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Lien du postVen 12 Jan 2018 - 11:31
feat. Oliver & Jax
Ses gestes sont ce que je préfère par dessus tout, je croit. Je lui explique ma manière de penser en rapport avec nous deux, sur le fait que je dois accepté et que sa prendra du temps même si on me pose la question je nierais pas, et lui il me fais le regarder, il m'embrasse d'un baiser doux et il fait un bisous sur ma joue. Je le regarde longuement après son geste et je reviens l'embrasser doucement, pressant mes lèvres sur les siennes, je glisse ma main sur sa joue que je caresse de ma joue avant de reculer. Il me fais rire en me parlant et me disant qu'il à flashé sur un hétéro, et je pense de suite. Pas si hétéro que ça finalement, je souris et je l'écoute me rassuré sur ce que j'ai pu annoncer avant et je souris grandement encore une fois parce que ses mots me plaisent et me font du bien. J'aurais pas vraiment voulu le perdre à cause d'un connerie du genre. «Tu sais, je ferais des efforts pour toi, je suis stupide parfois mais je ne suis pas un méchant, tu le dis souvent alors je vais te croire et je ferais des effort pour qu'on fonctionne tout les deux. Pour qu'on avance et qu'on soit heureux peu importe le temps que sa dure. Parce que je n'ai eu que des relations amoureuse qui ont mal finit j'aimerais que celle-ci ne finisse pas déjà, et si par malheur elle doit finir j'aimerais qu'on finisse bien. Les happy ending c'est pas mal parfois !» Je souris plus encore fier de mon nouveau discours, pour lui. Il change de sujet et me raconte combien c'est gênant quand il attire un femme à lui, j'imagine que sa va devenir gênant pour moi aussi, puisque je suis avec Oliver et si j'attire une nouvelle fois un femme, il faudra que je lui dise que je suis avec un homme, ou en tout cas avec quelqu'un. Il me fais rire quand il relève le fais que je disent qu'il me plais, je peut vraiment dire le contraire. «Franchement tu veux savoir ce que je pense de toi et de tout ce que ton corps me fais ? Mais moi par contre je suis rassuré que tu dise être avec moi et mois seul. Et jamais je ne penserais que tu me trompe si je peux dire ça. Je pense que j'ai confiance en toi et que c'est à toi d'en prendre soin, sachant que comme avec n'importe qui si tu la brise jamais plus tu ne l'aura. Mais, je sais que tu fera attention autant que je ferais attention à ce que tu n'imagine pas que je te trompe parce que j'en ai pas envie, vraiment. » Je pose un bisous à la base de son coup offert prêt de son tee-shirt et je l'écoute à nouveau. Il parle de son père et pendant qu'il le fais je n'arrive pas à imagine ce que je j'aurais fait si j'avais mon père devant moi, cependant j'écoute ce qu'il dis et je penses que son père est un con, je n'en dis rien afin de ne pas le pousser dans ses pensées si noires envers son père. Je n'ai plus le mien et je sais bien qu'on avais pas les meilleurs rapport du monde mais tout le monde devrais le savoir, un père ou une mère on en a qu'un seuls et faut pas gâcher ça. Parce que lorsqu'ils ne sont plus là que ce soit positif ou non, on peut plus rien leurs dire.«Je comprend tout à fais ton point de vu et je pense que c'est normal dans ton cas avec ton père, je sais bien que ce que tu as dû vivre devais être compliqué et même si je reste sur mes position en rapport avec le fais qu'on en a qu'un seul jamais je te pousserais à aller le voir, c'est promis. » Je le câline et je caresse son dos doucement dans des gestes rassurant je sent bien que sa l'a tendu qu'on parle de son père. Je m'occupe d'écouté ses mots en rapport avec son pays d'origine. «Parle moi du Canada, comment est-ce que s'est ? Je n'y suis jamais aller mais on dis que les bonbon à l'érable son vraiment délicieux ! J'espère que tu m'en rapportera un jour, que je puisse goûté !» Je souris et je hoche la tête quand il parle de ses études. «Pardon Oliver, est-ce que tu veux que je te traite de crouton ? Parce que je pourrais très bien le faire tu sais ! » Et pour appuyer mes paroles je le porte comme s'il ne pesais rien et je le pose ou plutôt je l'allonge sur le lit et je monte sur lui en venant mordillé sa joue. «Alors tu fais quoi quoi maintenant le crouton ! J'avoue t'es un vieux crouton avec de l'expérience ! » Je m'amuse un peu avec sa joue avant de la relâchée et de le regarder. «Si c'est ce qui te plais travaillé avec les œuvres d'art, sache que je t'encourage à le faire vivement, soit heureux Oliver ! » Et je reviens l'embrasser doucement en posant mes coudes à côté de son visage, je ferme les yeux et je l'embrasse tendrement l'invitant à répondre au baiser qui me fais envie depuis un moment, je prend même sa main dans la mienne et je la serre comme si tout ça n'était qu'un rêve et que j'allais me réveillé le lendemain... © MADE BY SEAWOLF.
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Lien du postSam 13 Jan 2018 - 8:39
Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis
it's a new dawn, it's a new day, it's a new life
And i'm feeling good, feeling good
- Stupide par moment, on l’est tous, admis-je, amusé. Mais je doute pas que t’essaiera, souris-je. T’as l’air d’avoir plus peur de me blessé que je peux être apeuré moi-même, constatais-je.
Ou c’est pas exactement de la même façon. C’est pas que je crois qu’il ne me blessera jamais. Non c’est pas ça, ça arrivera peut-être et je peux tout aussi bien le blesser. Je veux dire, on est humain et c’est le genre de truc qui peut arriver sans qu’on ne le contrôle réellement parfois. Y’a des malentendus et parfois ça déboule. C’est juste… je sais pas… c’est peut-être de me rendre au point où j’en étais y’a quelques mois qui me fait réellement peur. C’est de reprendre la descente que j’ai fait, mais avant ça, y’a plusieurs stades et j’ose croire qu’on ne les traversera pas. Je veux y croire, en fait.
- Je préfèrerais pas penser à la fin, alors qu’on s’est à peine dit qu’on essayait, fis-je avec un léger froncement de nez. Mais, tu sais que je veux pas non plus te blesser, dis-je plus doucement en le regardant dans les yeux. Je veux pas te pousser à faire quelque chose que tu veux pas ou pour lequel tu te sens pas prêt. Et j’aimerais bien faire mentir ta moyenne de relation, avouais-je avec un sourire tendre avant de l’embrasser tout aussi tendrement.
Il dit que les happy ending c’est pas si mal, mais si on pensait pas à la fin et qu’on pensait simplement à maintenant et au fait que demain pourrait être tout aussi happy? Y’aura surement des jours plus gris, des moments plus difficiles, mais ça se traverse si on essaie, non? Du moins, j’essaie de m’en convaincre et de paraître convainquant.
- Normalement, tu me le démontres assez bien, tout l’effet que je te fais, remarquais-je avec un petit rire.
Il me le démontre bien et s’assure aussi très bien que ce soit très réciproque! Juste son baiser dans mon coup, déjà, c’est délicieux!
- Je peux pas te garantir exactement mes réactions si quelqu’un te tourne autour, j’ai déjà eu du mal à cadrer quelqu’un : je pouvais pas la sentir. Elle m’énervait juste à être dans le même environnement que lui, avouais-je, pas particulièrement fier, mais pourtant honnête : j’ai jamais blairer Mira, je m’en cacherai pas. Mais je t’empêcherai pas de voir du monde, parce que je veux pas tu le fasses non plus, expliquais-je. Je veux pas que tu te sentes coincé ou que tu surveilles tes gestes et que tu limites qui tu es. Si y’a une situation qui me fatigue, je te le dirai et on verra ce qu’on peut faire ou si j’ai même la moindre raison d’être énervé. Je suis peut-être un peu possessif aussi, avouais-je encore, avec un sourire gêné. Mais on part sur la base de confiance et j’ai pas envie de brisé celle que tu me portes, lui assurais-je.
Le sujet déviant sur le cas du paternel, j’en deviens un peu plus amer, mais j’écoute quand même Jax m’offrir un discours sur les liens de famille. J’approuve en un sens : je valide totalement ce genre de discours pour ma mère. Mais entre le géniteur et moi, y’a jamais eu de lien. J’ai toujours été le mouton noir et au cours de ma vie, j’ai apparement pavé la route de sa honte à chaque pas esquissé. Et même si Jax n’est pas nécessairement d’accord avec mon approche, il a la gentillesse de ne pas poussé et de comprendre mes motivations.
- Je te demande pas de changer tes positions, non plus. Je te dirais même que tes paroles fonctionnent très bien pour ma relation avec ma mère : j’étais particulièrement heureux de la retrouver, j’en avais longtemps rêvé. Mais avec lui c’est différent et je te remercie de respecter. Je sais que tu veux pas à mal et, à dire vrai, j’aime que tu me partages ta philosophie ou tes points de vue comme ça, admis-je avec un léger sourire.
Parlant un peu de tout, je suis un peu surpris de l’entendre me demander de lui parler du Canada et je ne peux pas m’empêcher de rire lorsqu’il me parle des bonbons à l’érable.
- J’essaierai de t’en trouver, promis-je, mais ça fait un moment que j’ai pas remis les pieds de l’autre côté de la frontière. On pourra y aller si tu veux, proposais-je. C’est quelques heures de bus ou de train pour se rendre à Montréal. Et un weekend, ça devrait pas être si cher, ajoutais-je. C’est surtout là que j’ai passé ma vie, j’ai pas vraiment exploré tant que ça. Mais ce que j’aimais de Montréal, c’est la diversité, autant pour le fait qu’il te suffit de faire quelques stations de métro pour être dépayser que par toutes les cultures qui se mélangent sans trop de chocs. C’est pas aussi grand que Boston, mais c’est peut-être ce qui fait que ça se croisaient autant : le territoire est plus petit. Et puis, c’est une ville de festivités et qui célèbre les arts, alors je te laisse deviner que j’adorais. C’est pas tout à fait pareil depuis que je suis ici, mais je commence à prendre mes repères, expliquais-je. Et toi, alors? T’as toujours été dans le coin ou tu viens d’ailleurs?
Lui ayant demandé le niveau de ses études et son âge, je lui donne mes informations en retour, jouant le type vexé lorsqu’il me traite de vieux parce qu’on a presque deux ans d’équart. Me retrouvant sur le dos sur le matelas, je subis ses mouvements et les mordillement qu’il s’amuse à faire en riant légèrement. J’aime les gestes, mais les paroles un peu moins.
- M’appelles pas comme ça, s’il-te-plaît, lui demandais-je doucement.
C’est moi qui aie lancé ce mot, alors je peux pas lui en vouloir de l’utiliser, mais je me rends compte que je l’aime pas ce mot. Pas à mon égard du moins. Sauf que je sais que Jax voulait pas me rendre mal. C’est plutôt un jeu. Un truc léger. Et je pensais pas que ça me fatiguerait. Je m’étire d’ailleurs pour poser mes lèvres sur sa joue pour me faire pardonner de planter un peu l’ambiance.
- J’adore travailler dans cette galerie, je m’y sens bien, confirmais-je. Tu te sens bien quand tu termines un rendez-vous avec un patient et que t’as l’impression de l’avoir aidé à progresser ou à comprendre mieux sa situation ou …tout autre que tu fais? T’as pas l’impression que le sourire te colle au visage sans raison apparente, juste parce que t’es bien? Le questionnais-je. Moi c’est un peu ça. J’aide pas vraiment personne à proprement parler, mais ça m’apaise d’être là et j’ai pas l’impression que c’est une corvée d’aller y travailler, c’est même tout le contraire, soufflais-je.
Ses paroles pour m’encourager à être heureux me touche sincèrement et son baiser vient donner un peu plus d’appui à ses encouragements. Sans même avoir besoin d’y songer, je réponds avec plaisir, enlaçant mes doigts aux siens quand il vient prendre ma main.
Perdu dans le baiser, il me faut un temps pour immerger et que mon cerveau analyse le bruit qui vient se loger dans mes oreilles. Comme du papier qui se fait maltraité. Un peu comme quand on déballe un cadeau.
…
Merde!!
Rompant le contact avec Jax, je tourne la tête pour voir Daeron avec la truffe dans le second sac que je trainais. Il fouille sans gêne, voulant probablement compenser pour le manque d’attention. Après c’est probablement l’odeur qui a fini par atteindre son nez.
- Merde! M’exclamais-je en français sans trop m’en rendre contre.
Grouillant sous Jax pour me libérer, je me tortille et dois malheureusement l’abandonner pour aller enlever le museau de la peluche de dans le sac.
- Juste un peu plus de patience, ça aurait été chouette! Le réprimandais-je en riant.
Bon diable, je pioche quand même dans le contenu pour en sortir ce pourquoi il s’enfonçait la tête là où il fallait pas. Lui présentant l’os en cuir pour chien, j’attends qu’il le prenne.
- Tu vas t’amuser un moment avec ça, susurrais-je en lui ébouriffant la crinière. Ça te dérange pas? Demandais-je à Jax en levant les yeux vers lui.
Ou c’est pas exactement de la même façon. C’est pas que je crois qu’il ne me blessera jamais. Non c’est pas ça, ça arrivera peut-être et je peux tout aussi bien le blesser. Je veux dire, on est humain et c’est le genre de truc qui peut arriver sans qu’on ne le contrôle réellement parfois. Y’a des malentendus et parfois ça déboule. C’est juste… je sais pas… c’est peut-être de me rendre au point où j’en étais y’a quelques mois qui me fait réellement peur. C’est de reprendre la descente que j’ai fait, mais avant ça, y’a plusieurs stades et j’ose croire qu’on ne les traversera pas. Je veux y croire, en fait.
- Je préfèrerais pas penser à la fin, alors qu’on s’est à peine dit qu’on essayait, fis-je avec un léger froncement de nez. Mais, tu sais que je veux pas non plus te blesser, dis-je plus doucement en le regardant dans les yeux. Je veux pas te pousser à faire quelque chose que tu veux pas ou pour lequel tu te sens pas prêt. Et j’aimerais bien faire mentir ta moyenne de relation, avouais-je avec un sourire tendre avant de l’embrasser tout aussi tendrement.
Il dit que les happy ending c’est pas si mal, mais si on pensait pas à la fin et qu’on pensait simplement à maintenant et au fait que demain pourrait être tout aussi happy? Y’aura surement des jours plus gris, des moments plus difficiles, mais ça se traverse si on essaie, non? Du moins, j’essaie de m’en convaincre et de paraître convainquant.
- Normalement, tu me le démontres assez bien, tout l’effet que je te fais, remarquais-je avec un petit rire.
Il me le démontre bien et s’assure aussi très bien que ce soit très réciproque! Juste son baiser dans mon coup, déjà, c’est délicieux!
