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Lien du postMer 17 Jan - 11:48

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feat. Oliver & Jax

Je le regarde dans les yeux intensément, parce que je sais absolument que j'ai touché un point faible. Il ressent les sensations tout comme je ressent la chaleur qui passe de l'un à l'autre, on commence à être tendu, on veux l'autre. Cependant, sa se jouera à celui qui saute sur l'autre en premier. Je souris grandement et je mordille mes lèvres. Je sais qu'il aime quand je fais a et j'avoue je m'en sert pour le faire craqué. Je sais pas quand exactement on à apprit à faire céder l'autre, parce que vous fiez pas à l'apparence parfois je suis le premier à craqué et je suis aussi le premier à lui sauter dessus, mais aujourd'hui j'ai envie de le poussé à bout, parce que ma victoire en sera que plus délicieuse. Et puis je saurais comment le comblé aussi, on joue mais quand il s'agit de nos sentiments on ne joue, on est brut. Détruit par nos passé, on se construit ensemble, on travaille sur nos sentiments parfois ensemble, parfois l'un pour l'autre. On est encore timide dans tout ça et je sens encore que je m'hérite pas un homme pareil il est tellement doux, tellement adorable et pourtant en cet instant là il est sexy. Genre, vraiment sexy comme s'il faisait tout pour l'être mais au naturelle, je pourrais m'exciter tout seul en le regardant ainsi, même s'il me bouffe déjà du regard. Respire Jax, détend-toi ou tu va craqué en premier. Puis parlant de son père on change du tout au tout de sujet comme s'il s'agissait de choisir des chaussettes, le sexe n'est plus discutions première. Je souris pourtant en regardant Oliver, comment est-ce qu'on fais sérieusement ? On passe d'un sujet à l'autre avec une parfaite synchronisation, comme si c'était rien puis on reviens au sujet brulant qui nous met dans tout nos états. Il s'étonne que je mette un muselière à Daeron, mon chien. Je ris. « Figure-toi que même s'il est une peluche avec une option big love comme tu me dis, les flic le voient pas comme ça. J'ai déjà sortis Daeron sans laisse parce que comme tu dis il ferais de mal à personne sauf que je me suis fait arrêté par les flic qui eux le voyais pas de la même manière, ils m'ont dis qu'il fallait que j'achète une laisse et même un muselière parce qu'on sais jamais s'il saute sur un gosse avec son poids il pourrais faire mal avec dans l'optique de jouer. Du coup, quand je vais dans de grands endroits ou il y a du monde je suis obligé de la lui mettre, mais t'inquiète pas il est habitué et puis elle est douce la sienne, puis il est content parce qu'il est récompensé quand je la lui retire. Il voit pas ça comme un punition parce que je m'occupe de lui faire plaisir quand il l'a porte correctement. Si on finit par partir en vacance avec la peluche je serais obligé Oliver, j'ai pas vraiment envie qu'on me le retire ou pire qu'on l'euthanasie parce que les gens le connaissent pas et qu'ils auront pensé qu'il est méchant... » Je regarde Daeron et je souris, il est tellement adorable comme chien dans le fond, je croit que si on venais à me le retiré je supporterais pas. Je croit que j'en deviendrais fou, parce qu'il à souvent été là pour moi depuis des années, et si je venais à le perdre... Je préfère pas prendre le risque dans le fond c'est pas plus mal comme ça. Puis Oliver dis qu'il me croit quand je dis que mon chien attire les foules et tourne la phrase en me disant qu'on attire, le chien et moi les regards, je souris sournoisement. « Est-ce que j'entends un léger trait de jalousie monsieur Davis ? Parce que j'arrive à trouvé ça assez adorable figure toi ! Et puis dans le fond tu sais à qui j'ai envie de faire tourné la tête. » Je pouffe de rire en pensant à lui évidemment. Il dis à voix haute que j'ai envie d'avoir son bassin contre le mien. Je souris en coin, il n'imagine pas à quel point j'en ai envie, j'ai déjà la respiration courte rien que d'y pensé. « Oh Oliver, tu est un tentation à toi seul, bien sûr que j'ai envie de te prendre et d'avoir ton bassin contre le mien... » Je mord ma lèvre à nouveau et je lui fais un clin d'œil. Il perd son sourire quand je lui parle de mon passé et je grimace un peu, je n'aime pas sa lui faire perdre son sourire. Je veux pas que ce soir on en parle, je veux juste lui et moi ce soir, juste nos sentiments... rien d'autre. « Bien sûr, que j'aime ton cadeau ! Il est parfais, et tu ne m'as pas blessé Oliver, loin de là. Mais s'il te plais n'en parlons pas ce soir, c'est mon premier noël qui vaille le coup d'être fêté alors profitons de ça d'accord ? » Après avoir reprit mon sourire, il se peint naturellement sur mon visage quand il dis que c'est Carter qui les lui as offert, je pouffe de rire, elle dis qu'elle m'aime pas mais elle s'amuse à donner des pareilles choses pour que je puisse jouer avec son cousin. Elle doit bien savoir que je serais celui avec qui Oliver les userais... Je pouffe de rire quand il reprends en me demandant si avec mes idées perverses on pourrais s'en servir, je glisse mes mains sur ses hanches et en le regardant dans les yeux, je hoche la tête. « Bien sûr, si tu te sens à l'aise avec l'idée qu'on s'en servent tout les deux on pourrais s'en servir, mais tu sais ce qu'on dis des menottes ? Il faut une confiance aveugle en ton partenaire avec tu t'en sers, il est dis que lorsque tu lui donne la possibilité de t'attacher ton partenaire pourra tout faire avec toi, dans le sens sexuel mais tu lui donnera par la même occasion aussi une confiance sans retour. Est-ce que tu te sens prêt à ça. Je te le dis au cas ou tu te poserais la question... » Je prends les menottes et j'en met un à mon bas le refermant doucement, avant de regarder Oliver avec un sourire et d'attacher son bras avec l'autre. « Moi, j'en suis conscient et bien sûr j'ai totale confiance en toi, je sais que tu pourrais faire tout ce que tu voudrais avec moi, je te laisserais faire, Oliver. » Puis j'approche doucement mon visage de celui d'Oliver et je pose lentement mes lèvres sur les siennes, pour un baiser des plus fougueux que j'ai jamais partager avec lui.

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Lien du postJeu 18 Jan - 5:13

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Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis

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Étonné, je penche la tête sur le côté alors que Jax m’expliques que les flics ne rigolent pas vraiment en particulier parce que Daeron, même s’il a l’air d’une peluche, est assez massif dans son genre. C’est beaucoup à cause de sa fourrure, mais pour m’être fait sauter dessus une ou deux fois pour un câlin de sa part, je confirme qu’il a un certain poids. Alors, de ce côté, je peux comprendre qu’ils aient peur qu’il renverse un enfant, même si je continue de penser que le seul temps où ce chien pourrait devenir dangereux c’est si Jax est en danger. Cependant, je n’ajoute rien, me contentant d’hocher la tête en jetant un regard au quadrupède. Je me rangerai sous les arguments de Jax, c’est son chien après tout et il sait beaucoup mieux que moi comment en prendre soin, mais je sais que ça me fatiguera de le voir avec ça. Je sais pas, je le vois tellement inoffensif que j’ai l’impression que c’est une grosse punition de lui faire porter ça. Après, je veux pas non plus qu’on le retire à Jax ou pire, comme il dit, qu’il soit obligé de l’euthanasie. Je sais à quel point il tient à sa brave bête. Y’a qu’à le voir pour comprendre que c’est son buddy.

Lui ayant fait remarquer qu’il attirait autant les regards que sa boule de poils, je ris légèrement lorsqu’il me questionne, pensant entendre de la jalousie dans mes paroles.

- Non, pas de jalousie, navré, m’excusais-je avec un sourire doux. Mais je sais que plusieurs tournent la tête pour te voir quand tu passes. Je suis pas stupide au point de croire que y’a que moi qui a remarqué ton allure, fis-je avec un léger rire. Je devrais peut-être d’ailleurs m’en sentir flatté que malgré tous les regards, ce soit avec moi que tu aies envies d’être.

Y’aurait probablement quelques filles qui voudraient me voir dégagé du portrait si elles savaient. Et malgré ce qu’il n’y a peut-être jamais pensé, je serais prêt à jurer que y’a bien des mecs qui le détaillent aussi. Et ça sera peut-être encore plus flagrant si on s’affiche ouvertement.

- Tu sais que tu peux continuer de regarder les filles, ou même jetter un coup d’oeil à des gars sans que je pètes un plomb? Le questionnais-je sur un ton tranquille. Je sais que je t’ai dit que j’avais parfois de la difficulté avec mes réactions, mais je te demande pas non plus de porter des oeillères, expliquais-je. Et puis, si je te le demandais, ce serait des plus égoïste de ma part considérant que j’ai des cours de dessins ou des séances photos avec modèles, ajoutais-je.

J’ai pas envie qu’il pense qu’il a besoin de baisser la tête chaque fois qu’une belle fille passe. Je veux dire, je laisse mon regard flâner aussi parfois, mais tant que j’ai pas l’impression qu’il teste la marchandise ou que la dite “marchandise” se fait pas trop insistante à son égard, je crois que ça devrait aller. Et puis, c’est pas comme si je sentais pas son désir quand il parle de nos ébats, passés ou futurs. Comme maintenant alors qu’il me confirme que j’ai bien relevé ses paroles en parlant de mon bassin contre le sien. C’est vrai que c’est tentant. Très tentant. Qui plus est qu’il fait exprès de me provoquer en se mordant les lèvres. Voulant garder un peu le contrôle de moi-même, je ravale le grondement qui allait se faire entendre pour plutôt pointer le bout de ma langue entre mes lèvres. Réaction somme toute quelque peu enfantine à sa provocation, mais bon.

