Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility« la raison qui m’a fait choisir les audacieux : ils sont loin d’être parfaits, mais ils sont vivants... ils sont libres.» - Page 2
I LOVE HARVARD
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
AccueilAccueil  
  • RechercherRechercher  
  • MembresMembres  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • Le deal à ne pas rater :
    Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
    Voir le deal

    « la raison qui m’a fait choisir les audacieux : ils sont loin d’être parfaits, mais ils sont vivants... ils sont libres.»
    Page 2 sur 2 Précédent  1, 2
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postMer 17 Mai 2017 - 12:08
    taggercitereditionsupprimeradresse
    « la raison qui m’a fait choisir les audacieux : ils sont loin d’être parfaits, mais ils sont vivants... ils sont libres.»
    Elyas & Erin


    Je ne savais combien de temps il me faudrait pour comprendre que l’on serait juste des amis, des meilleurs amis peut être. Je n’en avais aucune idée jusqu’où nous irions Elyas et moi. Tout ce que je savais, c’était que j’avais besoin de lui dans ma vie. C’était aussi la raison pour laquelle nous avions repris contact, que je lui avais envoyé ce message pour se voir. Alors oui, cela avait pris quelques années, l’envie de le recontacter avant était présente, mais il fallait qu’on puisse vivre ce qu’on avait à vivre avant cela. Peut-être que si on s’était envoyé ce message bien avant, nous nous serions remis ensemble, et au final raté beaucoup de chose qu’un étudiant doit faire. Trois ans était donc passé, trois belles années à Havard où mon caractère avait changé, toujours discrète, toujours naïve, mais je savais maintenant imposer mes choix et assumer mon caractère. Aujourd’hui, je savais ce que je voulais, où je voulais que l’avenir me mène. Et quand bien même tout ne sera pas aussi simple, après tout on était trop jeunes pour que tout soit aussi lisse, pour l’instant je profitais de mon moment avec Elyas. Le temps avait joué pour ou contre nous, et il agira à sa façon sur ce que je venais de savoir sur sa situation sentimentale. Une chose en était sûre, c’était que ses paroles me rassuraient. J’appréciais grandement le fait qu’il cherche à me comprendre, qu’il me laisserait ce temps de digérer les choses. Ses mots sonnaient tellement biens, j’aurai presque eu envie de le prendre dans mes bras pour le remercier, mais je n’en faisais rien. « Merci de comprendre Elyas. Tu as toujours très compréhensif, encore une chose qui n’a pas changé. On arrivera à trouver notre juste milieu, je ne me fais pas de souci là-dessus. » Toujours compréhensif, ça oui. C’était la chose qui faisait qu’on ne se disputait que très peu à l’époque, que notre séparation s’était bien faite. J’adorais Elyas pour tout ce qu’il était, un tas de traits de caractère qui le rendait si merveilleux. Celle qui avait désormais pris ma place dans son cœur devait réaliser la chance qu’elle avait de l’avoir.

    Je rigolais du fait qu’il se trouvait vieux, enfin nous rigolions ensemble. Je n’avais qu’un an de différence avec lui. J’en levais les yeux au ciel avant de répondre. « J’appelle dès maintenant la maison de retraite pour nous réserver une chambre ou ça se passe comment ? » Je prenais mon téléphone, prête à passer un faux-appel. Je ne me sentais pas vieille, et je supposais que lui aussi, même si nos générations futures semblaient bien différentes de nous déjà. « Promis que je penserais à toi à la création de la gamme. J’imagine déjà le nom ‘’Etre beau comme Elyas’’ » Une gamme qui fonctionnerait à coup sûr, les hommes prenaient de plus en plus soin d’eux. Peut-être était-ce une cible pour un projet futur ? Je prendrais le temps d’y réfléchir plus tard. « Si j’ai besoin d’un égérie ou tout simplement d’un cobaye, je sais où demander. » lui dis-je avec un petit clin d’œil dont j’avais le secret. Mais assez parler de moi, il était temps d’en savoir un peu plus à son sujet, ses études. Et plus je l’écoutais parler des enfants, plus j’étais admirative de ce winthrop. Il avait une maturité que beaucoup d’hommes de cette université devraient prendre en exemple. « Et les enfants ne pourront pas avoir meilleurs médecins que toi. Tu marqueras le monde Elyas, j’en suis certaine. » Encore une promesse que je savais que l’avenir tiendra pour nous. Il en parlait avec une telle étincelle dans ses yeux que cela me semblait évident. Le jour où j’aurais des enfants, il serait le seul à qui je pourrais les confier les yeux fermés. Bon encore fallait-il que je trouve la personne idéale avec qui en avoir.

