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Lien du postLun 9 Mai - 23:22
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ft. JEZABEL & CLAY" On fait le 23, on fait le 23! " Ce souvenir me fout toujours autant le sourire lorsque je repense à notre première rencontre il y a des années déjà et de toutes mes visites qu'elle a engendré, lorsque je me noyais volontairement dans cette masse de tarés. Pourtant, aujourd'hui un message du dirlo du campus nous est parvenu... Lui et sa foutue nouvelle politique de dératiser l'université de tout étudiant consommant un peu d'herbe occasionnellement. Officiellement, je me dois d'être en total accord avec lui mais il vrai que de temps en temps, vraiment rarement, je ne suis pas contre. Une liste a été établi et parmi les noms qui y sont consignés celui de Jezabel Wellington. Elle a encore du se faire quelques ennemis récemment qui n'ont eu d'autres idées que de la dénoncer pour se venger.
Rapidement, faute de pouvoir la contacter sur son téléphone qui me balance sans arrêt sur sa boite vocale, j'ai quitté le commissariat pour aller directement chez elle mais j'ai beau frapper à la porte, personne ne répond. Relevant l'ourlet de ma chemise, effectivement, je concède qu'il est un peu tôt pour avoir finit les cours si tant est qu'elle les suivent assidument. Mais les flics ne tarderont pas à perquisitionner son domicile, ce n'est qu'une question de temps avant qu'ils ne trouvent de quoi l'arrêter si, je dis bien si, elle consomme effectivement de la weed. Mais ce n'est pas pour rien j'imagine qu'elle a voulu rentrer dans cette confrérie. En faisant le tour du bâtiment, j'apperçois miraculeusement en amont l'une des vitres de son appartement entrouverte, l'aubaine. C'est en grimpant sur une poubelle que je parviens à me hisser sur l'escalier de secours et pénètre à l'intérieur, me vautre - parce que je n'ai plus mes 20 ans - dans sa chambre à coucher où fort heureusement pour moi elle n'est. Allons. Commençons les recherches... Si j'étais une jeune délurée de... 26 ans tout de même, où je rangerais ce genre de saloperies?" Non... pas dans ses petites affaires quand même " , j'espère pas. Ce serait vraiment idiot et inconscient de sa part et surtout je n'oserais m'y aventurer de crainte de tomber sur tout autre chose de plus ludique. La chasse d'eau, mais c'est un endroit souvent fouillé lors de ces opérations, une planque qui manque d'originalité. Derrière un tableau peut-être mais il y en a un certain nombre à retourner... Alors je commence méthodiquement par la chambre à coucher, cherche au hasard du plat de la paume sous son matelas, tâte tour à tour ses oreillers sans oublier le traversin avant de me figer... Quelqu'un vient d'entrer.
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Lien du postMar 10 Mai - 22:01
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Le passé. L'hôpital psychiatrique et toutes les choses qui l'incombent. Les cachets, les visites restreintes de sa mère qui l'a foutue dans cet endroit, son père qui ne lui a jamais rendu visite. Et puis il y a les gens qu'elle a rencontré ici aussi. Jason, son premier et ton seul amour, celui qui tenait moins à la vie qu'elle, qui s'est suicidé un jour de Décembre, puis Clay aussi. Clay était le genre de personne qu'elle ne pensait pas rencontrer ici. Une personne de quatre ans de plus qu'elle. Quatre années mais lui, il était pas taré. Il était pas fou, il venait simplement lui rendre visite toutes les semaines, rendant ses séjours dans cet hôpital un peu plus beau. Ils en avaient fait des imbécillités ensemble, les courses de fauteuils roulants parce qu'elle en avait envie, ou parfois, ils parlaient simplement. Ils parlaient de la vie extérieure, de ce qui avait changé dans la ville, des enseiges qui avaient ouvertes depuis la semaine précédentes. Ils parlaient simplement et cela lui faisait le plus grand bien. Ne pas se sentir comme quelqu'un de différent aux yeux d'une personne lambda, le fait qu'il ne la prenne pas pour la dernière des imbéciles, pour une tarée comme sa mère pouvait le faire. Et elle le remerciait encore aujourd'hui pour cela. Pour l'avoir considérée comme une personne normale quand personne ne le faisait.
« Qu'est ce que je vous sers ? » Le sourire commercial sur les lèvres, elle fixe le client à la table et elle prend sa commande avant de la lancer en cuisine. Quand le patron lui dit qu'elle peut y aller, qu'il récupère sa table, elle le remercie avant de lui dire qu'elle sera là pour le service du soir. Habituellement, elle ne travaille pas, mais là, sa collègue qu'elle adore -ironie quand tu nous tiens- et qui lui a attiré des problèmes et des rencontres impromptues vient d'accoucher et Ricardo, le patron, n'a pas encore pu trouver de remplacante. Alors il l'appelle elle, Jezabel pour l'aider. Parce que même si elle n'est pas très habile de ses mains, c'est une serveuse hors pair, enfin c'est ce qu'il lui a dit l'autre jour. Toujours est il que maintenant, elle enfile sa veste, sort par l'arrière du restaurant et s'installe sur les petites marches pour se griller son joint journalier. Elle zieute son téléphone qu'elle vient de rallumer, et s'aperçoit qu'elle a une bonne dizaine de Clay. Elle se promet de le rappeler en écrasant l'objet délictueux sous sa paire de basket. Elle prend alors le chemin qui la mènera à l'appartement qu'elle partage avec Coline. Lorsqu'elle arrive en bas de l'immeuble, elle chantonne et sourit à sa petite voisine qui lui fait un signe avant de claquer la porte et elle entre dans son appartement. Quand elle entend du bruit, elle cligne les yeux, hausse les sourcils. Du bruit. Non, Coline est pas là en ce moment, alors il ne peut y avoir personne. Elle marche alors sur la pointe des pieds et entend du bruit dans sa chambre. Oh putain. Elle passe alors par la cuisine, saisit sa batte de base-ball qu'elle dégaine en avançant sur la pointe des pieds, le coeur battant à la chamade avant de pousser la porte de sa chambre, armée. Quand elle s'aperçoit que la personne dont elle a failli éclater le crâne n'était d'autre que Clay elle soupire avant de replier son arme de fortune « La prochaine fois que tu me fous une frousse pareille je te tue Cooper ! » Puis elle s'approche de lui avant de reprendre « Je peux savoir ce que tu fous ici ? Tu voulais pas me piquer une culotte quand même ?! » Elle explose de rire avant de le fixer, attendant impatiemment une réponse.
« Qu'est ce que je vous sers ? » Le sourire commercial sur les lèvres, elle fixe le client à la table et elle prend sa commande avant de la lancer en cuisine. Quand le patron lui dit qu'elle peut y aller, qu'il récupère sa table, elle le remercie avant de lui dire qu'elle sera là pour le service du soir. Habituellement, elle ne travaille pas, mais là, sa collègue qu'elle adore -ironie quand tu nous tiens- et qui lui a attiré des problèmes et des rencontres impromptues vient d'accoucher et Ricardo, le patron, n'a pas encore pu trouver de remplacante. Alors il l'appelle elle, Jezabel pour l'aider. Parce que même si elle n'est pas très habile de ses mains, c'est une serveuse hors pair, enfin c'est ce qu'il lui a dit l'autre jour. Toujours est il que maintenant, elle enfile sa veste, sort par l'arrière du restaurant et s'installe sur les petites marches pour se griller son joint journalier. Elle zieute son téléphone qu'elle vient de rallumer, et s'aperçoit qu'elle a une bonne dizaine de Clay. Elle se promet de le rappeler en écrasant l'objet délictueux sous sa paire de basket. Elle prend alors le chemin qui la mènera à l'appartement qu'elle partage avec Coline. Lorsqu'elle arrive en bas de l'immeuble, elle chantonne et sourit à sa petite voisine qui lui fait un signe avant de claquer la porte et elle entre dans son appartement. Quand elle entend du bruit, elle cligne les yeux, hausse les sourcils. Du bruit. Non, Coline est pas là en ce moment, alors il ne peut y avoir personne. Elle marche alors sur la pointe des pieds et entend du bruit dans sa chambre. Oh putain. Elle passe alors par la cuisine, saisit sa batte de base-ball qu'elle dégaine en avançant sur la pointe des pieds, le coeur battant à la chamade avant de pousser la porte de sa chambre, armée. Quand elle s'aperçoit que la personne dont elle a failli éclater le crâne n'était d'autre que Clay elle soupire avant de replier son arme de fortune « La prochaine fois que tu me fous une frousse pareille je te tue Cooper ! » Puis elle s'approche de lui avant de reprendre « Je peux savoir ce que tu fous ici ? Tu voulais pas me piquer une culotte quand même ?! » Elle explose de rire avant de le fixer, attendant impatiemment une réponse.
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Lien du postSam 14 Mai - 21:47
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ft. JEZABEL & CLAYEt tandis que les pas se rapprochent dans le couloir, j'attends en balayant du regard tout ce qui pourrait trouver de l'intérêt à un tel moment. Me planquer dans l'armoire, sous son plumard.... Non, je n'en ai plus le temps à présent lorsque la porte s'ouvre brutalement derrière moi. Et lorsque je me retourne, c'est direct sur ce manche en bois massif que mes yeux s'égarent, les mains prêtes à accueillir le coup porté si jamais elle tente dans la foulée de m'en assener un. Par chance, Jeza m'a reconnu à temps et range son arme de fortune avant de s'étonner de ma présence. « La prochaine fois que tu me fous une frousse pareille je te tue Cooper ! » Qui a foutu la frousse à qui là....." Mais qu'est-ce que vous avez toutes avec vos battes ?!" Déjà Ruby qui a fracassé le crane de l'un de ses courtisans à l'aide du même instrument, maintenant elle...." Ça fait double fonction ?! " A croire que les femmes ne peuvent s'en passer de nos jours, autant pour se défendre que peut-être pour... faire d'autres choses plus amusantes dont je tairais la nature. Jezabel se rapproche de quelques pas avant de me faire passer son interrogatoire et d'en rire aux éclats. « Je peux savoir ce que tu fous ici ? Tu voulais pas me piquer une culotte quand même ?! » Quelle audace." Non, je les ai snifées déjà hier et je voulais juste savoir avec quoi tu te... " Ma main vient se glisser sur mon entrejambe pour mimer un va-et-vient. C'est ce pourquoi j'apprécie particulièrement Jezabel parce qu'elle n'est, contrairement à certaines, nullement intéressée par moi. Tout tabou devient alors très vite futile, inutile, et parler sexe aussi naturel qu'un tout autre thème. Et détaillant la batte de baseball ballante à sa main, je la désigne d'un hochement de tête comme étant le sujet de ma prochaine suggestion." Mais je crois savoir maintenant." Putain, c'est à vous foutre des complexes si tel est le cas réellement. Et pour en revenir à sa question précédente, non, il est clair que je ne suis là dans un autre but que de trouver ce pourquoi elle a été insidieusement dénoncée. La véritable question c'est: comment le lui avouer ?
C'est sur son lit finalement que je me pose avant de l'observer et d'aborder ce sujet fâcheux sans pour autant la juger. Comme je l'ai dit, je ne suis pas contre un joint ou deux mais il est maintenant question de son avenir si jamais on la vire de l'université, preuve à l'appui. Et ça me ferait d'autant plus chier sachant ce qu'elle a du jusque là endurer." J'suis pas là pour des slips en coton, mais pour la saloperie qu'on te soupçonne de fumer."