Perdant un peu mon sourire en réalisant que, voulant me moquer gentiment de sa réaction au cadeau, je l’ai peut-être insulté, je m’excuse avec une voix qui se veut plus douce. Je ne voulais pas le vexer. Je ne savais pas qu’il y avait toute une histoire derrière Noël pour lui, mais, maintenant que je le sais, j’ai envie de m’assurer que ça ne se reproduira plus : qu’il sera heureux pour Noël. Hochant la tête pour lui montrer que je le suis sur le changement de sujets, on reste tout de même dans le rayon des cadeaux, puisqu’après avoir déballer les miens et ayant réussi à lui tirer ce que je considère comme un bonus, soit de le faire poser pour moi, je lui montre ce que Carter m’a offert et que j’étais curieux de voir sa réaction. À ses dires, il semble avoir déjà songé à cette option, ayant même peut-être une idée bien précise pour leur utilisation. Cependant, son petit discours m’étonne.

- J’ai pas l’impression que tu me créeras du tord, si je te laisse t’en servir sur moi, fis-je tranquillement, sans même hésiter. Je suis curieux, peut-être un peu fébrile de ce que ça va donner. Si jamais ça ne me convient pas, je crois que je n’aurais qu’à te le signifier, expliquais-je.

Surpris, je le vois refermer le premier bracelet à son poignet. Ha tiens, c’est pas ce que… Lorsque le verrou de l’autre cerceau métallique s’enclenche autour de mon poignet, je lui jette un regard. C’est pas vraiment comme ça que je voyais la chose à dire vrai. Sauf que je ne peux m’empêcher de sourire, heureux, mais vaguement amusé par ses paroles. J’ai un léger doute que je pourrais faire “tout” ce que je veux. Peut-être un jour, j’écarte pas la possibilité de lui proposer, mais disons que là, c’est pas le moment. Et puis, c’est pas vraiment ce que j’ai envie. Surtout pas quand il ravive mes envies en m’embrassant de la sorte!

- Et si tu me démontrais que tes capables de réaliser les propositions que tu me faisait tantôt pour me chauffer? Proposais-je avec un sourire en coin lorsqu’il me permet à nouveau de respirer.

J’ai toute la nuit et j’ai rien contre le fait de ne plus avoir de voix si c’est parce qu’il m’a fait gémir de plaisir toute la nuit!

joemaw
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Lien du postJeu 18 Jan - 15:56