    D’ailleurs, je venais de missionner Elyas d’en savoir plus sur son confrère winthrop. Mission que j’avais donné sans trop le vouloir, mais après tout, peut être que cela ne pouvait être qu’une bonne idée. Peu importe ce qu’il découvrirait. « Sûrement, mais on a tous nos petits secrets tu sais. » Aussi bien mon futur cavalier, qu’Elyas, moi-même et tous ses étudiants d’Harvard. En parlant de petits secrets je venais d’avoir une petite idée. Histoire d’en apprendre plus sur ce qu’il était devenu, je téléchargeais une application de jeu rapide sur le téléphone. « Tu serais partant pour un petit ‘’je n’ai jamais ?’’ ? Sauf qu’au lieu de boire, on raconte l’anecdote qu’il va avec ! » J’adorais les petits jeux de ce genre, puis ça nous changerait des questions conventionnelles.



    Emi Burton


    hj : application du jeux : ici (n'oublie pas de mettre le jeux en soft « la raison qui m’a fait choisir les audacieux : ils sont loin d’être parfaits, mais ils sont vivants... ils sont libres.» - Page 2 166564858 )
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postJeu 18 Mai 2017 - 6:43
    taggercitereditionsupprimeradresse

    la raison qui m’a fait choisir les audacieux : ils sont loin d’être parfaits, mais ils sont vivants... ils sont libres.
    Erin & Elyas
    Je me rappelle encore quand on était encore jeune et plein de vivacité, qu'on était encore insouciant, enfin moi, j'étais déjà souciant des problèmes de la vie et de ces problèmes. Il n'y avait que lorsqu'on se retrouver qu'on s'embrassait doucement comme pour dire « Ta journée est finit maintenant, tu es avec ta chérie » Je me souviens qu'elle me permettait de rester encore un enfant que j'étais, avec déjà les soucis de la vie de tous les jours. Comme les factures, le loyer de mon appartement. Mon père quand je me suis installé ici m'envoyais l'argent et je devais me débrouiller pour payer toutes mes factures en plus de travailler pour me mettre plus de sous de côtés pour quand j'entrerais en université, elle, elle était mon sucre doux. Elle était ma pause, me permettait d'être moi, le jeune Elyas en couple pour la première fois de sa vie avec une perle telle qu'Erin. Et je me souviens qu'on ne se disputaient pas souvent et quand on le faisait, même pas une heure plus tard on était dans les bras de l'autre à ce demander pardon. C'est pourquoi, aujourd'hui, je peux me permettre de lui laisser le temps d'accepter que j'aie une nouvelle copine, elle n'aurait plus mes baisers et elle aurait maintenant seulement une douceur amicale et je pouvais me mettre à sa place et comprendre que ce soit dur pour elle. Je ne lui en voulais pas et je me contentais de sourire alors qu'elle me dit que j'ai toujours été compréhensif avec elle.

    « C'est normal, de l'être, je ne peux pas me permettre de te forcer à accepté alors que ça peut être très dur pour toi. Sache que jamais je ne me pointerais à un rendez-vous entre nous avec louve. C'est promis Erin »

    Un petit clin d’œil pour la faire sourire à nouveau et nous voilà reparties sur un nouveau sujet, qu'est la maison de retraite. Je ris quand elle veux réservé une chambre et encore plus quand elle me parle de sa future gamme de produits « Être beau comme Elyas »

    « Oh zut alors ! Je serais vraiment fière d'être le nom d'une de tes gammes ! J'te jure, j'en ferais la pub partout comme si c'était moi qui l'avais inventé ! Et vraiment aucun souci, un coup de fil et je suis ton cobaye ! »

    Je ris doucement avant de finir mon café et je reposé la tasse sur la table sur laquelle on est posé. Elle veut clairement en savoir plus sur ce que je fais et je pense qu'elle aime simplement m'entendre parler de ce que je fais, pourtant pour moi rien de plus normal que d'en parler. Même si sur le coup, je me retrouve un peu gêné, je n'hésite pas et je me lance pour lui expliquer.

    « Oh ben, tu sais bien que j'ai toujours adoré les enfants et encore plus m'en occuper, je n'ai pourtant jamais eu envie d'en avoir à moi pour le moment. Mais savoir que je peux aider à les soigner vraiment, je serais comblé d'y arriver. Je travaille dur pour ça même, si je sais que parfois, ce sera douloureux. Après tout les enfants sont téméraires et je sais que tous ne se laisseront pas faire, mais en tout cas, je ferais tout pour les aider au mieux, eux et leurs familles. »

    Je souris content, j'ai toujours voulu marquer le monde, qu'on parle de moi-même après ma mort. Je voudrais avoir fait les choses bien et avoir trouvé des solutions pour au moins le maximum de monde et vraiment si après je ne marque pas le monde comme j'aimerais le faire, je sais que je marquerais les personnes que j'arriverais à sauvé.