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Lien du postMar 17 Mai - 15:32
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Quand on la voit de loin, sans vraiment la connaître, on pourrait penser qu'elle est maladroite, têtue et terriblement gamine. Mais ce que les gens ne savent pas c'est que la jeune brune a un caractère qu'on peut qualifier d'impressionnant. Elle n'est pas du genre à se laisser faire et surtout pas par des gens qu'elle ne connaît pas. Alors quand elle entend des bruits inconnus, des bruits qu'elle ne soupçonnait pas en rentrant chez elle, son sang ne fait qu'un tour et sa faiblesse des gestes l'oblige à utiliser tout ce qui lui tombe sous la main, ou tout ce qu'elle a chez elle, à savoir une batte de base-ball. Objet acheté sur un coup de tête mais qui peut se servir utile contre des cambrioleurs ou même contre un dealer un peu trop entreprenant dans ses gestes ou dans ses paroles. Même si elle sait qu'un jour, cela lui portera certainement préjudice, elle s'en fiche, elle se sent un peu plus en sécurité lorsque Valentina n'est pas là. Sauf que là, ce n'est pas vraiment un inconnu, c'est même un très bon ami à elle et elle se sent terriblement confuse de lui avoir foutu une de ces trouilles pas possible. " Mais qu'est-ce que vous avez toutes avec vos battes ?!" Elle sourit avant de la déposer sur le sol et d'agrandir son sourire en répondant d'une voix légère « C'est une arme de destruction massive, mais ça va, j'ai pas encore eu à m'en servir. » " Ça fait double fonction ?! "plutôt fière de sa réponse elle ne s'attendait pas à ce que Clay lui réponde de la sorte, double fonction de... sa tête dégoûtée qui passe entre la batte de base-ball et le visage de son ami lui donne une réponse claire et précise mais elle se permet de rajouter « Merci de me donner des idées, ça pourrait toujours servir. Ou pas. T'es pas un peu maboule toi ? » Une batte de base-ball. Non mais, n'importe quoi. Un frisson la parcourt et elle sait que la conversation va devenir graveleuse après sa réflexion et l'histoire de la petite culotte dont elle vient de parler. Non, je les ai snifées déjà hier et je voulais juste savoir avec quoi tu te... " Les yeux qui s'écarquillent, elle plaque une main devant ses yeux avant d'écarter doucement ses doigts pour voir ce qu'il est en train de faire, et même si cette conversation peut prendre une tournure extrêmement gênante, ça continue de la faire sourire. Après tout, il n'y a rien qui puisse lui donner envie de faire la tête alors pourquoi arborerait-elle une mine déconfite et énervée ? " Mais je crois savoir maintenant." Et c'est reparti pour un tour, encore et toujours des insinuations. Elle se rapproche alors de son ami et pose une main solennelle sur son épaule avant de rajouter d'un air trop sérieux pour être vrai « Si tu savais tout ce que je peux faire avec une batte de base-ball. Non mais franchement ! Je ne savais pas que tu me prenais pour une détraquée du cul ! Tu me déçois Cooper. » Elle secoue négativement la tête en levant les yeux au ciel. Moment extrêmement gênant mais qu'importe.
Tandis qu'elle reste debout, droite comme un piquet, elle le regarde s'installer sur le lit avant de sortir un très franche « Fais comme chez toi ! » bien qu'il ne se soit pas empêché de le faire avant de le regarder en chien de faïence, le silence pesant sévèrement sur l'atmosphère de la pièce. " J'suis pas là pour des slips en coton, mais pour la saloperie qu'on te soupçonne de fumer." ses yeux s'écarquillent une fois de plus. Comment est-il au courant ? Enfin, pourquoi vient-il lui en parler maintenant ? Et puis oui, comment est-il au courant ? C'est sa vie privée et jusqu'à preuve du contraire, les amis ne sont pas censés s'en mêler. Après tout, elle est majeure, vaccinée et elle fait ce qu'elle veut de sa vie non ? « La saloperie qu'on me soupçonne de fumer ? De la weed ? » Elle tente de garder son calme avant de reprendre « Et tu viens là pour quoi ? Pour m'arrêter ? T'aurais pu demander à ton pote Jimenez qu'il le fasse. Ca m'aurait évité de t'en vouloir, enfin de te reprocher le fait que tu te mêles un peu trop de ma vie, tu veux que j'fasse quoi ? Que je te file ma conso perso ? » Elle balance sa main derrière son épaule, comme si elle jetait quelque chose avant de rajouter « Tu peux toujours rêver. » Elle veut bien être gentille la brune, mais y'a des limites, de sacrées limites.
Tandis qu'elle reste debout, droite comme un piquet, elle le regarde s'installer sur le lit avant de sortir un très franche « Fais comme chez toi ! » bien qu'il ne se soit pas empêché de le faire avant de le regarder en chien de faïence, le silence pesant sévèrement sur l'atmosphère de la pièce. " J'suis pas là pour des slips en coton, mais pour la saloperie qu'on te soupçonne de fumer." ses yeux s'écarquillent une fois de plus. Comment est-il au courant ? Enfin, pourquoi vient-il lui en parler maintenant ? Et puis oui, comment est-il au courant ? C'est sa vie privée et jusqu'à preuve du contraire, les amis ne sont pas censés s'en mêler. Après tout, elle est majeure, vaccinée et elle fait ce qu'elle veut de sa vie non ? « La saloperie qu'on me soupçonne de fumer ? De la weed ? » Elle tente de garder son calme avant de reprendre « Et tu viens là pour quoi ? Pour m'arrêter ? T'aurais pu demander à ton pote Jimenez qu'il le fasse. Ca m'aurait évité de t'en vouloir, enfin de te reprocher le fait que tu te mêles un peu trop de ma vie, tu veux que j'fasse quoi ? Que je te file ma conso perso ? » Elle balance sa main derrière son épaule, comme si elle jetait quelque chose avant de rajouter « Tu peux toujours rêver. » Elle veut bien être gentille la brune, mais y'a des limites, de sacrées limites.
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Lien du postMer 18 Mai - 15:55
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« Si tu savais tout ce que je peux faire avec une batte de base-ball. Non mais franchement ! Je ne savais pas que tu me prenais pour une détraquée du cul ! Tu me déçois Cooper. » La répartie aura eu le don de me faire sourire avant qu'une autre pensée ne se charge de me faire expier ce pourquoi je dois rester. Détraquée du cul, c'est presque le terme dont j'affuble certaines Cabots qui se payent du bon temps avec leurs professeurs. Je ne dirais pas laquelle plus particulièrement, une certaine blondasse qui dans sa stupide maladresse a confirmé ce que je n'avais que fait de supposer le soir des enchères. « La saloperie qu'on me soupçonne de fumer ? De la weed ? » Oh putain, ma paume s'écrase donc violemment sur ma cuisse, elle aussi confirme. Je n'ai pas eu le temps de tout retourner mais je reste persuadé qu'elle doit en planquer quelque part. Mais c'est là que tout dérape, forcément, en le mêlant lui à la conversation. « Et tu viens là pour quoi ? Pour m'arrêter ? T'aurais pu demander à ton pote Jimenez qu'il le fasse. Ca m'aurait évité de t'en vouloir, enfin de te reprocher le fait que tu te mêles un peu trop de ma vie, tu veux que j'fasse quoi ? Que je te file ma conso perso ? » Non non minute," Hey." mollo gamine. Si je suis ici, ce n'est pas pour lui reprocher quoique ce soit bien qu'elle devrait sans doute arrêter cette cochonnerie. « Tu peux toujours rêver. » Et les doigts joints, formant entre eux une sorte de pyramide crispée, je songe nerveusement à ce qu'elle vient de me cracher au visage avant de lui sortir, la fusillant du regard:" Déjà l'autre crevure qui pète plus haut que son cul, je l'encule. Quoique tu puisses en penser, ce n'est pas mon pote. " Et loin de là. Jimenez n'a rien d'un leader, juste les galons qu'il a du soutirer d'une façon qui m'écœure rien qu'à y penser.
J'en décroise les doigts maintenant pour d'un geste balayer de la main sa chambre." Alors effectivement, il aurait pris un malin plaisir lui à fouiller dans tes slips avant de te coincer. Mais pas moi. " Petit aparté, défouloir improvisé contre ce con d'Esteban qui ne sait se faire respecter. Et tandis que je me redresse pour venir me planter en face d'elle avec ce sourire de vainqueur à la con puisque je ne vais lui laisser le choix de toute façon, je la mets moi-même à l'amende." T'as été balancée. " Et amenant mon bras à bonne hauteur, ma chemise une fois retroussée, j'observe les minutes qui s'égrainent du compteur." T'as peut-être encore 20 min avant de les voir rappliquer. Alors je te conseillerais de tout jeter. Parce que même si t'as le droit d'en avoir en faible quantité, ce ne sera pas sans une rétribution de ta part. " Parce que contrairement à l'autre emmanché d'espagnol naturalisé, moi, je connais bien mon métier. 28 grammes, c'est tout ce qu'elle peut garder chez elle sans craindre d'être coffrée. Et pourtant, chose complètement stupide, elle aura un amende rien que pour le fait de posséder cette infime dose. Plus? Ce serait malheureux pour elle, vraiment, et je n'ose l'envisager.
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Lien du postMer 18 Mai - 22:09
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Trop impulsive, elle s'en voudrait presque d'avoir réagi de la sorte, d'être sortie de ses gonds si vite, mais il la connaît. Il sait bien qu'elle est du genre à partir au quart de tour alors il ne lui en voudra pas, elle en est certaine. Quoique, sur un malentendu, ses mots peuvent être mal interprétés et cette espèce de confrontation pourrait vraiment partir en cacahuètes. Mais de toutes façons, elle le sait, la jeune brune que tout n'est pas rose, que les relations amicales ou amoureuses ne restent pas plate comme une feuille de papier. Parfois, on la froisse, on la déchire même. Mais elle n'est pas non plus du genre à s'excuser, alors même s'il lui demande de s'excuser pour les mots qu'elle a employé, elle ne le fera pas. Pas tout de suite du moins, peut-être quand elle réfléchira, allongée dans son lit, un soir d'insomnie, elle se dira qu'elle a été trop loin, que les mots l'ont emportés sur un sentier un peu trop escarpés. Elle verra bien, là n'est pas le moment de se dire que des excuses ont lieu d'être et l'animosité qui anime son être est bien trop puissante en comparaison des excuses qu'elle pourrait lui offrir. Elle n'écoute même pas son « Hey » bien trop énervée pour écouter quoi que ce soit d'autre que son esprit à fleur de peau. Elle se dit bien qu'elle est chiante mais elle ne le lui dira pas à lui, il doit bien le penser.
" Déjà l'autre crevure qui pète plus haut que son cul, je l'encule. Quoique tu puisses en penser, ce n'est pas mon pote. " Oups, voilà qu'elle a touché un point sensible. Elle hausse alors un sourcil avant de répondre « Du calme déjà, je vois pas pourquoi t'es énervé. Je sais bien que Jimenez n'est pas le meilleur des hommes, loin de là même, mais j'te demanderais de ne pas parler comme ça de lui. » Pourquoi elle le défend alors qu'elle est la pire pourriture avec lui ? Il n'arrive pas un moment quand ils sont ensembles où elle ne l'envoie pas balader depuis son erreur d'arrestation, mais quand même, elle ne supporte pas de savoir que quelqu'un le déteste, même s'il doit avoir pas mal d'ennemis dans cette ville, elle ne conçoit pas tellement qu'on puisse le détester. Un peu étrange comme pensée, mais ce ne serait pas elle si ce n'était pas étrange. " Alors effectivement, il aurait pris un malin plaisir lui à fouiller dans tes slips avant de te coincer. Mais pas moi. " Il aurait fouiller dans ses culottes ? Et puis quoi encore? De manière provocante elle lui répond alors une chose qu'elle se dit qu'elle regrettera sûrement par la suite mais tant pis « Mes culottes, il les voit quand il veut et quand l'envie lui prend alors il a même pas besoin de fouiller dedans, si tu vois ce que je veux dire. » Qu'est ce qu'elle venait de dire ? Elle allait se faire tuer, soit par Clay, soit par Esteban, mais tant pis. Au moins si Esteban sait qu'elle a dit ça, ça le fera peut-être réagir. " T'as été balancée. " Elle n'a plus le temps de penser à sa connerie que son sang ne fait qu'un tour une nouvelle fois « Je te demande pardon ? » Elle fait alors les cent pas dans sa chambre pour penser à qui aurait pu la balancer, mais personne ne lui vient à l'esprit. Les gens sont vraiment cons, mais d'une puissance. Ca ne pouvait pas être Esteban, non, il ne sait pas qu'elle fume, ou alors il le cache très bien. Elle pose alors son regard sur Clay qui lui annonce " T'as peut-être encore 20 min avant de les voir rappliquer. Alors je te conseillerais de tout jeter. Parce que même si t'as le droit d'en avoir en faible quantité, ce ne sera pas sans une rétribution de ta part. " Tout jeter ? Mais il est malade. Elle vient de faire le stock et elle doit tout jeter ? C'est à se demander si ce n'est pas lui qui a fumé dans ce cas précis. « Tout balancer ?! Mais t'es maboule ? » Elle se dirige alors vers sa coiffeuse, attrape sa boîte de tampon qu'elle renverse pour en sortir ce qu'elle vient d'acheter, son pochon plein. « Tu vois ça ? Je l'ai acheté hier, tu crois que j'vais me casser le cul à tout donner ? Je vais surtout me barrer oui pour qu'ils m'interpellent pas. Tu peux pas m'héberger le temps que ça se tasse non ? » Qu'est ce qu'elle lui demande ? Il va la prendre pour une folle, mais tant pis, de toutes façons il n'acceptera pas et elle sera bien obligée de se rendre à l'évidence qu'elle doit vraiment tout jeter. Elle qui ne roule pas sur l'or ces jours-ci, ce n'était pas vraiment le moment.
