Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle (c) night rain mais dans la vie d'tous les jours, vaut mieux m'appeler Cassandra et j'ai dix-huit ans. Je suis française pure souche et j'ai connu le forum grâce à bazzart il me semble, si mes souvenirs sont bons.  ILH est toujours aussi beau et accueillant, ça fait plaisir à voir, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise la belle Lyndsy Fonseca comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par (c) shiya. Je fais environ 100, 200, 300 (je m'adapte à mon partenaire) mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Leandro O. Spinelli.

Mot de la fin ? ▲  :ymca:  :ymca:  :ymca:
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)

Ben, il était une fois ... moi. Ouais, moi. Il ne faut pas s'attendre à une histoire, belle et qui finit bien, mais plutôt au récit d'une vie plutôt compliquée et qui n'est pas forcément celle que tout l'monde rêve. Commençons donc par le commencement. Moi, c'est Cleophine Louisia Hannigan, de mon nom de jeune fille Mathewsen. Mais en règle générale, les gens préfèrent m'appeler Cleo, ça leur évite d'utiliser de la salive en plus. Après tout, j'serais eux, j'ferais la même chose. Ma mère américaine, mariée à mon père écossais, m'a mise au monde à Édimbourg, capitale écossaise. Mes parents ont toujours vécu à Cambridge, mais il a fallu que je naisse lors d'une semaine de repos en Écosse. Bébé chiant dés le départ. Ma mère est partie en vacances enceinte jusqu'aux dents et en est revenue avec sa première petite fille dans les bras. Elle avait toujours rêvé d'une fille, et encore plus après avoir donné naissance à deux garçons avant moi. Deux grands frères qui, d'ailleurs, comptent pour moi comme les prunelles de mes yeux. Parlons un peu d'mes parents maintenant. Ils sont la base de tout et ont eu une grande influence sur ma vie et ce depuis le début. Ma mère, américaine donc, est actuellement à la tête d'une ligne d'entreprises de cosmétiques qui s'étend à peu près partout dans le monde. Ma mère n'est pas n'importe qui et n'a pas n'importe quel compte en banque, j'vous l'assure. