Julia avait fait sauter son premier cours d’économie ce matin, bien que l’envie soit grande, elle ne pouvait pas passez à côté de ce qui venait de se passer. Non, je sais que vous pensez au dernier Pop Harry Potter qui vient de sortir, ou la baguette de Voldemort édition collector pour qui elle aurait fait sauter tout les cours de la journée, mais pas du tout. Son frère l ‘avait appelé en hâte se matin afin de lui demander un service, sa voix tremblante et son rire maladroit cacher pas mal de chose. elle avait très vite compris que la situation été étrange, alors elle s’est empresser de regarder les infos de sa petite ville de Winnipeg. L’entreprise familiale vivait un drame, car leurs pire avait une crise de la cinquantaine, il été venu au travail en talon haut et maquillage, une perruque sur le crâne et des faux ongles au bout de ses doigts, une surprise générale avait été déclaré dans les locaux et un groupe de personne à commencer à se rebeller au point de vouloir tabasser leur père. Elle le savait, bien sur qu’elle le savait, elle l’avait déjà vu s’entraîner à mettre du rouge à lèvres et lui voler du vernis en cachette, mais Julia n’en croyait pas ses yeux, elle ne croyait pas qu’il aurait été jusque là. le drame c’est répondu un peu partout dans le ville, comme quoi le père des Santiago-Redmayne été un travelos dégueulasse néfaste pour les enfants, les titres été sanglant et sans retenu, les frères de Julia se sentait un peu dépasser. Ils lui ont donc demandé de ramener sa fraise, pour essayer d’arranger les choses, trouver une solution, calmer le tout. La brunette avait bien sur fait appel à sa sœur jumelle à qui elle a laissé un message sur son portable cours et précis. « Vient à la gare demain matin ; 8h50, on rentre à la maison, papa à besoin de nous. » elle pensait qu’elle serait curieuse et irait voir par elle-même, sinon elle lui expliquera sur le chemin. Il était 8h30 et le train été arrivé au quaie, Julia commencer à manquer de patience à l’attente de sa sœur, faisant les cents pas le long de l’entrée des escaliers. « Bordel, Pip, t’es où ? »

@Piper J. Redmayne

Elle était en retard, Julia avait presque envie de rajouté « comme toujours » à ses penser, mais elle pensait à trop de chose en même temps, essayer de géré trop de chose en même temps. Son cerveau été en hyper tension comme si il aller arrêter de fonctionner d’un coup sans prévenir. Que faire ? Comment réagir ? Est-ce que la Julia organisé pouvait refaire son entrée juste l’espace d’un instant ? Elle fut sortit de ses penser par la pire manière possible, un gros lourdo qui passer à côté d’un avec sa valise l’avait bousculé, elle le regarder avec méchanceté, le tuant une dizaine de fois dans sa tête avant de voir sa sœur débarquer en courant. Julia soupire, roule des yeux et tire sa valise jusque dans la train. « T’es en retard. » crache t-elle en poussant sa valise dans le wagon. « C’est pas comme si je t’avais pas prévenue que c’était important. Mais non, Piper a toujours mieux à faire. » d’accord ,elle est de mauvais poil, ce qui est tout à fait normale, mais elle est pas obliger de passer ses nerfs sur sa sœur. « Mais tu devrais avoir une boule au ventre, l’empire que papa a passer des années à construire est entrain de s’effondrer. Si ça se trouve on est déjà pauvre et la maison est en feu parce que les stupide employer de papa se sont retourné contre lui. » si c’était pas tous des bouzeux on en serait pas là aujourd’hui. Bah quoi ils ont jamais vu de travestit dans leurs villes de merde ou quoi ? La brunette fini par caler sa valise contre l’aller et se met à la recherche des billets, le train allait fermer ses portes et avertit ses passages de regagner leurs places, places qui semblait être introuvable dans ce sac à main infini de la brune. «Merde, ou sont les billets ? » c’est pas vrai, ça n’arrive qu’à vous ça.

Piper est insupportable, elle l’était déjà gamine, mais là c’est de pire en pire. Julia la regarde de travers quand elle lui passe dessus, c’était invivable. Si elle était d’humeur à se prendre la tête, elle lui aurait surement déjà gueuler dessus devant tout le monde, mais elle se retiens pensant au priorité de ce séjour avant tout. Par contre, mademoiselle Piper Redmayne elle ne se retient pas de gueuler un bon coup sur la brunette, pour la peine, elle donner un coup de pied sans sa valise alors que celle-ci commencer à la porter vers les rangements. « Idiote. » marmonne la Dunster, toujours avec le même regard. C’était pas Piper le souci, mais la situation en elle-même, pensait être pauvre ne pouvait pas être imaginable pour Julia, elle vit et a toujours vécu dans la luxure et la richesse, si elle venait à la perdre du jour ou lendemain elle serait comme ses célébrités à qui on interdit de prendre de la coque, c'est-à-dire qu’elle disparaitrait dans des miettes de cendres jusqu’à s’envoler dans l’air. Elle sait très bien qu’elle abuse de la générosité de son padré, mais pour elle les choses est simple : si il l’aime, alors il faut qu’il l’entretienne. Chose qui semble passe un peu au dessus de Piper puisqu’elle n’a jamais fait tout ce que Julia à fait dans sa vie, juste parce qu’elle a du fric. « C’est moi qui vais t’en coller une. » ça va de la laisser galéré vingt ans pour chercher les billets alors qu’elle les a la main ? Stupide Piper. A son tour elle range sa valise avant de rejoindre leur place. « C’est moi le côté fenêtre, je ne supporte pas l’odeur des gens qui passe à côté de moi ! » très délicat de dire ça Julia quand vous n’être qu’une dizaine dans le wagon et que tout le monde se tourne vers vous pour t’observer faire ta petite crise. Tu roules yeux et tape du pied. « C’est ma place, et commence pas à bouffer des chips tu vas mettre des miettes partout ! » elle lui arrache le paquet des mains avant de s’assoire à côté d’elle. Non, mais non, déjà qu’elle est en retard elle va pas commencer à faire sa lois. « Tu te rend vraiment pas compte de la situation Piper. » dit-elle sur un ton plus calme en soufflant un bon coup.

