Cassiopea ► This country seems really great after all ?!

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Lien du postLun 18 Sep - 10:40

This country seems really great after all ?!

Côme Dubois & Cassiopea Scorsese

Clairement tu étais en train de perdre le fil de cette journée parce que tu ne contrôlais même plus tes émotions, et ton instinct semblait avoir pris le dessus sur ta raison… Jamais tu n’aurais embrassé ta colocataire si tu avais en pleine possession de ta conscience, même si tu n’avais jamais nié le fait que tu la trouvais naturellement jolie comme tout le monde. Sauf que tu t’étais toujours mis en tête que tu n’aurais jamais de chance avec elle et de toute façon, tu passais bien plus ton temps à friendzonné les filles qu’à vouloir bien plus avec elles… Du coup, aujourd’hui tu échangeais pour la première fois de ta vie, un baiser passionné avec une fille… Et pas n’importe laquelle : Cassiopea, ta colocataire… Et d’un baiser passionné, vous êtes passés à des caresses comme si tu étais prêt à passer le cap, enfin ?! Mais pas à pas, ta conscience reprenait le dessus et du coup, tu n’arrêtais pas de t’excuser parce que tu étais vraiment ignorant de tout et tu ne savais pas comment la satisfaire à l’heure actuelle. Alors que tu lui retirais doucement sa robe, tu t’étais mis à l’admirer et à exprimer à haute voix ta joie en découvrant son corps de rêve. « Chaton, tu sais bien que je ne fais jamais de compliments sans donner un vrai sens à mes paroles » répondis-tu entre deux baisers comme si tu voulais clairement lui faire comprendre qu’elle était une personne spéciale à tes yeux. Elle te retira finalement ton haut, mais tout occupé que tu étais à caresser sa peau douce, tu te mis à frissonner en sentant sa main parcourir ton torse… Heureusement que tu faisais du sport parce que tu aurais eu honte de montrer ton corps à cette beauté… Déglutissant, tu sentais l’intimité de ta colocataire frôler ton entrejambe, qui n’avait pas besoin d’autre chose pour se réveiller bien comme il faut… Sauf que c’était malheureusement le signal qu’attendait ta conscience pour t’arrêter complètement… Tu arrêtas soudainement sa main pour la prendre dans la tienne, puis tu la serras contre toi après que tu te sois redressé. « Je suis sincèrement désolé Cassi… Je ne peux pas… Ce n’est pas à cause de ma germaphobie, c’est pire… Mon corps est trop moche. » dis-tu les yeux brillants mais tu ne pleurais pas, heureusement. Néanmoins la déception pouvait clairement se lire dans tes yeux. Tu te détachas légèrement d’elle afin de lui montrer ton dos… Ainsi elle pourrait voir à quel point tu n’étais pas beau, que jusqu’à présent, elle n’avait vu qu’un masque de toi… Si elle apprenait tout, elle serait horrifiée, elle ne te verrait plus de la même façon comme toutes les autres personnes qui t’avaient côtoyé par le passé.

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Lien du postLun 18 Sep - 22:20

