Il joue dans le jeu alors comme deux grands débiles, on se course et on se charrie, pouffant de rire. Je suis bien heureuse et soudain, je me sens presque invincible. A deux, nous sommes plus fort et alors qu'il dit que je suis surement la plus lente au final. J'ai un arret, je l'admire et me rend compte que oui, c'est mon homme, bordel, c'est au top ! Je le rejoins en une nage plus rapide que l'éclair et quand j'arrive à l'attraper, je dis...Chat ! Je ris avant de reprendre en pouffant : je deconne! Je me met alors en planche, me laissant porter par l'eau restant proche de lui et tournant le regard pour l'admirer par instant. Mon chignon est à présent bien lourd. Je me sors de cette position planche et retire mon elastique pour libérer mes longs cheveux blonds. Je rejoins mon homme, m'agrippant à son dos et lui dis ; Je te lache plus amour! J'embrasse sa joue pendant qu'il joue de ses muscles pour rester à la surface. Je me met ensuite dans ses bras face à lui et l'embrasse, hésitant maintenant plus, ne jouant plus les timides et liant nos langues en un doux ballet. J'en avais révé... Avais-je dit doucereuse.

On s'éclate dans l'eau comme deux grands gamins. Je m'arrête parfois pour la regarder pas peu fier vraiment content qu'elle soit mienne à présent. On s'amuse et elle me sort le coup classique du chat et de la souris et je ris doucement tout comme elle. Puis alors qu'elle retire son chignon laissant apparaître ses longs cheveux blonds, je souris, elle s'accroche à moi me dis qu'elle ne me lâche plus et je souris grandement en hochant la tête. Ensuite, elle vient m'embrasser et une fois encore mes lèvres se mouvent sur les siennes avec tendresse. Elle stoppe le baiser et me dit qu'elle en rêvait. « Tu ne penses pas que j'en rêvais de ces douces lèvres que tu as madame ? » Je ris doucement et je l'enlace des plus tendrement en glissant mes bras autour d'elle, je la regarde encore. « Qu'as-tu envie de faire ensuite, Noa ? » Je souris bien curieux de ses envies futures en venant poser un petit bisou dans son cou en fermant les yeux en attendant qu'elle me donne une réponse. Je ne bouge plus bien trop à l'aise ici même.

Nos embrassades me touchent et me plaisent. Je suis toute heureuse de pouvoir me dire qu'il est mon petit ami. Il me confirme qu'il n'attendait aussi que ça. Il me serre dans ses bras. Je me rapproche alors du bord et poussant sur mes bras, je m'assoie sur le rebord. Il me demande ce que je veux faire alors je lui souris, réfléchis un instant avant de reprendre : surement, pouvons-nous déjeuner, non ? je repense a ce qu'il m'a dit que je devais me nourrir alors je lui montre que je fais des efforts vis à vis de ça et que j'y pense de moi-même. Tu vois que j'ai faim parfois ! Je ris. En pleine réflexion, je n'ose pas demander de préparer et cuisiner ensemble un petit truc ici alors je demande simplement ; tu veux aller manger où ? Je me lève et vais vers mon sac de plage pour prendre ma serviette que je met autour de moi. En tout cas, j'aime bien cette endroit... dis-je.

On rit, on s'amuse et nous n'en voyons pas la faim arriver. Pourtant, alors que je lui demande si elle veut faire un truc, elle sourit et me fait bien comprendre qu'elle à faim. Je me rappelle alors notre premier rencard et j'en souris, je lui avais dit de bien manger et voilà qu'elle me ressort ça comme quoi elle a faim elle aussi. Je ris et je sors de la piscine sans m'enrouler dans une serviette, je profite du frais sur ma peau bronzé. « En effet, ça me prouve que parfois, tu as faim haha » Elle me propose de sortir manger, mais je n'ai pas envie d'un restaurant, je la regarde alors et je souris grandement. « Et si on cuisinait ensemble ici, au lieu d'aller au restaurant ? Je t'avoue que je n'ai pas très envie de manger là-bas... » J'entre dans la villa après avoir retiré le plus gros de l'eau sur mon corps à l'aide d'une petite serviette. Je vais vers le frigo qui est bien rempli. Des légumes, des fruits, des boisson il y a de tout. « Le frigo est bien plein nous n'avons qu'à choisir et se mettre à cuisiné. » Elle me dit ensuite qu'elle aime bien cet endroit et je souris davantage. « Mais la nuit, c'est bien trop calme quand je suis seul, parfois ça peut faire peur. » Je ris un peu et je nous sers deux grands jus d'orange frais en attendant qu'on choisisse quoi cuisiné.

