Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility« The winner takes it all. » Clay et Annalynne.
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    « The winner takes it all. » Clay et Annalynne.
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    Lien du postMar 6 Déc - 14:55
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    « The winner takes it all. »
    ft. ANNALYNNE & CLAY

    J'ai ouvert cette lettre, je sais que je n'aurai pas dû, mais le cachet de l'hôpital m'a convaincu, par curiosité, par inquiétude au sujet de sa santé. Je pensais qu'il avait malgré tous nos « pas de mensonge, pas de secret » il avait pu bafouer cette promesse depuis des mois instaurée. Et quand je l'ai lu, je n'y ai pas cru, à la vérité, je n'ai même pas comprit ce qu'elle signifiait. Parce que je lui ai trouvé des centaines de raisons à cet examen qu'il a vraisemblablement passé. J'ai même envisagé que ce soit une erreur sur la personne, le fait qu'il y ait dans ce monde deux Clayton Cooper. J'ai accusé ma stupidité, comme une lame qui s'est enfoncée au plus profond de mon être.

    Et tiraillée par le mot « pourquoi » je me suis laissée tirée de mes pensées par des sanglots venant de la pièce à côté. Tobias, se réveillant demandant à être changé, et de quoi se rassasier. Alors je l'ai fait sans réaliser à quel point mon monde était en train de s'écrouler. Avec des gestes qui sont à présent presque devenus machinaux, j'ai retiré la couche de mon enfant, lui en est mit une nouvelle, j'ai fait chauffer un biberon, pour finalement lui donner. Effectué à la presque perfection. Le tenant toujours dans mes bras cet être de tout juste un mois, je me suis assise sur le canapé et j'ai contemplé de loin le papier posé sur la table basse, comme s'il pouvait me révéler les réponses à mes questions. L'horloge digitale du décodeur de la télé compte pour moi ces minutes qui semblent ne pas défiler. Il est censé être au travail, doit bientôt rentrer. Je n'ai jamais contrôlé ses allées et venues, ou juste une fois, deux fois, lorsque j'étais enceinte, qu'il ne me touchait pas, quand on l'appelait en pleine nuit pour aller jouer les sauveurs masqués. J'ai choisit la confiance parmi le reste, au milieu de tout ce que ma famille en lui déteste.

    Mais lorsque j'entends le verrou de notre porte d'entrée être prit par sa clef, je me lève afin d'aller déposer dans son berceau Tobias qui recommence doucement à s'endormir. Quelques pas de plus et nous voilà dans le salon, lui et moi. Toujours le même schéma, Clay et Anna. Fraîchement parents et tentant de trouver un équilibre aussi bien qu'on le peut, je ne savais juste pas à quel point ça pouvait être bancal tous les deux. Mes prunelles le détaillent un instant, je tente vainement de voir ce qui aurait pu changer. Si oui ou non les méandres de mes interrogations m'ont mené à la réelle conclusion. Et ma paume brasse du vent en silence avant que mon index s'arrête cette course fictive pour désigner ce qui gît sur la table tout à côté. « Pourquoi ? » Pourquoi alors qu'on est censé dormir que tous les deux tu as pu croire bon de faire un test afin de savoir si tu as la SIDA.
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    Lien du postMar 6 Déc - 16:21
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    J'aurai dû y songer mais depuis un certain temps je me suis égaré, ai perdu ces réflexes qui firent autrefois ma réputation et ma fierté. J'ai tout fait pour me prémunir d'un tel danger et pourtant un détail à été gravement négligé: l'adresse de ce putain de courrier que j'aurais mieux fait d'intercepter avant qu'il n'atterrisse entre ses mains.

