Les jardins de Monaco, le grand soleil, le plus grand plaisir du monde. Et puis elle. Vous étiez tous les deux dans ce kiosque, en silence total avec la nature, un silence et des moments forts importants. C'était le paradis, un bonheur parfait avec elle. Mais tu savais qu'elle allait peut-être avoir peur, que cela allait être compliqué, un cap, une chose fortement effrayant. Et elle se rassura en te le disant, mais tu étais là, toujours, quoi qu'il arrive. Puis elle avait peur de ton père, normal, tu avais peur aussi de sa réaction. Mais c'était normal. Alors tout le monde t'aimera, tout le monde t'adorera. Je suis sur que tous les monégasques vont t'aider, toute ma famille va te chérire, ne t'inquiète dis-tu avant de caresser sa main doucement, et voilà que tu commences à prendre la théière pour verser l'eau dans la tasse de ta fiancée. Tu en profites même pour prendre le sucre pour lui donner. Mais elle avait peur c'était normal. C'était logique et même c'était tout à fait compréhensible. J'ai besoin de rien d'autre que de toi Neva', toi et personne d'autre dis-tu alors que tu te sers ton thé pour mettre ton sucre dans ta tasse. Tu l'observes finalement avant d'ajouter D'ailleurs, sans vouloir te faire peur aussi, tu risques d'avoir des nouvelles de ma mère dès demain, je suis désolé d'avance parce que ta mère était ainsi, toujours à vouloir donner son avis, à aider, à faire des choses. Parce qu'elle était ainsi mais tu l'aimais. Tu prends ainsi ta tasse avant d'observer cette bague à son doigt, tu n'en revenais pas qu'elle est osée te dire oui à toi. A toi. Tu étais l'homme le plus heureux du monde aujourd'hui.

Même si sa famille venait à te détester, tu resterais fermement accrochée à Andrea. Il était ton centre de gravité, ta vie tournait désormais autour de lui. Mais d'après ses dires, tu n'avais aucun soucis à te faire que ce soit vis à vis de sa famille ou de son peuple. Des paroles rassurantes qui te donnait inévitablement du baume au coeur." Il n'a que ton amour qui m'interesse. " Autant dire les choses comme elles sont. L'important avant tout c'était lui. Alors qu'il vous sert le thé, tu n'a d'yeux que pour lui, que pour cette homme que tu auras la chance d'appeler un jour ton mari. Cette idée fait exploser un feu d'artifices dans ton coeur, comme si tu venais seulement de réaliser sa demande en mariage. Ses mots résonnent comme une douce mélodie à tes oreilles." De toute façon je refuse de te partager. " Toi jalouse ? Oui un petit peu. Une relation sans jalousie n'en est pas une. Il est ton bien le plus précieux, alors évidemment que tu souhaites le garder rien que pour ta personne. Rire cristallin qui s'échappe de tes lèvres lorsqu'il te préviens que sa mère est sans doute déjà sur le qui vive pour les préparatifs de ce mariage royal." Je lui fais confiance et elle sera sans doute d'une aide précieuse. " Si ça peut te soulager un peu dans cette longue bataille qu'est l'oragnisation d'un mariage, tu ne vas pas dire non." Je serais la femme la plus fière au monde quand je porterai ton nom. " Il le savait depuis longtemps que tu le voulais, que tu étais impatiente de cette union. Pas pour l'argent, pas pour la royauté mais pour être à jamais liée à lui.

Ton regard sur ta femme. Tu l’observes. Elle est ta femme, ta future femme, cette femme que tu aimes tant. Et tu ne comptes pas t’enlever d’elle tout de suite. Tu caresses sa joue doucement quand elle te dit ce genre de choses. Tu as essayé de la rassurer et là, c’est elle qui te rassure. Elle ne veut pas partir et heureusement pour toi. Tu souris à venant à embrasser sa joue Je t’aime Nevada Mais elle ne voyait pas à quel point. Tu avais mis quelque temps à lui dire, à lui expliquer. Ton cœur était encore amoché de toutes ses opérations, de tous ses problemes et le simple fait de lui, cela t’avait libéré. Tu étais heureux avec elle, bien plus heureux que tu n’aurais pensé et simplement, ce n’était pas ce que tu voulais. Vivre cinq ans avec elle. Vivre seulement un petit temps. Tout ce que tu voulais, c’était elle, du temps et de l’amour. Peu importe ce que dira les autres personnes, Nevada était une femme parfaite et elle le prouvait tous les jours. C’est parfait parce que je risque de faire noter sur un morceau papier tout ce que je refuse. Et je refuse de te partager aussi Tu décides de préparer ta tasse pour la boire. Un mélange parfait que seul toi connait le secret, pour ton cœur ou même pour ton corps. Tu la préviens pour ta mère, sans doute déjà active sur tous les réseaux sociaux du monde, toutes les entreprises du monde et tout ce qui va avec. Et heureusement pour toi, elle n’était pas encore venue vous embêter. Tu as l’autorisation de lui dire STOP ou NON préviens-tu avant de rire doucement. Tu en profites même pour prendre une gorgée de ta tasse et venir la boire doucement. Tu regardes la jeune française avant de sourire à sa remarque. Tu as même du rougir face à ces paroles Et tu le porteras à merveille, j’en suis sur Dis-tu alors que tu prends même un petit gâteau pour profiter du plaisir monégasque.