Fin de soirée à Along Charles River entre les Cabots et les Winthrops sur le thème de Candy Crush. Une fête très amusante à laquelle je n'aurais jamais cru m'amuser autant. Moi qui avais longtemps fuit les soirées des roses ou entre ma maison et une autre.. je n'avais jamais été aussi heureuse d'avoir pris la peine de sortir. Ça m'avait fait un bien que je n'aurais jamais cru possible. Certes, j'avais rapidement fini à l'eau – mais c'était de la légitime défense envers mes amies – mais ça avait été d'autant plus fun. Les secondes juste avant mon entrée dans la piscine avait été.. intéressante. Quoi ? Je n'allais pas râler parce qu'un bel homme m'avait embrassé. Certes, c'était un peu vicieux parce que je me disais que c'était juste pour me foutre à l'eau. Soit. Je lui avais rendu son baiser une fois à la surface.. pour finir en fin de soirée à ce qu'il me propose de me ramener chez moi. La surprise était totale mais je n'avais pas réussi à refuser. Déjà parce que j'aurais du prendre un taxi si personne ne me ramenait et que.. c'était un très bon prétexte pour passer du temps avec lui.

Évidemment, je ne m'étais pas attendue à rentrer en grande voiture Bentley avec chauffeur et tout ça. Comme quoi, on ne peut vraiment pas tout prévoir dans la vie. Je devais avoir l'air d'une cruche à admirer la voiture qui se trouvait devant nous. Je n'avais pas le permis et je n'en voyais pas l'intérêt en habitant en ville. Il y avait assez de bus et autres moyens de locomotion à Boston pour oublier de prendre une voiture personnelle. Là, c'était le grand luxe. « Ouah » dis-je simplement en m'approchant de la dite-voiture. « Tu voyages toujours avec cette voiture ? C'est ton chauffeur personnel, genre tu peux l'appeler H24 ? » Je posais beaucoup trop de questions, mais le seul garçon que j'avais côtoyer toutes ces années n'avait pas les moyens d'avoir une voiture alors que là.. c'était carrément le summum. Donc j'étais un peu embarrassée de rentrer encore un peu trempée du petit indicent « piscine ».. mais.. c'était la faute à mon cavalier si j'étais dans cet état !

[Quelle soirée tout de même ! Honnêtement le jeune homme ne s’était guère attendu à ce que la soirée Candy Crush qu’il avait organisé en binôme avec Joachim et Maëlys pour les Cabots et les Winthrops réunis, dégénère à ce point. En effet la piscine était devenue très rapidement l’aire de jeux et ce n’était pas trop pour déplaire au Prince puisqu’il avait fait une agréable rencontre pendant ce jeu de « je vais te couler ». Il avait embrassé une jolie brunette avant de la jeter à l’eau et après s’être affrontés dans l’eau afin de savoir qui allait couler qui, elle lui avait donné un autre baiser. Résultat des courses, alors que la soirée touchait à sa fin, il lui avait proposé gentiment de la raccompagner chez elle. Mais au final il avait clairement quelque chose dans la tête, en effet après l’attirance qui avait subsisté grâce aux deux baisers qu’ils avaient échangés pendant la soirée, il était clair qu’il avait envie d’aller plus loin avec la jeune femme. Qu’importe, une fois qu’il fut prévenu que la voiture était arrivée, ils avaient salué les dernières personnes encore présentes à la soirée puis ils s’étaient rendus jusqu’à l’extérieur sauf que sa partenaire du soir semblait complètement étonnée de voir la Bentley Noire métallisée, blindée et tout. « Pas tout le temps surtout le soir quand je sors et que je ne veux pas conduire ma voiture perso. Et oui c’est mon chauffeur. Je peux l’appeler à toute heure de la journée comme de la nuit ». Il sourit avant de l’inviter à entrer dans la voiture alors que le chauffeur faisait office de portier puis une fois bien installés, le chauffeur reprit sa place. « Tu habites où ? »

Mon étonnement devant la voiture et le chauffeur ne devaient pas être aussi puérile. Après tout, il y avait des personnes dans ce monde qui avait ce genre de services et même si je n'y avais jamais été confronté, je ne devais pas me comporter ainsi. J'essayais de me donner un peu plus de prestance pour ne pas avoir l'air de la gamine naïve de d'habitude. Je ne savais pas trop si c'était possible vu la soirée et comment elle s'était déroulée. Mais.. les adultes aussi peuvent s'amuser et se couler, pas vrai ? Sa réponse ne se fit pas tarder et j'avouais que j'avais l'impression d'être encore au lycée. Il avait le permis et une voiture personnelle, à l'inverse de moi. Je trouvais ça incroyable qu'il est un chauffeur qui est disponible à toute heure pour lui. C'était le rêve de beaucoup de gens, je pense, et lui pouvait en profiter. Envieuse ? Non, mais dans certains cas, j'avouerais volontiers que j'aimerais échanger ma place avec lui.. bien que je doutais que ce service avait probablement des inconvénients à quelque part, dans sa vie de tous les jours. « Ah ouais, quand même.. » soufflais-je, toujours émerveillée par la situation. Je me reprenais en voyant son chauffeur ouvrir la portière. Je m’engouffrais avec un plaisir certain dans la voiture chauffée.

Attachant ma ceinture, je me mettais à l'aise avant de lever les yeux vers lui à sa question. Il en a des beaux yeux.. « Pas loin du campus, je suis dans un des immeubles qui viennent de finir de rénover » souriais-je doucement. Je ne savais pas trop s'il voyait de quoi je parlais, mais je donnais l'adresse exacte à son chauffeur pour plus de simplicité. La voiture prenait doucement la direction de mon chez-moi et une question ne cessait de tarauder mon esprit vis-à-vis de l'homme qui se tenait à côté de moi. « Il faut que tu répondes à une question que je me pose depuis quelques heures, sinon ça va me hanter toute la nuit » riais-je un peu en me concentrant à nouveau sur lui. « Tu m'as embrassé juste pour me foutre à l'eau ou.. » Ou quoi d'ailleurs ? Ce n'était pas comme s'il avait eu un coup de foudre en me voyant. Je lui laissais répondre et même finir ma question, en fait.

« Si tu veux tout savoir, je suis un Prince et en parallèle de mes études sur Harvard, je suis le PDG d’une entreprise de construction de jets privés… Donc voilà pourquoi j’ai un chauffeur et tout le tralala des Riches ! D’ailleurs, d’ordinaire je voyage en limousine mais la Bentley est plus sûre ! » expliqua-t-il aussitôt en la voyant aussi étonnée de voir ce genre de choses. Elle ne devait tellement pas être habituée alors que pour le Prince, c’était plus que normal comme situation ! Qu’importe, ils pénétrèrent dans l’habitacle de la Bentley avant qu’il ne lui demanda où se trouvait son logement. Une fois qu’elle lui dit et qu’elle l’ait répété à son chauffeur, le véhicule venait de démarrer et les voilà qui filaient en direction de la demeure où logeait la jeune femme. « Je vois très bien où tu habites. Je n’y suis jamais allé mais j’en ai entendu que du bien ! ». Par la suite, elle osait lui poser une question qui pourrait presque correspondre à une question trop dérangeante mais au lieu de cela, il afficha un sourire avant de répondre. « Parce que j’en avais envie et que tu me plais bien. Même si je t’avoue que c’était un bon moyen de déstabilisation, j’ai beaucoup apprécié nos baisers… Et d’ailleurs, autant recommencer non ? ». Sur ces mots, il s’était penché afin de l’embrasser langoureusement, y mettant la passion qu’il recherchait chez elle.

Prince. PDG. Jets privés. Riches. Limousine. J'avais l'impression de nager en plein rêve.. ou dans un conte pour enfants. Le prince charmant, quoi. Ma gêne se dissipait tout de même au fur et à mesure du temps que je passais avec lui. À mon arrivée à Harvard, je me serais sentie tellement gênée que j'aurais sûrement déjà disparu de la voiture ou que j'aurais gardé le silence durant tout le trajet. Néanmoins, je répondais à sa question et même si la conversation semblait banale, ça me rassurait et je me détendais progressivement. Sa déclaration sur mon lieu de vie me faisait sourire. « C'est plutôt sympa et calme, alors je n'arrive pas à lâcher mon appartement pour aller à la Cabot House » avouais-je. J'avais vite enchaîner sur les raisons de son baiser. Je ne préférais pas y aller par quatre chemins, car je souhaitais une réponse franche et claire. Le début me donnait légèrement chaud. C'était agréable de savoir que je pouvais plaire à un homme. La seconde me fit lever les yeux au ciel car je me disais bien qu'il avait tout fait pour me distraire le plus facilement possible, mais.. la fin me faisait oublier cette partie malicieuse. Je n'avais même pas besoin de répondre à sa question. Ses chaudes lèvres se posaient contre les miennes. Les yeux fermés, je m'abandonnais à ce baiser en y répondant grandement. Bien meilleur que nos petits baisers échangés autour et dans la piscine. Assise sagement de mon côté, je me rapprochais de lui juste un peu pour frôler son genou du mien. D'agréables frissons se baladaient sur ma peau et ça me plaisait terriblement, je l'admets pleinement.

Voir le visage aussi surpris de la jeune femme montrait au Prince que peu de monde était habitué à tant de démonstrations de luxe. Sauf qu’il n’avait pas tellement le choix au final, il devait montrer aux yeux du monde qu’il était un Prince héritier et pas n’importe quel Royaume… L’un des plus puissants, des plus influents et surtout l’un des plus anciens du Monde : le Royaume-Uni de Grande Bretagne ! Fin bref, ils s’étaient vite retrouvés dans la Bentley et rapidement ils s’étaient dirigés vers le lieu d’habitat de la jeune femme… Il connaissait son quartier qu’il trouvait joli avec toute sincérité. « Je t’avouerais que je n’ai pas tellement envie de quitter ma demeure pour vivre à la résidence Winthrop même si je devrais vu que je suis le vice-président ». Normalement cela faisait partie des obligations mais il ne fallait pas oublier qu’il était un Prince et qu’il arrivait toujours à passer outre les règles tant que ça ne brisait pas réellement le règlement intérieur ! Par la suite, vu qu’elle lui avait demandé les raisons pour lesquelles il l’avait embrassée, il les donna rapidement avant de l’embrasser pour lui montrer que les gestes valaient bien plus que des mots. Ils continuaient à s’embrasser passionnément tandis qu’il lui faisait des petites caresses. « Bon je pense qu’on devrait s’arrêter là… On continuera une fois que nous serons chez toi. Qu’en penses-tu ? » demanda-t-il avec un sourire charmeur.

Le fait d'être en présence d'un Prince me surprenait, bien entendu. Je doute qu'une personne lambda trouverait ça normal de croiser une personne de sang royal. Dans le sens où, c'est comme croiser un chanteur ou un acteur. Ce n'est pas habituel, même si en soit, ce sont des personnes comme les autres. Elles ne vivent pas forcément comme nous, la preuve en est cette voiture et le chauffeur qui nous conduisait tranquillement jusqu'à chez moi, mais quand je posais mon regard sur Andrew.. il a deux yeux, des cheveux, un nez, une bouche.. il n'avait rien, extérieurement, qui le rendait supérieur à une autre personne. Il a un titre que je respecte et c'est cela qui fait qu'il partie d'une catégorie de la population que l'on ne côtoie pas forcément tous les jours. Évidemment, Havard est une école réputée dans le monde entier alors, en y réfléchissant, ça me paraissait normal qu'un Prince puisse étudier ici. Alors que nous parlions de nos habitations, je fus étonnée d'apprendre que le vice président devait vivre dans sa maison universitaire. Dire que j'avais voulu me proposer en temps que vice présidente des roses, je n'aurais pas accepté d'être contrainte de vivre avec les autres. Je veux dire, ça doit être un choix, pas une obligation. Après, si lui avait une immense villa avec piscine et tout, je comprenais qu'il aimait son confort et que la résidence des rouges lui sembleraient un peu exigu. « Monsieur le Vice Président des Winthrops joue au rebelle.. » le taquinais-je en souriant. Dans son cas, j'aurais essayé aussi, mais bon, je n'ai sûrement pas les même moyens de persuasion. La discussion découlait progressivement vers notre soirée et autant être cash pour connaître la nature de ses baisers et.. je comprenais rapidement que nous avions assez discuté. Je n'allais pas me plaindre de pouvoir l'embrasser à nouveau et pour tout avouer, c'était délicieux. À la fin de cette échange, ses premiers mots me calmaient légèrement. Dans ma tête, c'était « le conte de fée est terminé Madisson, il t'a juste proposé de te ramener à la base, rien d'autre ». Heureusement, je fus rassurée très vite. Si j'avais l'impression qu'il s'invitait chez moi ? Aucunement. De toute manière, s'il ne l'avait pas proposé, je l'aurais fait. « ça me va » souriais-je en sentant mes joues rougir légèrement. De toute façon, nous étions bientôt arrivés alors je pourrais patienter sagement quelques minutes..