    Alors sans me douter de ce qui m'attend, je rentre, harassé par une journée comme tant d'autres avant elle et possédé par l'idée bien précise d'aller me rendre auprès de mon fils qui sans un mot saura comment me rendre le sourire. Il a pour lui cette faculté innée à éponger les malheurs que ce monde a le don d'engendrer. Mais rien ne se déroulera comme je me l'étais imaginé. A peine le pied dans le salon que c'est une Annalynne toute aussi crevée que je peux l'être qui me fait face et me gratifie d'un:   « Pourquoi ? » , balayant de la main l'air en guise de bienvenue. Elle est loin d'être la petite femme aimante que tout homme souhaiterait voir à ses cotés mais là, il y a bien un réel problème rien que de part sa gestuelle et son timbre de voix que je qualifierais d'irrité. Alors comme si de rien n'était, je prends mon temps de mon coté pour me dévêtir et prendre connaissance de ce qu'elle m'a si sèchement indiqué. Le blouson est apposé sur le dossier d'une chaise juste à coté, bien enroulé, tandis que de mes yeux l'entête de la lettre est étudiée: Le Boston General Hospital et leur blason estampé qui ne trompe personne. Sans en oublier sa question, mes doigts se posent sur le papier et déplient la partie inférieure jusque là masquée. Test négatif. Soulagé. Mais il n'en reste pas moins la femme qui se pose à forte raison la question d'un tel examen et auquel j'ai par bonne conscience voulu procéder. Sans même me retourner, je lui glisse calmement le fond de ma pensée, cherchant à fuir la vérité en repliant ce bout de papier. " J'voulais pas t'inquiéter. " Mais visiblement elle est déjà prise d'anxiété, sur le point de tout claquer. Si bien que son irritation en est presque contagieuse, allant jusqu'à me montrer soudainement sur la défensive. " Et c'était privé " parce que c'est mon nom qui est apposé sur l'enveloppe et non le sien et bien que je souhaite tout partager avec elle, il n'en reste pas moins que je désire cultiver seul mon jardin.

    Pourtant il me faut lui mentir une nouvelle fois, renouer avec de vieilles habitudes si je souhaite éviter le pire qui est à venir. Alors en direction de la chambre du petit, au passage, la lettre est flanquée à la poubelle - ouverte d'une simple pression du pied - comme si cette nouvelle n'avait rien de singulier. " Un camé qui m'a piqué dans une altercation, pas de quoi s'alarmer." Roi du mensonge et la mystification depuis des années sauf que là, ce profond sentiment de culpabilité m'a fait hésiter.
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    Lien du postMer 7 Déc - 17:07
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    Ses  prunelles déclinent et observent en aval ce que je lui désigne encore inconsciemment sur la table. Mais à défaut de répondre directement, il prend ce temps, celui qui me prouve un peu plus qu'il y a quelque chose qui ne colle pas. Sa veste est déposée, calmement pliée, et c'est une ambiance qui ne me plaît pas … Parce que le calme annonce toujours une tempête, alors je me fonds dans une patience sans nom tandis que tout en moi est soudainement entrain d'entrer en ébullition. A deux doigts de lui ordonner de parler lorsqu'il attrape le papier entre ses phalanges, l'observe une seconde et me plante presque sans sourciller. " J'voulais pas t'inquiéter. " Mais combien de fois on s'est dit toi et moi qu'entre nous rien n'était bon à cacher ? " Et c'était privé " Vrai. Cependant ma curiosité et mon intérêt à son sujet n'est plus à prouver. Tout du moins, je le pensais … Et si la précision était censée me convaincre d'abaisser les armes et me placer en fautive, il est clair que l'effet n'est pas réussi, bien au contraire, puisque cela signifie que si je n'avais pas ouvert, ce test serait passé inaperçu. Pourtant, lorsqu'on est en couple avec quelqu'un on est pas censé lui dire les choses de ce genre ? Parce que je me sais bien handicapée niveau sentiment, stoïque toujours au mauvais moment lorsqu'il est question d'affection, ça au moins, j'en suis parfaitement au courant. Si j'avais osé faire ce test pour x raisons, il l'aurait su … Et comme je ne connais toujours pas les siennes, j'avoue que je suis perdue. Les secondes perdurent et je hais cela, habituellement quand je l'attaque, il n'attend pas.