- Je peux pas te garantir exactement mes réactions si quelqu’un te tourne autour, j’ai déjà eu du mal à cadrer quelqu’un : je pouvais pas la sentir. Elle m’énervait juste à être dans le même environnement que lui, avouais-je, pas particulièrement fier, mais pourtant honnête : j’ai jamais blairer Mira, je m’en cacherai pas. Mais je t’empêcherai pas de voir du monde, parce que je veux pas tu le fasses non plus, expliquais-je. Je veux pas que tu te sentes coincé ou que tu surveilles tes gestes et que tu limites qui tu es. Si y’a une situation qui me fatigue, je te le dirai et on verra ce qu’on peut faire ou si j’ai même la moindre raison d’être énervé. Je suis peut-être un peu possessif aussi, avouais-je encore, avec un sourire gêné. Mais on part sur la base de confiance et j’ai pas envie de brisé celle que tu me portes, lui assurais-je.
Le sujet déviant sur le cas du paternel, j’en deviens un peu plus amer, mais j’écoute quand même Jax m’offrir un discours sur les liens de famille. J’approuve en un sens : je valide totalement ce genre de discours pour ma mère. Mais entre le géniteur et moi, y’a jamais eu de lien. J’ai toujours été le mouton noir et au cours de ma vie, j’ai apparement pavé la route de sa honte à chaque pas esquissé. Et même si Jax n’est pas nécessairement d’accord avec mon approche, il a la gentillesse de ne pas poussé et de comprendre mes motivations.
- Je te demande pas de changer tes positions, non plus. Je te dirais même que tes paroles fonctionnent très bien pour ma relation avec ma mère : j’étais particulièrement heureux de la retrouver, j’en avais longtemps rêvé. Mais avec lui c’est différent et je te remercie de respecter. Je sais que tu veux pas à mal et, à dire vrai, j’aime que tu me partages ta philosophie ou tes points de vue comme ça, admis-je avec un léger sourire.
Parlant un peu de tout, je suis un peu surpris de l’entendre me demander de lui parler du Canada et je ne peux pas m’empêcher de rire lorsqu’il me parle des bonbons à l’érable.
- J’essaierai de t’en trouver, promis-je, mais ça fait un moment que j’ai pas remis les pieds de l’autre côté de la frontière. On pourra y aller si tu veux, proposais-je. C’est quelques heures de bus ou de train pour se rendre à Montréal. Et un weekend, ça devrait pas être si cher, ajoutais-je. C’est surtout là que j’ai passé ma vie, j’ai pas vraiment exploré tant que ça. Mais ce que j’aimais de Montréal, c’est la diversité, autant pour le fait qu’il te suffit de faire quelques stations de métro pour être dépayser que par toutes les cultures qui se mélangent sans trop de chocs. C’est pas aussi grand que Boston, mais c’est peut-être ce qui fait que ça se croisaient autant : le territoire est plus petit. Et puis, c’est une ville de festivités et qui célèbre les arts, alors je te laisse deviner que j’adorais. C’est pas tout à fait pareil depuis que je suis ici, mais je commence à prendre mes repères, expliquais-je. Et toi, alors? T’as toujours été dans le coin ou tu viens d’ailleurs?
Lui ayant demandé le niveau de ses études et son âge, je lui donne mes informations en retour, jouant le type vexé lorsqu’il me traite de vieux parce qu’on a presque deux ans d’équart. Me retrouvant sur le dos sur le matelas, je subis ses mouvements et les mordillement qu’il s’amuse à faire en riant légèrement. J’aime les gestes, mais les paroles un peu moins.
- M’appelles pas comme ça, s’il-te-plaît, lui demandais-je doucement.
C’est moi qui aie lancé ce mot, alors je peux pas lui en vouloir de l’utiliser, mais je me rends compte que je l’aime pas ce mot. Pas à mon égard du moins. Sauf que je sais que Jax voulait pas me rendre mal. C’est plutôt un jeu. Un truc léger. Et je pensais pas que ça me fatiguerait. Je m’étire d’ailleurs pour poser mes lèvres sur sa joue pour me faire pardonner de planter un peu l’ambiance.
- J’adore travailler dans cette galerie, je m’y sens bien, confirmais-je. Tu te sens bien quand tu termines un rendez-vous avec un patient et que t’as l’impression de l’avoir aidé à progresser ou à comprendre mieux sa situation ou …tout autre que tu fais? T’as pas l’impression que le sourire te colle au visage sans raison apparente, juste parce que t’es bien? Le questionnais-je. Moi c’est un peu ça. J’aide pas vraiment personne à proprement parler, mais ça m’apaise d’être là et j’ai pas l’impression que c’est une corvée d’aller y travailler, c’est même tout le contraire, soufflais-je.
Ses paroles pour m’encourager à être heureux me touche sincèrement et son baiser vient donner un peu plus d’appui à ses encouragements. Sans même avoir besoin d’y songer, je réponds avec plaisir, enlaçant mes doigts aux siens quand il vient prendre ma main.
Perdu dans le baiser, il me faut un temps pour immerger et que mon cerveau analyse le bruit qui vient se loger dans mes oreilles. Comme du papier qui se fait maltraité. Un peu comme quand on déballe un cadeau.
…
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Rompant le contact avec Jax, je tourne la tête pour voir Daeron avec la truffe dans le second sac que je trainais. Il fouille sans gêne, voulant probablement compenser pour le manque d’attention. Après c’est probablement l’odeur qui a fini par atteindre son nez.
- Merde! M’exclamais-je en français sans trop m’en rendre contre.
Grouillant sous Jax pour me libérer, je me tortille et dois malheureusement l’abandonner pour aller enlever le museau de la peluche de dans le sac.
- Juste un peu plus de patience, ça aurait été chouette! Le réprimandais-je en riant.
Bon diable, je pioche quand même dans le contenu pour en sortir ce pourquoi il s’enfonçait la tête là où il fallait pas. Lui présentant l’os en cuir pour chien, j’attends qu’il le prenne.
- Tu vas t’amuser un moment avec ça, susurrais-je en lui ébouriffant la crinière. Ça te dérange pas? Demandais-je à Jax en levant les yeux vers lui.
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Lien du postSam 13 Jan 2018 - 13:41
feat. Oliver & Jax
Il m'écoute lui dire que je serais stupide et je ferais des erreurs parce que dans le fond, qui n'en fais pas. Il y a au moins un exemple en chacun de nous qui démontre qu'une fois on à mis les pieds dans le plat ou bien qu'on à dû dire une chose qu'on à pu regretter par ensuite. C'est ça faire des erreurs et je sais que je vais en faire, ce qu'il restera à découvrir c'est à savoir combien d'erreurs et selon les conséquences, Oliver est-il prêt à accepté. Il dis qu'il pense que je m'inquiète plus que lui sur le fait de le blessé, mais avec tout ce que j'ai découvert de lui et avec lui sur son passé je préfère pas m'apparenté à son ex. Cependant, c'est une chose que je me garde de lui lui, afin de ne pas crée de tension entre nous, j'aimerais juste qu'il ne fasse pas de comparaison entre son ex et moi, je ne suis pas ce ..type. « Je t'assure que je m'appliquerais à ne pas le faire, et tu le sais j'en suis certain, je ferais tout pour que tout se passe au mieux pour nous. » Il dis ensuite qu'il aimerais qu'on ne pense pas déjà à la fin alors qu'on viens juste de se lancer et j'avoue que sa me tire un petit rire, c'est vrai qu'il n'a pas tord on pourrais croire que sa porte la guigne. Je fais un bisous sur son froncement de nez que je trouve trop mignon. Il ne veux lui non plus ne pas me blesser, et je remarque que jamais je n'ai parler de mes ex-compagnes avec lui, est-ce que c'est parce qu'il sait qu'il est le seul homme que j'ai jamais eu ? Ou bien est-ce qu'il n'est pas intéressé de savoir, je n'en sais rien mais, j'attendrais qu'il me demande de lui-même pour lui raconté combien j'ai pas apprécier les femmes pendant un temps. Il finit par m'embrasser et je me prête à son baiser avec envie, et tendresse. « Ah oui? Tu trouve, je peux tout aussi bien le démontré de manière plus... sensuelle encore tu sais?» Je me veux joueur dans le ton de cette phrase, parce que je sais parfaitement qu'Oliver sait très bien combien je peux le rendre dingue tout comme il sait si bien le faire pour me faire craquer en premier. Et qu'on se le dise un peu de jeu d'Oliver et je craque dans la seconde alors bon... On parle de la jalousie ou des réactions qu'on pourrais avoir et je souris sans pouvoir m'en empêcher quand il me dis qu'il pourrais pas garantir ses réactions si on me tournais autour, je me demande d'un coup comment serais Oliver s'il venais à être jaloux, dans le sens possessif, je croit bien que j'adorerais qu'il dise à l'autre personne qui n'existe pas actuellement, que je suis sien et qu'il ne me laisserais pas partir comme ça. « J'en ferais de même tu sais ? Si y a un truc qui me plais pas de tes amis ou d'une personne qui te tournerais autour je ferais la même chose, mais je serais prêt à en découdre si cette même personne ne voulais pas comprendre la première fois que je le dirais. Tu sais Oliver, je suis assez impulsif alors retiens moi si je venais à en faire trop parce que je croit que je pourrais pas me pardonner. Mais comme tu le dis on part sur une base de confiance et alors on devrais pas avoir peur de se que l'autre fais quand on est pas ensemble. » On parle de son père et je souris parce que dans le fond je suis vraiment content d'avoir inviter mon désormais petit ami, à venir ce soir, je suis content parce que malgré tout j'en apprend plus sur lui, sur sa famille et j'apprécie vraiment nos échanges à ce sujet. Au moins on à de la conversation. Il pense que mes paroles fonctionne pour le côté maternel mais pas pour le côté paternel et je souris voyant qu'il reste tout aussi sur ses position concernant sa relation avec son père, il n'en démordra pas et c'est une force de caractère je trouve. Finalement, en décidant de ne pas ré-argumenté, on passe au Canada, on parle de son pays. Son sourire me pousse à sourire parce que je le trouve absolument adorable. Il me raconte que cette ville est réputé pour aimer l'art et que je devrais comprendre pourquoi il l'aime avec tant d'ardeur. « Je trouve en effet que c'est une bonne idée, qu'on y passe un week-end un de ces jours, tout les deux, on pourra dire qu'on aura visité le pays l'un de l'autre, c'est vraiment cool. Tu me dira quand tu veux qu'on y aille! » Je serais absolument content de sortir de Boston un peu, quand viens son tour de me demander si je suis toujours resté ici je hoche la tête. « Quand ma mère et mon frère sont partis et que la vielle voulais pas que je vienne avec eux, elle s'est empresser de me prendre un appartement au centre-ville, juste en attendant que les cours commence, ou elle m'a dis qu'une chambre en campus serais largement suffisant pour un type comme moi... mais ne parlons pas de la sorcière j'aime cette ville avec cœur, elle est belle, elle est vivante et j'aime voir les nombreuse personnalité qui en ressortent je pense. » Je regarde Oliver m'amusant à le plaquer contre le lit le traitant de vieux crouton il ris mais me demande tout de même de plus l'appeler comme ça et je ris un peu hochant tout de même la tête. Pour sûr je lui ressortirais un jour pour rire. On parle de sa galerie et je souris parce que je ressent comme il aime y travaillé, puis il essaie de comparé en me demandant si je souris pas quand je finis mes séances... Je devrais lui dire que dans le cadre de mon choix j'ai demandé celle ou on s'occupe des gens les plus touchés, les plus mal en point psychologiquement parlant, et que parfois moi-même je me sens blessé pour mes patients alors oui quand un travail est terminer je suis content mais je n'en oublie pas le fais qu'ils ont souffert avant d'en arrivé là. « Je comprend tout à fais ton ressentis Oliver mais je doit dire que moi, j'ai pas exactement le même sourire, si tu veux tout savoir. » Je souris cependant voulant garder cette ambiance légère. Puis alors que je l'embrasse je sens qu'il se tend quand on entend du bruit, il se tortille sous moi et se redresse, je voix Daeron chercher dans les sac et je le lève commençant à l'engueuler alors que je voit Oliver lui donner un os. « Non, sa me dérange pas, mais ne le gâte pas trop, si j'avais été seul avec lui et qu'il aurais fais ça il aurais pris un voyage sa passe que ce soir c'est un peu comme un noël alors disons que c'est bon... Merci d'avoir penser à gâté mon chien d'ailleurs il va être aux anges là. » Je regarde Daeron s'amuser avant de prendre son os jusqu'à son panier tout neuf. Je finit par sourire le trouvant malgré ses bêtises absolument adorable. Ouais je craque pour mon chien, j'avoue.
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Lien du postSam 13 Jan 2018 - 22:08
Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis
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Il m’assure une nouvelle fois qu’il fera au mieux pour que tout se passe bien entre nous et je me contente d’hocher la tête. Je sais qu’il le fera, j’espère juste qu’il n’essaiera pas d’être un autre, trop loin de ses habitudes ou de ses envies simplement pour me plaire. Ça ne donne jamais rien de bon et je veux pas être la cause d’un combat envers lui-même. Mais bon, on va déjà voir ce que ça donne à court terme et si je m’inquiètes, je lui en parlerai.
Lui assurant que je ne peux pas avoir de réels doutes sur l’effet que je lui fait - du moins, la partie physique est assez évidente! -, je me joins à son jeu quand il me dit qu’il peut encore me le démontrer de façon plus sensuelle.
- J’ai toute la nuit pour que tu fasses tes preuves, mon cher, lui assurais-je avec le même regard.
Riant un peu puisqu’une idée me traverse l’esprit, je le regarde un instant avant d’ajouter :
- Fais-moi penser tantôt, faut que je te montre un truc ou deux, dis-je, laissant planer le mystère.
J’ai aucune idée de comment il va réagir au sujet du cadeau de Carter. Moi, ça m’a grandement fait rire. D’accord, j’ai commencé par rougir comme un imbécile avant d’éclater de rire. Elle m’avait dit qu’elle m’offrirait des menottes, mais j’aurais jamais penser qu’elle le ferait pour vrai! Bon, mon cadeau était dans la même branche : on est peut-être aussi “sans tabou” l’un que l’autre. Après, c’est la réaction de Jax qui m’intrigue quand je les lui montrerai. Est-ce qu’il voudra essayer qu’on s’en serve ou me dira que c’est hors de question? Il est quand même assez joueur en temps normal et semblait avoir bien aimer l’épisode de la cravate, alors ça me laisse à penser qu’on risque de passer un bon moment avec ces joujous.
Bifurquant un peu dans les sujets de discussions, on en vient à se promettre que si quelqu’un nous tombe sur les nerfs dans l’entourage de l’autre, qu’on s’en parlera. Je préfère lui admettre tout de suite que j’ai déjà eu des réactions de possessivité face à une fille plutôt que j’arrive pas à me contrôler un jour et qu’il pense que j’ai pété un cable. Lorsqu’il mentionne mes amis ou une personne qui me tournerait autour, j’ai une pensée pour Jon. On ne se voit plus vraiment, même si avec la nouvelle année, j’aimerais que ça change et qu’on recommence à faire des trips photos, mais je veux plus qu’un de mes amis vivent le genre de situation qui s’est produit après le Spring Break l’an dernier. Je sais pas ce que je ferai, mais je m’assurai que ce soit clair avec Jax, parce que lui non plus sera pas à l’aise si c’est pas le cas.
La discussion se poursuivant en plusieurs sens, on en vient à parler du Canada sous une question de curiosité de sa part. Je n’ai pas tant explorer, mais je lui réponds volontier sur la ville qui m’a vu grandir et je lui propose même un weekend.
- Janvier et Février, faut juste faire attention au froid normalement et ensuite c’est plutôt okay. Ça pourrait être vraiment chouette un weekend ensemble là-bas, fis-je avec un large sourire, heureux de cette idée de séjour.
Y’a une part de crainte de savoir que je serai sur le territoire du paternel, mais ça fait bien deux ans que j’ai pas remis les pieds dans cette ville et j’ai encore parfois des coups de blues alors ça serait bien d’y aller. Et avec Jax, ça pourrait être encore mieux! J’ai beaucoup aimé notre séjour à Londres, alors je dirais pas non à d’autres voyages avec lui!
Le questionnant sur ses propres origines, je suis navré d’entendre ce qui s’est passé avec “la vieille”. Non, définitivement, j’aime pas cette femme! Même si je la connais pas réellement. Ce que j’en sais sur elle, c’est ce qu’il m’a dit. D’accord, elle a le mérite de lui payer ses études et son logis, mais c’est un échange qui semble particulièrement peser sur les épaules de Jax, alors j’arrive pas à apprécier le geste pour lui.
- Au moins, t’as un attrait pour ici : tu aimes la ville et, de ce que j’entends m’en parler, tu aimes tes études, soupesais-je. Et qui sait, avec un charmant blondinet à ton bras et dans ton lit, peut-être que t’apprécieras encore plus? Me moquais-je doucement pour le faire rire.
Et ça semble fonctionner puisqu’il rit et me bourrasse gentillement de sorte que je me retrouve le dos sur le matelas, coincé sous lui sans que je ne veuille pour autant me libérer de cette emprise, préférant profiter du baiser lent et tendre qu’il m’offre. …Du moins, jusqu’à ce que je remarque que Daeron fouine parmi les cadeaux. Me tortillant, je vais le rejoindre et lui fait retirer sa truffe de là, entendant les reproches de Jax à l’encontre du chien. Demandant tout de même la permission au maître, je tends un gros os en cuir pour chien.
- Tu sais que si tu avais été seul, le sac n’aurait probablement pas été là et donc, il aurait pas mis sa tête dedans? Balançais-je avec un sourire en coin. De rien pour le cadeau, je suis passé à l’animalerie avec Shirley et quand j’ai vu, je me suis dit que ça serait bien, expliquais-je.
Ça pourra l’occuper pendant qu’on est nous-même occupés. Parce que, la pauvre bestiole, je lui vole souvent son maître!
- Si c'est un peu Noël... tu veux ton cadeau? Proposais-je en penchant la tête, le sourire aux lèvres.
Tant qu'à être à côté du paquet...
Lui assurant que je ne peux pas avoir de réels doutes sur l’effet que je lui fait - du moins, la partie physique est assez évidente! -, je me joins à son jeu quand il me dit qu’il peut encore me le démontrer de façon plus sensuelle.
- J’ai toute la nuit pour que tu fasses tes preuves, mon cher, lui assurais-je avec le même regard.
Riant un peu puisqu’une idée me traverse l’esprit, je le regarde un instant avant d’ajouter :
- Fais-moi penser tantôt, faut que je te montre un truc ou deux, dis-je, laissant planer le mystère.
J’ai aucune idée de comment il va réagir au sujet du cadeau de Carter. Moi, ça m’a grandement fait rire. D’accord, j’ai commencé par rougir comme un imbécile avant d’éclater de rire. Elle m’avait dit qu’elle m’offrirait des menottes, mais j’aurais jamais penser qu’elle le ferait pour vrai! Bon, mon cadeau était dans la même branche : on est peut-être aussi “sans tabou” l’un que l’autre. Après, c’est la réaction de Jax qui m’intrigue quand je les lui montrerai. Est-ce qu’il voudra essayer qu’on s’en serve ou me dira que c’est hors de question? Il est quand même assez joueur en temps normal et semblait avoir bien aimer l’épisode de la cravate, alors ça me laisse à penser qu’on risque de passer un bon moment avec ces joujous.
Bifurquant un peu dans les sujets de discussions, on en vient à se promettre que si quelqu’un nous tombe sur les nerfs dans l’entourage de l’autre, qu’on s’en parlera. Je préfère lui admettre tout de suite que j’ai déjà eu des réactions de possessivité face à une fille plutôt que j’arrive pas à me contrôler un jour et qu’il pense que j’ai pété un cable. Lorsqu’il mentionne mes amis ou une personne qui me tournerait autour, j’ai une pensée pour Jon. On ne se voit plus vraiment, même si avec la nouvelle année, j’aimerais que ça change et qu’on recommence à faire des trips photos, mais je veux plus qu’un de mes amis vivent le genre de situation qui s’est produit après le Spring Break l’an dernier. Je sais pas ce que je ferai, mais je m’assurai que ce soit clair avec Jax, parce que lui non plus sera pas à l’aise si c’est pas le cas.
La discussion se poursuivant en plusieurs sens, on en vient à parler du Canada sous une question de curiosité de sa part. Je n’ai pas tant explorer, mais je lui réponds volontier sur la ville qui m’a vu grandir et je lui propose même un weekend.
- Janvier et Février, faut juste faire attention au froid normalement et ensuite c’est plutôt okay. Ça pourrait être vraiment chouette un weekend ensemble là-bas, fis-je avec un large sourire, heureux de cette idée de séjour.
Y’a une part de crainte de savoir que je serai sur le territoire du paternel, mais ça fait bien deux ans que j’ai pas remis les pieds dans cette ville et j’ai encore parfois des coups de blues alors ça serait bien d’y aller. Et avec Jax, ça pourrait être encore mieux! J’ai beaucoup aimé notre séjour à Londres, alors je dirais pas non à d’autres voyages avec lui!
Le questionnant sur ses propres origines, je suis navré d’entendre ce qui s’est passé avec “la vieille”. Non, définitivement, j’aime pas cette femme! Même si je la connais pas réellement. Ce que j’en sais sur elle, c’est ce qu’il m’a dit. D’accord, elle a le mérite de lui payer ses études et son logis, mais c’est un échange qui semble particulièrement peser sur les épaules de Jax, alors j’arrive pas à apprécier le geste pour lui.
- Au moins, t’as un attrait pour ici : tu aimes la ville et, de ce que j’entends m’en parler, tu aimes tes études, soupesais-je. Et qui sait, avec un charmant blondinet à ton bras et dans ton lit, peut-être que t’apprécieras encore plus? Me moquais-je doucement pour le faire rire.
Et ça semble fonctionner puisqu’il rit et me bourrasse gentillement de sorte que je me retrouve le dos sur le matelas, coincé sous lui sans que je ne veuille pour autant me libérer de cette emprise, préférant profiter du baiser lent et tendre qu’il m’offre. …Du moins, jusqu’à ce que je remarque que Daeron fouine parmi les cadeaux. Me tortillant, je vais le rejoindre et lui fait retirer sa truffe de là, entendant les reproches de Jax à l’encontre du chien. Demandant tout de même la permission au maître, je tends un gros os en cuir pour chien.
- Tu sais que si tu avais été seul, le sac n’aurait probablement pas été là et donc, il aurait pas mis sa tête dedans? Balançais-je avec un sourire en coin. De rien pour le cadeau, je suis passé à l’animalerie avec Shirley et quand j’ai vu, je me suis dit que ça serait bien, expliquais-je.
Ça pourra l’occuper pendant qu’on est nous-même occupés. Parce que, la pauvre bestiole, je lui vole souvent son maître!
- Si c'est un peu Noël... tu veux ton cadeau? Proposais-je en penchant la tête, le sourire aux lèvres.
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Lien du postDim 14 Jan 2018 - 15:20
feat. Oliver & Jax
Regardant Oliver faire avec le chien je finit par rire et m'installer en position assise à nouveau. Je l'observe agir et je le trouve vraiment adorable d'avoir pensé à acheter un objet à cette grosse boule de poil qui m'en fais voir de toute les couleurs. Je repenses à nos conversation et je m'applique à répondre à chacune d'entre elles. Je veux qu'il connaisse mon point de vu sur tout autant que je penses qu'il apprécie le mien. Tout d'abord cette conversation qui démontre que j'ai encore plus de sex-appel et ou il me provoque me disant qu'il à toute la nuit pour que je lui montre ce dont je suis capable avec un clin d'œil, je lèche mes lèvres. Je le fais exprès parce que je sais qu'il passera pas à côté de ce détail. « Tu sais bien que, je ferais tout ce que tu voudra pendant cette nuit mais je suppose que tu apprécierais que je commence par lentement te déshabiller et qu'en suite je m'occupe de mordre ou bien lécher chaque parcelles de cette peau laiteuse que tu possède... Qu'en pense-tu pour un début ? » Je fais exprès de détaillé parce que j'aimerais voir s'il va rougir comme j'aime bien qu'il le fasse. Je souris en me tenant sur mes main positionné pas loin derrière moi, j'observe simplement. Comme s'il s'agissait à peu prêt du même sujet il me dis qu'il possède une à deux choses, qu'il aimerais bien me montré et je ris un peu. « Est-ce que tu va me faire un streap-tease en plein milieu de la chambre ? Parce qu'il faut que je te prévienne Daeron risque aussi de voir dans ses cas là ! » Je pouffe de rire et je regarde le chien qui en entendant son nom redresse ses oreilles et me regarde comme si j'était un con. Je pouffe encore plus de rire quand finalement il s'en tape et continue de jouer avec son nouveau jouer, offert par Oliver. Il reste prêt des sac qu'il à rapporter et je reste assis sur mon lit à l'observer faire, je suis curieux du déroulé de cette soirée. Je me demande si on va manger tranquillement suivi de l'échange de cadeaux, d'un film et ensuite d'une baise ou bien si fidèle à nous même on va finir par craqué et se sauté dessus pour se prouver que l'un est à l'autre... Bonne question, qui n'aura pas sa réponses maintenant puisque curieux je l'écoute quand il me dis que janvier et février sont presque à évité si l'on est frileux et je profite de sa phrase pour encore une fois le taquiner comme j'aime tant le faire. «Tu sais je ne suis pas un grand frileux moi, puis dans le pire des cas, je penses que la chaleur humaine est absolument indispensable dans ces cas-là, tu ne trouve pas ? Plus sérieusement je penses qu'on peut y aller même en période de froid, je ne suis pas quelqu'un qui tremble de froid au premier coup de vent, et je suis absolument d'accord, se faire un week-end dans ce pays que tu semble particulièrement porté dans ton cœur me ferais plaisir, il te suffira de me faire signe, quand tu voudra y aller, je m'arrangerais avec Rain pour qu'elle garde Daeron et c'est partis ! » Je souris grandement content qu'on se prévois des petites week-end tout les deux, sa accentue le fais que nous soyons un couple maintenant. Et puis je ne me sent comme quand j'était avec mes ex copine elles, elle me poussais dans mes retranchements, elle faisait en sorte que je me sens mal à l'aise comme si c'était voulu. Non, Oliver lui me laisse de la marge, mon espace et même si on agis pas encore de façon spontanée l'un avec l'autre c'est pas grave tout viens à point à qui sait attendre et je suis prêt à attendre Oliver, autant de temps qu'il lui faudra pour venir jusqu'à moi, autant de temps qu'il lui faudra pour comprendre que je ne suis pas son ex, tout comme petit à petit je comprend qu'il n'est pas ces personnes à qui j'ai pu donner mon cœur auparavant. Il me fais sourire quand il me dis qu'au moins j'aime la ville dans laquelle la vielle m'a forcé à rester, et que je l'aimerais encore plus parce que lui était là. «Au risque de passé pour un amoureux transit ici, j'ai toujours aimé cette ville et même si c'est elle qui me forcés à resté ici, j'ai jamais eu de reproche à lui faire, en lui faisant croire que je n'aimais pas cette ville elle pensais me punir ce qui n'était en fait pas le cas. Et grâce à tout ça malheureusement, grâce à la vielle je suis tombé sur toi, et ouais j'aime encore plus cette ville parce que je t'ai toi, ici. » Je lui souris grandement en le regardant prêt des sac encore qu'il à rapporté avec lui avant de venir me rejoindre à la Mather. Je me prend d'un fou rire quand je l'entends prendre la défense de mon chien que j'était en train d'engueuler. « Oh mon dieu, si tu commence à prendre sa défense est-ce que je sert encore à quelques chose, on dirais que je le maltraite, regarde moi cette bouille qu'il fait alors qu'il est plus gâté que la moyenne des chiens dans le patté de maison. Mais encore une fois merci d'avoir pensé à lui. » Je souris et il me demande si je veux mon cadeau de sa part, je souris grandement et je vais moi-même vers mon placard d'où je sort trois petits paquet, que je pose sur mon bureau. « En effet,j'en ai envie parce que j'ai hâte que tu ouvre les miens, j'ai hâte de voir ta réaction ! » Je souris grandement et je viens m'asseoir à côté de lui en tailleur, le regardant grandement souriant.© MADE BY SEAWOLF.
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Lien du postDim 14 Jan 2018 - 21:28
Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis
it's a new dawn, it's a new day, it's a new life
And i'm feeling good, feeling good
Sans pouvoir le contrôler, un large frisson d’anticipation parcourt mon échine à ses mots. Son plan pour le début de la soirée m’intéresse, je peux pas le nier. Ça m’intéresse grandement même! La partie “tout ce que je voudrai” m’intéresse, même si pour l’instant, je ne sais pas exactement ce que je lui demanderais si c’était vraiment le cas. Ou peut-être… une chose. Parce que l’autre qui me vient en tête… aie! Non, je crois pas que ça passerait! Baby steps. Baby steps. Déjà la promesse de ses dents ou sa langue sur ma peau…
- C’est très… très… bien! Soufflais-je lentement.
Son idée suivante, peut-être un peu moins. Mais je comprends assez vite que c’est surtout pour se foutre de moi qu’il lance ça. Il croit que je suis prude ou un truc du genre parce que j’ai refusé de me tripoter dans le taxi lorsqu’il me l’a demandé? Oh, Jax, t’as pas idée jusqu’où je peux pousser si ça reste en privé! D’accord, je suis une vraie tuile pour tout ce qui est jeu de séduction quand je me concentre vraiment : je finis par me trouver ridicule et, la plupart du temps, j’éclate de rire. Mais simplement par provocation, faudra que je lui fasse un strip. Ce soir. Mais ne laissant rien paraître de mon nouveau plan, je me contente de lui tirer la langue, le laissant rire.
Parlant d’une tout autre sorte de plan, je laisse échappé un léger rire lorsqu’il dit ne pas être frileux. Oui, j’ai remarqué que je le suis plus que lui. Et je suis parfaitement d’accord pour partager de la chaleur humaine avec lui dans ses cas-là. J’en réponds d’ailleurs à sa question par un vif hochement de tête.
- C’est simplement plus intéressant de se promener dans les rues quand il fait pas -43, fis-je en riant doucement. J’ai grandi dans cette ville. J’y ai passé presque 24 ans, alors c’est un peu normal que j’apprécie, je crois. Mais pour Daeron, je sais pas exactement, faudrait que je me renseigne, mais ça doit se faire de l’emmener. Probablement plus en train qu’en bus, mais y’a des hotels qui acceptent les chiens - ils ont même des spas et services de gardiennage. Et y’a un ou deux dogs cafés aussi, si je me souviens bien. Et s’il fait assez chaud pour les terrasses, encore là, y’a bien des restos qui les laissent si on s’installe en bordure, expliquais-je.
Ce serait probablement un peu plus compliqué, mais je crois que Jax apprécierait de pas toujours laisser sa peluche derrière chaque fois qu’il part quelque part avec moi. Par moment, j’ai l’impression de les séparer, alors ça pourrait être fun. Je sais qu’à Montréal, y’a moyen de se loger et de passer de bons moment avec le chien. C’est de s’y rendre que je sais pas ce que ça va donner. Mais bon, je suis certain que ça se fait! Suffit de trouver!
Écoutant Jax m’expliquer qu’il aime la ville ici, un peu j’apprécie celle qui m’a vue grandir, je ne peux m’empêcher un léger rire amusé lorsqu’il m’explique comment il a réussi à contrecarré la vieille. Ça a quand même empêcher qu’il se retrouve dans un pensionnat ou tout autre établissement du genre perdu en pleine cambrousse ou au milieu du désert du Nevada! Un sourire un peu plus doux se fait une place sur mes lèvres quand il me dit que c’est mieux depuis qu’il m’a, moi, dans son environnement. Je lui ai lancé ça à la blague, mais ça fait quand même chaud au coeur qu’il le note. C’est peut-être guimauve, mais bon, j’ai toujours été un bisounours ou presque. Alors doucement, je le remercie pour ce commentaire en déposant un baiser sur sa joue, appuyant mon front contre le sien quelques secondes.
Et Daeron s’étant laissé porter par sa truffe pour trouver son cadeau, je suis obligé d’aller le voir, mais fini par lui donner son os avec l’accord de Jax.
- Je ne fais que relever un fait, dis-je, l’air de rien, riant légèrement. Non, je sais que tu ne le maltraite pas. Au contraire, il doit te vénéré vu comment tu es avec lui!
Le questionnant à savoir si, puisque comme il a dit c’est un peu Noël - en retard, mais chuuuut! -, il veut son cadeau tout de suite, je suis un peu étonné de le voir se lever et se diriger vers son placard. Ha, j’en ai un aussi?
Non. J’en ai trois apparement. Fronçant légèrement les sourcils, je le suis du regard alors qu’il revient s’installer près de moi en tailleur.
- T’es sérieux? Les trois paquets sont pour moi? Le questionnais-je, reprenant un air surpris.
Je sais pas trop comment réagir à dire vrai. Je suis pas vraiment habitué. Pigeant dans le sac, j’en ressort la boite enrubanné que j’avais prévu pour lui et la lui donne.
- J’espère que ça te plaira, ne puis-je m’empêcher de lâcher, un peu nerveux.
Si possible ce serait bien s’il en avait pas. Je suis tombé sur un porte document en cuir noir en faisant les boutiques. Le genre à glisser bloc-notes, stylo plume, carte d’affaires et autres. Assez rigide pour qu’il puisse l’appuyer seulement sur son genoux et travailler quand même. Je pensais que c’était une bonne idée parce qu’à dire vrai, je connais pas extrêmement ses goûts encore, mais je le trouvais trop simple, alors j’ai pas pu résister à rajouter ma petite touche. J’ai esquisser un portrait de Daeron et je l’ai fait embosser dans la couverture. Ça reste sobre puisque noir sur noir, mais c’est le sien et y’en a pas deux pareils. Sauf que je reste un peu nerveux à savoir s’il va aimer. Et en attendant sa réaction, poussé par la curiosité, je vais récupérer les paquets sur son bureau pour les ramener plus près de nous et m’installer à nouveau à côté de lui, attendant qu’il une possible indication de sa part pour les ouvrir.
- C’est très… très… bien! Soufflais-je lentement.
Son idée suivante, peut-être un peu moins. Mais je comprends assez vite que c’est surtout pour se foutre de moi qu’il lance ça. Il croit que je suis prude ou un truc du genre parce que j’ai refusé de me tripoter dans le taxi lorsqu’il me l’a demandé? Oh, Jax, t’as pas idée jusqu’où je peux pousser si ça reste en privé! D’accord, je suis une vraie tuile pour tout ce qui est jeu de séduction quand je me concentre vraiment : je finis par me trouver ridicule et, la plupart du temps, j’éclate de rire. Mais simplement par provocation, faudra que je lui fasse un strip. Ce soir. Mais ne laissant rien paraître de mon nouveau plan, je me contente de lui tirer la langue, le laissant rire.
Parlant d’une tout autre sorte de plan, je laisse échappé un léger rire lorsqu’il dit ne pas être frileux. Oui, j’ai remarqué que je le suis plus que lui. Et je suis parfaitement d’accord pour partager de la chaleur humaine avec lui dans ses cas-là. J’en réponds d’ailleurs à sa question par un vif hochement de tête.
- C’est simplement plus intéressant de se promener dans les rues quand il fait pas -43, fis-je en riant doucement. J’ai grandi dans cette ville. J’y ai passé presque 24 ans, alors c’est un peu normal que j’apprécie, je crois. Mais pour Daeron, je sais pas exactement, faudrait que je me renseigne, mais ça doit se faire de l’emmener. Probablement plus en train qu’en bus, mais y’a des hotels qui acceptent les chiens - ils ont même des spas et services de gardiennage. Et y’a un ou deux dogs cafés aussi, si je me souviens bien. Et s’il fait assez chaud pour les terrasses, encore là, y’a bien des restos qui les laissent si on s’installe en bordure, expliquais-je.
Ce serait probablement un peu plus compliqué, mais je crois que Jax apprécierait de pas toujours laisser sa peluche derrière chaque fois qu’il part quelque part avec moi. Par moment, j’ai l’impression de les séparer, alors ça pourrait être fun. Je sais qu’à Montréal, y’a moyen de se loger et de passer de bons moment avec le chien. C’est de s’y rendre que je sais pas ce que ça va donner. Mais bon, je suis certain que ça se fait! Suffit de trouver!
Écoutant Jax m’expliquer qu’il aime la ville ici, un peu j’apprécie celle qui m’a vue grandir, je ne peux m’empêcher un léger rire amusé lorsqu’il m’explique comment il a réussi à contrecarré la vieille. Ça a quand même empêcher qu’il se retrouve dans un pensionnat ou tout autre établissement du genre perdu en pleine cambrousse ou au milieu du désert du Nevada! Un sourire un peu plus doux se fait une place sur mes lèvres quand il me dit que c’est mieux depuis qu’il m’a, moi, dans son environnement. Je lui ai lancé ça à la blague, mais ça fait quand même chaud au coeur qu’il le note. C’est peut-être guimauve, mais bon, j’ai toujours été un bisounours ou presque. Alors doucement, je le remercie pour ce commentaire en déposant un baiser sur sa joue, appuyant mon front contre le sien quelques secondes.
Et Daeron s’étant laissé porter par sa truffe pour trouver son cadeau, je suis obligé d’aller le voir, mais fini par lui donner son os avec l’accord de Jax.
- Je ne fais que relever un fait, dis-je, l’air de rien, riant légèrement. Non, je sais que tu ne le maltraite pas. Au contraire, il doit te vénéré vu comment tu es avec lui!
Le questionnant à savoir si, puisque comme il a dit c’est un peu Noël - en retard, mais chuuuut! -, il veut son cadeau tout de suite, je suis un peu étonné de le voir se lever et se diriger vers son placard. Ha, j’en ai un aussi?
Non. J’en ai trois apparement. Fronçant légèrement les sourcils, je le suis du regard alors qu’il revient s’installer près de moi en tailleur.
- T’es sérieux? Les trois paquets sont pour moi? Le questionnais-je, reprenant un air surpris.
Je sais pas trop comment réagir à dire vrai. Je suis pas vraiment habitué. Pigeant dans le sac, j’en ressort la boite enrubanné que j’avais prévu pour lui et la lui donne.
- J’espère que ça te plaira, ne puis-je m’empêcher de lâcher, un peu nerveux.
Si possible ce serait bien s’il en avait pas. Je suis tombé sur un porte document en cuir noir en faisant les boutiques. Le genre à glisser bloc-notes, stylo plume, carte d’affaires et autres. Assez rigide pour qu’il puisse l’appuyer seulement sur son genoux et travailler quand même. Je pensais que c’était une bonne idée parce qu’à dire vrai, je connais pas extrêmement ses goûts encore, mais je le trouvais trop simple, alors j’ai pas pu résister à rajouter ma petite touche. J’ai esquisser un portrait de Daeron et je l’ai fait embosser dans la couverture. Ça reste sobre puisque noir sur noir, mais c’est le sien et y’en a pas deux pareils. Sauf que je reste un peu nerveux à savoir s’il va aimer. Et en attendant sa réaction, poussé par la curiosité, je vais récupérer les paquets sur son bureau pour les ramener plus près de nous et m’installer à nouveau à côté de lui, attendant qu’il une possible indication de sa part pour les ouvrir.
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Lien du postLun 15 Jan 2018 - 0:24
feat. Oliver & Jax
Je voyais dans le regard d'Oliver que j'avais touché la corde sensible. Celle qui le pousserais peut être tant à bout qu'il ne pourrais pas se retenir de venir me sauter dessus et pour peut être lancé les hostilités entre nous. Lancé nos jeux à deux, ceux qu'on ne joue que tout les deux. Quand il me dis que c'est très très bien, je ris, un peu. « Oh Oliver, si tu savais tout ce que j'aimerais te faire là tout de suite, si tu me lance je pourrais très bien te faire rougir de mes paroles. Je crois que je pourrais tout aussi bien nous chauffer correctement avant de gentiment -oupas- te faire l'amour, ou bien des caresses ou encore... de lent va et viens sur ton membre... » Il semble par contre être moins sûr de mon idée de streap-tease et je pouffe de rire. Je me moque un peu parce que j'en viens à me demandé si en un coup de folie Oliver n'arriverais pas à me surprendre et le faire. Après tout nous sommes que tout les deux actuellement, si on compte pas le chien qui bouffe un os dans son coin. Il manquerais plus qu'il vienne sauter sur Oliver en pensant qu'il veux jouer. Je ris doucement sans pour autant expliquer à Oliver que je viens comme un con de l'imaginer en train de se faire renverser par mon gros chien. Je souris et je l'écoute quand il dis que c'est pas agréable de sortir par moins 43 dehors et je pouffe de rire. « On aurais une raison de prendre une looooongue douche bien chaude tout les deux, tu sais ? Mais j'en viens à comprendre ce que tu essaie de me dire. Tu pense vraiment qu'on devrais prendre le peluche avec nous ? Genre vraiment ? Qu'on le prenne et qu'on s'occupe de lui pour sortir et tout ? Je suis pas vraiment contre c'est vrais que c'est comme un petit déchirement quand je doit le laisser ici alors qu'on s'en va mais je comprend aussi que parfois c'est bien qu'on ai pas le chien avec nous.. Je sais pas trop, on devrais se renseigné pour savoir si ce n'est pas trop cher non plus. » Il me dis qu'il penses que les restaurant sont pour du moment qu'on est en extérieur, et aussi qu'il y a des système ou les hôtels ont des garderie d'animaux et je grimace je n'ai jamais vraiment laisser Daeron à personne d'autre que moi, je ne sait pas s'il pourrais être méchant avec quelqu'un qu'il connais pas et qui pourrais lui donner des ordre... J'en sais rien, c'est peut être pas une bonne idée. C'est à voir. Quand enfin il va voir mon chien je souris me redressant sur le lit et je les observes. « Je voit que vous vous êtes liguée tout deux contre moi, oh pauvre petite bête seul et abandonné que je suis. Hein ! J'le savais t'aime plus passer du temps avec mon chien qu'avec moi ! Méchant Oliver va ! » Je fais ensuite exprès de m'allonge dans le lit comme si j'avais fait un malaise ou bien comme dans les dessin animé. Puis je redresse la tête pour voir Oliver me regardé comme si j'était con et je pouffe de rire, me redressant correctement. Je m'approche et une fois prêt de lui et après avoir sortis les cadeaux de l'espace ou je les avais rangés, je voit Oliver froncé les sourcils. J'espère qu'il ne va pas m'en voulais pour mes cadeaux et que tous lui plairont. Il me demande si les trois paquets sont pour lui et je hoche la tête tout fier de moi. « Écoute Oli', m'en veux pas je suis un gars comme ça j'aime faire plaisir et j'aime gâté ceux qui font partis de mon entourage, j'aime bien faire plaisir et je t'assure que même s'il y en a eu trois j'ai payé avec mon argent durement gagné et qu'en plus ce ne sont pas des cadeaux hors de prix. Promis ! » Je souris et lorsqu'il me présente son cadeau à lui,je le prend curieux de ce qu'il peut bien contenir, je m'amuse à l'ouvrir lentement avant de ne plus tenir et de l'ouvrir entièrement. J'en reste surpris et choqué. Je l'observe, je regarde et je souris. Un porte document digne de ce nom. Je passe mes doigts dessus et le penche pour apercevoir à contre jour un dessin de chien, avant de comprendre, j'ouvre grand les yeux. « Attends est-ce que tu as fais ce que je pense ? Tu as dessiner Daeron et tu l'a fais personnalisé ? Wow! C'est le plus beau cadeau que j'ai jamais eu Oliver ! Merci ! » Je viens l'embrasser doucement en caressant sa joue et je plonge mon regard sur mon présent, wow, magnifique. Puis, Oliver curieux va cherché les siens et je souris lui indiquant qu'il peut les ouvrirs dans l'ordre qu'il veux. « j'espère aussi que les miens te plairont Oliver, je penses que j'ai touché la bonne corde ! » Je le laisse regarder et j'observe ses réaction, le premier cadeau contiens une pochettes de feutre de qualité Londonienne, il les avais remarqué et j'avais pensé qu'il n'avais pas osé ce les prendre alors je les avais pris en secret. Le second cadeau lui contiens un carnet de croquis, assez simple noir avec par contre dessus son prénom, on pouvais les faire personnalisé et je l'avais fais tout content de moi-même voyant qu'on penses pareil lui et moi. Et enfin le dernier lui contient, une peluche. Oui nous sommes des grands enfants. Il contient un ours qui tient deux drapeaux, l'un de l'Angleterre et le second du Canada, pour montré qu'on viens pas du même endroit mais qu'on à tout de même finit par ce trouvé. Je suis plutôt fier de mes cadeaux que j'espère lui plairons et qu'il les pensera uniques.© MADE BY SEAWOLF.