Féline esquissa un petit rire amusé, trouvant proprement adorable le fait qu'Arthur veuille rejoindre son rêve. Même si je fais des rêves inavouables parfois ? le taquina-t-elle doucement, non sans conserver un sourire tout aussi adorable que les propos de son meilleur ami. Compte sur moi pour être très, très inventive vis à vis de tes gages hein ! lui tira-t-elle la langue, uniquement pour l'encourager à ne pas être trop tenté par lesdits gages. La piquante blonde pouvait être imaginative certes, mais aussi un peu cruelle sur les bords... mais ça, Arthur le savait. Il la connaissait par cœur, depuis le temps qu'il la pratiquait maintenant. Bah... on va dire que ce s'ra notre petit secret. Promis, j'serai une tombe, ton paternel en saura rien ! Pour la peine, elle mima le fait de se coudre la bouche, avant de reprendre son fidèle réflexe qui consistait à se mordiller légèrement la lèvre inférieure de manière on ne peut plus sensuelle. Un appel aux baisers, certainement, mais Féline ne s'en rendait pas vraiment compte, telle était la beauté de la chose. Mauvaise, super mauvaise... même si c'est tentant ! Quant au fait que j'te préfère... oublie ça et file ! gronda-t-elle presque d'un air faussement menaçant pour qu'il aille se préparer. Cela permit à la demoiselle de peaufiner son maquillage et sa coiffure, afin d'être aussi parfaite que possible. C'est qu'elle avait un standing à respecter, au bout du compte... mais face au compliment de son meilleur ami, Féline sentit ses joues rosir légèrement, car c'était bien la première fois qu'on lui disait qu'elle était parfaite... Toi t'es parfait tu veux dire ! secoua-t-elle la tête de droite à gauche avant de le suivre jusqu'au fameux carrosse, qui lui en mit bien évidemment plein la vue. Le fameux malaise qu'elle ressentait toujours face à tant de richesses se fit à nouveau sentir mais la blonde tenta de le contrôler tant bien que mal. Elle monta à l'intérieur de la voiture, s'installant confortablement et, pendant la route, frôla la main d'Arthur lorsque ce dernier passait les vitesses, subrepticement. J'crois que j'ai bien fait de prendre mon temps à m'pomponner en fait... sinon tu m'aurais ratée...

« Tant que tu rêves de moi, je veux bien te rejoindre dans tes rêves inavouables chou ! » répondis-tu du tac au tac. Tu étais content de retrouver cette légèreté qui caractérisait ta relation avec ta meilleure amie. Parce que tu détestais le fait de te disputer avec elle, mais tu n’avais pas trop le choix tout à l’heure… Ta jalousie avait remporté la partie sur ta raison ! Elle te disait qu’elle allait être très inventive pour ses futurs gages au cas où tu échouerais dans ton objectif de devenir quelqu’un de plus ordinaire. Tu ne pus t’empêcher de pouffer légèrement de rire en disant : « Je suis sûr que tu sauras me créer des gages uniques ». Tu lui adressas un petit clin d’œil. Par la suite, votre conversation avait dévié sur le sujet de ta passion pour la danse de salon, que tu gardais jalousement secrète… « J’ai confiance en toi, chou » dis-tu simplement avant de sourire d’un air amusé alors qu’elle mimait le fait de se coudre la bouche. Et quand elle fit sa fameuse moue, tu ne pus t’empêcher de vouloir l’embrasser mais ce n’était pas une bonne idée. Heureusement qu’elle te chassa pour que tu puisses te préparer ! Ouf sauvé par le gong ! Du coup, tu avais rapidement pris une douche et une fois paré de ton beau smoking noir, tu étais revenu auprès d’elle afin de lui demander ce qu’elle en pensait. Au vu de son expression d’admiration et sa réponse, tu te doutais qu’elle appréciait beaucoup ce qu’elle voyait mais tu lui fis remarquer qu’elle était parfaitement assortie à toi. Comme elle n’était pas habituée à ce genre de compliment, tu la vis rougir, ce qui était très mignon en vrai. « Je suis un Prince, donc je suis parfait ! » fis-tu d’un ton faussement narcissique avant de pouffer de rire. « Non sérieusement, je sais que je suis beau et tout mais tu es vraiment parfaite dans ta robe. Et saches que même dans ta tenue normale, je te trouve jolie, Féline. Pas parce que tu es ma meilleure amie mais parce que tu es une femme belle et désirable. » complimentas-tu d’une voix douce avant de l’emmener jusqu’à ta voiture de sport. Elle remplaçait ta McLaren MP4… C’était une McLaren aussi mais cette fois, c’était la P1. Tu lui pris la main et l’aidas à monter à bord du véhicule, puis vous quittiez rapidement la propriété de ta villa. Pendant que tu conduisais avec habilité alliant vitesse et dextérité, elle te dit une phrase étrange. « Pourquoi dis-tu ça chou ? ». Tu quittas légèrement la route des yeux afin de lui adresser un regard tendre, puis en attendant sa réponse, tu reportas ton attention sur la conduite.

Et qui te dis que je rêve de toi dans mes rêves inavouables chou ? le provoqua-t-elle ouvertement car après tout, jouer restait sa marque de fabrique la plus évidente et que Féline demeurait plus à l'aise que jamais sous ce masque de jeu, qu'elle pouvait contrôler bien mieux que n'importe quel sentiment. Mmh... ouais j'serai suuuuper imaginative juste pour toi choupinet ! Mais que ça te donne pas envie d'pas faire d'effort, sinon j'te boude ! lui tira-t-elle la langue, parfaitement capable de mettre à exécution sa menace. Une chance que son meilleur ami ait accepté de filer se changer, sinon la situation aurait très certainement dérapé. Il ne valait mieux pas, car cela briserait toute la beauté de leur premier rancard s'ils se sautaient dessus de manière fougueuse et passionnée comme ils le faisaient d'ordinaire. Briser la routine, voilà tout le but de la manœuvre. Tu sais que tu es beau et modeste par dessus le marché ? Savant mélange ! rit-elle doucement pour cacher son malaise, comme toujours lorsqu'elle était complimentée par quelqu'un lui plaisant. Une femme belle et désirable... j'crois qu'on m'a jamais autant complimentée d'un coup en fait finit-elle par admettre avant de se diriger de concert avec Arthur jusqu'à sa voiture de sport, petit bijou de technologie automobile que jamais la demoiselle ne pourrait se payer, même dans ses rêves les plus fous. De quoi faire revenir au grand galop son trouble vis à vis de leurs différences de niveaux de vie... Ben... parce qu'au début j'pensais vraiment aller voir un gars. Un type pauvre, fauché comme les blés comme moi. Au début c'était ça mon idée reprit-elle avec une franchise la caractérisant si bien, alors qu'ils arrivaient à bon port.

[color=steelblue)« Je serais triste si tu ne rêvais pas de moi tous les soirs dans les plus inavouables de tes rêves… »[/color] fis-tu mine d’être vexé mais tu affichais tout de même un grand sourire parce que tu aimais vraiment cette complicité entre vous. Le fait que vous vous taquiniez montrait que la dispute d’avant semblait être loin. Tu étais bien content d’avoir mis les choses au clair avec Féline, parce que tu n’aurais vraiment pas supporté le fait qu’elle aille voir un autre mec… Non elle était à toi ! « Je te fais confiance et t’en fais pas, je fais toujours des efforts… On ne se repose pas sur ses lauriers quand on est un Prince, non mais » repris-tu avec toujours cette fausse mine vexée alors qu’elle venait de te tirer la langue cette fois. Qu’importe par la suite, vous discutiez de ta passion secrète pour la danse puis tu avais filé dans la salle de bain afin de te doucher, puis tu avais enfilé un beau smoking avant de revenir auprès d’elle. Elle te trouvait très beau mais tu lui faisais remarquer qu’elle était toute aussi belle dans sa robe sexy. « Arrêtes de me complimenter chou, mes chevilles ne vont jamais se désenfler » souris-tu alors que vous arriviez à ta voiture de sport tandis qu’elle te faisait remarquer qu’elle n’avait jamais été autant complimentée… « Les gens ne savent pas ce qu’ils perdent. Tu es belle, Féline et je pourrais le crier sur tous les toits. ». Alors que vous entriez dans l’habitacle de ta voiture de sport, le malaise qu’elle ressentit aussitôt ne t’échappa guère mais tu ne fis aucun commentaire. Tu lui en parlerais plus tard, pour l’heure, direction le restaurant de ta future-belle-sœur. Pendant que tu conduisais, elle te fit une remarque qui t’interpella, ce qui te fit tourner vers elle, délaissant quelques instants la route. « Ne sois pas aussi gênée chou. Ce n’est pas parce que je suis riche que je vais te regarder de haut et tout. Si je vais à ce rencard avec toi, c’est parce que j’en ai envie. De plus, nous n’allons pas dans un restaurant de luxe mais plutôt familial, du coup on y sera beaucoup plus à l’aise. Penses juste à nous et tout ira bien, d’accord ? ». Tu repris la route des yeux tandis que tu t’engageais dans la rue où se trouvait ledit restaurant de Nevada. Une fois arrivés sur les lieux, tu garas ta voiture à une place réservée gardée par l’un de tes gardes du corps. « Prête ? »

Pour le savoir... j'parlerai qu'en présence de mon avocat ! Ou de ma vodka, ça dépend... le taquina-t-elle plus encore, jouant cette carte à fond alors que son meilleur ami feignait d'être vexé. Féline le connaissait suffisamment pour savoir qu'il n'en n'était rien en vérité. Heureusement, car cela démontrait par a+b à quel point leur complicité prenait le pas sur leur dispute, la reléguant au placard définitivement. Ouais... t'as un standing à respecter, c'est ça ? Une nouvelle petite taquinerie tout en sachant qu'Arthur n'aimait pas particulièrement la médiocrité et demeurait extrêmement exigeant envers lui-même en premier lieu. Cela lui permettait sûrement de l'être avec les autres également... bien que de son côté, la jolie blonde n'ait jamais eu à se plaindre : il l'acceptait telle qu'elle était, et ce depuis toujours. Bah un p'tit massage de bibi et hop, désenflage de chevilles direct ! Mais... tu le crierais, vraiment ? Ou tu me garderais juste pour toi ? Dans le ton de l'étudiante en droit, il y avait un rien de plaisanterie certes, mais une façon aussi de prêcher le faux pour savoir le vrai. Son meilleur ami répondrait-il ? Mystère et balle de golf. J'suis désolée chou... c'est plus fort que moi. J'ai manqué de vivre dans la rue à un moment, alors avoir tout d'un coup si facilement sans rien faire, j'ai l'impression d'me perdre un peu en route. J'aimerais trop avoir la facilité de Serena à s'adapter t'as pas idée ! Mais j'suppose que tu vas m'aider... à m'adapter. A être à l'aise... Ceci étant, Féline était rassurée d'aller à un restaurant familial plutôt que luxueux pour ce premier rancard. Sinon son malaise aurait été plus important encore. Elle esquissa un sourire pour le prouver et hocha la tête, finalement prête. Bien entendu, elle quitta la voiture avant même qu'on la lui ouvre, retrouvant Arthur pour mieux lui retendre la main, espérant qu'il la prendrait. Comment on dit déjà ? Ah ouais... vends-moi du rêve !

« Tu es une future grande avocate, donc tu peux en parler non ? » lui rétorquas-tu sur le même ton taquin, sans quitter ton faux air vexé. Honnêtement, tu aimerais savoir tous ses rêves à propos de toi mais c’était son jardin secret, tu ne comptais pas la forcer à l’avouer. « En effet, un standing trop élevé mais qui me sied totalement » répondis-tu du tac au tac avec une fierté digne de ton rang de futur Roi. Monaco serait fier de t’avoir comme nouveau Souverain mais seul ton idiot de paternel ne semblait pas le remarquer… « Oui je crierais clairement et fièrement. Parce qu’ainsi je pourrais dire à tout le monde que je te garderais rien que pour moi. ». Par la suite, alors que vous vous dirigiez toujours jusqu’au restaurant de ta future belle-sœur Nevada, tu essayais de la rassurer sur le fait que tout se passerait bien. Sa réponse te laissa légèrement perplexe parce que tu comprenais vraiment ce qu’elle essayait de te dire… « Je serais là quoiqu’il arrive chou… Je ne t’ai jamais laissée tomber et je ne compte pas le faire de sitôt. Même pour tout l’or du monde. Je t’aiderais à t’adapter. Tu seras parfaite, tu sauras garder ton naturel qui me plaît tant » avouas-tu d’une voix douce alors que vous arriviez au restaurant. Après avoir garé ta voiture de sport, tu sortis du véhicule en même qu’elle et tu lui pris la main sans hésitation. « Je vis déjà un rêve actuellement » lanças-tu avec un petit sourire malicieux avant de l’entraîner à l’intérieur du restaurant. Vous vous installiez à une table à part pour que vous puissiez avoir assez d’intimité. Une serveuse arriva pour prendre votre commande. En regardant ton amante dans les yeux, tu commandas sa boisson préférée tandis que pour ta part, tu commandas un Kir royal. La serveuse prit la commande puis elle s’en alla te laissant seul avec ton amante. « As-tu choisi un plat qui te met l’eau à la bouche ? » demandas-tu à la jolie blonde.

Ouais j'suis future avocate mais pas encore en poste et puis l'idée... c'est de parler en présence d'un autre baveux hein... rigola-t-elle de cet air faussement vexé qu'affichait pourtant ouvertement Arthur comme s'il s'agissait d'une vérité absolue. Pouvoir le titiller sur ça et, en prime, garder une parte de mystère ne déplaisait pas à Féline, pourtant. Devenir trop prévisible, trop accessible reviendrait à dire devenir ennuyeuse et elle fuyait la chose telle la peste en personne. C'est flatteur de carrément le crier... dût-elle admettre au bout de quelques secondes, alors qu'ils arrivaient de concert au restaurant de Nevada. Hélas, entre son manque d'habitude vis à vis du luxe et le fait que le côté végétarien ne lui aille guère au teint, la blonde pataugeait un peu dans la semoule, malgré les mots on ne peut plus réconfortants de son meilleur ami. Pour sûr je serais pas capable d'agir autrement... ou alors je deviendrais chiante, lisse, ce serait pourri quoi ! haussa-t-elle les épaules d'un air faussement désolé puisque ce côté naturel semblait tant plaire au jeune prince, qui admit vivre un rêve. Mais une fois à l'intérieur du restaurant, à une table un peu à l'abri des regards, Féline mit un certain temps à choisir. Rien ne la tentait, et ce n'était pas faute de ne pas faire la fine bouche... Heu honnêtement ? Pas trop encore... mais j'vais trouver ! tenta-t-elle de ne pas casser l'ambiance, rêvant actuellement d'une belle pièce de viande bien juteuse. Mais la demoiselle, non sans ressources, parvint à se contenter d'un plat à base d’œuf et d'une grande salade revisitée, qui, sans caler son estomac sur pattes, parvint à combler au moins un instant son attention, tandis qu'elle passait une bonne soirée en compagnie du jeune homme. Cela se poursuivit une fois dehors, après l'avoir remercié pour ce bon repas. Merci pour cette expérience... t'aime souvent manger végétarien ? Que j'sache comment adapter mes plats à moi ! fit-elle, cabotine, tournant légèrement sur elle-même alors qu'ils s'approchaient de la voiture.

« Haha, tu me fais rire chou » dis-tu en pouffant légèrement de rire en la voyant adopter cet air faussement vexé qui la rendait encore plus sexy. Votre complicité habituelle avait réellement repris le pas sur votre dispute qui avait menacé votre soirée. Mais toujours est-il que c’était avec toi qu’elle comptait passer sa soirée de dating… Tu en étais heureux, parce que tu avais enfin pu mettre des mots sur les raisons qui te poussaient à ne pas apprécier le fait qu’elle soit invitée par un autre gars. « Je pense que je n’aurais pas besoin de le crier… Je suis un Prince et mes mots ont le pouvoir d’être amplifiés exponentiellement, du coup tout le monde le saura très vite que je te trouve jolie chaton ». En arrivant au restaurant de Nevada, elle t’avait expliqué son ressenti vis-à-vis de tout ce qui t’entourait, le luxe et tout mais tu lui répondais qu’elle n’était pas seule et que tu l’aiderait pour qu’elle garde son naturel. « Ha non, je ne suis pas d’accord ! » pouffas-tu à ses mots… Pendant ce temps, une serveuse vint vers vous avant de vous emmener à votre table. Une fois installés, tu lui demandas ce qu’elle voulait manger mais comme elle ne semblait pas avoir l’habitude des restaurants végétariens, elle avait besoin de temps. Néanmoins elle finit par choisir un plat tandis que tu commandais ton habituelle salade végétarienne. Tu commençais à avoir tes habitudes en ces lieux, du coup tes commandes étaient rapides. Le repas se déroula sans accroc, vous passiez une agréable soirée ensemble… Une fois vos plats terminés et que tu aimes l’addition sur ta note personnelle au restaurant, vous sortiez finalement pour rejoindre ta voiture tandis qu’elle te remerciait pour l’expérience et qu’elle te demandait si tu aimais manger végétarien. « Pas vraiment, je ne mange végétarien que dans le restaurant de Nevada. Je voulais simplement découvrir au départ, vu qu’elle sortait avec mon frère mais je l’apprécie bien et les plats sont très bons du coup une ou deux fois par mois, je viens ici. Mais rien ne vaut une bonne et bien juteuse pièce de viande. » souris-tu à la jeune femme avant de lui reprendre la main pour l’emmener jusqu’à la voiture. « Que désires-tu faire maintenant avant de rentrer à la maison ? »

Arthur n'avait pas tout à fait tort dans ce qu'il avançait : nul besoin d'élever la voix pour se faire entendre, son statut et son rang parlant pour lui avant toute autre chose. Mais peut-être était-ce ce qui mettait le plus mal à l'aise Féline, n'ayant pas l'habitude de fréquenter quelqu'un de la haute, ou de se plier au protocole de quiconque. Vivre sa propre existence s'avérait déjà suffisamment complexe pour qu'elle n'aille pas se rajouter des complications diverses en la matière... néanmoins, tout au long du repas, elle joua le jeu à merveille. Comme quoi, la future avocate sommeillant en elle savait donner le change à la perfection. Mais une fois dehors, entendre son meilleur ami dire que rien ne remplaçait une bonne pièce de viande la rassura, quelque part... car il ne l'emmènerait pas nécessairement dans un restaurant végétarien tous les quatre matins ni ne la pousserait à devenir vegan, manger du tofu séché et j'en passe. T'as mis l'doigt d'sus... rien ne vaut de la bonne bidoche de derrière les fagots ! s'exclama-t-elle dans un élan de sincérité dont la blonde seule avait le secret depuis toujours. Arthur lui prit bientôt la main, l'emmenant vers sa voiture de sport lustrée jusqu'à la moelle, lui demandant ce qu'elle souhaitait faire avant de rentrer. Mmh... nous payer un bon dessert bien gras et pas raisonnable ? lança-t-elle avant d'entourer le cou du jeune homme de ses bras. Ça nous donnera la force d'autre chose, après... Mais qui sait ce que Féline avait bien pu vouloir dire par là...