    Il s'anime à nouveau, et jette les résultats au passage comme s'ils n'étaient rien qu'un vulgaire papier, rien de plus, rien de moins, et quand je le devine vouloir s'enquérir de l'état de son fils …" Un camé qui m'a piqué dans une altercation, pas de quoi s'alarmer." J'en avale difficilement ma salive, parce que ce n'est pas le soulagement qui s'éprend du contrôle de mes sensations, loin de la, j'en fronce mes sourcils dans son dos, ça pique partout sur ma peau. Ca fait plus d'un an Clay, toi et moi … Plus d'un an qu'on s'apprivoise, qu'on se côtoie, qu'on vit ensemble à la vérité, que je t'aime au point d'avoir tout quitté. Et des hommes dans ma vie, j'en ai croisé, clients affamés de femmes, qui m'ont vendu du rêve afin d'obtenir des faveurs que je leur ai toujours refusé, si pernicieux et mensongers. C'est par coeur que j'ai apprit à les lire … Mais Clay était le plus beau des livres. J'en mords l'intérieur de ma joue, afin d'apaiser ce venin qui semble vouloir s'échapper de mes lèvres, incontinence verbale qui s'en deviendrait si vite mauvaise. Alors je le suis, marche sur ses mêmes pas, décidée, et dans mon être tout entier je ressens mon sang battre la mesure. Une seconde plus tard, c'est dans l'encolure de la porte que je cale mon épaule, et l'observe toujours à regarder notre enfant, peut-être ne m'ayant pas entendu arriver. Mais au lieu d'entrer dans de longs discours comme cela peut me démanger, je me contente d'un « Je le sais ... » Plisse mes paupières, observe la façon que pourrait avoir son dos de se contracter, de ses gestes devenir aussi hésitants que sa précédente réponse. Avant qu'il ne se retourne ou parle à nouveau, je conclue finalement. « Quand tu me mens. »

    `@Clay Fitz. Cooper
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    Lien du postMar 13 Déc - 22:48
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    Si paisible une fois endormi, le seul spectacle qui éponge tous mes émois et cette appréhension grandissante lorsqu'elle nous rejoint, patiente au pas de la porte de cette chambre et nous observe lui et moi. « Je le sais ... » Et d'une œillade par dessus mon épaule j'aperçois sa silhouette se dessiner parmi les ombres du couloir. « Quand tu me mens. »  Parce qu'à force de jouer et de me parer de tous ces visages que j'ai si longtemps utilisé, elle sait parfaitement me démasquer. Au moins n'osera t-elle élever la voix en sa présence, complètement assoupi dans son linceul brodé à son nom, ou plutôt à son surnom, le textile marqué d'un "M.T" en son coin supérieur. Une petite vacherie qui me tenait particulièrement à cœur le jour de son achat. Les épaules abaissées, penché au-dessus du couffin, je me résigne à vouloir lui expliquer la raison d'un tel test bien que je ne sache par où commencer. Ce qui m'y a amené: une journée pourrie à souhait, l'alcool auquel je n'étais plus vraiment habitué ou juste le besoin de me retrouver... Je ne regrette en rien d'avoir pris avec elle ce chemin mais parfois, et je dis bien parfois, je ressens l'envie de m'exiler, de changer, d'être à nouveau celui qu'autrefois j'étais: le connard qui ne répondait à rien hormis peut-être à ses appétits de désaxé.

    Et le regardant une dernière fois parce que je sais au fond qu'elle ne me le pardonnera pas, je lâche malgré moi ce qui me pèse maintenant sur le cœur: " Une fois. " Et mes paumes se campent sur le berceau, le regard figé sur des jointures blanchies par l'anxiété du moment pour murmurer, amer:" C'n'est arrivé qu'une fois. " Une seule fois et je m'en veux d'en être arrivé là, maintenant que j'entrevois la fin de tout ce qui m'entoure parce que je la connais. J'aurais pu enterrer cette aventure si ce foutu papier ne nous était ici parvenu, passer cette histoire sous silence. En rogne contre ma stupidité, contre la pensée absurde de pourvoir le lui cacher, je me retourne lentement, fuyant son regard quelques secondes avant de rivaliser avec le sien. " T'es contente? C'est ce que tu voulais entendre... "
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    Lien du postMer 14 Déc - 13:41
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    Je l'entends, avant même qu'il le prononce, et mon sang m'ébouillante quand mon regard ne se retire pas de lui. C'est la vérité en face que je veux affronter, puisqu'il a été le premier à me lancer des balivernes comme « plus de mensonge, plus de secret ». J'ai la rancœur au bord des lèvres, le souffre au cœur, et tout semble brûler en mon intérieur. J'agonise déjà quand je me demande encore pourquoi il aurait pu faire ça. " Une fois. " C'est comme un coup, le pire de tous, une douleur effroyable. J'en ai le souffle coupé, je ne sais même pas ce que j'avais imaginé. Peut-être avais-je cet infime espoir de m'être trompée. Mais le fait est là, c'est lui qui l'a fait. Et mon regard s'embue lorsque mes mains se mettent à trembler. " C'n'est arrivé qu'une fois. " Alors je devrais le prendre bien, parce que « Putain, Anna, c'est arrivé qu'une fois » ? Mais c'est arrivé, c'est là tout le problème, et tous les arguments du monde entier ne pourrait rafistoler ce qui est en train de se briser. Et de ses pupilles il viole les miennes, alors que je n'ai absolument plus aucune envie de le regarder. Tout ce qu'en lui j'ai pu un jour aimer, tout, est en train de se démanteler. " T'es contente? C'est ce que tu voulais entendre... " Avec tout le mépris du monde je l'observe tandis qu'une bataille fait rage en moi et que je nous laisse suspendus au grès des secondes. « Pourquoi tu m'as fait ça ? » je me devrais peut-être de le dire à haute voix.

