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We're the captains of our own souls

Entendre Lenny me dire qu'il ne me verrait pas avec une autre couleur de cheveux m'arrache un rire. Parce que j'avoue que je me vois pas tellement brune, ou les cheveux noirs. Néanmoins, je précise: « Et pourtant, cet hiver, dis toi que j'étais blonde. » Bon, brièvement, puisque dès que les beaux jours sont arrivés, je suis repassée à ma couleur naturelle. Mais on reste pas sur le sujet des cheveux, que voilà qu'on se tourne clairement autour en parlant de la Lowell à la rentrée; et ouais, ça m'intrigue, cette histoire de plein de choses à faire, mais je relève subtilement, préférant jouer les énigmatiques. Après tout, on ne sait pas où on en sera d'ici septembre. Et enfin, la "torture" à la cheville se termine, et le résultat vaut vraiment le coup. A peine remercié, monsieur rappelle qu'on a pas terminé, ce qui m'arrache un rire. Merci captain obvious, je sais qu'y en a un deuxième à venir. Je hoche la tête simplement, et je m'hydrate comme je peux - même si j'aurais ptet du prendre plutôt de l'eau pour ça - observant que rester immobile sur cette table m'avait donné soif. Je hoche la tête à la réponse du brun: Il commence même à faire sacrément lourd, et pourtant j'me suis pas habillé chaudement. Je descendais de la table le temps de jeter la boisson et d'aller jeter un œil à mon téléphone, m'assurer que mes colocs avaient bien reçu mon message d'avertissement comme quoi je sortais aujourd'hui, puis je pivotais vers Lenny, en train d'ouvrir la fenêtre, alors que je demande si ça ne va pas être compliqué comme posture pour faire l'autre tatouage, étant donné son emplacement. Et j'sais pas pourquoi, dès que je croise son regard, j'devine qu'il va dire un truc surprenant. "Non, puisque tu vas retirer ton haut, ton soutiens gorge et t'allonger sur le dos." Et là sur le coup, je plante un peu, j'avoue. Je recule jusqu'à la table, alors qu'il termine sa clope et retourne se préparer, le temps que j'assimile l'information quoi. « Ah. Ouais. » J'suis pas con, je sais bien qu'il allait falloir que je retire le haut, mais le soutien gorge aussi? Quoique, vu où c'est, ça risque de déranger sur mes côtés, pas faux. Malgré moi, j'retiens mon souffle quand il s'approche à nouveau, appuyant mes deux mains sur le bord de la table pour m'y hisser à nouveau. « Tant d'entrain, on croirait presque que ça cache autre chose que du professionnalisme. » Désolé, j'étais obligée. Je pince les lèvres avec un sourire espiègle, puis j'avoue, je baisse les yeux quand j'attrape les pans de mon haut pour le retirer. Parce que j'peux faire la maline comme je veux, quand un mec me regarde comme ça, je perds déjà un tiers d'assurance. Je laisse tomber le haut sur la table à côté de moi, avant de passer mes mains dans mon dos pour dégrafer le dernier vêtement que j'ai.. du moins, en haut. Je me risque finalement à lever les yeux vers Lenny. « Complètement retiré? » Que je demande malgré tout, histoire de ne pas finir à poil si c'était pas ce qu'il voulait.

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Elle rit quand je lui dit que je la voyais rousse et rien d'autre avant d'me préciser « Et pourtant, cet hiver, dis toi que j'étais blonde. », j'arquais les sourcils surpris par la nouvelle "Shame... C'est blasphématoire de souiller une si belle coloration naturelle." ouais vous comprendrez par là que j'adore les rousses. Fin attention, les VRAIES rousses hein. Bref, on en fini avec son premier tatouage, on prend une pause le temps de boire un coup et de fumer une clope et après quelques minutes... Il était temps de passer aux choses sérieux, la suite et surtout le plus détaillé des deux tatouages, la pièce maitresse. Le verrou de son "coeur". Pour cela, je lui dis qu'elle doit retourner sur la table mais cette fois allongée et bustier nue. Soudain elle se fige à me regarder, surprise pour la nouvelle. Je souriais en coin à la voir réagir ainsi, préparant la reprise du boulot alors qu'elle colle son cul sur la table pour me dire « Ah. Ouais. », riant légèrement, j'hochais lourdement de la tête pour confirmer "Oui oui, tu as bien compris." et pas de défilement possible sinon je ne ferais rien. J'veux pas qu'un soutif vienne gâcher mon travail. Je m'approche alors à nouveau d'elle, prêt à passer à l'action alors qu'elle remonte sur la table « Tant d'entrain, on croirait presque que ça cache autre chose que du professionnalisme. », je souriais alors en coin, m'approchant un plus près pour répondre franchement "Bien oui, j'vais pas te cacher que j'vais prendre plaisir à te la tatouer cette pièce c'est sûr mais, j'vais tâcher de rester pro' malgré tout." ah bah attends, un mytho' dirait que non mais là autant dire ce qui est, j'vais pas me gêner à me rincer un peu l'oeil au passage hein. De là, déjà bien plus timide, elle retirait doucement son haut avant de dégrafer son soutif pour me dire « Complètement retiré? », et que je lui face un nouveau sourire en coin "Complètement oui." la regardant droit dans les yeux quelques secondes avant d'ajouter "Mais détends toi, tu peux mettre tes mains. J'aime les jolies courbes certes mais j'suis pas encore un pervers en chien." bien sûr qu'elle peut se cacher, j'en arriverais pas là non plus. M'asseyant à nouveau sur ma chaise, je tapotais derrière elle "Allez, dernière ligne droite on s'allonge." avec un sourire plus rassurant.

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"Shame... C'est blasphématoire de souiller une si belle coloration naturelle." A croire qu'on devient de plus en plus un phénomène de mode, nous les roux. Ça, c'est grâce à Ed Sheeran maggle, il a rendu leurs âmes aux roux aux yeux du monde. Je me contente de rire à l'observation de Lenny, esquissant un sourire en coin. « Hey, j'y suis revenu, c'est le principal non? » Ouais, puis bon, ma couleur a tellement bien été fichue qu'on ne voit même pas mes racines, alors c'est un peu comme si j'avais jamais changé de couleur, m'voyez. Puis quand il me dit que je vais devoir tomber le haut, je me raidis un court instant, j'avoue. Un peu surprise, parce que je pensais pas franchement qu'il fallait retirer tout pour se faire tatouer ici. Bien bien bien. Et malgré moi, j'peux pas m'empêcher de lancer une petite remarque quand il s'approche en m'encourageant à m'exécuter. Et le moins qu'on puisse dire c'est que la réponse est .. assez directe et franche. "Bien oui, j'vais pas te cacher que j'vais prendre plaisir à te la tatouer cette pièce c'est sûr mais, j'vais tâcher de rester pro' malgré tout." C'est même plus que franc, omg. Et je pince les lèvres, réprimant un sourire. Parce qu'au fond, c'est flatteur, après tout, il ne fait que me complimenter depuis tout à l'heure. Ce n'est qu'un compliment de plus.. à sa façon. Alors, je m'exécute. Hissée sur la table, je tombe le haut. Puis, je tire sur les agrafes du soutien gorge, sans le retirer entièrement, mais visiblement, monsieur a besoin que rien ne dérange. Je lève les yeux pour croiser son regard. Hésitante, mais aussi intriguée. Et à sa remarque, je me détends, parce que .. j'sais pas, il prend les choses à la cool, et ça m'plait. Et alors qu'il s’assoit, je me décide à m'exécuter, dégageant le tissu pour me retrouver buste nu, tout en me courbant jusqu'à ce que mon dos entre en collision avec la table. « Prête à douiller. Bring it! »

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Elle a oser teindre ses cheveux quoi, c'moche « Hey, j'y suis revenu, c'est le principal non? » mais elle sourit et moi également et voilà, ça va. J'hochais la tête en guise de réponse puis on passait à la suite. Oui il fallait qu'elle soit le bustier à l'air pour que je travail correctement et sans gêne. Autant dire qu'elle ne s'y attendait pas et je trouvais ça amusant. Bien moins sûre d'elle d'un coup la miss. Et je ne cache pas que ouais, j'vais aimer poser mes mains sur elle hein, faut pas se mentir. Loin de la choquer, elle se pince les lèvres d'un petit sourire flattée. Chose dite, chose faite. Après un instant d'hésitation elle finie par s'exécuter, s'allongeant sur la table en retirant ce foutu soutien gorge, s'étalant de tout son long sous mes yeux attentifs « Prête à douiller. Bring it! », je souriais en coin, posant le nouveau transfo' sur sa peau en douceur pour y passer un peu de crème ensuite, doucement, délicatement, limite un peu plus qu'à la normal pour le coup. Approchant mon visage du sien pour lui révéler "Pense à moi tout nu, entrain de te faire du charme à gogo et ça ira tout seul." et hop j'allumais la machine pour m'y coller, posant l'aiguille sur sa chaire pour commencer le dessin. Je m'aime dans ma connerie mais en vrai, penser à autre chose, parler et oublier qu'on se faire gratter les côtes et bien ça passe mieux. "Alors? Tu souffre à mort pas vrai?" souriant à ma connerie alors que je m'appliquais à ce que ça soit parfait, glissant légèrement mes doigts gantés sur sa peau douce pour lui donner d'autres sensation que celle de l'aiguille. Ouais les gens sont de trop pour vraiment savourer mais on fera avec.

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Allez, quand il faut passer à la torture, il faut s'en donner les moyens. Alors quand Lenny me fait clairement comprendre qu'il ne faut pas juste détacher, mais bien faire tomber le haut, tout le haut, je finis par m'exécuter. Beaucoup moins sûre de moi, évidemment, c'est facile de faire les yeux doux, moins facile d'étaler ma plastique le temps qu'un homme me tatoue sous un sein. Mais allons bon, je m'exécute, m'allonge, jouant la carte "j'ose tout" jusqu'au bout. Et j'sens bien son regard qui pèse sur moi, et bizarrement, je sais pas tellement comment me sentir: intimidée, flattée ? Je décide finalement de ne pas me prendre la tête, lui jetant un regard en coin avant de l'encourager à attaquer, le laissant poser jenesaisquoi sur ma peau. Il approche, murmure quelques mots, et je me mord l'intérieur de la joue, retenant un rire. « C'est dangereux de dire ça, tu le sais ? » Ouais, malgré moi, j'peux pas m'empêcher de répondre à sa remarque, puis je regarde le plafond de la pièce, sentant qu'il attaque le tatouage. Aoutch. En effet, ça pique un peu plus, et je contracte automatiquement mes muscles abdominaux, en retenant mon souffle. Et malgré moi, je souris en repensant à la connerie de Lenny. Quand il reprend la parole, le lève à nouveau les yeux vers lui, avec un sourire léger. C'était douloureux au début, mais on finit par s'y faire. « Disons que j'ai connu plus agréable » Finis-je par dire après lui avoir jeté une oeillade, avant que mon regard ne dévie vers sa seconde main qui arpente ma peau avec légèreté, malgré le fait qu'il porte un gant. « Mais tu sais comment détourner mon attention de la douleur, aussi. » Obligée de le préciser. Je lui fais un sourire, essayant de ne pas trop bouger pour qu'il ne se foire pas sur le tatouage. Puis, j'ajoute en retenant un rire, incapable de retenir la remarque : « Par contre, t'imaginer en train de me tatouer tout nu, c'est assez déroutant. »s, réprimant un sourire. Parce qu'au fond, c'est flatteur, après tout, il ne fait que me complimenter depuis tout à l'heure. Ce n'est qu'un compliment de plus.. à sa façon. Alors, je m'exécute. Hissée sur la table, je tombe le haut. Puis, je tire sur les agrafes du soutien gorge, sans le retirer entièrement, mais visiblement, monsieur a besoin que rien ne dérange. Je lève les yeux pour croiser son regard. Hésitante, mais aussi intriguée. Et à sa remarque, je me détends, parce que .. j'sais pas, il prend les choses à la cool, et ça m'plait. Et alors qu'il s’assoit, je me décide à m'exécuter, dégageant le tissu pour me retrouver buste nu, tout en me courbant jusqu'à ce que mon dos entre en collision avec la table. « Prête à douiller. Bring it! »