    « Merci de croire en moi, comme tu le fais depuis si longtemps déjà. Erin, je te promets que je serais l'homme le plus heureux d'avoir pu faire tout ce que j'aurais pu faire pour les gens que j'arriverais à sauver par le futur. »

    Enfin, assez parler de mon futur, je souris encore plus quand elle me propose un jeu, que je qualifié d'enfant bien qu'il me semble que se soit la version adulte qu'on a là. Je hoche la tête en acceptant de jouer en la regardant télécharger le jeu.

    « Honneur aux femmes, montre-moi comment tu veux procéder et je te suis par la suite Erin. »     
    © Belzébuth


    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postMer 24 Mai 2017 - 13:21
    taggercitereditionsupprimeradresse
    « la raison qui m’a fait choisir les audacieux : ils sont loin d’être parfaits, mais ils sont vivants... ils sont libres.»
    Elyas & Erin


    Je l’écoutais, mais il fallait se rendre à l’évidence qu’il aurait bien fallu que la rencontre un jour cette fameuse Louve. Je n’avais pas spécialement entendu parler d’elle au sein de l’université. Bon Harvard était grand aussi, ce n’était pas évident de tous se connaitre. Je ne savais même pas de quelle maison elle était, comment elle était physiquement, n’importe quels indices pour savoir si je la connaissais. J’aurai bien demandé à Elyas, mais en fait, je n’étais pas sûr de vouloir savoir. Qui sait, elle me ressemblait peut-être pour me remplacer, ou alors elle était mon exact opposé pour dire de m’oublier totalement. Je n’en avais aucune idée et pour l’instant, c’était très bien comme ça. Je lui souriais tendrement. « Je la rencontrerai en temps voulu, puis si tu l’aimes autant que tu le dis, je devrais pouvoir l’apprécier aussi. » Je tentais de me rassurer et de le rassurer aussi, mais comme beaucoup de choses depuis le début de la conversation, je ne savais pas comment je pourrais réagit face à celle qui avait pris son cœur. Après tout, nous avions grandi, nous étions des adultes, nous devions avoir les réactions qui allaient avec non ?

    La collection de cosmétique se dessinait sous mes yeux en imaginant le logo de la marque, un ‘’E’’ majuscule dans une écriture fine et élégante pour le prénom de mon premier amour. En fait, j’en avais rigolé mais pourquoi pas après tout. Nous n’y étions pas encore, mais l’idée ferait son bout de chemin d’ici là. Je possédais un carnet où j’inscrivais toutes les idées qui me passait en tête pour cette gamme avenir. Le carnet commençait à bien se remplir, et j’allais y rajouter cela dedans. « Je te prend au mot alors pour faire de toi on cobaye. Puis avec une égérie comme toi, la gamme ne pourra que faire son succès. » Erin ou comment joindre l’utile à l’agréable. En même temps, il n’y avait qu’à voir comment Elyas était devenu pour savoir que n’importe quels hommes rêveraient de venir comme lui, et que n’importe quelles femmes rêveraient d’un homme comme lui, moi la première. Comme en miroir, je terminais également mon mocha blanc que je posais ensuite sur la table, tout en continuant de l’écouter sur ce qui faisait vibrer le winthrop. La médecine. J’avais beaucoup de respect pour ceux qui se lançait dans cette branche longue et loin d’être facile, avec un gros taux d’échec également. Il avait mon respect le plus profond. Il tenait des arguments qui ne le feraient pas lâcher, pour rien au monde. Il aurait fait un bon dunster, une envie de réussir son avenir comme les membres de ma maison. Je le voyais bien réussir à obtenir son prix Nobel dans la médecine infantile. « Et tu marqueras le monde, je te le promets. Tu as une force mentale à tout épreuve, il te reste encore combien d’années de médecine à faire encore ? Puis je pense que tu as des possibilités de partir dans les pays défavorisés pour te faire de l’expérience non ? » Je connaissais un peu les grands pédiatres qui passaient par la case humanitaire, qui était déjà une grande aide pour les enfants là-bas.

    Nous parlions, futur, et si nous parlions un peu passé, et de nos exploits depuis ses trois dernières années. Pour nous aider, je venais de mettre sur mon téléphone une application, avec plusieurs questions, toute plus farfelues les unes que les autres. Cela me faisait sourire. « Quelle galanterie dit donc. » Petite taquine que j’étais, il me laissait commençait pour voir comment nous allions procéder au jeu. J’allumais l’application en lisant la première question. « Je n’ai jamais sécher un cours volontairement. » Question un peu trop facile à mon goût. « Evidemment que non ! Je suis une Dunster, les cours sont toute ma vie. » Même si sécher un cours n’était pas la mort, je ne supportais pas moi-même d’en manquer, je souhaitais mettre toutes les chances de mon côté. Puis, en tant que boursière, je n’avais non plus beaucoup de choix. Ma bourse était ma source principale financière pour financer mes études, pas question de la perdre. « Et toi alors ? » Pas sûr qu’en médecine il avait eu le temps de sécher, mais peut-être qu’il avait eu une bonne raison de le faire. Je glissais mon téléphone sur la table, pour qu’il puisse choisir la prochaine question.
    Je me sentais bien, à l’aise, comme si j’étais revenue des années en arrière. Les années où il n’y avait qu’Elyas et moi, contre le monde entier.


    Emi Burton
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postMer 24 Mai 2017 - 15:51
    taggercitereditionsupprimeradresse

    la raison qui m’a fait choisir les audacieux : ils sont loin d’être parfaits, mais ils sont vivants... ils sont libres.
    Erin & Elyas
    Oh que oui, c'était sûr qu'elle le rencontrerait en temps voulu à Louve, mais un truc au fond de moi me dit que rien ne sera simple au contraire. J'ai la nette sensation que sera ni drôle, ni gentillet. Enfin ça ne reste qu'une impression pour le moment. Je soupire doucement, parlé sentiments avec elle me faisait toujours un peu de mal. Après tout, on été si jeune mais tellement responsable, parfois, je me dis qu'on aurait dû être égoïste. On aurait dû vouloir essayer de rester ensemble peut être que les choses auraient été vraiment différentes. En tout cas, je pense que j'aurais été capable de tout pour cette blonde-là. Je souris doucement alors que je la vois pensée à sa marque de cosmétique et je lui tend le petite doigts comme pour une promesse en continuant de rire doucement.

    « Je te prends aux mots, je veux une gamme de produits à mon nom dans ta marque, comme ça quand on sera des vieux papys et mamie, on pourra en parler et rire de nos exploits d'enfance. »

    Parce que oui, pour le moment, on est des gosses, on n'est pas apte à prendre les grandes décisions de nos vies. On est à peine capable de payer trois factures et aussi, on est juste apte à choisir ce qu'on aimerais faire plus tard voilà tout. On avait qu'à prendre la bonne décision. Je suis vraiment heureux quand elle me promet que je marquerais le monde, qu'elle en était sûre. Je me sentais vraiment capable de briser ce monde avec ce genre de pensées, avec ce genre de choses dites par gentillesse surement, mais que je savais, elle adorerais que réussisse. Je suis en quatrième année pour le moment et je ne sais absolument pas combien d'années il me reste à faire ici, surement le plus possible et je suis ravis de savoir qu'elle fais ces études ici, ça veux dire qu'on fera encore plein de choses ensemble sur le campus, ou alors qu'on fera encore les quatre cents coups ensemble.

    « Il me reste encore beaucoup d'années à rester ici, blondie. Je ne les ai pas comptées, mais je sais qu'on fera encore des bêtises sur le campus. Qu'on s'amusera encore comme à l'époque et qu'on se soutiendra dans les pires comme dans les bons moments. Je sais que je ne vais pas te lâcher d'une semelle maintenant que tu es là ici, sur ce campus ! »

    Je ris me retenant de lui dire combien elle sait que je suis galant en tout temps et dans toutes les situations que ce monde peut nous proposer et je la regarde commencer le jeu. Je ris davantage alors qu'elle lit la question qui nous aie posés. « Je n’ai jamais séché un cours volontairement. » Je la regarde comme pour lui avouer mon crime et je gratte ma nuque lentement.

    « Eh bien oui, je ne suis pas un gentil garçon ! J'ai déjà séché volontairement un cours. Ne me tape pas, mais la première année ici, j'ai fait des conneries. J'étais quasi seul tout le temps, je ne voulais pas m'attacher alors que je venais de te laisser derrière que tu n'étais pas avec moi. J'ai couché avec des filles sans jamais connaitre leurs prénoms et aussi, je buvais, je faisait la fête. J'étais quasi seul tout le temps, je ne voulais pas m'attacher alors que je venais de te laisser derrière que tu n'étais pas avec moi. »

    Merde, pourquoi je lui parlais de ça, je ne voulais pas la rendre mal, je pensais qu'elle avait dû être mal elle aussi. Mon père à cette époque a pris soin de moi et il est reparti me laissant reprendre les cours et depuis ce jour, je travaille dur comme fer pour avoir mon diplôme et le rendre fier. Je souriais doucement et je lance la question suivante, je ne voulais pas entrer dans les détails de ce que je venais de lui dire. Je lance la question et je regarde la question.

    « Alors la prochaine question est ; je n'ai jamais oublié l'anniversaire de ma copine. Personnellement, jamais ! Et tu devrais le savoir ! »

    Je souris, je me souviens encore de son anniversaire qu'on avait passé ensemble avant que je m'en aille pour Harvard, j'en souris encore.  
    © Belzébuth


    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postSam 27 Mai 2017 - 14:38
    taggercitereditionsupprimeradresse
    « la raison qui m’a fait choisir les audacieux : ils sont loin d’être parfaits, mais ils sont vivants... ils sont libres.»
    Elyas & Erin


    J’adorais l’idée qu’il lui reste beaucoup d’années au sein de cette université. C’était pareil pour moi, je ne comptais pas partir avant minimum l’obtention de ma maîtrise, soit encore quatre ans au bas mot si tout se passait bien. Après il était dans ma nature de Dunster de faire des études, de viser toujours plus haut, ça ne me surprendrait pas de finir avec un doctorat de biologie. Je nous voyais encore faire les quatre cents coups. En espérant qu’il n’y ait plus d’obstacle entre nous pour y arriver. Nous venions déjà de perdre trois ans de nos vies loin l’un de l’autre. En ce moment, je ne pensais même plus à mon cavalier, à cet homme qui en une soirée avait retourné mon cerveau. J’avais l’impression de ne penser que par mon winthrop, mon roi. Un peu comme au temps du lycée, tous nos amis le savaient : là où il y avait Elyas, il y avait Erin. Nous étions l’un des plus beaux couples du lycée. Cette époque me manquait tellement. J’en étais nostalgique. « De toute façon, tu ne pourras plus de débarrasser de moi. Je vais être la femme la plus envahissante que tu n’es jamais eu. » lui dis-je en plaisantant. Je n’étais pas ce genre de femme, déjà au lycée, nous étions certes fusionnels, mais également assez indépendants. Nous pouvions sortir avec nos amis chacun de notre côté, sans avoir une crise de possessivité de la part de l’autre. Si l’université ne nous avait pas séparés, je n’en doutais pas que nous serions toujours ensemble. Mais nous devions vivre chacun nos expériences. Nous avions vécu surement des expériences tellement différentes.

    Et ça commençait par les cours. Je n’avais sécher un seul cours, et l’idée me donnait la chair de poule. Puis c’était au tour d’Elyas d’y répondre. Je le regardais mal à l’aise, avec un faux regard accusateur. Avant même qu’il ait répondu, je me doutais de sa réponse. Je prenais un faux air choquée en l’écoutant. Seulement, je ne m’attendais pas à ce que ces bêtises venaient du fait que nous nous étions séparés. Je baissais les yeux, écoutant chaque mot qu’il prononçait. Je laissais un cours silence faire place, je cherchais à savoir si je détournais le sujet. Mais c’était plus fort que moi et ça sortait tout seul. « Des fois, je me dis qu’on a fait la plus grosse bêtise de se séparer pour vivre nos vies. Qui sait, on aurait fait nos expériences tout de même non ? » Même si dans le fond, le fait qu’il avait couché avec un certains nombres de filles apparemment, j’aurais peut être fini par être trompée. Une chose que je ne lui aurais jamais pardonnée. Par contre je n’oubliais pas une chose et je lui donnais une tape sur le bras. « Sèche un cours encore une fois, et tu auras affaire à la Dunster qui est en moi ! » Je lui souriais, je le disputais faussement comme à un gamin qui avait commis une faute. Les études étaient les trois quarts de ma vie.

    Puis venait sa question à lui, celle des anniversaires. Je m’en souvenais comme si c’était hier. « Je te vois encore arrivée chez ma mère, un gros bouquet de fleur à la main. Ma mère était verte de jalousie, voulant le même, avant de me retrouver à l’anniversaire surprise que tu m’avais fait avec nos amis du lycée. » J’en souriais perdue dans mon souvenir. J’avais gardé toutes les photos de cette soirée dans un album que j’avais emmené avec moi ici, à Harvard. « Le 18 janvier. » Moi non plus je n’avais pas oublié sa date d’anniversaire. Le jour où nous avions également décidé de nous montrer ensemble auprès de nos amis, même s’ils s’en doutaient tous déjà depuis un moment. Chaque question nous plongeait à chaque fois dans un souvenir. Sauf celle-ci. « Je n’ai jamais mangé bio. » Je lisais la question à voix haute, avant de corriger. « J’ai déjà du manger un ou deux trucs bio, mais sans plus. Le gras c’est la vie.» dis-je en rigolant encore. Je possédais un organisme au top, qui me permettait de ne pas prendre trop de poids, ou de les perdre facilement. Je connaissais bien souvent les fast-foods par cœur, sans avoir besoin de faire du sport derrière. En même temps, il était rare pour un étudiant d’être douée et dans les études, et d’avoir le temps de cuisiner à côté. Ce jeu m’amusait beaucoup, je m'amusais à ses côtés.

