« The winner takes it all. »
ft. ANNALYNNE & CLAY

" Franchement? " Ta gueule, parce que si ce n'est pas pour dire que c'était affreux, que rien ne peut être comparable avec ce qu'on vit tous les deux, ce n'est même pas la peine de parler, de te débattre alors que t'es en train de t'enfoncer. Je veux que tu te taises avant que tu ne provoques trop de dégâts. " Écoute... Je... J'n'en ai aucun souvenir. " Mauvaise réponse. Et ça ne devrait même pas me surprendre tant ça semble à présent logique, c'est dans la continuité de son glorieux choix. Et quelle prouesse, culbuter une autre femme en pensant pouvoir garder celle qui partage sa vie. C'est grandiose, hallucinant à quel point il aurait pu être sur de lui. Me mentir peut-être … à vie. La seule certes, mais d'une liste qui aurait pu augmenter. Si je n'avais pas trouvé cette lettre, il m'aurait prise, après elle, relayer à ce rôle dégueulasse de second choix, de celle qui est trompée mais qu'on veut tout de même garder. Je ne suis pas totalement sénile, je sais très bien, que Clay le genre féminin, il l'a toujours aimé, et pour preuve notre lieu de rencontre ne peut que le prouver. Mais puisqu'il a parlé de ce qu'il s'est passé il y a presque deux ans, c'était une fidélité qu'on s'était promit.

A mesure que je me le répète, que je me remémore ses mots, ses gestes et que j'imagine ceux qu'il a pu choisir pour la séduire, ça prend en force, ça devient si facile de m'abattre. Je suis à terre quand je lui balance qu'il me dégoûte si bien que je n'ai jamais été aussi sincère. Il me donne la gerbe, une véritable envie de m'ouvrir la tête pour essayer de briser de mes doigts mes pensées étriquées. Mon imaginaire qui ne veut s'arrêter de tourner. C'est dans tous les sens, c'est un foutoir. Je me plonge dans le noir. Mais alors que je n'attends plus rien de sa personne parce qu'elle m'insupporte bien plus que de raison, le voilà qu'il fait un pas en ma direction. Ma main libre s'élève entre nous, barrière factice pour l'arrêter, pour être certaine de ne pas le voir encore plus s'approcher, j'en crache entre mes mâchoires qui ont du mal à se desceller. « Ne t'avises surtout pas de me toucher. » C'est avec ces mêmes mains que tu l'a caressé, que tu as su la faire ployer. Une autre que moi … Je ne pourrai pas guérir de ces maux là. Et je ne saurai dire ce qui est le plus endommagé, entre tout ce qu'il vient d'ébranler. Ma confiance en lui, ma fierté, mon orgueil envers tout ce qu'on a pu construire jusqu'ici, choses qui ne s'apparente qu'à du vent. Quand ça me démange de lui demander pourquoi il l'a fait, je réalise que je connais déjà la réponse, qu'elle est claire comme de l'eau de roche, il en avait juste envie. Envie d'elle, envie d'autre chose. Lassé et pour ma part je me sens lésée, tellement souillée. « T'es qu'un menteur. Un connard qui pensait pouvoir s'en tirer. » Déboussolée par les mots que j'ose à son égard utiliser. Je l'ai tant aimé … Et l'aime encore, incapable de nier. « Ma vie, ma famille, ma fortune. » Je ne dis pas que ces choses étaient merveilleuses, mais c'est consciemment que pour lui je les ai mise aux oubliettes. Benne à ordures impossible à rouvrir afin de récupérer quoi que ce soit. Pauvre Anna. « Je t'ai fait un enfant ! » Parce que je pensais qu'on partageait les mêmes sentiments. Et tu m'as trahit. Tu n'avais pas dit qu'on devrait se supporter le jour où tu m'as proposé de vivre ici ? « C'est terminé. » Parce que j'en ai fini de brasser ta connerie. Ce qui est fait est fait. Les choses ne sont pas souvent écrites a la craie, on ne peut se servir de chiffon pour effacer. 

« The winner takes it all. »
ft. ANNALYNNE & CLAY

Mais à peine ai-je fais un pas vers elle pour tenter d'amorcer une réconciliation qu'elle me barre la voie de sa paume et me crache quelques mots concluant sur mes vaines attentes, clairement remontée: « Ne t'avises surtout pas de me toucher. » Elle l'est, dans son amour propre et sa fierté...  Je n'ai pourtant pas été aller voir une pute de mon plein gré, n'ai pas concrètement renoué avec mes vieux démons, rien n'était prémédité. Ce n'était qu'un dérapage bon sang mais peut-elle seulement en saisir la notion... « T'es qu'un menteur. Un connard qui pensait pouvoir s'en tirer. » Oui c'est vrai, autant pour les injuries que ce que j'escomptais faire: te le cacher jusqu'à l'oublier. Mais ces insultes, tu vois, je les ai trop longtemps entendues être proférées à mon encontre alors elles n'ont que très peu d'impact sur moi, rodé au connard et menteur qui sont comme une seconde peau aujourd'hui bien qu'elle ne les ai plus depuis longtemps utilisés.

« Ma vie, ma famille, ma fortune. » " Ta vie?!" Arrête putain tu va me faire rire. Et poing fermé, le pouce levé en direction de la pièce adjacente sans réelle raison de la cibler, je branle du vide et me gausse de sa feu destinée qu'elle semble à présent regretter. Et après, elle me dira peut-être qu'elle l'aimait profondément son tombeur sélectionné sur dossier, Alan, qui a fait la couverture de nombreux magasines après leur rupture et cela toujours très bien entouré. " Tu crois que l'autre là, avec votre putain d'mariage arrangé, chose qui ne devrait exister et qui jure avec mes convictions, il t'aurais pas trompée ?! " Et toi dans le rôle de la bonasse apprêtée, meneuse d'hommes qui à coté s'fait baiser, t'aurais voulu sérieusement l'épouser? Alors que tu m'as clairement depuis le début fait comprendre l'inverse. Pauvre Anna qui, muette, a toujours été sous le joug de son père malgré des apparences trompeuses, à se croire puissante juchée sur des piliers qui sans elle ont été érigés.

Alors sans doute parce que j'ai touché la corde sensible, sujet épineux, de son destin hors du commun, elle n'hésite pas à me contrer d'un « Je t'ai fait un enfant ! » et marque un point. Je n'ai rien à redire, soudainement silencieux parce que c'était en quelque sorte mon veux et non le sien ce gamin. J'abaisse lentement le regard vers ce qu'elle a rejeté sur les draps d'satin derrière elle, sur ces éclats qu'elle ne portera plus à son cou visiblement. « C'est terminé. » Je sais... je m'en doutais. Même si pendant un long moment j'ai cru pouvoir passer cet impair sous silence. Je me pensais  suffisamment hardi pour me replonger dans le mensonge quelques temps. Elle est a fleur de peau sur l'instant, ce que je peux comprendre et c'est dans notre intéret que je n'avance pas plus, reste sur le seuil de la porte, tente de temporiser ses élans en abaissant rythmiquement les paumes. " Attends. " On en a traversé des orages et je me refuse toujours de croire que celui-ci rimera avec naufrage. " Pose ce sac et, et on va en parler. Calmement. " Comme si j'étais vraiment enclin à débattre sur mes agissements.

« The winner takes it all. »
ft. ANNALYNNE & CLAY

Alors ses paroles au sujet d'Alan, je les vomis, parce que si c'est tout ce qu'il trouve pour se sortir de son propre piège, je pense que c'est juste petit. C'est mesquin, en réalité, mais cela ne devrait pas me surprendre, puisque c'est tout ce qu'il est. Un fourbe qui n'a jamais cessé de jouer. En réalité, cette tombe, ce cadavre, qu'il m'a montré, il ne l'a pas enterré, il reste le connard qui a passé son temps à culbuter des putes à longueur de journée. Mais bon, ça passe bien, c'était pour le boulot ses putains.  Et celle la, c'était pour quoi ? Pour pallier un manque ? Excuse-moi d'avoir l'entre-jambe explosé par ton gosse, je ne savais pas que c'était une attente que tu n'aurais pas pu supporter. Rien ne saurait changer ce que je suis en train de penser. Absolument aucune chose au monde ne pourrait me calmer, faire redescendre cette colère, apaiser quelque peu cette incroyable peine. Je crève et rien ne peut me sauver, aussi en détresse qu'une pauvre névrosée. Et qui n'arrête pas de pleurer. Hystérie qui ne veut s'arrêter. Même ses mains qui battent un rythme surfait, elles me donnent envie extrême envie de gerber. " Attends. " Attendre quoi ? Que tu trouves enfin une excuse à me balancer ? Ou plutôt une phrase un peu mieux que la première balancée ? Une seule fois, j'en rigole, et c'est complètement malgré moi. " Pose ce sac et, et on va en parler. Calmement. " Il en est hors de question, je m'en vais et je suis décidée. Alors mes phalanges se resserrent sur la hanse qu'elles tiennent, de peur peut-être qu'il ait l'idée de vouloir me l'arracher. Avançant d'un nouveau pas, tout en ayant l'espoir qu'il va enfin se décaler pour me laisser tranquillement me tirer.

Le problème c'est qu'il n'en fait rien, qu'il reste planter sur ses positions quand sur mes lèvres brûle un « pauvre con ». Il a tout gâché, et moi j'ai été stupide, et je me débecte de l'avoir aimé. D'avoir cru possible quelque chose que j'ai toujours envisagé comme une chimère, comme d'un autre temps, d'une autre ère. L'amour … que du vent. Alors face à ses non-mouvements, j'explose encore, de cette haine qui me mord. « Mais tu veux me dire quoi ?! » Tu aurais du le faire ce soir là, quand après elle tu es venu te coucher dans nos draps. Sans aucune gêne, sans aucune honte. C'est là l'évidence, s'il avait tenté une excuse avant, s'il ne m'avait pas menti autant, s'il avait dévoilé directement son erreur sûrement que j'aurai pu … Non, j'ai tort, je me fourvoie, je tends à flancher en sa faveur alors qu'il vient d'exterminer mon coeur. A cette pensée, je redouble de rancoeur, quand j'exulte un ; « Oh je sais ! » et là je me paie sans tête sans même le cacher, puisque c'est la mienne qu'il a ridiculisé. Réduite à rien. Une foutue boule de chagrin. « Elle t'a violé ? » Sait-on jamais, il pourrait sûrement me la sortir en désespérance d'argument, autant que je lui foute en pleine gueule maintenant. C'est si risible, lorsque je me heurte à son regard, alors que je me sais brisée, encore plus que le jour où mon père a osé me dire qu'il n'aurait jamais du me choisir. Comme un chien, qu'on adopte pour abandonner. Clay suit le même chemin. Cependant il y a une chose à rectifier, avant que je ne prenne mon enfant et que je franchisse le pallier. « L'autre ... » Comme tu le dis si bien. « Je ne l'aimais pas. » Et de notre histoire, en voici le glas. « Pousse-toi. » 

« The winner takes it all. »
ft. ANNALYNNE & CLAY

Rien ne se passe comme je le voudrais forcément puisque ne cessent de perler ses larmes qu'elle essuie de temps en temps. Elle fait un pas à ma rencontre mais ses doigts fermement agrippés à son sac ne laissent rien présager de bon quant à ses futures intentions. Bien au contraire même puisqu'agressive maintenant, elle éclate de plus belle, déballant tout ce qui pèse à son cœur dans un flot de haine. « Mais tu veux me dire quoi ?! » Sincèrement? Je n'en ai aucune idée parce que cette histoire est pour moi déjà du passé, du vécu sans le moindre sentiment, juste une baise sans la moindre importance. Mais peut-être qu'en la faisant rester, en l'empêchant de traverser ce couloir afin de me laisser, elle extériorisera suffisamment sa rancœur pour me laisser à nouveau la toucher. Douce utopie que je caresse fébrilement des doigts en pensée, parce qu'à peine m'a t-elle de nouveau regardé qu'elle s'adonne à la dérision. « Oh je sais ! Elle t'a violé ? » Offusqué qu'elle puisse me penser à ce point sournois, j'ai froncé des paupières avant d'en détourner le regard. C'est bien la seule chose qui ne me soit arrivé dans la vie: me laisser faire contre mon gré, même pour un acte aussi grisant et cela quelque soit la femme avec qui j'ai été. Et elle le sait parfaitement.

Mais le temps suit son chemin et je suis malgré tout appelé à me reconfronter au sien, étreins de mes doigts mon front où chemine à présent le mot connard en caractère gras. « L'autre ...  Je ne l'aimais pas. » Mais un jour où l'autre, à force de proximité, ça aurait été le cas, crois-moi... Parce que tu aimes ceux qui te tiennent tête Anna et qu'Alan, malgré ses niaiseries de riche fils à papa, n'était pas dépourvu de caractère. Son fric aurait suffit à lui seul à faire le reste. Alors amer de cette pensée, je fuis le poids de mes responsabilités et trouve dans le bois de l'embrasure quelque chose de suffisamment lénitif pour doucement lui grogner : " Pour ce que tu me l'as dit..." Aimer, c'est un mot qui t'a toujours rebutée Malcolm, va-t-en savoir si t'en connais au moins la définition. « Pousse-toi. » Non, hors de question. Je n'ai pas bougé et compte bien camper sur mes positions, à ne lui laisser l'occasion de me quitter de cette façon. D'une réponse négative de la tête sans même lui décliner un regard, les mots me manquent pour lui confier que cette situation frôle le ridicule et qu'il suffirait de laisser décanter cette histoire pour nous retrouver comme avant: amants fraichement parents.

Alors mes doigts quittent mollement mon front pour changer de comportement à son égard, et me saisis nerveusement de l'anse de son bagage pour lui imposer une autre attitude à mon encontre. " Donne-moi ce sac Anna. " Autoritaire et ayant perdu de vue tout ce qui a été retenu contre moi ce soir, la bande de cuir se tend entre nos doigts parce que ni l'un ni l'autre ne cèdera avant que ne se fasse entendre un bruit d'accroc découlant de l'une des ses coutures. L'écorchure s'effile rapidement et rien ne saurait l'arrêter hormis mon abandon, chose que je ne peux et ne veux lui donner, d'aucune façon.

« The winner takes it all. »
ft. ANNALYNNE & CLAY

" Pour ce que tu me l'as dit..." Pardon ? J'ai comme une nouvelle impression d'halluciner lorsque je comprends le sens des mots qu'il vient d'oser prononcer. Ça me débecte encore plus, parce que c'est toute mon affection qu'il est en train de remettre en question. Et si le jeu est celui de compter combien de fois les « je t'aime » ont été dit, laisse moi le plaisir de te préciser, que j'en suis à deux et toi à l'unique fois. Soirée où tu n'as même pas réussi à me le dire quand j'étais sur ce brancard, tu vois, même là, tu me laissais plonger seule dans le noir. Quant à ces mêmes mots qui m'ont souvent manqué pour t'exprimer combien je peux être attachée, je pensais que mes gestes l'avaient fait pour moi, que mes actes n'étaient pas vains. Tu n'étais pas là, le jour où j'ai tout plaqué pour toi ? Tu n'as pas entendu les paroles que mon père a osé me balancer ce jour là ? Ces coups qu'il m'a porté dans l'espoir de me briser ? Ce n'est pas ton fils que j'ai porté ? Des preuves d'amour même si je t'en ai pas donné à la volée, celles là, elles étaient notables, sont toujours immuables, tu ne crois pas ? D'ailleurs, encore une fois, ce sont les tiennes, qui n'existent pas. Peut-être que j'aurai du le voir venir, entendre plus rapidement qu'il allait finir par me trahir. Je me suis tellement fourvoyée que ça me donne la gerbe rien que de le regarder, à se foutre la main sur le front, comme s'il pouvait parvenir à effacer quoi que ce soit. Je ne trouve pas de mots pour exprimer combien je peux être déçue, dégoûtée. Comment ai-je pu être autant bête … à le croire ; Lorsqu'il disait que j'étais celle qu'il voulait, qu'il n'y avait que moi, qu'il n'en toucherait aucune autre, qu'il n'y arriverait pas. Je me demande si ça lui a plu, de se payer autant ma tête. De se taper une riche héritière, de l'engrosser, de lui faire tout perdre. C'était peut-être un défi, qu'est-ce que j'en sais, mais une chose reste certaine, c'est haut la main qu'il l'a relevé. Tout est détruit. C'est avec brio qu'il a réussi.

Mais alors que je lui demande de se pousser, il n'en fait rien, augmente avec ses non-mouvements ma haine en un crescendo accéléré. Je veux juste qu'il se décale et qu'il me laisse sortir de cet endroit où j'ai eu la déraison de me penser chez moi. Ses iris abaissés, son visage visage vacille de gauche à droite, me faisant comprendre qu'il n'accédera pas à ma requête qui est pourtant des plus simples. Il ne faut pas être un savant pour entendre qu'à présent, dans cet appartement, je ne désire plus perdre mon temps. Et quand il s'approche afin d'agripper la hanse du sac de ses doigts, j'ai une incommensurable envie de lui cracher à la gueule, de le gifler, de lui dire d'aller se faire foutre avec ses volontés de brave enfoirée. Sauf qu'elle est avortée, mon idée, par ses paroles autoritaires balancées, comme s'il avait encore un quelconque droit sur moi. " Donne-moi ce sac Anna. " Tout ce qui résulte de sa demande, c'est ma main qui resserre son emprise sur la lanière, et je réalise pas assez rapidement qu'il fait de même, si bien que la couture, dans notre folie mutuelle, commence à lâcher. Cependant une chose est certaine, je ne risque pas de le faire aussi, rien ne pourrait me faire changer d'avis. C'est d'abord une bataille silencieuse, un instant comme coupé du reste du temps, un aparté curieux qui renforce mon besoin cuisant de le quitter. « Enlève tes sales pattes de mes affaires, Cooper. » Parce que je t'ai déjà retiré la permission de toucher quoi que ce soit qui soit en rapport avec moi. Et comme il ne le fait pas, j'accuse des nouveaux tremblements bien que je me refuse à céder. L'évidence est telle que rien ne saura arranger, il y a quelques minutes déjà que tout est brisé. Que dans cette chambre c'est partout que je me suis éparpillée. Et que les morceaux, ils ne peuvent se rafistoler. « Tu espères quoi ? » que tout à coup parce que tu me retiens de cette manière bancale, mesquine et minable, je vais rester ? « Que je te dise que c'est rien ? Que ce sera passé demain ? » Ce serait vraiment ne pas me connaître, mais après tout, même de cela, je crois que je suis en train d'en douter. « Tu es encore plus con que ce que tes actes laissent penser, si ne serait-ce qu'une seconde tu crois sincèrement que je vais laisser passer ça » Continuer à vivre avec toi, faire comme si de rien était, comme si t'avais pas décidé d'en baiser une autre, être avec toi, alors que je ne te suffis pas. « Tu le savais. » que c'est ce que je ferai si j'étais au courant, et c'est pour cette même raison que tu avais décidé de me mentir, de me le cacher. Tu étais parfaitement conscient que je te quitterai. « Maintenant dégage. » Parce que je supporte plus d'être dans la même pièce que toi, que j'étouffe et que je ne suis même plus à demi moi. Dégage, parce que Tobias et moi, on s'en va.