La sentir en moi me permettait d’avoir des sensations que personne ne pourrait ressentir, Keyla était tellement spécial, que je ne pouvais faire voir mon bonheur et mon désir envers elle en échappant des petits gémissements saccadés. En même temps c’était tout simplement pour cela que j’étais tombé amoureux d’elle, elle était si différente des autres filles, elle avait quelque chose qui me fessait fondre complétement devant elle. Je l’aimais oui et je n’avais pas peur du tout de le dire. Et je voulais à tout prix que ce moment ne ce finisse jamais. Nos corps étaient entrelacés, et la température ne cessait d’augmenté de plus en plus dans la pièce à cause de nos corps déjà transpirant.

Je continuais les mouvements saccadés de plus en plus rapide pour donner à Keyla de plus en plus de sensation, de frissons et de désir. Jusqu’à le moment fatidique ou le plaisir fut le plus intense. Je ne pouvais dire qu’une chose c’était fantastique. Après ceci, l’épuisement se fit sentir et je finie par lui déposer un baiser sur ses lèvres pour ensuite me retourner sur le lit tout prêt de la femme que j’aimais plus que tout au monde.

Tout était vraiment parfait, être avec Keyla dans un moment pareil était tout simplement la plus belle chose que je pouvais vivre. Nous étions tous les deux au septième ciel, et le plaisir nous emporté tous les deux dans un autre monde, un monde de merveilles ou il n’y avait que nous deux. Ce plaisir intense j’aurais voulu pouvoir le vivre durant une éternité mais malheureusement ce n’était pas possible et très vite je finis par fatiguer et m’installer à côté de Keyla sur le lit, alors que je lui avais déposé un dernier baiser juste avant. Keyla mit ensuite sa tête sur mon torse ou elle pouvait entendre mon cœur qui battait toujours la chamade après ce moment de folie et d’intense plaisir. Elle releva ensuite la tête et elle finit par prendre la parole pour me dire qu’elle m’aimait, mais ça je le savais. Je lui souris, et lui déposa encore un baiser sur la bouche, elle était tellement belle et adorable. « Je t’aime plus que toi, mais ça aussi tu le sais. »

Pendant de longues minutes je pouvais profiter de Keyla qui était tout près de moi, de son corps si magnifique, et de ses baisers si magique que nous pouvions partager l’un et l’autre. Jamais je n’avais ressenti ça pour une autre femme avant, je l’aimais tellement. Elle finit par se lever, pour en même temps m’envoyer quelques secondes après mon boxer à la figure. Elle lâcha ensuite un petit rire malicieux. Je le dégageais ensuite pour m’accroupir ensuite sur le lit. Keyla reprit ensuite la parole une fois habillé pour me dire que l’on n’allait pas passer toute la journée au lit ? Bien que cela ne lui déplaise pas mais il y avait plein de chose à faire ici, et puis tient elle avait soif, elle me proposa ensuite d’aller boire un verre. Je me mis à rire. Elle se dirigea ensuite vers la salle de bain, je me levais à mon tour, enfilant mon boxer qui était désormais sur le lit. « Va pour un verre alors, de toute façon on a tout le week-end après tout. » Je me dirigeais maintenant à mon tour vers la salle de bain. Pour prendre par derrière Keyla à la taille, je mis ensuite dans ma tête tout prêt de son coup. « Mais d’abord on va à la douche, je pense que si on sort dans cet état-là, les gens vont nous prendre pour des grands malades. »

L’intimité que nous avions ici aux Bahamas était extraordinaire nous n’étions pas dans une chambre minuscule et les voisins ne pouvaient pas entendre les moindres bruits que nous pouvions lancer moi et Keyla. Tout était parfait ici, et mon plus grand bonheur était d’être avec la femme que j’aimais par-dessus tout. Nous avions passé un moment magique, extraordinaire. Et je savais pertinemment que c’était la femme de ma vie, que je l’aimais à en mourir et que savoir que je ne passerais pas le restant de mes jours avec elle me détruisait rien que d’y penser. La seule chose que je voulais était d’être avec elle, et rien qu’avec elle pour toujours. J’étais maintenant dans la douche en compagnie de Keyla, je ne pouvais m’empêcher de la regarder et d’éprouver toujours un énorme plaisir, un énorme plaisir, je ressentais un amour inconditionnel pour elle. Keyla prit ensuite la parole pour me dire qu’il y avait une piscine dehors et que ça ferait office de douche mais que la douche c’était plus privée. « Ici tu as raison c’est beaucoup plus privée et aucun risque d’être dérangés au moins ici. »

Nous étions dans la douche en sous-vêtements, Keyla fit ensuite couler l’eau tiède sur nous deux. Keyla s’empara ensuite de mes lèvres qui n’étaient rien qu’à elle. Keyla me demanda ensuite si ce petit rafraichissement me fessait du bien ? « Oui très, mais je pense qu’il faudrait se dépêcher avant que la nuit tombe même si ici tout est décalé. » Même si j’avais une envie folle d’être aux côtés de Keyla à longueur de temps il était vrai que nous n’avions qu’un week-end et il y avait tellement de choses à voir qu’il fallait commencer dès maintenant.

J’avais peut être cassé l’ambiance de dingue qui c’était installé entre nous deux, elle était tellement sensuelle, mais c’est vrai que si nous voulions passer deux jours complet sous la couette nous aurions pu aussi rester à Cambridge pour cela, non il fallait qu’on bouge malgré que cela ne fessait que quelques heures que nous étions là. J’avais dit à Keyla qu’il faudrait se dépêcher pour pouvoir profiter un peu du paysage et de tout ce qui y avait à voir. Je ne pouvais pas dire que je n’avais pas envie de rester ici avec Keyla sous cette eau tiède, son corps de rêve était à côté de moi. Keyla me répondit ensuite en me disant qu’on était bien ici, mais qu’elle me suivait cependant à une seule condition que l’on regarde le coucher du soleil sur la plage. « Pas de soucis mon amour, tout ce que tu veux. »

Keyla sortit ensuite de la douche pour prendre deux serviette une pour elle et une pour moi, c’était vraiment une femme parfaite. Après s’être séchée Keyla prit la direction de la chambre pour annoncer qu’elle ne s’avait pas quoi mettre. Elle avait au moins deux valises remplie en entière pour elle toute seule, face à elle je ne fessais pas le poids avec ma toute petit valise. Ma serviette autour de la taille je m’approchais d’elle. « Pioche au hasard. » De mon côté je prit un short dans ma valise et un t-shirt gris à manche courte, et oui j’étais un mec et je ne passais pas des heures à choisir c’était même plutôt simple pour moi, il n’y avait pas de prise de tête.

J’étais tellement heureux, tellement absorbé par notre voyage que je ne pensais à rien d’autre. C’était tellement idyllique, tellement parfait que cela aurait pu être un rêve. Nous avions tous les deux passé une bonne partie de notre journée après être arrivé dans le lit, j’avais annoncé à Keyla que malheureusement il fallait peut être se bouger si nous voudrions voir quelque chose aujourd’hui et voir en même temps un maximum de choses ici pendant notre séjour. Keyla m’avait proposé de partir sur la plage voir le coucher du soleil, un bon programme pour le moment. Keyla m’avait ensuite annoncé qu’elle ne savait pas quoi mettre, elle avait pourtant emmené une bonne panoplie d’habits et elle avait donc un large choix, c’était peut-être trop même.

Je lui avais dit qu’elle n’avait qu’à piocher au hasard, Keyla se mit ensuite à faire des mimiques bizarres avec sa bouche, je savais très bien ce que cela voulait dire, son choix était très loin d’être fait, quant à moi pendant ce temps j’enfilais mon short, de mon côté je n’avais pas besoin de trois heure pour choisir ce que j’allais mettre, c’était bien plus rapide et bien plus simple. Keyla finit par me lancer que je n’avais qu’à choisir à sa place pendant qu’elle allait se sécher les cheveux. Je me mis à sourire, attention car si je ne choisissais pas ce qu’il fallait j’allais me faire taper sur les doigts. La tâche n’allait pas être facile. Je me mis à jeter un léger coup d’œil sur les valises qui se trouvaient juste à côté de moi à présent. En cherchant un peu je trouvais avec bonheur une petite robe sympathique avec des motifs à fleurs je n’avais jamais vu Keyla encore dedans mais je savais néanmoins que cela lui irait bien. La voyant revenir dans la chambre je lui lançais un large sourire en lui tendant la robe. « Tiens mon cœur, j’espère que je n’ai pas fait un trop mauvais choix, pour cette robe. »