La mort, c’est tout ce qu’elle demandait. Qu’un train l’écrase ou qu’elle meut de manière dramatique poignardé par un serial killer, peut importe, elle veut la mort. Parce que Piper est horrible, que ce soit dehors ou dedans, Julia été intimement persuadé que ce jean venait d’un endroit low cost alors qu’elles avaient clairement les moyens d’y mettre de la marque et du prix, mais elle n’en fit pas de remarque, à vrai dire la source de son énervement été l’attitude détacher de sa sœur face à leur compte en banque en faillite. Elle fini par s’assoir à côté de celle-ci, en roulant des yeux. « Si tu veux éviter de gerber partout, faudrait peut être arrêté de bouffer n’importe quoi. » elle posait son petit foutoire sur la table en roulant des yeux face à son discours. Ce genre de chose donner la gerbe ouai, cet attitude de fille je peux tout faire et cette cape de super moderne héroïne qu’elle voulait faire flotter, rien du tout. « Arrête voir. Tu sais très bien que l’argent du padré te sert autant qu’à moi. » C’était probablement faux, Julia abuser totalement de la bonté de leurs pères, une semaine avant l’incident elle avait négocier un appartement et un mois avant elle avait refait toute sa garde de robe couleur pêche et crème car c’était ce qu’elle voulait à présent porter. Des caprices qu’elle faisait en sorte de maintenir pour que son père se sente décharger de l’amour qu’il devait lui porter. «Je l’avais remarqué moi. Une fois je suis aller le voir pendant les petites vacances, je crois que c’était du temps ou la madré voulait essayer d’être autoritaires et m’avait dit : soit tu fait je sais plus quoi, soit tu vas chez ton père, bref. Je l’ai surpris dans son bureau avec une femme, au premier lieu je pensais qu’ils faisaient tu sais quoi, parce qu’il avait du rouge à lèvres plein la bouge ! mais après analyse, j’ai remarquer qu’il avait aussi des faux ongles et que sous sa chemise il avait… UN SOUTIF ! » julia éclatait de rire, avant de se reprendre. « Je ne lui pardonerais pas si on devient pauvre parce que ses rêves sont moins important que les miens. »

« Et on est pas ses personnes Piper. On est au dessus de la classe moyenne, on baigne dans l’argent depuis qu’on est gosse, tu t’en rends juste pas compte parce qu’on a toujours eu une vie facile. » tu t’en ai rendu compte quand t’étais totalement bourré et défoncer à je ne sais quo iet que t’aurais été prête à vendre un rein pour en ravoir un peu. Bien sur, c’est ce genre de chose que Piper n’avait pas besoin de savoir, en ce temps là tu l’inquiété déjà assez, tu ne voulais pas que ça recommence encore comme quand vous êtiez à NY. Elle fini par ranger son paquet de chips, tu te sens autoritaire de lui avoir ouvert les yeux sur ça et lui propose un bout de pomme. « Prend ça, c’est plus sain. » tu lâches un rire dans la fouler, et avale une boucher. Oui tu l’avais déjà vu venir, et oui ça ne te choquer presque pas, tu ne pensais pas qu’il irait jusqu’au bout de son délire, c’est peut être à cause du père kardashian, il a crut qu’il pouvait faire la même sans faire de vague. Après réflexion tu te rend compte que tu été beaucoup plus proche du padrès, c’est vrai que la madrès te forcer à aller le voir sous peine d’avoir des vacances pourrit ou elle aller surveiller tes aller retour, aller chez lui c’était un peu un échappatoire. « Oh tu sais en dehors des 2/3 fois par semaine ou on manger ensemble, je le voyais pas non plus. C’est pour ça qu’il m’a toujours plus chouchouté que toi, il s’en voulait que je fasse le déplacement pour au final ne pas me voir des 2 semaines de vacances. » Faut dire que tu ne faisais pas d’effort non plus, tu zapper les appels de sa secrétaire et éviter tout endroit ou tu pouvais le voir. C’est pas comme si c’était fun de manger à la même table qu’un mec qui n’a aucun respect, ni amour pour sa famille, aucun intérêt. « Oui, nos rêves valaient plus que son bien être. Il nous a jamais soutenu ni épaule dans nos choix, on a toujours du le faire entre nous. Il ne nous a jamais donné ni de son temps, ni de son amour, il compense tout avec le fric en pensant que ça peut marcher mais non. » tu hausses les épaules et soupire. « si il nous aimais vraiment alors il se seraient retenu de faire tout ça. Car ça fou en l’air tout notre avenir, notre image et l’image que les autres ont de nous. »