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On s'éloigne du sujet sensuel, de tout ce que j'aimerais lui faire cette nuit et j'en soupire doucement d'appréhension parce qu'il reviendra forcément sur le tapis à un moment ou a un autre. Je souris quand Oliver semble des plus surpris quand je parle des flics. « Il est bien aimé par le public quand je suis dehors, Daeron, et même le flic qui m'a demandé de lui mettre une muselière l'avais bien aimé mais il m'avais donné ce conseil pour pas que je tombe sur des flics qui eux me filerais une amende ou autre à cause de lui du coup j'ai préféré l'habituer et il ne s'en plein pas vraiment, tu le verrais il viens de lui même quand je la sort, il place tout seul son museau dedans et elle n'est pas attaché serré. Un jour je te montrerais les tours que je lui ai appris avec pour ne pas qu'il pense que ce soit un punition. » Puis franchement avec le passé que j'ai avec les flics je préfère de loin ne pas les attiré à moi, s'il me font un contrôle ils verront mon casier et c'est pas reluisant, je voudrais pas gâché la soirée avec ses histoire mais un jour j'en parlerais avec Oliver. Je le mettrais au courant, si son frère ne l'a pas déjà faire, après tout de ce que je me rappelle de son frère c'est qu'il est flic lui aussi. Je finit par rire quand il s'excuse que ce ne soit pas de la jalousie et je lui fait un clin d'œil je sais bien qu'il n'est pas jaloux il n'a pas à l'être il à une totale confiance en moi alors je pense qu'il n'y en aura pas souvent de la jalousie entre nous. Oh ! Alors il remarque que certaine personne se retourne sur moi, dans la rue. Je souris plus encore. «Alors tu as vu ça ? Qu'on se retourne pour me regarder ? Et tu penses que je leurs fais de l'effet ou quelque chose comme ça ? Parce que je t'avoue que je fais pas vraiment attention à ça moi, je suis plus du genre à dragué en premier, pas sur ceux qui s'intéresse à moi. En fait c'est bizarre , mais la première nuit qu'on à partager ensemble, j'arrive plus à me souvenir si c'était moi qui t'avais dragué ou le contraire, tu t'en rappelle toi ? » Il dis ensuite qu'il est flatté dans le fond parce que moi j'ai envie d'être avec lui. « Pourquoi j'aurais envie d'être avec quelqu'un d'autre que toi Oli ? Dans le fond on est bien tout les deux, on se ressemble assez, pas du genre à chercher la merde ou les histoires même si sa m'arrive parfois moi, on est deux lapins qui aiment passé du temps ensemble et on s'amuse bien au lit comme ailleurs, on ris et je trouve que c'est bien pour une relation. Alors ouais j'ai envie d'être avec toi et pas ceux qui voudraient juste coucher avec moi, en tout j'en ressent plus l'envie depuis un moment... » Même ce sujet est complexe parce qu'Oliver sait que j'ai eu beaucoup de coup d'un soirs et que je suis pas doué pour les relations amoureuses, au moins il vit que je fais des effort et sa penche en ma faveur. Je souris doucement et je caresse sa main encore dans la mienne depuis que je nous ais attacher avec les deux menottes. Mais il continue en me disant que je peux regarder les autres filles si j'en ai envie, et j'affiche une moue surprise. Puis le reste de sa phrase me fait rire franchement. «Je sais bien Oliver, dans le fond ce que tu veux pas c'est être trompé, et puis je t'avoue qu'en mon instinct je pourrais mettre des oeillières, parce que j'aime regarder les gens c'est comme ça. Mais je sais que je ferais attention si quelqu'un va trop loin avec moi. » En fait, je laisserais personne aller trop loin avec moi, parce que je pense que j'apprécierais pas qu'Oliver fasse la même choses, mais je deviendra pas égoïste à ne le laisser voir personne, tout simplement parce qu'il ferais pas la même choses avec moi mais aussi parce que je sais bien que c'est bête et qu'on détruit un couple en faisant ce genre de choses. Je veux que sa dure entre Oliver et moi aussi longtemps que ce sera possible entre nous. Puis je le disait on s'amuse tout les deux et sa deviens de plus en plus sérieux alors je veux que sa continue dans ce sens. On parle finalement des menottes et de son autorisation, il me laisserais les usées sur lui et j'en souris grandement en venant lui voler un petit baiser. Je ris un peu quand il dis qu'il est fébrile. « J'avoue que sa donne envie d'essayé, sa donne aussi envie de se lâcher, et je doit avouer que je suis vraiment content que tu me dise que tu te laisserais faire si je voulais qu'on s'en servent, je croit que j'apprécierais aussi que tu me dise que tu n'aime ou pas qu'on s'en serve c'est une chose essentielle je pense. » Je souris et je viens embrasser son coup doucement je m'amuse de ses petits frisson quand je l'entend me demandé de faire mes preuves sur tout ce qu'on s'est dis avant. Je glisse ma main sous son haut avant de sourire et de cherche les clé des menottes. Je regarde Oliver et je prends sa deuxième main la glissant à son dos et je l'attache avec la deuxième. «Alors on saute comme des lapins avant même de manger le repas que tu as apporté ? Je penses pas que ce soit une mauvaise idées personnellement...» Je viens l'embrasser à nouveau en souriant contre ses lèvres, j'attends cependant qu'il me donne son avis avant de continuer, même si je ne peut m'empêcher de glisser mes doigts sous son haut et de caressé ses tétons doucement pinçant mes lèvres. J'aime ça, le rendre fou de moi.

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Lien du postVen 19 Jan - 7:25

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Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis

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Penchant la tête sur le côté, je ne peux m’empêcher un regard vers la boule de poils format géant tandis que Jax m’explique les raisons de la muselière, même s’il dit qu’il plait au public. C’est de la précaution, mais surtout pour ne pas se faire emmerder. Je connais effectivement au moins un flic qui aurait pu lui tomber dessus avec ça, peut-être juste parce que la tête du propriétaire lui revient pas ou parce qu’il traîne avec moi. …mouais. Faudra qu’on évite certains quartiers, je crois. Encore heureux que le paternel fasse pas trop dans les attraits touristiques! Me recentrant sur les paroles de Jax, j’hoche la tête légèrement. Il sait définitivement mieux ce qui convient ou est bien pour son chien. Et puis, je veux pas qu’il aie de problèmes.

Lui ayant fait remarquer que Daeron n’est pas le seul a faire tourner les têtes, il plaisante en me demandant si je ne serais pas jaloux de cette attention. Bien honnête, je dois lui répondre que non et le tout semble l’amuser.

- Oh, tu dois enflammer l’esprit de quelques personnes sur ton passage. Et y’en a surement qui s’imagine a ton bras ou dans ton lit, affirmais-je sans même hésiter.

Je peux pas croire qu’il le remarque pas ou qu’il en a pas légèrement conscience. Mais c’est peut-être ce qui fait son mérite en fait : c’est jamais top de tomber sur quelqu’un qui passe son temps à vanter ses propres mérites.

Un instant, suite à sa question, la surprise se peint sur mes traits avant qu’ils ne s'adoucissent et que je ne lui souris.

- T’as passé un commentaire pendant que j’attendais mon verre au bar et ça m’a fait rire. C’était le premier éclat de joie en quelques jours. Alors je t’ai collé au basques toute la soirée, lui rappelais-je, amusé. Je t’ai dragué ouvertement à quelques reprises et tu me repoussais jamais complètement, alors j’ai fait mon gros lourd, admis-je avec un rire. L’alcool a peut-être fait pencher la balance en ma faveur, avouais-je.