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Côme & Cassiopea

« Crois-moi, le compliment, me va droit au coeur, mais, je suis sérieuse, tu en verras d'autre que moi, j'en suis certaine. » Dis-tu sincèrement à ton ami. Tu sais parfaitement que Côme ne sera pas comme toi, à avoir plusieurs partenaire sexuel, mais, tu sais qu'il finira par trouver chaussure à son pied, tout le monde le trouve un jour ou l'autre... Oui, tu as un côté romantique, mais extrêmement bien caché. Tu as vite fini en sous-vêtements devant Côme, mais souhaitant être sur un pied d'égalité, enfin presque, tu as donc retiré le haut de Côme. Tu sens Côme frisonner sous tes mains, tu ne peux pas t'empêcher de sourire contre ses lèvres pendant les baisers que vous échangiez... Cependant, sans que, tu t'en rendes compte, tu as frotté vos intimités l'une contre l'autre malgré les tissus qui les séparent. Tu sens parfaitement son intimité réagir, mais avant que, tu es pu agir, Côme, fini par stopper tes caresses en prenant ta main dans la sienne, sur le coup, tu te demandes bien ce que se passe, surtout que Côme fini par se redresser avec toi dans ses bras. Tu écoutes ton ami, ce qui t'annonce te fait hausser un sourcil de manière interrogateur. Mais, lorsqu'il se détache de toi pour s'asseoir sur le rebord du lit, tu t'aperçois qu'il répond à ta question muette "pourquoi il trouve son corps moche"... Tu vois les cicatrices sur le dos de Côme, tu sens tes yeux se remplir d'eau... Dans ta tête, tu as une tonne de question, mais cela ne servirait à rien de les poser, sauf à mettre encore plus mal à l'aise Côme et, tu veux éviter... Tu fais la seule chose qui te traverse l'esprit, tu déposes un baiser sur chacune des cicatrices présente sur son dos. Après quelques instants, tu es agenouillé à ses côtés, tu glisses doucement ta main sur sa joue afin de tourner sa tête dans ta direction et plonger ton regard dans le sien. « Ton corps est loin d'être moche Côme, au contraire, il est très beau. » Annonces-tu à Côme sur un ton vibrant de sincérité et noué par l'émotion. Tu déposes un simple baiser sur ses lèvres, tu récupères qui se trouve pas loin et tu lui redonnes. Tu remets finalement ta robe et tu tends ta main à ton ami. « Viens, je t'invite à manger. » Dis-tu avec un grand sourire aux lèvres.

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Lien du postMar 19 Sep - 18:52

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Côme Dubois & Cassiopea Scorsese

Aux paroles de ta colocataire, tu te refusais clairement d’y croire parce que Cassi était vraiment quelqu’un d’unique à tes yeux et même si comme elle le disait, tu verrais probablement d’autres corps nus de femmes, tu ne pourrais jamais les comparer à celui de ta Cassi… Non pas que tu t’intéressais pleinement à la jeune femme mais c’était plutôt par rapport au fait que ce jour avait une connotation spéciale à tes yeux, du coup elle resterait à jamais gravée dans ta mémoire. Du coup, tu préférais ne pas trop penser et laisser ton instinct te guider dans tes caresses… Mais dès lors que tu te retrouvais torse nu parce que la jeune femme t’avait retiré ton haut, tu t’étais figé sur place, à l’instar de ton entrejambe qui s’était réveillé au contact de son intimité à elle. Sauf que tu ne pouvais vraiment pas continuer là… Tu ne voulais pas qu’elle soit écoeurée en voyant ton dos si moche, plein de cicatrices et tout.. Du coup, tu stoppas tout, en te redressant presque aussitôt pour t’excuser en lui disant que ton corps n’était pas beau à voir. Et avant qu’elle ne puisse te questionner sur les raisons qui te poussaient à dire ça, tu te retournais pour lui présenter ton dos… A part Anne qui te connaissait depuis ton enfance et qui avait vécu en direct les mauvais traitements dont tu avais été victime, ou encore Kelsey à qui tu te confiais depuis votre première rencontre en Nouvelle-Zélande il y a près de neufs étés maintenant, c’était la première fois que tu montrais les cicatrices… Tu en avais tellement honte ! Ta colocataire penserait comme tout le monde que tu n’étais qu’un faible, un lâche qui n’assumait pas… Et alors que tes yeux devenaient brillants comme si tu allais te mettre à pleurer, elle vint déposer des baisers sur tes cicatrices. Cela finit par te faire pleurer mais pas à chaudes larmes, non c’était plutôt le fait que tu n’arrivais plus à tenir plus longtemps tes larmes et du coup, elles coulaient lentement le long de ton visage alors qu’elle te tournait la tête dans sa direction pour que vos regards puissent se croiser intensément alors qu’elle te disait que ton corps était beau… Sur le coup, tu avais du mal à la croire parce que tu n’avais jamais eu ce genre de compliments mais tu ne douterais jamais de Cassi… Elle t’embrassa de nouveau avant que tu ne puisses répondre. « Merci chaton… Je t’expliquerais tout ce soir… » dis-tu d’une voix peu assurée avant de t’habiller de réajuster ta tenue, tandis qu’elle enfilait de nouveau sa robe et qu’elle te proposait d’aller manger maintenant. « Oui allons-y » répondis-tu tout en séchant un peu tes larmes avant d’inspirer profondément puis tu te levas en lui prenant la main. C’est ainsi que vous vous rendiez dans ce fameux restaurant dont elle t’en avait parlé pendant votre trajet en taxi pour arriver à l’hôtel.