Séchée au maximum, je le suis dans la villa vers la cuisine alors qu'il s'extasie devant le fait que j'ai enfin faim. Je rigole lorsqu'il le fait remarquer et suis soulagée qu'il veuille rester là. Je passe ma main dans mes cheveux indisciplinés. Je reprend : Oui, je préfère aussi mais je ne voulais pas t'imposer cela... le restaurant trop peu pour moi ! Je souris au jeune homme, mon petit ami et le fixe du regard alors que je tente de ne plus y plonger et le suivre pour regarder l'intérieur du grand frigo à l'américaine. Je suis bien heureuse de voir un frigidaire, des légumes, des fruits car je ne vois que des sandwich ou encore, des plats tout faits au restaurant. Je pousse presque un cri de plaisir et rit : Enfin du frai, enfin cuisiner, ça m'a tellement manqué... Je prend mon amoureux dans les bras. Je lui souris bêtement. Je te propose que tu fasses la viande ou le poisson ? je prépare un accompagnement... enfin si tu aimes les poivrons ? Je me montre audacieuse et ose proposer mes idées espérant que ça séduise encore plus mon petit-ami.

Tout ce passait pour le mieux pour le moment et je souriait tant ma bonne humeur était présente. Bien sûr c'était encore un peu bizarre de ce dire : Elyas t'es en couple avec cette beauté là! Mais j'allais rapidement m'y faire et j'était vraiment content de l'avoir trouvé elle envers et contre tout. Je le regarde quand elle me dire qu'elle ne voulais pas m'imposer de rester ici si j'en avais pas envie, je hoche la tête et quand j'ouvre le frigo elle semble apprécier qu'il y ai des fruits et des produits frais. « Ne le dis à personne mais je n'aime pas spécialement la mal-bouffe, je cuisine souvent des choses simple mais au moins sa m'évite de succombé à tous ces McDo, KFC et tout ça. » Je souris et je sort donc de la viande après qu'elle me l'ai conseillé et je la regarde. « J'adore les poivrons, je te laisse surprendre mes papilles. » Je souris et la laissant faire avec le frigo et son contenant je m'applique à préparé ma préparation pour ajouter à la viande un bon goût. Je fais chauffé la viande après ça et je m'applique derrière mes fourneaux. Ce serais dommage qu'elle me quitte le premier jour parce que je n'ai pas su cuire de la viande quand même. « Tu t'en sort ? » Je suis derrière elle les mains de part et d'autres de son corps, la tête sur son épaules pour voir ce qu'elle fais avant de rapidement poser un bisous dans son cou. « J'aime beaucoup la vision de te voir cuisiné j'avoue. »

Je trouve cela excellent que comme moi, le jeune homme n'aime pas les fast food. Je souris alors mais reprend pour expliquer mon petit cas particulier : Bien, tu sais en fait, je n'aime pas les fast food mais KFC, qui oui, en est un... c'est le seul où je vais de temps en temps ! Oui, j'aime le poulet et alors, pensais-je en riant presque de ma bêtise. Je souris aussi quand il m'apprend aimer les poivrons très bien, j'enlève la queue des poivrons et les fait cuire dans le four. Pendant la cuisson, je l'admire me mordant la lèvre entrain de cuisiner et un homme qui cuisine, c'est si... excitant ! Tout sourire, je sors ensuite les poivrons du four, attrape l'huile et l'ail pour en faire un beau mélange très visible. Je coupe en lamelle mes poivrons sentant tout à coup des mains sur mes hanches et je savoure ce doux contact. Il me demande si je m'en sors et me rappelle que c'est très beau de me voir cuisiner. Je souris en répondant, imperturbable : Oui, je m'en sors toujours, une vraie cuistot tu sais... je tourne juste la tete et pouffe d'une manière presque débile. Une fois mes lamelles prete, je laisse refroidir, montant sur le bar de la cuisine et reprend notre discussion : Alors tu cuisines souvent ? qui t'a appris ? Je suis tout à fait curieuse et je l'assume.