" Déjà l'autre crevure qui pète plus haut que son cul, je l'encule. Quoique tu puisses en penser, ce n'est pas mon pote. " Oups, voilà qu'elle a touché un point sensible. Elle hausse alors un sourcil avant de répondre « Du calme déjà, je vois pas pourquoi t'es énervé. Je sais bien que Jimenez n'est pas le meilleur des hommes, loin de là même, mais j'te demanderais de ne pas parler comme ça de lui. » Pourquoi elle le défend alors qu'elle est la pire pourriture avec lui ? Il n'arrive pas un moment quand ils sont ensembles où elle ne l'envoie pas balader depuis son erreur d'arrestation, mais quand même, elle ne supporte pas de savoir que quelqu'un le déteste, même s'il doit avoir pas mal d'ennemis dans cette ville, elle ne conçoit pas tellement qu'on puisse le détester. Un peu étrange comme pensée, mais ce ne serait pas elle si ce n'était pas étrange. " Alors effectivement, il aurait pris un malin plaisir lui à fouiller dans tes slips avant de te coincer. Mais pas moi. " Il aurait fouiller dans ses culottes ? Et puis quoi encore? De manière provocante elle lui répond alors une chose qu'elle se dit qu'elle regrettera sûrement par la suite mais tant pis « Mes culottes, il les voit quand il veut et quand l'envie lui prend alors il a même pas besoin de fouiller dedans, si tu vois ce que je veux dire. » Qu'est ce qu'elle venait de dire ? Elle allait se faire tuer, soit par Clay, soit par Esteban, mais tant pis. Au moins si Esteban sait qu'elle a dit ça, ça le fera peut-être réagir. " T'as été balancée. " Elle n'a plus le temps de penser à sa connerie que son sang ne fait qu'un tour une nouvelle fois « Je te demande pardon ? » Elle fait alors les cent pas dans sa chambre pour penser à qui aurait pu la balancer, mais personne ne lui vient à l'esprit. Les gens sont vraiment cons, mais d'une puissance. Ca ne pouvait pas être Esteban, non, il ne sait pas qu'elle fume, ou alors il le cache très bien. Elle pose alors son regard sur Clay qui lui annonce " T'as peut-être encore 20 min avant de les voir rappliquer. Alors je te conseillerais de tout jeter. Parce que même si t'as le droit d'en avoir en faible quantité, ce ne sera pas sans une rétribution de ta part. " Tout jeter ? Mais il est malade. Elle vient de faire le stock et elle doit tout jeter ? C'est à se demander si ce n'est pas lui qui a fumé dans ce cas précis. « Tout balancer ?! Mais t'es maboule ? » Elle se dirige alors vers sa coiffeuse, attrape sa boîte de tampon qu'elle renverse pour en sortir ce qu'elle vient d'acheter, son pochon plein. « Tu vois ça ? Je l'ai acheté hier, tu crois que j'vais me casser le cul à tout donner ? Je vais surtout me barrer oui pour qu'ils m'interpellent pas. Tu peux pas m'héberger le temps que ça se tasse non ? » Qu'est ce qu'elle lui demande ? Il va la prendre pour une folle, mais tant pis, de toutes façons il n'acceptera pas et elle sera bien obligée de se rendre à l'évidence qu'elle doit vraiment tout jeter. Elle qui ne roule pas sur l'or ces jours-ci, ce n'était pas vraiment le moment.
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Lien du postJeu 19 Mai - 22:31
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« Mes culottes, il les voit quand il veut et quand l'envie lui prend alors il a même pas besoin de fouiller dedans, si tu vois ce que je veux dire. » Je tombe de haut si cette histoire est vraie. Esteban coucher avec des gamines maintenant - Pardonne moi ces mots Jezabel - mais il a un peu trop la queue qui traine en ce moment. Et dire qu'on murmurait qu'il était gay dans le service, bruit de couloir puisqu'on ne l'avait jamais réellement vu avec une femme jusque là. Merde pas Jeza...
« Tout balancer ?! Mais t'es maboule ? » J'en lève un doigt pour prendre l'air abruti qu'elle m'a tant de fois vu singer lorsque je venais lui rendre visite, histoire d'oublier que ce bon vieux d'Jimo l'a culbutée et rajoute ahuri:" C'est pas moi qui a été interné..." Mais elle se retourne et va chercher ce que je crains de trouver depuis le début, renverse une boite de Nana. Oh putain non.... Non, c'est un sachet plein qu'elle brandit, toute fière d'elle. « Tu vois ça ? Je l'ai acheté hier, tu crois que j'vais me casser le cul à tout donner ? Je vais surtout me barrer oui pour qu'ils m'interpellent pas. Tu peux pas m'héberger le temps que ça se tasse non ? » Alors là y'a comme un problème parce que j'en connais une qui ne sera pas du tout d'accord avec çà. Inutile d'y penser. J'en ai d'ailleurs un rire jaune parce qu'il me faut le lui refuser, même si j'éprouve pour elle une sincère et profonde amitié. Je pourrais tout aussi bien lui proposer une alternative, chez Annalynne. Entre filles, elles devraient pouvoir se supporter quelques jours et ainsi je n'aurais pas à supporter les sous-entendus d'une compagne un peu trop possessive. En plus de çà, il est vrai que je n'ai qu'une chambre et que je m'emploie chaque nuit à la combler. Alors j'aurais du mal à.....En la sachant dans la pièce d'à coté. Puis me vient cette idée, puisqu'elle a pris sa défense tout à l'heure lorsque je me suis légèrement emporté:" Pourquoi tu ne demanderais pas à d'Jimo? Vous semblez proches." Voire très intimes apparemment. Mais mais oui trop con, c'est un flic et peut-être que lui ne serait pas prêt à se mouiller pour elle après tout ce qu'il a du faire pour obtenir sa place d'adjoint qu'il aime souligner tant.