Il se demandait en fait comment la jeune femme qu’il ramenait chez elle ne le connaissait pas parce qu’il n’était pas particulièrement discret comme Prince. D’ordinaire, une personne d’un rang aussi élevé que le sien faisait tout pour ne pas se faire remarquer mais Andrew n’arrêtait pas de faire des frasques qui mettaient à mal la réputation de la famille royale britannique. Fin bref il était content au final qu’elle ne sache pas qui il est parce qu’elle ne serait peut-être pas dans ses bras à l’heure actuelle non ? Qu’importe il venait de lui expliquer qu’il avait pris la liberté de vivre en dehors de la résidence Winthrop parce qu’il ne se voyait pas d’être obligé de vivre dans la Maison Winthrop même s’il y vivait en 2014. Comme elle le disait, il faisait son rebelle. « C’est peu dire tu sais » répondit-il d’un ton assez taquin avant que la conversation ne vire à la vraie séance d’embrassades ou plutôt de bécotage. Leur baiser était beaucoup plus langoureux, plus passionné que ceux qu’ils avaient échangés jusqu’à maintenant et c’était pour cela qu’il lui avait demandé d’y mettre un terme parce que la suite ne pourrait se dérouler uniquement chez elle. Elle accepta finalement, ce qui le fit sourire d’un air amusé et en la voyant rougir, il se mit à caresser doucement sa joue avant de se mettre à regarder devant lui. Le reste du trajet se fit dans une légère tension érotique parce qu’il s’amusait à lui caresser délicatement la peau avec un petit sourire taquin et heureusement que la voiture arrivait à destination assez vite. Une fois dehors et qu’il eut demandé à son chauffeur d’attendre son appel pour venir le chercher, il souleva la jeune femme de terre avant de la porter jusqu’à son appartement. Il l’embrassait longuement par la même occasion. « On dirait bien que tes lèvres m’ont manqué » sourit-il entre deux baisers.

Au vue de toute ma surprise et mon ignorance envers son rang, j'espérais qu'il ne le prenne pas mal. Mes deux premières années à l'université semblaient flous. J'avais l'impression de les avoir vécu sous une cloche. À part mon ex petit ami et quelques filles de ma sororité, je n'avais pas fréquenté grand monde. Il y avait ma meilleure amie de l'époque, mais elle avait du partir. C'était comme si j'avais vécu en ermite. Effrayant, un peu. Depuis cette année, ça allait largement mieux, mais je ne connaissais pas non plus tout le monde. D'accord, la base c'était les présidents et vice présidents, mais j'aimais la surprise alors je ne me renseignais pas avant les fêtes. Juste sur les prénoms et à quoi ressemblent la personne, histoire de ne pas faire de bourde. C'était la moindre des choses. J'avais remarqué qu'entre nos présidents de maison.. ils avaient l'air de plutôt bien s'entendre, durant la soirée, surtout dans la piscine. Cependant, j'étais partie trop tôt pour savoir le dénouement entre eux, mais je n'allais pas m'en plaindre. Que je lui dise qu'il est rebelle semblait l'amuser et sa réponse me fit sourire un peu plus. Doucement, les paroles laissaient place aux gestes et je fondais littéralement. Sa main sur sa joue engendrait une constance de couleur rouge sur ma joue. Ses caresses brisaient toutes pensées rationnelles que j'aurais pu avoir. Mais ne le suis-je pas à profiter de ma vie ? Oh si, et c'était tout ce qui importait. J'eus à peine le temps de sortir de la voiture – en glissant un petit « merci » au chauffeur, tout de même – que je fus soulevée avec tant de facilité que je me demandais si je n'avais pas perdu du poids durant les fêtes. Pourtant, j'avais mangé donc je trouvais à ça étrange. En sentant les bras musclés de mon cavalier, je me disais qu'en fait.. il était très bien taillé et que.. j'en avais de la chance. J’accueillais son baiser avec bonheur. J'y répondais sensuellement alors que mes bras passaient derrière sa nuque. Son charme me faisait perdre la tête et je souriais à chaque parole qu'il lançait. « Les miennes t'attendaient impatiemment » murmurais-je entre deux baisers auquel je répondais sans trop me retenir. Alors que je le voyais rentrer dans le bâtiment, j'en oubliais presque qu'il ne pouvait pas deviner à quel étage se trouvait mon appartement. « Cinquième étage » soufflais-je en me détachant à contre cœur de ses lèvres. Bien entendu, un ascenseur était à sa disposition. Aussi fort soit-il, je ne comptais pas le faire monter les étages avec moi dans les bras. J'avais envie qu'il survive, pas qu'il arrive dans mon appartement pour boire un litre d'eau et s'endormir sur mon canapé. Ce serait dommage, parce que je doute qu'il avait ce genre de programme en tête et.. moi non plus.

Andrew n’était pas vraiment saoul donc il était parfaitement conscient de ce qu’il était en train de faire actuellement. Mais disons que les baisers qu’il avait échangé avec la jeune femme dans la piscine avaient réveillé ses sens et il n’avait qu’une envie actuellement : c’était de prolonger ce qu’ils avaient entamé. Eteindre cette flamme qui s’était allumée entre eux ! Dans l’habitacle de la Bentley, ils étaient en train de discuter et la jeune femme n’avait guère caché sa surprise quant à l’annonce du rang royal du Winthrop. Ce qui laissait présager qu’elle ne lisait pas les torchons mal lavés comme l’était le blog de cette folle dingue de Cambridge’s Secrets. Il ne cessait d’y apparaître, malheureusement pour lui ainsi que dans les vrais journaux à scandale. Toutes ses frasques étaient relatées comme s’il s’agissait d’exploits dignes d’un prix du Public ! Fin bref, les mots avaient bien rapidement laissé place à des gestes qui ne trompaient pas. Un désir puissant les avait tous deux consumés et il était grand temps d’y remédier sauf qu’au bout d’un moment, il avait du interrompre ce baiser qui devenait bien trop torride pour être continué dans la voiture. Il avait attendu que le véhicule se soit arrêté devant l’immeuble pour reprendre l’avantage et le contrôle de la situation puisqu’il venait de hisser la jeune femme dans ses bras avant de déposer ses lèvres sur les siennes. Elle lui disait une fois à l’intérieur de l’enceinte du bâtiment, dans quel étage se trouvait son appartement alors il la porta jusqu’à l’ascenseur. Une fois à l’intérieur de celui-ci, il l’embrassa de nouveau tout en lui prodiguant de délicieuses caresses découvrant lentement des infimes parties de son corps qu’il avait trouvé sexy lorsqu’ils étaient dans la piscine. Il allait avoir la chance de le voir en détails et dans le plus simple appareil dans quelques instants. Avec un petit sourire amusé, il se mit à lui caresser délicatement les fesses. « Prête ? »