Après un très bon diner dans ce fameux restaurant, où tu avais pris le repas en photo afin de la publier sur Instagram pour tes abonnés, vous vous rendiez finalement jusqu’à votre chambre. Durant tout le repas, tu t’étais mis à cogiter sur la façon dont tu procéderais pour dévoiler tout ce que tu avais vécu à ta colocataire… Du coup, parfois tu n’arrivais pas à suivre votre discussion au restaurant parce que ton esprit était déjà en pleine bataille mentale. Une fois arrivé dans la chambre, tu pris le temps de te laver, de te changer afin d’être plus à l’aise, puis tu attendis la jeune femme. Tu t’étais posé au balcon le temps qu’elle finisse de vaquer à ses occupations… Tu avais pris une décision, tu allais tout lui raconter. Elle méritait d’en savoir bien davantage sur son colocataire. Mais en même temps, la perspective qu’elle connaisse tes plus douloureux souvenirs et secrets, cela te faisait un vrai froid dans le dos rien que d’y penser parce que tu ne te dévoilais jamais… Tu n’étais pas habitué à ça même si Cassi était à la fois ta colocataire et ta confidente. Qu’importe, après une profonde inspiration, tu la rejoignis pour que vous puissiez vous installer sur le lit, qui te rappela les souvenirs de quelques heures plus tôt. Tu rougis en pensant aux baisers fougueux et passionnés que vous aviez échangé. Tout en regardant face à toi, tu te mis à prendre enfin la parole. « Tu sais que j’ai perdu ma mère à l’âge de 4 ans et que du coup, j’ai été mis dans une famille d’accueil… » commenças-tu en te tournant enfin vers elle. Sans quitter son regard, tu poursuivis : « Le mari aimait beaucoup la bouteille. Du coup quand il était en colère ou bien alcoolisé, son punching-ball préféré c’était moi… Ensuite comme je suis rentré à 12 ans au lycée, j’étais un souffre-douleur. J’étais très amoureux de la plus belle fille de ma classe qui m’a invité chez elle un jour… Elle m’a déshabillé et je me suis retrouvé nu dehors en plein hiver… Ce fut la cerise sur le gâteau pour moi. J’ai tenté de me suicider une semaine après ». Tu terminas tes révélations sur cette dernière phrase alors que tes yeux s’embuaient clairement, parce que cela te faisait vraiment très mal d’en parler mais au moins tu avais réussi à en parler…

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Lien du postSam 23 Sep - 23:37

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Côme & Cassiopea

Tu n'es pas stupide, Côme est extrêmement beau garçon et, tu sais parfaitement que plus d'une fille aimerait être à ta place, donc quelque chose te dit que Côme verra sans doute d'autre fille que toi nue qu'il aimera sans doute tout autant. Tu as très vite perdu ta robe, mais Côme a très vite perdu son maillot également, pourquoi toi, tu serais à moitié nue et que lui ne le serait pas ? Sans le vouloir, ton corps a bougé sans ton accord, vos intimités se sont frottés l'une à autre malgré les bout de tissus qui les séparent... La réaction de Côme ne s'est pas fait attendre, quelques instants plus tard, il a fini par se redressé te gardant quelques instants contre lui, mais il a très vite fini par s'asseoir sur le bord du lit te montrant ainsi l'état de son dos. À ses mots, à la vue de son état, tu as senti les larmes te montaient aux yeux, tu te demandes bien qui a pu faire autant de mal à un être aussi gentil que Côme. Pour une fois, tu n'as pas su trouvé les mots afin de rassurer Côme, alors, tu as fait la seule chose qui t'es traversé l'esprit : tu as déposé des baisers sur chaque cicatrices présentes sur le dos de Côme. Tu as fini par tourné sa tête délicatement dans ta direction, tu as bien évidemment remarqué ses larmes, mais tu ne relèves pas, cela ne servirait à rien, tu préfères te concentrer sur l'essentiel. Les mots ont traversés ta bouche, mais, tu penses ce que, tu dis et il sait comment, tu es. Tu as embrassé Côme, un baiser doux et tendre comme pour prouver tes dires, mais tu as rompu le baiser avant qu'il ne le prolonge. « Je ne demande rien, tu as le droit de garder des choses pour toi. » Annonces-tu sincèrement à ton ami. Tu as fini par te rhabiller et, tu as tendu le haut à Côme afin qu'il fasse de même et après quelques instants, il fini par accepter ta proposition : manger. Il te prend finalement la main et c'est ainsi que vous sortiez de votre chambre. Et, tu guides alors Côme jusqu'à ce fameux restaurant dont, tu lui as parlé quelques minutes plus tôt.
Vous voilà de retour dans la chambre d'hôtel, Côme est parti sous la douche et tu es installé sur le lit en attendant. Votre dîner c'est dérouler assez tranquillement, tu as pu voir Côme s'amuser à prendre des photos de l'endroit, de votre repas et y poster sur instagram pour ses abonnés et cela t'a fait sourire, le voir si proche de ses abonnés. Tu as bien évidemment remarqué que Côme n'était pas vraiment présent mentalement parlant, mais, tu n'as rien dit, tu as réussi à mettre ton côté curieuse de côté pour cette fois. En voyant Côme sortir de la salle de bain, tu prends sa place, tu prends une douche, ordinairement, tu aimes prendre ton temps, mais voulant profité de cette soirée en compagnie de Côme, tu te dépêches un peu. Un bon quart d'heure plus tard, voir une vingtaine de minutes plus tard, tu finis par sortir de la salle de bain, les cheveux secs et en nuisette. Tu t'es glissé sous la couette et Côme fini par te rejoindre, sauf qu'il ne s'y glisse pas à son tour, il s'assoit non loin de toi et il commence à parler. Lorsqu'il tourne la tête vers toi, tu hoches la tête afin de signaler que, tu te souviens de cette information. Il plonge alors son regard dans le tiens et continue son monologue, car oui, tu l'as laissé continuer sagement. Tu sens les larmes envahirent à nouveau tes yeux, sauf que cette fois, tu laisses les larmes roulaient le long de tes joues... Tu ne comprends vraiment pas comment un être humain peut être aussi cruel et sans coeur... Tu quittes la chaleur et le confort de la couette afin de te mettre à genoux sur le lit à ses côtés, tu prends son visage dans tes mains et tu plonges son regard dans le sien. « Tu vas bien m'écouter d'accord ? » Demandes-tu doucement, de ta voix enroué par le fait d'avoir et de pleurer. « Ce que, tu as vécu est horrible, je me demande comment des personnes peuvent être autant cruels et sans cœur... Ils ne méritent pas d'avoir un jour croiser ta route... Crois-moi, ils ont de la chance que je ne sache pas comment ils se nomment ses deux-là, parce que je les retrouverais et leur ferait subir la pire des tortures... » Enchaînes-tu doucement, laissant doucement les mots atteindre Côme, mais la menace est réel tout de même. « Tu es une personne formidable, un véritable amour. Je suis plus que ravie de t'avoir dans ma vie et en tant que colocataire. Et sachez Monsieur Dubois que je vous adores, je vous aimes. » Annonces-tu sincèrement, déposant tes lèvres sur le front de Côme et sur ses lèvres doucement, mais sans chercher à prolonger. Oui, tu aimes Côme, mais amicalement parlant, il n'en sera jamais autrement entre vous.

