Il était en train de me mettre hors de moi et je détestais que quelqu'un puisse avoir ce pouvoir. Enfin, ça arrivait régulièrement, qu'on me tape sur le système. Le pire, c'est que j'étais du genre patiente de base. Mais là, j'étais aussi enceinte et je n'avais aucune envie de me faire emmerder par un eliot sans cervelle. Alors voilà, je le poussais violemment au torse pour qu'il recule et me fiche la paix une bonne fois pour tout. Pour qu'il me lâche enfin et ce fut le cas. Son regard m’assassina et un léger sourire satisfait vint habiter mes lèvres. Je n'avais pas le temps de partir, que finalement, il se pointait devant moi pour me bloquer le passage. « C'est pas comme ça que tu vas te débarrasser de moi. » - « Oh, vraiment ? » que je lui demandais en m'énervant un peu plus. D'un coup, je sentais son emprise sur mon poignet gauche. Bordel de merde, qu'il me foute la paix. De toute façon, je suis enceinte alors si je hurle au viol ou que je plaide la légitime défense, ça ira dans mon sens. « Si tu veux que j'te laisse tranquille, montre moi que t'es une grande et que tu sais boire de l'alcool. Sinon, je te lâche plus de la soirée. » Je le regardais, la bouche entrouverte avant de finalement attraper son épaule de mon autre main et de venir lui balancer mon genou dans ses parties intimes d'un geste vif. « Arrête de m'emmerder connard, tu perds ton temps. » Il voulait peut-être pas lâcher l'affaire, mais moi non plus. Et puis, à la mather house, nous sommes une famille. S'il me fait du mal, il se met tout le monde à dos.

Je ne suis vraiment pas du genre à me laisser faire. Et depuis toujours, quand je suis vraiment en colère, je suis plutôt du genre à frapper. Je n'y peux rien, c'est mon éducation qui veut ça. Faut dire que les chiens ne font pas les chats. Je ne suis pas si violente, enfin seulement avec mes ennemis. Pour ce qui est des hommes en général, je les gifle quand ça va beaucoup trop loin. Ce soir, mon genou était partie tout seul dans les parties intimes de cet abruti. Il me faisait chier et voilà ce qu'il récoltait. Je souriais en le voyant se tordre de douleur et ne voulant pas rester un "spectacle" aux yeux des autres, je préférais quitter les lieux.

FIN DU RP