Je suis pas si doué, qu’on se le dise! Mais on a bu beaucoup et on passait un bon moment, alors, bon. Et puis, il a finit par dire qu’il voulait pas mourir con. C’est peut-être stupide, mais sans le savoir, il m’a vraiment aider ce soir là, s’il m’avait pas fait rire avec sa remarque, j’aurais probablement fini la nuit aux urgences comme à mon habitude, plutôt qu’avec lui dans mon lit!

Soulevant, pour rire, le fait que je devrais peut-être être flatté, il me surprend dans sa réponse et pourtant, je ne peux qu'acquiescer. C’est sensiblement comme ça que je le vois. On est bien ensemble, on se casse pas la tête et on passe de bons moments, alors pourquoi pas?

- Tu sais, t’es déjà assuré de m’avoir dans tes bras pour la nuit, t’es pas obligé de me faire un discours pour me charmer? Fis-je sur le ton de la plaisanterie, avant de redevenir plus sérieux et de lui sourire calmement. C’est aussi comme ça que je le vois, c’est pourquoi je t’ai demandé si on pouvait être plus que des amants, expliquais-je avant de lui voler un léger baiser.

J’ai pris une chance en lui demandant, sachant qu’il m’avait déjà expliqué qu’il était pas vraiment du genre à s’attacher, préférant les histoires d’un soir aux grands chapitres d’amour. Et, j’en suis encore parfois sur le cul qu’il développe autant de volonté à vouloir être avec moi. Même si, je peux pas trouver ça autrement que adorable. Sauf que je dois avouer que ça me fait un peu peur. J’ai pas peur de lui; j’ai peur de moi. De mes réactions et de mes sentiments. De ce que ça pourrait donner si je tombait amoureux de lui et de ce que ça donnerait, combien je le blesserais si finalement ce n'était pas le cas. Mais je veux pas y penser. Je fais comme m’a conseillé Carter : j’arrête de me prendre la tête et je laisse les choses se faire. Et, un jour, j’aurai peut-être la réponse sans même me poser la question.

Une légère grimace déforme un faible instant mes traits à la mention de tromperie avant que je ne reprenne un air plus neutre et que je détourne légèrement la tête. Y’a une grosse histoire avec ça et il le sait. Et c’est pas ce soir que j’ai envie d’approfondir le sujet. Il m’assure quand même qu’il fera attention si quelqu’un lui fait des avances et j’ai un léger sourire. Posant une main sur sa joue, je me veux tendre quand je viens capter ses lèvres. Je sais Jax. Tu me donnes l’impression que je regretterai.
Passant au sujet des menottes, il semble finalement grandement apprécier le cadeau qu’on m’a offert.

- T’apprendras avec le temps que je suis assez ouvert à essayer de nouvelles choses, m’amusais-je. Et si y’a quelque chose que j’aime pas, tu le sauras. Autant que je te le laisse savoir quand tu fais quelque chose que j’aime, ajoutais-je soupirant de plaisir sur la fin puisqu’il a déjà entreprit de me dévorer le cou.

Le provoquant légèrement, je suis bien obligé de suivre sa main lorsqu’il la planque sous mon t-shirt, jouant doucement de mes terminaisons nerveuses. Guidé par lui, je me retrouve rapidement avec les deux mains dans le dos, sentant la fausse fourrure autour de mes poignets. Par curiosité, je bouge un peu pour voir les limites et la tension que ça donne. C’est pas désagréable.

- Bah ça ouvre l’appétit de faire du sport, non? Demandais-je innocemment. Et puis, si t’insiste, je peux bien goûter autre chose, proposais-je, me léchant les lèvres pour le provoquer.

Répondant à son baiser avec plaisir, j’ai un petit bémol en ayant l’impression qu’il attend quelque chose. Est-ce qu’il a peur de me blesser ou de m’effrayer? Encore contre ses lèvres, je souffle doucement, frissonnant déjà légèrement sous ses doigts.

- N’attends pas d'approbation de ma part, prends en compte que tu l’as déjà, expliquais-je. Ce soir, je veux savoir ce que ça fait si tu as tous les droits et que tu te laisses aller à tes “pensées perverses”, lui indiquais-je, frôlant ses lèvres, remuant légèrement le bassin pour le faire réagir.

Après tout, je suis déjà à sa merci comme ça. Et puis, je suis certain que je le regretterai pas. Au contraire!

joemaw
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Lien du postVen 19 Jan - 17:32