Mes yeux se pose sur le sac emplit d'une sorte de composite verdâtre haché, suffisamment pour la coffrer puisqu'il y a bien plus de 50 grammes là dedans. J'en soupire faiblement, un peu déçu par le manque d'imagination." Et tu planques çà dans une boite de tampons." Je scrute alors encore une fois de plus les lieux, détaille chaque coin auquel la brigade ne pourrait penser mais ce sont les chiens qui le trouveront vite les premiers." Tu n'as pas à dégager, au contraire, ce serait plus suspect. Il faut juste qu'ils ne trouvent rien ici." Parce que c'est ce que je suis venu faire, t'avertir simplement en tant qu'ami et flic." Tu pourrais me le confier pour un temps," indéterminé et par la même occasion arrêter.
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Lien du postVen 20 Mai - 18:37
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Bon, j'avais peut-être un peu abusé en balancant qu'Esteban et moi on couhait ensemble mais en même temps il l'avait bien cherché, je n'arrivais pas à voir ce qu'il en pensait, mais il n'en pensait certainement pas du bien ce qui m'embêtait fortement. Mais après tout, il n'a rien à dire sur mes fréquentations, sur les mecs avec qui je couche et même si c'était un collègue, un lama ou encore un trapéziste unijambiste c'était la même chose. J'aimerais quand même savoir ce qu'il en pense, je lui demanderais la prochaine fois. Ce sera peut-être mieux. Ou pas. Après cette rencontre, je me doute qu'il ne me verra plus comme avant. Plus comme la tarée qui a été internée, mais comme la tarée qui finit junkie parce qu'elle ne sait pas quoi faire de sa vie. " C'est pas moi qui a été interné..." qu'il me répond alors que je viens de lui demander s'il n'était pas un peu maboul. Sa réflexion ne fait qu'augmenter la colère qui grandit en moi et je lui répond « Merci de me rappeler mon séjour chez les tarés, et de me rappeler que oui, j'étais un de ces tarées la. J'ai pas besoin de toi pour ça. » Je serre alors les dents en levant les yeux au ciel, mon sachet toujours entre les doigts, sachet qui risque de me coûter assez cher, mais je sais ce que je risque à chaque fois que je discute avec mon dealer pour voir ce qu'il me propose et mon sort se concrétise presque quand je lui donne les dollars en échange. Mais merde je fais ce que je veux de ma vie au pire. Et la bêtise de mon cerveau augmente quand je lui demande de m'héberger. Comme s'il allait accepter. Il faudrait vraiment être fou à lier pour le faire. Surtout lui, et je sais pertinemment qu'il n'est pas fou au contraire. Il est certainement l'homme le plus intelligent que je connais en dehors d'Esteban et du mec qui me sert de père. " Pourquoi tu ne demanderais pas à d'Jimo? Vous semblez proches." Elle roule des yeux en soupirant, et je serre les poings pour éviter de lui en décoller une violente. Il ne me connaît pas quand je suis énervée et il ne vaut mieux pas qu'il le fasse. « Ba oui bien sûr ! T'as cru que j'allais le supporter autant, mais t'as vraiment un pète au casque arrête de me fréquenter, tu vas devenir aussi taré que moi. Vu que j'ai été internée. Si tu vois ce que je veux dire. » Référence à sa petite pique d'avant. Je ne supporte pas qu'il me le rappelle j'espère qu'il va le comprendre.
Je pose alors mon petit pochon sur ma coiffeuse et je l'entend soupirer ce qui me fait me retourner d'un coup avant de l'entendre critiquer ma cachette. Il faut qu'il sache qu'une femme cache ce qu'elle a de plus précieux dans l'endroit le plus débile qu'elle trouve " Et tu planques çà dans une boite de tampons." Je le fixe alors en chien de faïence, ne sachant pas vraiment quoi répondre à cela. Qu'est ce que ça peut bien lui faire ? « Il faut que tu saches pour ta gouverne, qu'une femme cache ce qu'elle a de plus précieux dans l'endroit le plus débile qu'elle trouve. Moi c'est une boîte de tampons. » Et je lève les yeux au ciel avant de me positionner à ma fenêtre, un peu perdue dans mes pensées, le coeur battant. Qu'est ce que j'allais bien pouvoir faire ? Je crois que je suis un peu au pied du mur, et le mur est bien trop haut pour que je l'escalade " Tu n'as pas à dégager, au contraire, ce serait plus suspect. Il faut juste qu'ils ne trouvent rien ici." Et je vais faire comment ? Je n'suis pas inspecteur gadget, columbo ou même inspecteur Navarro, j'ai plus le cerveau d'une nana sortie tout droit des ange de la télé-réaité « Et je le met ou ? T'es bien gentil, j'vais pas non plus l'avaler parce qu'avec ma chance je vais faire une intoxication alimentaire » Je me vois bien arriver aux urgences en mode bonjour, j'ai avalé un pochon de weed pour que les chiens des stups ne trouvent rien. Je me ferais presque rire moi-même de mes conneries ambulantes. " Tu pourrais me le confier pour un temps," Oh, bonne idée Sherlock, mais est-ce qu'il me le rendrait ? Je m'adoucis alors un peu et lui sourit faiblement avant d'ajouter « Mais tu me le rendras hein ? Tu me le piques pas ? Et tu te sers pas ? » Un faible sourire sur mon visage, je récupère la chose proscrite avant de me rapprocher de lui et de lui tendre, mes doigts serrant le haut du paquet pour qu'il ne me le prenne pas, comme une enfant qui ne veut pas prêter son jouet.