    Je ne suis pas certaine de comprendre pour de bon comme si cela ne voulait pas s'insinuer réellement en moi, j'ai comme cette étrange impression que toutes mes terminaisons nerveuses sont déconnectées de ma raison. Poser des questions, demander pourquoi … ses explications, arguments, peu importe, tenter par tous les moyens de savoir à quel moment il a pu trouver une raison d'aller voir ailleurs. A quel instant charnière il a pu penser qu'il pourrait continuer à être à mes côtés tout en m'ayant bafouée. Et nos paroles s'entrechoquent déjà dans les méandres de ma conscience tourmentée, tout est remit en question, tout jusqu'au bébé. C'est soudain comme un millier de regret vient m'assaillir, et je ne peux même pas contrôler un flot de larme jaillir. Et de mes doigts convulsant presque j'efface ces saletés. « J'espère sincèrement qu'elle était bonne. » Parce qu'elle signe la fin, ta putain. Mes mots ont été craché, juste avant que je ne me retourne pour aller m'engouffrer dans notre chambre qui ne l'est déjà plus, sans savoir s'il marche sur mes pas, s'il me suit pour de lui même me présenter tout un plaidoyer.

    Un sac de voyage est rapidement trouvé, entre toutes les choses que j'aurai pu lui dire, ces interrogations qui resteront en suspend, dont les réponses me tortureraient vainement, j'ouvre à la volée ma trouvaille pour en faire de même par la suite avec le tiroir et autres placards renfermant mes affaires. C'est simple, il est vital pour moi que je parte. J'étouffe, je crève. Je fulmine, ça m'achève. « Tout lâcher ... » je balance en un soupir emplit de colère quand je pense à mon père. Par amour. Parce que j'ai cru en lui, parce que j'ai voulu croire en nous. Mon erreur me heurte si fort, bordel, ça me dévore. Mon dieu, qu'est-ce que j'ai fait ?
    Clay m'a trompée. Ça s'ancre plus profondément cette fois, une lame, la plus horrible des armes. De tout ce qu'il aurait pu me faire ... Je m'énerve seule alors que mes sanglots perdurent, je le sais, qu'ils me brisent, pas besoin d'usure. J'ai mal, partout, ça s'éparpille, ça me démange, je suffoque, t-shirts, jeans, robes, tout est balancé avant que je ne m'abaisse afin de pouvoir le refermer. Mais une fois à terre, mes paumes vont se plaquer sur mon front, pour essayer de me calmer, descendent le long de mes joues trempées, pour en arriver à mon cou où mes phalanges se heurtent à mon collier. Mes ongles éraflent ma peau lorsqu'ils l'attrapent, mains refermées sur le fil d'or que la rage me permet d'arracher.
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    Lien du postSam 17 Déc - 12:36
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    Cette honte que je pourrais éprouver il est vrai, je trouve le moyen de la retourner lorsqu'elle me dévisage de la sorte, me conforte dans l'idée que ce que j'ai fais n'ai pas d'une grande importance puisque exécuté sans sentiment. En remplir une autre ne m'est jamais apparu comme un affront, juste un jeu malheureux  auquel je me suis adonné dans de sordides circonstances. « J'espère sincèrement qu'elle était bonne » qu'elle exulte lorsque de ses yeux perlent quelques larmes. Sincèrement je n'en ai plus le souvenir. Certainement que oui puisque je me suis fini. A nouveau, mon regard fuit dans un coin de la pièce, fouillant dans ma mémoire le peu de souvenirs que cette soirée m'évoque. J'ai même du mal à remettre un visage sur cette silhouette visitée et revisitée dans les chiottes de ce bar, ne gardant en mémoire que ses cuisses écartées et un cul redondant de vices et plaisirs réinventés.