Enlacés, je la regarde cuisiné un moment avant qu'elle ne coupe les légumes et se place sur le bar assise. Je m'approche d'elle et je la regarde dans les yeux lui volant un petit baiser. Je souris : « Question n°1 : oui je cuisine souvent, que ce soit pour moi ou parfois mes amis que j'ai hâte de te faire rencontré. Question n°2 : Ma mère. C'est elle qui m'a appris, enfin c'était avant qu'elle ne nous quittés. » Je suis songeur quand je parle d'elle une certaine tristesse se logeant dans mon ventre. J'ai bien sûr des contacts avec elle, son nouveau maris et même leurs enfants avec qui je n'ai pas d'affinité, mais savoir que l'histoire d'amour n'a pas tenu me pousse à en avoir une de plus forte, de plus intense, et plus passionné. Je suis un tendre dans l'âme je suis comme ça je n'y changerais rien. Surtout pas à mon âge. Je la regarde et je viens à nouveau lui prendre un lent et doux baiser avec pour but d'éloigner ces pensées triste et je la regarde. « Je te ferais de bons petits plats si c'est ce qui t'inquiète demoiselle. » Je ris doucement perdant mon regard dans le sien, l'idée renforcé que j'ai une grand besoin d'aller voir mes parents avant la reprise des cours d'Harvard.

Alors que les poivrons refroidissent doucement, mon homme se joint à moi, se plaçant au centre ms fines gambettes et me dépose un doux baiser. Il m'apprend alors qu'il cuisine régulièrement pour ses amis et je suis totalement enchantée. Là, il poursuit et m'explique que sa maman lui montrait avant son décès et je caresse sa joue, triste, désolé et attendri ; Je suis désolé, ça devait être une chouette femme vu son fils ! Je souris tendrement alors qu'il poursuit ses rapprochements et caresses relativement chastes. Nous discutons avec joie alors qu'il poursuit en me rassurant et assurant qu'il cuisinera aussi pour moi de bons petits plats. Nous rions en cœur et je reprend la parole : bon il est temps que je poursuive ma préparation. Je découpe en fine lamelle mes poivrons et les mets à baigner dans la sauce huilée à l'ail. Je met le tout au frigidaire et fais volte-face sur mon copain. Et toi ? tu nous as fait quoi? Dis-je tout sourire.

Perdu dans mes pensées je reviens à moi seulement quand Noa me dis qu'elle penses que c'était une bonne bonne personne et qu'elle serait fière de moi. Je la regarde surprit avant de pouffer de rire. Elle avais mal comprit et je me devais de rétablir cette vérité là tout de suite. « Noa chérie, ma mère n'est pas morte, elle a juste quitter mon père quand j'était plus jeune. Je devais avoir dans les dix ans. Il ne se montrait pas tendre et attentionné pour elle parce que mon père ne montre jamais ses sentiments il est très froid. » Je Souris et je caresse ta joue un instant Puis elle reprends sa préparation et je la regarde faire un peu curieux de goûté à tout ça sans pour autant la gêné. Elle me demande ce que j'ai préparé et je souris « Une viande cuite à la marinade, j'espère que tu aimera ça. J'aime beaucoup cuire la viande comme ça parce que le goût des herbes sur la viande est trop bonne. » J'éteins le feu et je place la viande sur deux assiettes distinctes prenant une culière pour y placer ensuite la sauce dessus en finissant par te regarder.