion avec Jude ne m'avait pas fait que du bien hein.. je n'aurai pas dû l'écouter et partir, m'éloigner d'Hendrix quand il était encore temps. Maintenant, il savait. Mon meilleur ami savait que je l'aimais plus qu'en tant qu'ami. J'avais même osé dire les mots qui avaient pourtant été bannis de mon vocabulaire y a plus de cinq ans. Et j'avais même pas bu ce soir, aucune excuse donc. Grosse connerie. Hen..Hendrix ? J'avais une boule au ventre, les larmes aux coin de mes yeux tellement j'avais peur. Je ne m'étais jamais mise à nu comme ça et il me répondait pas. Si il m'avait dit ne serait-ce qu'un mot comme "wow", "ah" ou quelque chose d'autre j'aurai été.. rassurée. Qu'est-ce que j'avais espéré en disant ça ? Qu'il me dise "moi aussi" comme une idiote. J'allais de nouveau essayer de lui parler quand ma porte s'ouvrit sans qu'on ait toqué auparavant. Je fronça les sourcils, écartant mon téléphone de mon oreille et me pencher un peu sur le côté. Hendrix. Mon ventre se tordit. J’entrouvris la bouche mais la referma aussitôt, ne sachant pas quoi dire. J'arrivais même pu à parler en réalité. Hendrix s'avança et ferma la porte derrière lui. Je me leva pour aller à sa rencontre, bredouillant quelques mots, baissant mes yeux vers le sol, complètement démunie. Le bruit d'un téléphone tombant au sol se fit entendre et je releva mon regard dans un réflexe. Hendrix s'avança vers moi et captura mes lèvres pendant quelques secondes. Mon coeur battait la chamade, j'avais l'impression d'être une adolescente qui se faisait embrasser pour la première fois. J'avais des papillons dans le ventre tellement j'étais heureuse. "Moi aussi je t'aime Briony..." Je souris. Complètement niaise. Et ivre. Ca faisait un ptit moment que je n'avais pas ressenti autant de sensations positives.. ça en était déroutant. Nos lèvres se rejoignirent à nouveau, avec beaucoup plus de passion, de fougue. Je posa mes mains contre son torse quelques secondes puis entoura sa nuque pour me rapprocher encore plus de lui. Pour l'instant, je ne pensais plus à ce qui avait eu dans la passé, je ne pensais qu'à lui, à Hendrix. Et pourtant.. j'avais peur d'aller plus loin. Nous n'étions plus au lycée, forcément, il allait en demander.. plus.. et je savais que j'allais avoir un blocage.. Je fis cesser notre baiser et posa ma tête contre son épaule, heureuse de l'avoir pour moi, rien que pour moi. Et Solweig ? murmurais-je. Je n'étais pas rassurée par cette Eliot bien trop proche de lui..

Là je vous raconte pas le soulagement qu'à été de ne pas la sentir lutter même mieux! De la voir sourire alors qu'enfin j'osais m'ouvrir en lui répondant. C'est quand je la sentais savourer le baiser suivant que je m'ôtais finalement les dernières retenues que je m'étais imposé, je rapprochant d'elle et l'embrassant avec plus de fougue alors qu'elle posait ses contre mon torse pour ensuite les accrocher à ma nuque. FUCK que j'adorais ça! Et je m'en laissais un peu trop emporter d'ailleurs, mes mains glissant dans son dos l'une d'elles finissant même au creux de ses reins mais c'est là qu'elle stoppa le baiser, en venant poser sa tête contre mon épaule. Piouf tout doux Hendrix... Ouais fallait que je reste à ma place, j'avais pas non plus envie de lui faire peur quoi. Mais c'est là qu'elle vint poser LA question qui tua l'ambiance Et Solweig ?, fronçant les sourcils, je grimaçais même un peu vexé de la voir revenir dans la conversation dans un moment pareil. C'est surement visiblement offusqué que je répondais "Quoi Solweig? Mais j'en ai rien à foutre de Solweig moi!", ouais... terme un peu grossièrement exagéré qui en réalité voulait dire que je n'avais pas de sentiments plus qu'amicaux avec la Eliot et qu'à mes yeux, il n'y avait que Briony qui comptait. Mais bon moi et le vocabulaire... C'est l'écartant de moi pour recroiser son regard que j'ajoutais alors "Bri'... Je sais que ça devait pas vraiment se voir mais... J'ai toujours eus d'yeux que pour toi...", oula gros effort de ma part d'avouer un truc comme ça et d'ailleurs j'en sentais mon coeur se serrer en m'entendant m'ouvrir de la sorte et c'était relativement perturbant et inhabituel.

J'avais peur. Peur de la façon dont je me lâchais dans ses bras. Jamais je n'avais été comme ça, jamais je m'étais sentie aussi fébrile dans les bras de quelqu'un. Ses mains descendirent le long de mon dos et j'eus des frissons de plaisir. Ca allait partir en cacahuète tout ça.. Avec des regrets immenses, je stoppa le baiser, je stoppa tout. J'savais qu'il n'allait pas comprendre, bien trop pris dans l'action, dans le moment qu'on était en train de vivre. Mais tant pis. Il était pas dans ma tête. Il pouvait pas comprendre que si on allait plus loin, j'allais revivre ce qui s'était passé y a quatre ans avec Liam. J'avais peur de nouveau souffrir. C'était con hein.. mais avant de faire quoi que ce soit, je devais être rassurée. et la question que j'avais posé n'avait absolument pas plu à Hendrix. Ce qui était plutôt compréhensible en fait. "Quoi Solweig? Mais j'en ai rien à foutre de Solweig moi!" Ses paroles touchèrent directement mon coeur qui se mit encore plus à battre la chamade. Bon sang, faut vraiment que j'arrête d'avoir des réactions dignes d'une ado.. Un sourire étira mes lèvres tandis qu'il s'écartait de moi pour me regarder dans les yeux. "Bri'... Je sais que ça devait pas vraiment se voir mais... J'ai toujours eus d'yeux que pour toi..." pardon ? Hendrix était réellement en train de faire dans la niaiserie là ? Déjà qu'avant ce qu'il avait dit m'avait fait super plaisir, là.. c'était encore pire. J'fondais littéralement devant lui. Mes yeux commencèrent à briller et je passa doucement une main sur sa mâchoire. Je savais qu'il voulait que je me débloque plus vite pour qu'on puisse de nouveau s'embrasser, mais exprès je fis durer le moment. Fallait bien que j'profite de cette déclaration vu qu'il n'en faisait presque jamais à ses proches huhu. Ayant au bout de quelques secondes décrété que c'était bien suffisant, je me rapprocha de nouveau de lui et l'embrassa avec tendresse, avant de commencer à y aller crescendo. Je l'attira un peu plus à moi, oubliant quelques instants Liam et mes peurs, pour ne penser qu'à Hendrix, capturé entre mes bras. Étant légèrement - beaucoup - plus petite que lui, je bougea par moment, me dirigeant tout naturellement vers mon lit. Encore un peu plus et j'tomberai dessus..

Je sentais qu'elle avait peur d'où le fait qu'elle stop tout net comme ça, qu'elle me demande pour Solweig. Moi même ça me faisait bizarre voir même un peu flipper ce qu'il se passait là car merde c'était Bri' quoi! Je me rendais bien compte là qu'avec elle c'était différent, que je réagissais pas comme avec les autres nanas, ça me perturbait mais en même temps j'aimais ça au fond. Ouais c'était vraiment strange et pourtant en cet instant, je ne ferais demi tour pour rien au monde. Mais le fait que je m'ouvre à elle fit apparaitre un si beau sourire sur ses lèvres que le petit recule que j'avais ressenti un instant plus tôt disparaissait cash. Elle en avait les yeux pétillant d'émotion alors qu'elle passait sa main en douceur sur ma mâchoire et ça c'était franchement trop mignon quoi. Je souriais à la regarder comme ça, revenant en douceur coller mon front au sien avant qu'elle ne revienne m'embrasser tendrement puis progressivement plus librement. Soudain, elle m'attirait contre elle, nous décalant vers son lit tandis que je continuais à dévorer sa bouche. Je n'allais pas me plaindre! Profitant de son geste, je la poussais gentiment pour la faire tomber sur son lit, accompagnant sa descente de mon bras dans son dos. Maintenant au dessus d'elle, je marquais une pause pour la regarder un instant, ma main passant dans ses cheveux puis sur sa joue avant qu'un sourire en coin n'apparaisse et que je vienne déposer un nouveau baiser dans son cou. OK j'avoue, je réalisais là que j'avais envie de ça depuis v'la le temps! Mais aussi qu'il fallait que je me tienne car j'avais franchement pas envie de la faire fuir... Mais piouf... Dure moi je vous le dit! Ma Briony était enfin à MOI.

Je ne savais pas si aujourd'hui, j'allais réussir à me débloquer complètement mais plus je sentais Hendrix près de moi, plus j'me sentais.. bien, libre. J'attendais ce moment depuis tellement de temps que tout me semblait naturel. Je me rendais compte que j'avais été débile d'attendre aussi longtemps pour lui parler et même pour comprendre ce que je ressentais. Pourtant, y en avait eu des indices, oh oui.. nos engueulades, nos crises de jalousie et malgré tout qu'on soit aussi tactiles entre nous, que ce soit.. simple paradoxalement. Je l'attira plus vers moi, désireuse de réduire à néant la distance entre nos deux corps. Nos lèvres se rejoignaient encore et encore, avec de plus en plus de fougue, de passion. La chasteté, la pureté, la décence ? Pas pour nous ce soir, désolée. Le lit s'approchait de nous petit à petit et Hendrix m'y déposa doucement, après avoir glissé une main en bas de mon dos pour le faire avec délicatesse. Gentleman ? J'esquissa un sourire, alors qu'il venait déjà au dessus de moi et passa sa main dans mes cheveux, puis ensuite le long de ma joue. Chacun de ses contacts m'électrisaient. C'était le pouvoir d'Hendrix, il me rendait folle.. J'osais rien dire, ne voulant pas à nouveau briser un moment aussi important, beau.. Il se rapprocha à nouveau de moi, déposa ses lèvres contre mon cou et je ne pus m'empêcher de soupirer légèrement de plaisir.. Je passa ma main dans ses cheveux avant de descendre vers sa mâchoire, pour pouvoir de nouveau embrasser ses lèvres. J'en voulais plus. J'me rendais pas compte que j'étais déjà allée au delà de mes limites et que bientôt les souvenirs de cette nuit y a quelques années s'imposeront à moi. J'étais aveugle. Et je désirais Hendrix plus que tout en cet instant. Mes mains se firent baladeuses sous son haut, l'incitant ainsi à l'enlever. Nos lèvres ne se quittèrent quasiment plus, nos corps plus proches que jamais. Pour l'instant, c'était lui qui dominait.. mais la donne pouvait très rapidement changer, n'est-il pas ?

Son sourire en cet instant... Il était juste magique. Et j'me lassais pas de la regarder comme je le faisais là, de tout bonnement la dévorer amoureusement des yeux avant que je ne me laisse tenter à lui déposer quelques doux baisers dans le cou. Sa main dans mes cheveux m'enivrait avant qu'elle ne vienne ressaisir ma mâchoire afin de m'embrasser de nouveau. Franchement de ce gout là.. J'étais pas prêt de m'en passer! La laissant balader ses mains sous mon débardeur, je fini par carrément l'enlever pour revenir l'embrasser fougueusement. Me laissant prêter au jeu mais surtout à l'envie, mes mains aussi commençaient à venir se balader sur elle, sa poitrine, son ventre, ses hanches glissant le long de ses courbes juste parfaites pour que l'une d'elle ne vienne passer sur ses fesses pour s'accrocher à sa cuisse. Elle me rendait dingue, (dingue dingue dingue, le chanterait si bien C. Maé) mais contrairement à la sauvagerie que je pouvais avoir parfois, genre comme avec Diamond... Hum hum, avec elle, j'étais le plus doux possible comme pour prendre soin et savourer le plus précieux des trésors. Je dis alors entre deux baisers "Tu me rends fou tu sais ça..?" Elle était maintenant mienne et je la voulais plus que tout au monde.

Je savais que des tas de filles l'avaient eu dans son lit, mais si y a bien une chose dont j'étais certaine c'est que jamais elles n'avaient eu le droit au regard qu'il me lançait -et qui faisait accessoirement accélérer mon coeur au point que j'avais peur qu'il l'entende-, ni à la tendresse avec laquelle il me touchait. Il m'aimait. J'en étais sûre, j'en étais certaine. L'avoir près de moi, pouvoir passer mes mains en dessous de son t-shirt comme bon me semblait au point qu'il l'enlève carrément pour que tout soit plus simple, c'était parfait. J'étais heureuse, j'avais des étoiles dans les yeux. Peut-être que maintenant, j'allais pouvoir enfin me laisser aller, sans me poser de question, sans repenser au passé. Je l'espérais. Je voulais pas décevoir Hendrix. J'avais l'impression que je devais certainement pas être "faible" aujourd'hui, que je devais lui laisser une bonne impression et céder à tous ses désirs. Quand il passa à son tour ses mains sous mon haut, le long de mon corps, de mes hanches, de ma poitrine, je me sentis revivre, électrisée par ce contact qui dura assez longtemps pour me rendre folle. Il était à moi désormais et je comptais bien en profiter. Comment ça ? Moi, possessive ? Absolument pas, j'vois pas pourquoi vous dites ça nan mais oh. Hendrix passa sa main sous mes fesses avant d'accrocher ma cuisse. "Tu me rends fou tu sais ça..?"dit-il entre deux baisers, de quoi me rendre encore plus niaise. Je l'espérais.. répondis-je avec un sourire. Cédant à ses envies, j'enleva à mon tour mon haut, me retrouvant en soutien gorge face à lui. C'était pas la première fois qu'il me voyait comme ça, mais c'était la première fois que j'voulais qu'il me trouve belle. Qu'il me voit comme une femme désirable et non comme une pote, une meilleure amie. Hendrix commençait à devenir encore plus entreprenant qu'auparavant et une sensation de malaise m'envahit.. nan.. fallait pas, j'voulais pas. Et pourtant.. sa main sur ma cuisse, lui au dessus de moi m'embrassant avec une fougue sans égale, sans que je contrôle quoi que ce soit, tout me rappelait mon viol. Je le repoussa légèrement et fis en sorte que ce soit moi désormais qui domine, qui soit au dessus de lui à califourchon. Un sourire victorieux cacha mon malaise et je recommença à l'embrasser avec passion, descendant dans mon cou puis le long de son torse avant de revenir à ses lèvres qui m'appelaient. Il fallait plus que je sois en dessous..