    Mais déjà elle s'éclipse avant que ne revienne sur elle des yeux voilés de remord, et se dirige à grands pas vers notre chambre à coucher. Tellement pressée qu'il n'est pas vraiment difficile d'en saisir les intentions précipitées: elle va s'y cloitrer pour le restant de la soirée.  " Anna. " Bravo, parce qu'à vouloir la retenir, c'est le petit loir que je viens de sortir de sa torpeur. Il commence à sangloter comme s'il partageait le chagrin de sa mère d'une empathie défiant l'ordre naturel. Et au lieu d'aller la chercher, c'est cette mélancolie à peine amorcée que je tente d'arrêter d'une main le frictionnant, perdant du temps pour calmer la femme bafouée de l'autre coté du mur.  Il se rendort petit à petit dans des draps réajustés et je peux finalement rebrousser chemin pour juger de l'état d'Annalynne, ralentissant le pas une fois parvenu à la porte de la pièce d'où je l'observe foutre en boule dans un sac tout ce que ses doigts peuvent agripper. Pourtant je ne peux venir jusqu'à elle, préférant la laisser respirer parce que je me sais coupable et maugréer de mon coté assez fort pour qu'elle puisse le distinguer: " Ça ne représentait rien. " Juste un coup tiré à la volée, un besoin à assouvir. J'ai pour moi l'excuse à la con de n'avoir baisé depuis la naissance du petit, parce qu'il fallait laisser du temps à la mère de cicatriser et je ne sais quoi d'autre à propos de son périnée. Une rééducation je crois, mais c'est un sujet que nous n'avons par pudeur jamais abordé.

    Cependant ma défense n'a d'autre effet que d'amener ses doigts à ce collier qu'elle porte élégamment depuis des mois déjà et qu'elle arrache d'un geste vif afin de le jeter sur le lit. Malgré cela, je continue de croire que ce n'est qu'une petite crise à traverser, rien de bien alarmant parce que si elle comptait réellement me quitter, ce n'est pas ce sac qu'elle aurait dû choisir. " Où tu comptes aller... avec mon sac ? " Les bras croisés, flanqué dans l'encadrement de la porte, j'attends qu'elle daigne se retourner parce que même si elle tente de m'échapper, jamais je ne bougerais.
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    Lien du postSam 17 Déc - 20:50
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    Le choc de sa révélation fait battre dans mes tympans au plus fort possible mon sang, j'ai l'impression de ne plus rien entendre et de le refuser de toutes les façons, je ne veux plus rien, aucune explication qui me semblerait toutes les unes plus que les autres comme des mensonges, à répétitions … Une incommensurable sensation que ma peine ne peut stopper son accroissement, j'aimerai pour la première fois en sa présence accélérer le temps. Et lorsque je perçois à côté un semblant d'argument en sa faveur, j'exulte en une rage encore plus folle, me permettant d'arracher de moi ce collier qu'il m'a offert ce jour là, celui où Tobias en est venu à s'installer au fond de moi. La chose est balancée comme si elle était en combustion, sur ce lit que je ne veux plus voir même en peinture. Mon imagination court à sa perte quand l'espace d'une fraction de seconde je me laisse aller à imaginer vraiment la chose … C'est une autre qu'il a touché, une autre dans laquelle il est allé se perdre, se vider. Et ses lèvres je les devine en train de l'effleurer, de mordre les siennes, de les apprécier. Mes larmes ne font que redoubler, et mon envie de vomir ne désemplit pas, semble me hanter, j'en deviens martyre, bien trop en train de souffrir. M'a-t-il embrassé après cela ? Est-ce qu'il m'a positionné en pauvre conne à ce point là ? Je frôle la folie, la paranoïa … Je n'en sortirai pas. " Où tu comptes aller... avec mon sac ? " Mes pupilles ne se redressent pas sur lui au contraire, elles se contentent d'observer ce fichu sac que j'ai choisit sans pour autant examiner s'il faisait parti de mes affaires ou pas. Merde. Enragée encore plus par cette erreur de débutante, je réitère mes précédents gestes pour aller cette fois sortir un contenant qui pour sur m'appartient, puisque c'est une valise griffée d'une marque haute couture, faisant partie des vestiges de ma fortune. Alors les habits sont transvasés, rapidement, rien n'est plié tout est balancé, bien campée sur mes idées, quand je referme la chose en un bruit sourd, je fini par me retourner vers lui qui de la sortie, bloque l'accès, dégage voyons mon amour.