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Lien du postMar 26 Sep - 10:39

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Côme Dubois & Cassiopea Scorsese

Sincèrement tu allais placer cette journée dans la liste des journées inoubliables de ta vie, parce que tu avais découvert de nouvelles choses ; d’abord, tu avais constaté avec bonheur que le fait de prendre ta colocataire dans tes bras ne te faisait plus tomber dans les pommes comme si ta germaphobie n’était plus qu’un lointain souvenir. Ensuite, en arrivant dans votre chambre d’hôtel, ta Cassi préférée t’avait embrassé, t’offrant par la même occasion ton premier baiser à la « veille » de tes vingt-cinq étés de vie ! D’un timide baiser au départ, celui-ci s’était transformé en un baiser sensuel et enivrant, qui avait obligé ton instinct à se réveiller parce que sinon ta raison aurait tout arrêté dès le départ. Vous aviez commencé à vous caresser mutuellement puis vous vous étiez déshabillés sauf que c’était à ce moment-là que ta peur s’était réveillée… Tu t’étais arrêté afin de montrer ton dos à ta colocataire, tout en lui disant que tu n’étais pas assez beau pour la mériter. Mais elle te faisait clairement comprendre que tu avais tort, puis elle proposa d’aller au restaurant pour éviter de repenser à tout cela. Tu avais fini par accepter, puis vous vous étiez rendu au restaurant.

Durant le diner, tu n’avais pas pu t’empêcher de prendre des photos - les plus belles possibles - des plats que tu mangeais, afin que tu puisses les poster directement sur Instagram. Très vite, tes photos furent commentées et likées comme si tu les avais mises des jours avant, néanmoins tu te doutais avec ton nombre d’abonnés sur Instagram maintenant, tu aurais toujours des photos à plus de 20 mille likes et plus de 1000 commentaires à chaque fois. Cependant, même si tu discutais avec Cassi, tu ne pouvais pas nier le fait que tu n’étais présent que physiquement… C’était comme si tu étais transporté à des années-lumière de l’endroit où tu te trouvais actuellement. Heureusement que le repas s’était vite terminé, du coup vous pouviez rentrer dans votre hôtel comme ça tu allais pouvoir dévoiler tes plus noirs secrets à ta colocataire. Tu avais attendu qu’elle finisse sa douche et qu’elle s’installe sous la couette, puis tu fis un petit monologue pour dévoiler tes plus noirs secrets… Pendant que tu parlais, tu voyais nettement la jeune femme se mettre à pleurer, mais tu n’avais pas pu t’arrêter… Il fallait que ça sorte enfin, tu gardais ça depuis bien trop longtemps. Une fois que tu aies terminé de parler, elle se rapprocha de toi pour prendre ton visage entre ses mains puis elle s’était mise à parler. Ses mots te réchauffèrent le cœur, tes émotions étaient clairement en ébullition. Elle termina sa tirade réconfortante en disant qu’elle t’aimait. Elle ponctua même sa conclusion d’un baiser sur ton front puis sur tes lèvres. Tu finis par enfouir ton visage dans la chevelure blonde de Cassi, tout en murmurant : « Moi aussi je t’aime Cassiopea Scorsese… Merci de m’accepter comme tel. Et d’avoir trouvé les mots pour m’aider à chasser ces démons ». Cela faisait des années que tu voulais oublier tout ça mais c’était clairement impossible. Aujourd’hui tu allais pouvoir dormir sans faire de cauchemars. Après quelques minutes de discussion encore, vous alliez finalement vous coucher. Ce serait la première fois de ta vie que tu dormirais avec une femme dans tes bras, et pas n'importe quelle femme : il s'agissait de Cassiopea, ta colocataire, ta nouvelle confidente, la femme de ta vie amicalement parlant hein... Demain sera un autre jour !

TO BE CONTINUED IN COMEA 2 !

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