Je l'espérais.. j'aimais l'entendre me dire ça avec son beau sourire! Je la regardais enlever son haut avec envie car wouaaah que c'était bon de voir ça. Je pouvais pas nier que son corps me faisait tout simplement fantasmer, Bri' était juste magnifique et ça, même si je l'avais déjà vu auparavant, la voir de déshabiller là pour moi, pour mon plaisir, franchement ça n'avait pas de prix. Me pinçant la lèvre, je ne me montrait que plus entreprenant et fallait avouer que ça devenait dure de me retenir là mais très vite, je la sentais frissonner et doucement, elle vint me repousser pour se placer au dessus de moi à califourchon. Me laissant faire, je ne voulais pas la brusquer et encore moins gâcher ce moment entre nous, alors je me contentais de la suivre, la fixant droit dans les yeux un instant surpris mais très vite, je me léchais la lèvre un sourire en coin apparaissant sur mon visage quand je vis son sourire victorieux! D'un sens ça ne me déplaisait pas de la voir faire ça, au contraire! Laissant mes mains glisser dans son dos alors qu'elle revenait m'embrasser avec passion, profitant de son nouveau statut pour glisser ses lèvres dans mon cou et sur mon torse au passage. Si elle préférait la jouer comme ça, soit! Je n'allais pas m'y opposer, pour elle, j'étais prêt à faire bien des sacrifices! C'était la première fois que je me soumette comme ça et pourtant, j'aimais tout lui céder ainsi.

Tout était tellement parfait que je n'avais pas pensé à ce qui allait se passer. J'allais le décevoir, je le sentais. Pourtant, tout avait bien commencé. Moi dans ses bras, le coeur battant la chamade, lui qui prenait possession de mes lèvres avec passion. Qu'est-ce qu'une femme amoureuse pouvait demander de plus sérieusement ? Son regard lorsqu'il m'avait vu enlever mon haut avait été.. parfait. Pas pervers comme d'autres auraient pu et encore moins non respectueux. Il voulait que tout se passe bien et me rendait encore plus malade. C'est moi qui avais un bug dans l'histoire, moi qui allait tout faire foirer. Il allait partir de ma chambre direct, ne pu jamais vouloir me voir, cracher dans mon dos.. bon, peut-être que je m'emballais là. J'avais cru que tout serait plus simple si je n'étais pu en dessous, mais rien n'y fit. J'avais toujours mal au ventre. Mais je continuais à l'embrasser. Ses lèvres, son cou, sa mâchoire. Je m'attarda quelques petites secondes sur son torse et son bas ventre avant de finalement remonter vers son visage. Je n'avais pu l'habitude d'être aussi proche d'un homme, c'était limite comme si c'était ma première fois. Ma seconde première fois. Ce que j'avais fait avec Kol cet été.. ça comptait pas. J'étais bourrée, lui aussi et ça avait fini nawak. Alors que là.. Hendrix se montrait plutôt entreprenant et finalement je me retrouva de nouveau en dessous de lui, en dessous de ses baisers. Nan.. Quatre ans que c'était passé mais avec toujours des putains de conséquences.. Arrêtes.. s'il te plaît.. Je me sentais petit à petit mal. Parce que j'avais peur, parce que j'aurai dû me forcer, parce qu'il allait rien comprendre.