GROUPE 1.
Tu as une forte motivation et un but dans la vie que tu souhaite accomplir. Et pour cela tu uses de multiples moyens pour pouvoir y arriver. Ta richesse t'aide et tu acceptes avec joie ce qu'elle t'apporte. Tu souhaites être la meilleure dans ton objectif et tu t’entraînes sans relâche tout en étudiant un minimum et en faisant quand même, la fête. On se demande bien comment tu fais pour vivre, avec toutes les choses que tu fais en une seule et unique journée. Motivée tu es, jeune fille.

  GROUPE 2.
 Tu souhaites pouvoir faire ce que tu souhaites de ta vie sans que ton père ait sont mot à dire. Tu ne veux pas partir dans le futur qu'il t'as concocter. Tu empoignes de main ferme ton futur, le remodelant à tes souhaits. Libre de son joug, tu peux enfin respirer et profiter de la vie comme tu l'as souhaitait. Loin de ton pays, tu es loin de son influence et loin de ses exigences même si elles te collent toujours à la peau. Tu vas de fêtes en fêtes, te délaissant de tes pensées tandis que tu parcourent la scène le sourire aux lèvres.

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
 Tu n'étais pas encore à Harvard et tu ne pensais même pas y rentrer. Et puis, en Corée, avec toutes les chaînes de divertissement, tu eu du mal à avoir les infos du monde. Quand tu appris la nouvelle tu fus stupéfaite qu'Harvard ne soit pas mieux protéger que cela. Tu fis une courte prière pour les familles des blessés et des morts et puis tu zappa. Non pas que cela ne te touchait pas, mais en même temps, cela ne te concernait pas. Tu pris quand même le temps d'informer ton père de la situation du monde. Il étais bien trop occupé et ne fis qu'hocher la tête.

APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
Le fait que tu ai vus qu'Harvard proposait ce genre de voyages t'intéressaient fortement pour ton objectif. Le tremblement de terre te laissa de marbre. Cela arrivait un peu partout après tout et cela était le cycle de la vie. Tu ne pouvais rien y faire de la où tu étais. Tu espérais simplement qu'il n'y ait que des blessés et non des morts. Tu te voyais déjà donner des concerts les soirs des voyages avec tes futures amies, pouvant parcourir le monde pour faire partager la joie d'être sur scène à autrui. Surtout donner la joie à autrui après les multiples incidents qu'il se passent dans le monde.

TON ADMISSION A HARVARD
Tu regardais l'un des nombreux spectacles de la compagnie de ton père quand une personne de la régie se dirigea vers toi. Tu avais le regard dans le vague. Tu avais demander à aller à Harvard sans vraiment demander l'avis de ton père, qui l'avait aussitôt découvert. Tout ce qu'il dit fut "Tu ne rentreras pas dans cette prestigieuse université vu tes notes." Folle de colère, tu avais étudiée comme une folle et avais passé le concours.

La jeune fille te tapota l'épaule et malgré toi, tu sursautas. Tu t'excusa poliment, lui demandant ce qu'elle voulait. Elle te remit simplement une lettre qui t'étais adressé.

Tremblante tu ouvris la lettre. Tu lus rapidement et laissa tomber celle-ci tandis que les fans criaient autour de toi. Une larme solitaire coula le long de ta joue tandis qu'un sourire fleurissaient sur ton visage et sans que tu le veuille, tu sautas de joie. Tu ramassa la lettre, courus à travers la foule pour rejoindre ton père, brandissant la lettre tel un trophée. Arrivé à sa hauteur, tu redressas ton dos, prenant un air hautain tandis que tu lui passais la lettre. Il la lu et te regardas. Il secoua simplement la tête, te remis la tête et regarda se terminé le spectacle. Outrée, tu repartis, demandant à ton chauffeur de te reconduire chez toi. Tu allais préparer tes valises.