STUDENT.
  Son compte bancaire bien fourni (situation qui n'est pas sans devenir fréquemment plus compliquée que cela à cause des rapports compliqués qu'il entretiens avec son paternel) aurait pu lui ouvrir la porte de la Eliot, de même que son tempérament indiscipliné et fougueux lié à ses addictions diverses aurait pu lui faire lui faire prendre la chemin de la Mather. Outre ces deux confréries opposées, son tempérament artistique enfin aurait pu faire de lui un parfait Lowell, mais il n'a tout simplement pas envie de tout cela. Il préfère rester sans confrérie, en électron libre parfaitement satisfait de cette situation.

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Une sombre période durant laquelle il ne faisait pas franchement bon vivre sur le campus. Un climat d’insécurité, très lourd à supporter, une période compliquée au cours de laquelle Cal passait son temps à boire, à fumer et à peindre (ce qui ne change somme toute pas beaucoup de ce qu’il fait chaque jour, mais c’était encore plus marqué durant cette période). Il avait fuit à Aspen dès que possible en fin d’année, impatient de quitter le campus. Il n’a pas été témoin d’agression, pas plus qu’il n’a fait parti des étudiants et autres civils pris en otage. Un de ses amis en revanche s’est trouvé au mauvais endroit au mauvais moment. Il n’a pas perdu la vie, mais il s’en est fallu de peu.

APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
La seule année où il n’a pas pris par au Spring Break. Ses parents étaient alors en pleine procédure de divorce, la tension était à son maximum (enfin, encore plus que d’habitude) au sein du clan Ivashkov et Cal avait décidé de rester dans le coin pour soutenir sa mère. Il était avec elle, en sécurité dans l’appartement familial au cœur de l’Upper East Side quand il a eut vent via les infos du tremblement de terre. Il était en contact depuis le SB avec ses amis y ayant pris part et il a eut peur pour eux à distance. Par chance, il n’a perdu aucun de ses proches ce jour-là. S’il serait bien incapable de voir dans le mariage détruit de ses parents la moindre bénédiction, il s’estime chanceux dans son malheur de ne pas avoir pris part à ce voyage au cours duquel il aurait très bien pu laisser sa peau.

TON ADMISSION A HARVARD
Quand il ne se remet pas d’une gueule de bois phénoménale et qu’il n’empeste pas la clope, Cal  présente particulièrement bien. Il n’a jamais été un élève modèle, n’ayant pas franchement une ambition hors norme. Il n’est pas particulièrement bosseur et n’a jamais eut l’obsession de la première place. Ses notes ont toujours été correctes et c’est sa passion de l’art sous toutes ses formes qu’il a réussi à transmettre au doyen lors de son entretien. C’est ce qui lui a permis d’intégrer le campus. Il n’a jamais failli à la confiance que lui a accordé le doyen et s’il lui arrive de négliger un peu son travail scolaire par moments, il n’en est pas moyen un élève sérieux très bon dans ce qu’il fait et qui valide chaque nouvelle année de sa scolarité haut la main.