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Je regarde Oliver et je souris quand il regarde mon chien, on dirais bien qu'il commence à s'attacher à lui et je pose mon pousse sous son menton pour qu'il me regarde, je viens poser mes lèvres doucement doucement contre les siennes susurrant contre celles-ci. « Ne tant fais pas tant pour lui, on s'en occupera très bien maintenant tout les deux et puis je sens bien que tu t'attache à lui tu sais. Je pense que je suis même prêt à te le prêter pour aller faire des ballades avec lui si tu en as envie. » Je souris et je l'embrasse une nouvelle fois pour calmer toutes ces question et ces appréhensions concernant cette histoire de meulières. Puis il passe à autre choses me parlant encore du fais que oui je fais bel et bien tourné des têtes, il emplois carrément le terme enflammé des esprits, ou bien il penses même que certaines personnes doivent s'imaginé au lit avec moi et je grimace. « Aie, je n'aime pas trop penser que des personne m'imagine au lit avec eux, je trouve ça assez déplacer en fait, bien sûr que je l'ai déjà fais avec plusieurs personne avant toi même si maintenant mon esprit n'est tournée qu'envers les choses que j'aimerais faire avec toi au lit... Je n'apprécie pas trop le fais que ces gens s'imagines au lit avec moi... Même si j'en ai conscience en fait... » Je croit bien qu'à l'époque, quand j'était plus jeune j'aimais pas trop le fait d'attiré les filles à moi, je dis pas que je m'en suis pas servis, mon physique étant à mon avantage je croit que bien sûr j'aurais été bête de pas m'en servir mais je pense aussi que j'aimais pas que les filles me collent après, pour avoir mon numéro ou bien d'autres choses.. Je trouve sa assez bizarre d'en parler là comme ça avec Oliver en plus, je penses que c'est pas vraiment cool pour lui, même si moi je serais pas étonné qu'il ai plus s'en servir de son physique pour obtenir un mec ou même deux j'en sais rien après tout, nous n'en avons encore jamais parlé. Mais moi je croit que je n'aime pas me dire que d'autres que lui me veulent dans leurs lit, en tout cas si je veux rester longtemps avec Oliver j'ai pas intérêt à me dire que d'autres sont prêt à baiser avec moi concrètement. Il change de sujet une nouvelle fois et je le suis avec plaisir dans cette conversation qui nous pousses à nous souvenirs de notre première nuit. Il dis que j'ai placé un commentaire et qu'il ne m'a plus lâché de la soirée, puis je me rappelle finalement. « Je me souviens combien on avais ris moi, je me rappelle qu'on se payais des verres très souvent et qu'on devais être bien éméché. Puis ensuite je me souviens brièvement du fait que j'avais pas été doué au lit, que tu avais ris souvent parce que j'était pas du tout à me place... Je me souviens qu'on avais quand même réussis à aller jusqu'au bout et qu'on avais pris un pied monstre, je sais pas si c'était l'alcool qui faisait qu'on gémissait autant mais moi je me rappelle avoir été comblé... C'était une première pour moi et j'avais aimé ça, même avec l'alcool dans le sang je penses que sa m'a bouleversé de prendre mon pied avec un homme. » Je le suis d'autant que même si j'était au courant qu'il n'allais pas très bien à ce moment, là d'avoir jouer un rôle pour le rendre heureux ce soir-là. Je suis content d'avoir tenu un tel rôle bien que la suite de la nuit à dû lui plaire aussi, de mon point de vu je croit qu'il avais bien gémi et qu'il avais aimé ce qu'on avais fait. Il s'était même endormis avec le sourire. Quand j'y repense maintenant, sa me rend heureux parce qu'à cause ou bien grâce à cette nuit, nous voilà en couple. J'aurais jamais cru, vraiment. Il ris et ce moque en affirmant que j'ai pas besoin de le séduire une fois encore pour qu'il reste cette nuit. Puis pour le regarde je fronce un peu les sourcils. « Alors je n'aurais droit qu'à Monsieur Davis que cette nuit ? Tu dis que je suis assuré de t'avoir ce soir, mais qu'en est-il de demain, si demain matin j'ai envie de toi, ou dans la journée , et pourquoi pas demain soir aussi ? » Je fais une fausse moue boudeuse en baissant la tête parce que je sais que c'est pas ce qu'il voulais me dire et qu'il voudra me rassurée alors que je sais déjà la réponses à tout ça. « On sera toujours un peu plus que des amants Oliver, on est plus que ça toi et moi, on le sait et on le sens entre nous. Cette connexion, il suffit que tu entre dans la pièce pour que je le sache et ça sans même avoir besoin de me retourné. Ce n'est pas à proprement parlé c'est simplement un fait que je te dis... » Je reviens lui voler ses lèvres, j'aime les embrassé pour affirmé mes dires, comme si sa me permettais de m'affirmé un peu plus à chaque fois. Même si je n'en ai clairement pas besoin avec Oliver. Il tourne la tête quand il entend que je parle de tromperie et je reprend son menton entre mes doigts je le regarde droit dans les yeux, je n'ai pas besoin de parler pour qu'il comprenne et qu'il sache que je lui ferais jamais ça, je ferais tout ce qu'il faudra pour qu'on soit ensemble. Je me suis lancé avec lui alors que je m'affirmais pas gay du tout et je veux assumé jusqu'au bout, même si on risque de passer par de sales étapes malheureusement. La discutions tourne sur les menottes que sa chère cousine lui a offert et je souris grandement quand il me rassure en disant que je pourrais lui proposer bien des choses qu'il serais prêt à accepté. Je l'attache avec les menottes et je viens caressé sa peau sous son haut, je mord ma lèvres d'anticipation et je finit par rire quand il me dis que le «sport» donne faim. Il n'a pas tord du tout je doit avouer, le sexe donne faim. Il remue le bassin me donnant tout les droit sur son corps et j'en frémis,je bande déjà presque entièrement quand il se frotte contre moi... je le fait mettre à genoux et je mordille ma lèvre. « J'ai très envie de ta bouche sur moi... Oliver, j'ai envie que tu me fasse une fellation pour nous mettre en appétit. » Je me redresse à genoux aussi et je retire mon tee-shirt, il m'a donné tout les droit, je vais en usé.