Je pose alors mon petit pochon sur ma coiffeuse et je l'entend soupirer ce qui me fait me retourner d'un coup avant de l'entendre critiquer ma cachette. Il faut qu'il sache qu'une femme cache ce qu'elle a de plus précieux dans l'endroit le plus débile qu'elle trouve " Et tu planques çà dans une boite de tampons." Je le fixe alors en chien de faïence, ne sachant pas vraiment quoi répondre à cela. Qu'est ce que ça peut bien lui faire ? « Il faut que tu saches pour ta gouverne, qu'une femme cache ce qu'elle a de plus précieux dans l'endroit le plus débile qu'elle trouve. Moi c'est une boîte de tampons. » Et je lève les yeux au ciel avant de me positionner à ma fenêtre, un peu perdue dans mes pensées, le coeur battant. Qu'est ce que j'allais bien pouvoir faire ? Je crois que je suis un peu au pied du mur, et le mur est bien trop haut pour que je l'escalade " Tu n'as pas à dégager, au contraire, ce serait plus suspect. Il faut juste qu'ils ne trouvent rien ici." Et je vais faire comment ? Je n'suis pas inspecteur gadget, columbo ou même inspecteur Navarro, j'ai plus le cerveau d'une nana sortie tout droit des ange de la télé-réaité « Et je le met ou ? T'es bien gentil, j'vais pas non plus l'avaler parce qu'avec ma chance je vais faire une intoxication alimentaire » Je me vois bien arriver aux urgences en mode bonjour, j'ai avalé un pochon de weed pour que les chiens des stups ne trouvent rien. Je me ferais presque rire moi-même de mes conneries ambulantes. " Tu pourrais me le confier pour un temps," Oh, bonne idée Sherlock, mais est-ce qu'il me le rendrait ? Je m'adoucis alors un peu et lui sourit faiblement avant d'ajouter « Mais tu me le rendras hein ? Tu me le piques pas ? Et tu te sers pas ? » Un faible sourire sur mon visage, je récupère la chose proscrite avant de me rapprocher de lui et de lui tendre, mes doigts serrant le haut du paquet pour qu'il ne me le prenne pas, comme une enfant qui ne veut pas prêter son jouet.
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Lien du postVen 20 Mai - 22:26
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ft. JEZABEL & CLAY« Il faut que tu saches pour ta gouverne, qu'une femme cache ce qu'elle a de plus précieux dans l'endroit le plus débile qu'elle trouve. Moi c'est une boîte de tampons. » La seule femme que j'ai le bonheur de côtoyer en ce moment, elle, ne laisse que des tampons dans sa boite alors allons bon. Enfin cela dit, elle refuse catégoriquement que je m'en approche aussi. Ce doit être la boite et non ce qu'elle contient... « Et je le met ou ? T'es bien gentil, j'vais pas non plus l'avaler parce qu'avec ma chance je vais faire une intoxication alimentaire » J'ai bien une réponse toute trouvée vu qu'elle semble un peu surexcitée mais je doute qu'elle le prenne très bien : dans ton.... Non, ces trois mots ne sortiront jamais de mes lèvres bien que ce soit tentant, très tentant de la faire taire.
Cependant ma proposition semble éveiller chez elle un certain intérêt. Quel sentiment de victoire enfin que de la voir se calmer, pour gentiment venir me proposer: « Mais tu me le rendras hein ? Tu me le piques pas ? Et tu te sers pas ? » Quelle idée! Aller piocher dans sa réserve alors que j'ai pour moi toute une palanquée de drogues variées à ma disposition et sous clef. J'en expire faiblement, dépité par ce manque de confiance en moi parce qu'après tout... Je suis assermenté par l’État, un homme de loi! Elle reprend son dû de là où elle l'avait posé, c'est-à-dire sur la table où elle a pour habitude de se maquiller, et vient me le tendre timidement ses doigts pourtant toujours fermement épinglés dessus." Façon t'as pas le choix si tu souhaites encore tirer ton coup avec l'autre. " Pourquoi en ai-je après lui... Deux mots: Parce que. C'est un con fini qui se mêle de ce qui ne le regarde pas depuis un certain temps, depuis que cet étudiant est venu lui dire que j'étais avec une femme fiancée tout çà dans le vain espoir de me faire chanter. Sauf que voilà, ladite dame est aussi l'une de ses connaissances ce qui rend la chose presque infaisable sans la faire déchoir elle aussi de son statut social. Pas de bol d'Jimo, baisé, j'ai jeté mon dévolu sur celle que tu ne peux blesser.
Mais lorsque mes doigts agrippent son putain de sachet qu'elle ne veut pas lâcher, je lui jette un regard noir." En combien de temps tu fumes cette merde ? Parce que c'est une quantité assez conséquente mine de rien et je serais curieux de savoir si c'est quotidiennement qu'elle s'en envoie." C'est tout ce qu'il y a ? " Pas d'autres sachets planqués quelque part? Dans une paire de chaussettes, un vase, enterrés dans l'un des pots de fleur de sa colloc? C'est presque avec violence que je le lui arrache de la main, tendant le bras dans les airs bien haut afin qu'elle ne puisse le récupérer avant de déconner à son sujet" Et maintenant, aux chiottes ..."
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Lien du postVen 20 Mai - 23:09
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J'avais beau lui faire une confiance aveugle, j'avais l'impression qu'il me prenait pour la dernière des imbéciles, ou la première. A voir. Comme si un panneau agrémenté mon front avec une écriture du style "prenez moi pour une débile !". Sauf que non, je ne suis pas aussi débile que je veux le laisser paraître. Ce n'est pas parce que je sors de l'asile, de chez les tarés que j'en suis une. Ma mère pense même que je suis plus intelligente que la norme, mais c'est une toute autre histoire et je n'ai pas spécialement envie de faire une batterie de test pour savoir si j'ai un QI plus élevé que la normale, de toutes façons, je serais toujours la fille qui sort de chez les fous. Enfin pour ceux qui le savent et malheureusement Clay en fait partie. Et je pense que quoi qu'il dise, quoi qu'il fasse, dans un coin de sa tête, je resterais toujours la fille qui est tombée amoureuse d'un bipolaire et qui a fait un séjour en hôpital psychiatrique. Malheureusement pour moi. Qu'est ce que j'ai fait pour mériter ça ? J'en sais foutrement rien. Mais je suis bien heureuse de l'avoir rencontré parce qu'il parvient à me faire rire quand j'ai juste envie de me terrer au fin fond de mon studio. Alors même s'il m'énerve au plus haut point à l'heure actuelle, je ne pourrais jamais vraiment lui en vouloir, c'est un fait avéré. Je vois à sa tête qu'il est soulagé que je calme un peu mes ardeurs et même moi ça me soulage, quand je suis énervée, j'ai mal à la tête et quand j'ai mal à la tête, je suis encore plus chiante qu'accoutumée. Pourquoi est-ce que j'avais peur qu'il se sert ? Il avait d'autres alternatives que de piquer ça à une pauvre étudiante à l'université tout de même. " Façon t'as pas le choix si tu souhaites encore tirer ton coup avec l'autre. " Eh mais, je vais vraiment finir par m'énerver s'il continue à parler de Jimenez. Qu'est ce que j'en suis venue à lui dire que je couchais avec lui, alors que la dernière qu'il m'a vu j'étais habillée. J'aurais su j'aurais fermé ma grande bouche, ou j'aurais tourné ma langue sept fois dans ma bouche avant de parler. « Eh, tu vas te calmer, t'es jaloux ou quoi ? » On pourrait presque dire qu'il se comportait comme mon père. Et je n'aime pas mon père, alors il faudrait qu'il commence à redescendre les marches de l'escalier du mec le plus relou de la terre, sinon ça allait mal se terminer « Arrête de te prendre pour mon père, c'est d'un chiant et je risque de ne pas trop bien le prendre. » Après tout, il fallait bien que je le prévienne non ?
Je tiens bien mon pochon, serrant presque trop fort les doigts pour que ce soit plausible et je serre les dents en même temps, comme si ça allait aider à quelque chose. C'est sûr que je gagne de la force comme ça " En combien de temps tu fumes cette merde ? Cette merde, je le fixe en fronçant les sourcils, s'il n'en fume pas, il n'a pas à considérer ça comme de la merde, je fais encore ce que je veux, je fume encore ce que je veux, et je ne souhaite pas qu'il pense que c'est de la merde, l'opinion de chacun à tout de même ses limites « Déjà c'est peut-être de la merde pour toi, mais moi, ça m'aide à me détendre. Et ça, la plupart du temps ça fait une semaine. » Oui, une semaine c'est court mais ça dépend si Valentina pioche dedans. Et si je suis en période d'examens. Des fois, ça fait trois jours, mais je m'abstiens bien de le lui préciser. " C'est tout ce qu'il y a ? Sur un ton plaisantin et avec un grand sourire pour lui montrer que je le prend pour un bon idiot je me permet de répondre « Non, il y'a encore un peu de cocaïne dans mes narines. Tu veux vérifier ? » Comme si j'avais une tête à prendre de la cocaïne. J'espère au moins qu'il ne me prend pas au sérieux, parce qu'il risquerait peut-être de vraiment s'énerver. Quand je me sens dépossédée de mon bien, je fronce les sourcils et adopte une moue enfantine avant de le voir lever le bras. Oh la, doucement camarade. " Et maintenant, aux chiottes ..." Mes yeux s'écarquillent automatiquement et je lève le bras avant de sautiller pour le récupèrer « Rend le moi ! J'te jure ! J'préfère me faire coffrer plutôt que ça finisse dans les chiottes. COOPER REND LE MOI. » Et forcée de constater que je suis trop petite, je grimpe sur mon lit pour tenter de l'atteindre « Même pas tu fais ça, sinon je dis à Esteban que t'es gay et encore puceau. » Ouh, la fierté d'un Homme, j'ai peut-être poussé le bouchon un peu trop loin. Peut-être.
Je tiens bien mon pochon, serrant presque trop fort les doigts pour que ce soit plausible et je serre les dents en même temps, comme si ça allait aider à quelque chose. C'est sûr que je gagne de la force comme ça " En combien de temps tu fumes cette merde ? Cette merde, je le fixe en fronçant les sourcils, s'il n'en fume pas, il n'a pas à considérer ça comme de la merde, je fais encore ce que je veux, je fume encore ce que je veux, et je ne souhaite pas qu'il pense que c'est de la merde, l'opinion de chacun à tout de même ses limites « Déjà c'est peut-être de la merde pour toi, mais moi, ça m'aide à me détendre. Et ça, la plupart du temps ça fait une semaine. » Oui, une semaine c'est court mais ça dépend si Valentina pioche dedans. Et si je suis en période d'examens. Des fois, ça fait trois jours, mais je m'abstiens bien de le lui préciser. " C'est tout ce qu'il y a ? Sur un ton plaisantin et avec un grand sourire pour lui montrer que je le prend pour un bon idiot je me permet de répondre « Non, il y'a encore un peu de cocaïne dans mes narines. Tu veux vérifier ? » Comme si j'avais une tête à prendre de la cocaïne. J'espère au moins qu'il ne me prend pas au sérieux, parce qu'il risquerait peut-être de vraiment s'énerver. Quand je me sens dépossédée de mon bien, je fronce les sourcils et adopte une moue enfantine avant de le voir lever le bras. Oh la, doucement camarade. " Et maintenant, aux chiottes ..." Mes yeux s'écarquillent automatiquement et je lève le bras avant de sautiller pour le récupèrer « Rend le moi ! J'te jure ! J'préfère me faire coffrer plutôt que ça finisse dans les chiottes. COOPER REND LE MOI. » Et forcée de constater que je suis trop petite, je grimpe sur mon lit pour tenter de l'atteindre « Même pas tu fais ça, sinon je dis à Esteban que t'es gay et encore puceau. » Ouh, la fierté d'un Homme, j'ai peut-être poussé le bouchon un peu trop loin. Peut-être.
- Spoiler:
- j'aime trop trop trop notre sujet
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