    Emi Burton
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postDim 28 Mai 2017 - 10:56
    taggercitereditionsupprimeradresse

    la raison qui m’a fait choisir les audacieux : ils sont loin d’être parfaits, mais ils sont vivants... ils sont libres.
    Erin & Elyas
    Quand elle me parle, je suis scotché à ses lèvres, comme si tout ce qu'elle pouvait me dire était parole de dieu, ou dans ce cas-là parole de déesse. Je souris quand elle dit que je vais me la coltiné pendant encore longtemps et je hoche parce qu'elle allait aussi avoir à faire à moi et à mon super jugement en ce qui concerne les mecs. Qu'on se le dire correctement à ce moment, je n'aime pas la savoir avec d'autres mecs. Je ne saurais pas dire pourquoi, mais une choses est sûre c'est que je n'aime pas savoir qu'un homme pose son regard sur elle. Et j'ai toujours du genre jaloux et possessif, je sais qu'elle n'aime pas ça et encore moins quand je met ma patte en mode « ne touche pas à ce qui m'appartiens » surtout qu'elle ne m'appartiens pas, elle n'est pas un objet qu'on promène et qu'on exhibe devant tour le monde tel une oeuvre d'art. Je le sais bien, mais j'ai toujours été comme ça, sur protecteur. Encore plus quand elle avance le fait qu'on n'aurait peut-être pas dû sur séparé à mon départ. Et quand j'y pense, je suis d'accord avec ce qu'elle dit, j'aurais très bien pu et elle le sait, l'attendre. Attendre qu'elle me rejoigne dans cette université.

    « Je suis d'accord avec ce que tu penses, Erin. On n'aurait jamais dû se séparer je t'aurais attendu, tu sais ? J'aurais jamais fait quelque choses qui aurais pu te causer du tort, j'aurais provoqué ta colère et encore moins ta peine... Je pense que c'est ce qu'on aurait dû faire. Rester ensemble et voir où ça nous aurait menés. »

    Et vu comme j'imaginais la réponse de la personne dont je suis amoureux, j'aurais très bien pu faire tout ce qui était en mon pouvoir pour la reconquérir. Je me disais bien souvent qu'elle me manquait même encore maintenant, après tout, elle a toujours gardé sa place dans mon cœur et tous mes sentiments n'ont jamais disparût. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'un premier amour avec un goût de non terminer laisse ses sentiments tels qu'ils étaient avant. Alors, certes, j'étais amoureux d'une fille, mais je restais encore célibataire actuellement et puis qui sait ce qui se passera dans le futur. Je secoue la tête et souris alors qu'elle me donne une tape sur le bras.

    « Ok, pardon, je recommencerais plus promis ! Mais ne me tape pas comme ça, sinon je serais obliger de te porter telle une patate sur mon épaule et te donner des tapes sur tes jolies petites fesses. »

    Je ris encore un moment en la regardant, je savais que ça allait la faire rougir et j'attendais ce moment avec une hâte certaine. Il faut dire que ma jolie blonde était un canon de la nature.

    « Oh, tu te souviens encore de la fête surprise ?! Oh là là ! Je suis content que tu t'en souviennes Erin ! Tu as encore ce petit bracelet que je t'avais offert ? Et tu as aussi la déclaration d'amour que j'avais faite ? Ça me plonge dans de très beaux souvenirs ça, tu t'en rends compte ? »

    Oui, j'avais, passé de très beaux moments avec Erin, j'étais jeune mais très impliqué dans notre relation, je rêvais que cette relation dure pour toujours, mais ça n'avais pas pu être le cas vraiment. On reprend avec notre jeu et je ris quand elle parle de manger bio et encore plus quand elle dit que le gras, c'est la vie, je ne peux m'empêcher le docteur en moi de parler.

    « Même si techniquement, c'est plutôt bon de manger bio, le gras si tu en abuses peut littéralement te tuer ! »

    Je ris davantage et prends son portable pour lancé la question suivante et je souris en la dictant à voix haute. « Je n'ai jamais osé défier Chuck Norris. » Je ris encore.