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Lien du postSam 20 Jan - 7:16

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Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis

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And i'm feeling good, feeling good

Il essaie de me rassurer sur le sort de Daeron et un sourire se glisse à nouveau sur mes lèvres.

- J’ai pas de doute qu’il sera quand même choyer s’il vient avec nous, lui assurais-je. Je serais pas encore assuré de le promener seul, par contre, déclinais-je poliment. Juste par principe que j’ai jamais eu d’animaux, donc, même des réactions basiques pour un chien, je pourrais ne pas les comprendre, expliquais-je. Ça changera forcément si je passe plus de temps avec vous deux, par contre, expliquais-je.

Après tout, sa boule de poils vient me voir de lui même et j’ai pas le réflexe de l’éviter, au contraire, quand il me fait les yeux doux pour des câlins, j’ai plutôt tendance à les lui offrir volontiers. Y’a que les embrassades baveuses que je me passe bien. Je préfère les baisers de son maître. Et de loin!

Discutant du fait qu’il doit apporter des chaleurs à plusieurs personnes sur son passage, je m’amuse de sa réaction puisqu’il semble embêter par ça.

- Les pensées secrètes des gens, ça se contrôle pas trop, remarquais-je en riant doucement. Si je décide, là, maintenant, de t’imaginer nu, tu peux pas y faire grand chose,citais-je en exemple. Bon, c’est sur que tu peux te dévêtir pour me prouver que l’esprit garde des souvenirs imparfaits, fis-je, joueur. Mais outre ça… C’est pas comme si tu pouvais y faire quelque chose, ajoutais-je en haussant les épaules. Après si y’en a qui se prenne des libertés, ça peut devenir rapidement déplaisant, accordais-je.

Mais dans ce cas, on sort des simples pensées et ça devient du toucher. Parfois à des endroits ou de façon non autorisé. Je me suis déjà retrouvé dans des bagares avec des mecs qui se permettait de tripoter alors que j’avais pas vraiment autorisé ou laissé à penser que je pouvais être intéressé. Je me suis déjà engueuler avec des filles et taper scandale parce qu’elles se permettaient trop de familiarité. Y’a encore des gens qui pensent que “Non” veut dire “Te gêne surtout pas bébé!” et qui après coup sont tout insulté quand tu finis par gueuler que t’es pas intéressé. Ça se croit irrésistible et donc tout permis.

Ça n’est pas le cas de M. Sexy ici présent, oh grande joie! Même lors de notre véritable première soirée comme il le rappelle. J’avais envie de passer la nuit en bonne compagnie et, si je me suis fait insistant et lourd à l’époque - ouais, ça m’arrive -, aujourd’hui, il ne semble pas m’en tenir rigueur. Et disons que je ne crois pas avoir besoin de lui expliquer les limites à ne pas dépasser. Qui plus est, c’est pas comme si j’étais rebuté par son toucher. Pas du tout même!

- Je riais surtout parce que t’étais pataud et hésitant, expliquais-je en riant à nouveau au souvenir. T’avais peur de mal faire, ou de me blesser à toi de dire, et au final, ça s’est très bien passé, lui assurais-je.

Fallait juste qu’il arrête de stressé.

- Tu regrettais sur le coup? Le questionnais-je, curieux, puisqu’il a affirmé avoir été boulversé après sa première fois. Je veux dire, je vois bien que c’est pas le cas aujourd’hui, expliquais-je, ou alors t’es vraiment bon comédien, mais sur le coup, quand tu t’es réveillé dans mon lit au matin, t’as regretté?

Le soir, avec de l’alcool, il m’avait dit qu’il voulait pas mourir con, mais une fois l’alcool cuvé et devant le fait accompli, je ne sais pas si ça lui a créer une crise d’identité ou n’importe. J’essaie de comprendre le cheminement qu’il a pu faire depuis, même si y’a peut-être eu un grand moment ou c’est seulement que resté tapis dans un coin sombre de sa cervelle jusqu’à ce qu’on se croise à nouveau y’a quelques mois.

Tandis que je lui affirme qu’il n’a pas besoin de me faire de grand et beau discours pour m’avoir dans son lit ce soir, je me retiens - très mal - de pouffer de rire devant sa mine boudeuse. Me penchant en avant pour m’approcher de lui, je capte ses lèvres doucement et brièvement.

- Quand tu veux, je suis à toi et tu le sais, lui assurais-je, même si je sais qu’il plaisante.

Et alors qu’il me dit qu’on est plus que de simples amants, j’hoche légèrement la tête. Je pensais pas que c’était à se point que je pouvais avoir de l’effet sur lui, mais c’est vrai que j’ai une facilité à le remarquer aussi dans la foule. Et j’occulte facilement ce qui n’est pas lui, au moins pour un instant en public, et pour beaucoup plus longtemps quand je peux être seul avec lui. Ça fait peut-être un peu peur de me voir réagir de la sorte, mais en même temps, ça me fait sourire à chaque fois, donc ça peut pas vraiment être mauvais. Non?

joemaw
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Lien du postSam 20 Jan - 13:01

this is for u.

feat. Oliver & Jax

Je souris en regardant mon chien qui semble vraiment des plus heureux depuis qu'Oliver a offert son os en cuir. je tourne la tête vers Oliver qui me confie qu'il ne prendrais pas encore le risque de sortir Daeron tout seul, je ris un peu aussi parce qu'au début ou je l'ai eu, ou je l'ai acheter j'avais la même peur, mais quand je vois la boule de poil qu'il est devenu je suis des plus heureux de le promener. Je regarde Oliver tendrement en hochant la tête à ses paroles. « Tu sais j'était comme toi au début quand je l'ai eu, il m'avais fais passer des message pour le sortir et j'avais pas comprit de suite, quand il à pisser là au milieu de le chambre je t'assure que sa m'a calmé, quand il est malade je doit aussi ramasser, tout ça pour te dire que tout ça sa s'apprend et puis un chien sa à le don de te faire comprendre assez rapidement les choses. Un jour tu verra tu pourra le prendre si tu veux, je te fais confiance pour savoir que tu ne lui fera pas de mal même si lui risque de te tiré un peu partout dans le parc... » Et c'est pas peu dire, j'ai souvent suivi à même le sol ses ballade moi mais j'ai repris le contrôle et maintenant il a tout un entrainement digne des militaire, merci papa... Du coup j'ai plus peur de me faire trainer par terre, par la boule de poil. Puis Oliver à de très bon reflex concernant Daeron et je peux l'assuré parce qu'il laisse pas rentré n'importe qui dans ma chambre. On parle des pensées des gens et Oliver me fait rire quand il parle du fait que je doit me mettre nu parce qu'il aurais eu la pensés de le faire et je ris. « Je sais bien qu'on peut pas contrôler ce genre de choses mais je suis du genre à pas mettre la lumière dessus concernant les pensées impur des gens envers moi, je préfère me dire qu'ils ne le font pas et sa marche bien depuis des année alors je préfère faire ça. Sauf si c'est toi qui m'imagine nu, alors là j'adore et j'ai hâte que tu m'en dise plus. » Je croit que je n'ai jamais eu affaire à quelqu'un qui me forcerais à faire quoi que ce soit que je n'aurais pas envie de faire, mais alors des mains au cul, des jeunes femmes qui touchent mes abdos sous le haut ouais j'en ai eu et des tonnes j'ai envie de dire, à une époque je laissais touché mon corps qui le voudrais, c'était une sorte de punition de la beauté naturelle que j'ai eu de mon père et ma mère, je dirais. On discute de la soirée qu'on à passé la première fois qu'on à été ensemble t aussi qu'on à couché lui et moi. Il dis qu'il riait de moi parce que j'était pataud et que j'hésitait et je ris. « Te moque pas j'avais jamais été hésitant avant avec les femmes que j'aie u, j'avais pas besoin c'était un automatique alors qu'avec toi je sentais que c'était unique, et ouais comme tu le dis si bien j'avais peur de te blesser, même si t'arrêtais pas de me dire... Va plus vite, oh merde.. encore... » Je pouffe de rire parce que je m'en rappelle encore alors que j'était plus que bourré cette fois-là. Puis il me demande si j'ai regretté le lendemain matin quand je me suis réveillé dans son lit, et je décide de jouer la carte de l'honnêteté. « Bien sur que oui, imagine un peu tu te retrouve dans le lit d'une fille Oliver, je sais pas si c'est déjà arrivé mais sa te change de tes habitudes. J'ai pas regretté au sens propre, j'avais toujours voulu testé avec un homme afin de pas mourir con comme on dis mais je croit qu'après y avoir réfléchis une bonne partie cette journée-là j'en ai conclus que j'avais bien aimé sa et même si je savais pas qu'on allais se revoir, je pensais que ce serais la seule et unique fois que sa m'arriverais alors pour moi c'était clos comme sujet. Et toi est-ce que ta regretté que je soit pas dans le lit quand tu t'es réveillé ? » Je souris grandement et j'observe ses réactions. Elles me rendent curieux. Il affirme qu'il est mien et je ne peut qu'en ressentir le fait que j'aime qu'il dise ce genre de choses, bien sûr que j'aime savoir que je peux le prendre quand je veux et qu'on peut faire ce qu'on veux ensemble après tout c'est l'idée même du fait d'être un couple. Je souris quand finalement son regard change du tout au tout, il aime que je lui ai demander de me faire une fellation.