    Cependant ce n'est plus un jeu, je ne suis plus partante pour réinventer des règles. Fallait penser à tout cela au moment où tu as décidé de me salir à ce point là. Dans le concept exclusivité, il y a vraiment quelque chose qu'il n'a pas su assimilé. Sauf qu'à le regarder, mon aversion pour sa personne augmente, comme un jauge prête à exploser. J'ai perdu, tu vois, j'ai vraiment perdu , mais je suis tout de même persuadée que ta victoire, c'est un goût amer qu'elle va te laisser. Il y a cette seconde, celle où je baisse pour regard pour essayer de me maîtriser. Cet instant vain qui ne me conduit que sur un seul chemin. « Vas y. » Que je commence à hurler alors que je n'ai plus aucune conscience, plus un brin de patience, au diable la contenance et le fait de ne pas vouloir gêner cet être que j'ai pu croire bon de créer pensant que ses parents s'aimaient. « Vas y, Clay. » J'ai des envies de lui faire mal, de le torturer, de lui montrer ce que c'est en train de me faire le petit jeu pervers auquel il s'est adonné. « Balance tes arguments. » Fais moi rire alors que je ne parviens pas à m'arrêter de pleurer, tente de me prouver une nouvelle fois que tu n'aimes que moi, alors que tu n'as jamais su le faire avant ça. « Justifie toi. » Essaies de me retenir même si je me suis déjà jurée de partir. Des jours qu'il ne me touche pas, pour respecter son fils, sa compagne venant d'accoucher et qui lui demandait comme une débile de l'affection à répétition … Il est clair que le respect, là maintenant, je le vois, on ne fait pas mieux, vraiment, c'est gigantesque, tellement géant. Qu'est-ce que j'ai pu être conne de croire en lui. Monsieur le beau parleur, avec ses mensonges, ses secrets. Des promesses qu'il a transformé en balivernes. Des conneries, une foutue idiotie.  
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    Lien du postSam 17 Déc - 22:35
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     Presque aussitôt blessée dans son orgueil, elle virevolte vers l'armoire d'où elle retire un autre sac, cette fois-ci de grande marque, pour transvaser brutalement ses petites affaires et le tout sans un seul regard à mon égard. Quant à moi je l'observe, intéressé de voir jusqu'où sa rage pourra l'emporter, les doigts crispés à transiter en bloc son linge d'un contenant à l'autre. Une fois son labeur terminé, elle se retourne prête à décamper si ce n'était sans cet obstacle que je symbolise, campé sur le pas de porte de notre chambre. C'est un problème qu'il va falloir gérer - me gérer - parce qu'il m'apparait évident que j'ai tout intérêt à ne pas lui céder. « Vas y. » Hurlé, j'ai alors cessé de la calculer pour regarder malgré la cloison dans la direction de la pièce que j'ai précédemment quittée. Et décroisant les bras, mes paumes battent l'air pour lui ordonner de changer de ton, qu'elle n'a nul besoin de gueuler pour que je réponde à toutes ses questions. " Hey, baisse d'un ton " s'il te plait parce que je n'irais pas le calmer ce coup-ci histoire de te laisser fuir. Mais elle ne veut rien entendre et continue de plus belle, s'insurgeant presque en se répétant. « Vas y, Clay. Balance tes arguments.» Parce qu'il en faut pour baiser? Juste une envie passagère si tu souhaites réellement le savoir, un désir qu'elle a su faire naitre en parant quelques boutades contre lesquelles certaines se seraient écrasées. « Justifie toi. » Le truc, c'est que justement je ne le peux pas... Que tout ce que je pourrais dire se retournera d'office contre moi, triste ironie du sort pour quelqu'un qui connait cette phrase sur le bout des doigts.

    Alors machinalement je branle du chef, malmène le flot de mes pensées qui ne savent où s'arrêter, le regard abaissé faute d'avoir le cran de dire la vérité. Elle m'a plu cette gamine et l'alcool a accru sa beauté au point de me faire céder. " J'ai... " Mon attention déportée dans le vide qui comblera bientôt mon quotidien si je ne trouve de quoi la réconforter, les mots pour la faire rester, je ne sais vraiment pas quoi lui déclarer. J'encaisserais volontiers toutes les saloperies qu'elle pourra me cracher, les coups qu'elle pourrait me porter puisqu'en toute franchise et à bien y songer, c'est vrai, je les ai mérités. " La seule fois en presque deux ans, " un simple dérapage parque si je voulais vraiment aller voir ailleurs, ce ne sont pas les opportunités qui me manquent. C'est à moi aujourd'hui de lui emprunter cette foutue manie, mordant ma lèvre nerveusement pour la dévisager avant de me complaire dans un plaidoyer auquel elle n'entendra strictement rien. " J'avais bu, je ne voulais pas que tu me vois bourré," ayant rechuté juste après une sale journée." J'suis donc resté un bon moment et elle m'a accosté. " Ou l'inverse, je ne sais plus qui de nous deux a commencé. La suite reste facile à deviner.

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    Lien du postDim 18 Déc - 0:01
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    C'est par tous les pores que la folie me prend, que la rage m'égorge. Je n'ai même pas envie d'entendre son piètre débat. Plus envie de recevoir son regard sur moi. Quoi qu'il puisse dire, quoi qu'il puisse penser, son choix il l'a fait lorsqu'il est allé en baiser une autre. Alors je n'en ai que faire de son hochement de tête, du fait que je vois sur son visage qu'il est en train de chercher de quoi mieux me faire avaler cette pilule que j'ai – de façon justifiée – très envie de lui cracher au visage. " J'ai... " Tu-tu-tu … Tu as quoi putain ? Tu comprends rien. Pauvre con. J'en perds la raison. Tu ne vois pas, que tu me débectes au point que je ne t'observe même plus ? Que je ne t'écoute presque pas. Pour entendre quoi ? Qu'elle était bonne, qu'elle t'a tenté, que t'as pas su dire non, que t'es faible, que tu t'en veux ? " La seule fois en presque deux ans, " J'en crache un foutu soupir. Mais voyons, mes songes étaient bien trop présomptueux. Clay Cooper s'en vouloir ? Non, ce serait trop demander, voilà qu'en fait il doit se convaincre que c'était parfaitement justifié. Qu'il a eu raison, après deux ans, Annalynne tu devrais me donner l'absolution.

    J'en ai strictement rien à faire que ce soit la seule, il est encore plus stupide que ce que j'aurai pu le penser. La seule ou pas, la chose est là, c'est en moi, t'en as préféré une autre à moi. T'es allé te vautrer en elle, même si ça me semble encore bien trop irréel. " J'avais bu, je ne voulais pas que tu me vois bourré," laisse moi rire, c'est l'alcool qui est donc ton second argument ? Dois-je simplement rappeler ce qui nous a conduit jusqu'ici toi et moi ? Cette foutu nuit d’août où je suis rentrée déchirée, ce moment où j'ai lâché prise, cet instant où j'ai accepté de te céder. L'alcool, ça nous donne des ailes pour faire ce dont on a envie. Mais, sérieusement, merci de me le prouver encore aujourd'hui. Et puis il ne voulait pas que je le vois ... véridique que je n'aurai tellement pas pu survivre à cette vision. " J'suis donc resté un bon moment et elle m'a accosté. " Je m'en étouffe de ma salive, j'en ressens l'aigreur, et bat des paupières si humides que j'en ai du mal à les tenir ouvertes. Oui, bien sur, elle t'a accosté, et dire non, c'est vrai que tes parents n'ont jamais su te l'enseigner. Faut qu'il arrête, parce que ce que je crois, c'est que c'est lui qui a voulu d'elle, et c'est assez douloureux sans que je ne pense vraiment à ce point là.

    Ce n'est pas un caprice, il ne semble pas le comprendre, on n'efface pas ce genre de choses, ce n'est pas non plus une question d'impulsivité, je veux partir, me tenir loin de toi, prendre mon enfant et me sortir de cet endroit où je n'ai jamais été chez moi. Parce que je pense qu'au moment où il lui a écarté les cuisses, ce n'est pas une seconde qu'il a pensé à Tobias. On ne peut pas pardonner un acte comme celui là. Quand on aime quelqu'un on ne le trompe pas, on ne lui ment pas, il n'y a pas plus simple comme conclusion, je les vomis pour dire vrai ses explications. Et comme j'en deviens dingue, je me mets à l'applaudir. Sarcastique dans le moindre de mes mouvements. Ironique et choisissant d'être mesquine, parce que blessée au plus profond … Là où se devait d'être inscrit mon prénom. « Bravo. » commente ma voix, la splendeur de son exploit. Avant que je n'aille essuyer de mes mains une nouvelle fois ce liquide lacrymal qui ne s'arrête pas. J'ai tout perdu, et cette souffrance que je m'en vais alimenter en questionnant encore, parce qu'à présent ça me dévore, quand je dis que je suis folle à lier. « Et c'était bien ? » Tant qu'à y être autant qu'on la pousse jusqu'au bout cette honnêteté, puisqu'il a su si bien la bafouer en cachant les choses, en voulant faire comme si de rien n'était. « T'as aimé ça ? » En sauter une autre que moi. La faire crier ou je ne sais quoi. « Tu me dégoûtes. » que je lui dis pour trancher, parce que je préfère encore qu'il se taise, parti comme il est, rien ne saurait me faire décolérer. Je me vois parfaitement le frapper, mais ce serait lui donner une importance que je me dois de lui refuser, alors je me tourne pour attraper la valise de mes doigts, avec rage, encore une fois. Tu la voulais, tu l'as eue, tu m'as perdue. Qu'importe ses possibles discours, je veux l'envoyer crever dans un enfer cet amour.  
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    Lien du postDim 18 Déc - 2:13
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     La fréquence de mon infidélité n'était peut-être pas la meilleure des choses à présenter et j'en ai conscience lorsque juste après m'en être parjuré continuent de couler des larmes sur ses joues halées. Mais elle est bien belle lorsqu'elle soupire juste après parce qu'elle a fait de même pour Alan, en mettant de coté tout sentiment amoureux. Je tente encore de me convaincre que je n'ai rien fait de mal, que ce n'était qu'un jeu seulement ses expectorations poussives qu'elle a tendance à ravaler avec difficulté et cette agressivité dont elle fait preuve me prouve que j'ai tort de le penser. Oui je l'ai trompée et l'alcool n'est en rien une excuse bien que ca est largement contribué. Il suffit d'inverser les rôles pour concevoir sous un autre angle la chose: elle s'envoyant en l'air avec un parfait étranger un soir, totalement déchirée. Et je ne parle pas de son intimité...  Mais entre homme et femme il y a un abîme: autant je pourrais me déverser dans une autre que ce serait vite effacé. Mais elle, recevoir la semence d'un autre dans la matrice qui a vu naitre notre fils... J'y vois une plus grande offense curieusement, à tort bien évidemment, mon orgueil se révoltant encore contre tout raisonnement. J'ai merdé ce soir là, au point de voir maintenant s'écrouler ce pourquoi je me suis battu contre elle tant de fois.

    Le regard soudainement abattu, j'ose à peine la regarder lorsqu'elle se met à m'applaudir, félicitations dépréciées mais gagnées, après cette tentative désespérée à vouloir lui expliquer le pourquoi du comment. « Bravo. » Elle efface à nouveau ce que son visage dépeint de tristesse, ce qui par la même me blesse. « Et c'était bien ? » Je n'ai plus souvenir de tout et préfère me taire que de me prendre d'autres louanges déplacées, méprisées qu'elle ne saurait garder pour elle. « T'as aimé ça ? » Et elle insiste sur le sujet, comme si une autre pouvait mieux me combler... Alors cette sensation nouvelle, presque la même ressentie qu'à l'aube d'un combat, me gagne progressivement, mélange effrayant entre peur et désarrois. Le pas de la porte gagne presque aussitôt mon attention, battant en retraite devant son chagrin dont je suis la cause tandis que je caresse le bois d'une paume qui ne pourra plus jamais - je le sais bien - avant longtemps l'effleurer elle. " Franchement? " Si tu veux tout savoir, quels détails cette coucherie m'a laissés... " Écoute... Je... J'n'en ai aucun souvenir. " Pour te dire à quel point ça a compté... Tellement alcoolisé que je ne saurais dire comment ça s'est passé. Mais je n'ai pas délaissé du regard la barre de seuil métallique qui sépare nos deux territoires, fautif lorsqu'il s'agit de me voir au travers de ses yeux irrités. « Tu me dégoûtes. »  

    Et si bien des fois elle me l'a déjà dit, l'ampleur de cette révélation gagne beaucoup plus de terrain que jadis. Silencieux je suis et je reste durant de bonnes secondes avant d'oser un pas dans sa direction, relevant la tête sous des traits beaucoup plus affectés.  
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