    « Qu'il vienne s'il a le cran de m'affronter ! Je n'ai pas peur de lui ! »  
    © Belzébuth


    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postLun 29 Mai 2017 - 20:38
    taggercitereditionsupprimeradresse
    « la raison qui m’a fait choisir les audacieux : ils sont loin d’être parfaits, mais ils sont vivants... ils sont libres.»
    Elyas & Erin


    En écoutant sa réponse, je regrettais à l’instant même où je venais de prononcer ces mots. Celui d’un regret de l’avoir laisser partir, de l’avoir laisser faire sa vie. Je regrettais car il y avait une nouvelle jeune femme dans sa vie, et que je ne pouvais pas lui faire ça. Il me manquait ce côté égoïste qui en aurait profité pour lui sauter au cou et lui dire qu’on efface tout, qu’on recommencerait là où on avait tout arrêté. En attendant, je baissais une fois de plus les yeux, je me sentais plus honteuse que jamais. Je ne révélais jamais mes sentiments, pas de cette façon. Cela m’aurait aidé qu’il me contredise, qu’il me dise d’arrêter de me faire des films, qu’on était que des amis. Car c’était exactement ça, on était que des amis. Je devais me le mettre en tête. Je tentais de me reprendre, je prenais mon courage à deux mains pour lui dire ce qui allait venir. « Et on aurait peut être fini par se faire du mal, se détester, et on ne serait pas là autour de ce café. On aurait forcément fini par faire des choses que l’autre n’aurait pas voulu. Regarde un peu autour de nous, ça couche dans les salles de classes, les professeurs finissent ivres dans les bars, et ça se bat entre les confréries. Ça aurait mal fini Elyas. Tu le sais, et je le sais. » Ou pas. Je n’étais pas devin, mais il fallait se rendre à l’évidence. L’université était l’enfer mariée avec les sept péchés capitaux. Je me contredisais, tout était confus dans ma tête maintenant. Il était celui à qui j’avais offert mon cœur sur un plateau d’argent, mon premier baiser, le premier que j’aurai présenté à ma mère, le premier homme avec qui j’avais dormi. J’étais en train de me demander si j’avais bien fait de reprendre contact avec le winthrop, ou laisser notre histoire là où elle devait être : dans le passé, trois ans en arrière.

    En attendant, je gloussais comme une idiote à l’idée de me faire porter comme un sac à patate. Je rougissais aussi. Cette idée faisait très intime, un peu trop. La dernière fois que j’avais vu cette scène, c’était dans Fifty Shades of Grey. Pas besoin de faire un dessin sur la fin de cette scène dans le film. « Tu n’oserais pas ! » Sans le vouloir, je venais de le défier. Je voulais mon timbre de voix franc et courageux, au final, j’avais peur qu’il mette réellement son idée à exécution. Me souvenir de cet anniversaire surprise me chasser cette scène de film trop osé pour moi, et revenir une fois de plus sur le boulevard des souvenirs. J’imaginais que c’était l’effet retrouvaille qui voulait cela. Histoire de se dire que l’on n’avait pas tout raté non plus. Machinalement, je touchais mon poignée quand il évoqua le petit bracelet qu’il m’avait offert. Un bracelet que j’avais remplacé dans le temps avec celui de ma grand-mère, ornée d’un ‘’infini’’ dessus. « Tout est enfermé bien précieusement dans une boite, une boite que j’ai avec moi à la colocation. Ce sont de magnifiques souvenirs Elyas. » J’aurai aimé lui dire encore tant de choses, que j’aimerais qu’on en crée encore de plus beaux, mais je me taisais. Je préférais rester avec l’idée que tous ses souvenirs étaient conservés précieusement dans une boite. Comme j’aimerais enfermer mes idées avec. Pourquoi était-ce si difficile ? J’étais partie déterminée, et je me retrouvais démunie de tous mes moyens.

    Passant du coq à l’âne, dans notre jeu on finissait par parler de bio et de Chuck Norris. J’en rigolais de plein poumon. « Il te mettrait une raclée en deux trois mouvements oui. » lui dis-je mimant un biceps inexistant chez moi. Je n’étais pas sportive et ça ne me dérangeait pas. Je n’avais pas besoin de ça pour me sentir bien.

    Mon téléphone se mit à sonner. ‘’Maman’’. Il était rare que ma mère m’appelle, je me devais donc de décrocher. Et si elle avait mis la main sur ce courrier venant de France ? « Je reviens, je fais vite. Excuse-moi. » Je m’éloignais juste à côté pour répondre, j’étais encore audible par le winthrop. Ma mère voulait me voir, je lui avais parlé du fait d’offrir une robe de bal à Avalon, et comme par hasard ma mère était disponible que maintenant. « J’arrive alors… » Je soufflais au téléphone avant de raccrocher et je revenais à mon rendez-vous. « Je suis désolée, je vais devoir y aller.. Je … » Je bafouillais, je cherchais mes mots. Je prenais un instant avant de reprendre. « Je suis contente de t’avoir vu Elyas, on se revoit au bal ? » On se levait tous les deux, proches l’un de l’autre, je m’en allais pour lui faire une bise d’au-revoir. Troublée, je déposais un baiser sur les lèvres du jeune winthrop. « J’aurai pas dû… » Je ne lui laissais pas le temps de répondre, je prenais mon sac avant de partir en direction de Boston, à l’appartement de ma mère.


    Emi Burton
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postMar 30 Mai 2017 - 17:30
    taggercitereditionsupprimeradresse

    la raison qui m’a fait choisir les audacieux : ils sont loin d’être parfaits, mais ils sont vivants... ils sont libres.
    Erin & Elyas
    Il est encore une fois vrai qu'on aurait pu se détester si on était resté ensemble alors que j'allais partir pour l'université, après les délires ne sont plus les mêmes. Je lui aurais parlé de mes nouveaux amis alors qu'elle est resté avec tous nos amis en commun, j'aurais parlé des fêtes dans lesquelles j'étais invité par, disons-le, des nanas qui n'attendent qu'une seule chose que je ne citerais pas. Je lui aurais parlé de mes cours auxquels elle n'aurait pas pu me donner son avis parce que j'aurais toujours un temps d'avance sur elle. Bref, je pense qu'elle a totalement raison quand elle dit tous ces trucs sur les gens qui couchent à droite et à gauche, tel des pornographies en live, et tous ces gens qui t'abordent t'embrassent ou te gifles dans des soirées pour ces bizutages dont tout le monde parlent.

    « Tu sais Erin que si j'avais trouvé que ça aurait était trop dur pour toi, tu sais aussi bien que moi, je n'aurais jamais fait en sorte de te faire du mal, mais en effet, je pense que tu as raison, nous ne serions pas là tous les deux à siroter un super café et à parler de tout ce qui nous a arrivé jusque-là si jamais on était resté ensemble parce qu'on aurait sans doute tout fait pour se briser l'un l'autre... »

    Et ça n'empêche pas que lorsque je suis arrivé, j'étais brisé, je ne voulais qu'elle, parce que je pensais qu'il n'y avait qu'elle qui arrivait à lire mes sentiments, qu'il n'y avait qu'elle qui pouvait faire battre mon cœur ainsi. Je trouve ça même dommage qu'une autre personne ai réussi à le faire. Je ne connais pas l'avenir avec l'autre personne, en fait, moi, je suis célibataire voilà ce que je me dis et j'en ris légèrement quand elle pense que je ne serais pas capable de la soulever pour lui taper le dernier. Je l'aurais clairement fait et rien à foutre de ces types qui lui tournent autour. Parce que pour moi, je sais que d'autres hommes lui tournent autour, une fille si canon et encore trop pure est un bel atout, mais je me garde de lui dire de faire attention à elle après tout, je ne suis pas son père et si elle veut avoir des relations avec des hommes, c'est tout à fait normal, et moi... Je serais toujours cet ami en qui elle pourra avoir confiance et chez qui elle pourra venir pour avoir un pot de glace des câlins et une épaule sur laquelle pleuré.

    « C'est carrément sûr qu'il me foutrait une raclé et pas n'importe laquelle, celle dont je ne me relèverais jamais pas à cause de la douleur, mais de la honte que j'aurais... »

    Je ris davantage alors qu'elle répond au téléphone, je ne devrais pas faire ça, mais en même temps de regarder l'heure sur mon portable, j'écoute sa conversation. Ce que j'en entends ne me fait pas plus plaisir qu'à elle apparemment, mais je ne ferais rien pour la retenir parce que j'ai déjà profité d'elle suffisamment surtout que je me mets à espéré quelques choses que je ne devrais pas. Elle souffle et s'approche pour s'excuser de devoir partir si tôt de notre rendez-vous qui était des plus amusant pour moi, qui était des plus relaxant et celui qui m'a fait le plus de bien depuis un sacré moment déjà.

    « Pas de soucis ma belle, on se revoit vite et surtout prends soin de toi, j'espère que tu m'écriras rapidement ~ »

    Voilà ma demande est faite, mais alors qu'elle s'en va, elle s'approche et au lieu de poser un baiser sur ma joue, elle pose ses lèvres sur les miennes. BOUM. Voilà ce qu'à fait mon cœur, puis boum boum encore et boum, de plus en plus rapidement, je souriait bêtement. J'adorais ses lèvres, et même si elle me dit ensuite qu'elle s'excuse et qu'elle n'aurait pas dû, je reste béat. Je me fiche bien de la raison, du pourquoi elle a fait ça, je veux qu'elle recommence même si ce n'était clairement pas fait exprès. Je la regarde partir en souriant grandement avant de prendre mes affaires et de retourner à la Winthrops house. Décidément, c'était une bonne journée !  
    © Belzébuth


    Contenu sponsorisé
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas

    Page 2 sur 2 Précédent  1, 2
    Permission de ce forum:
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum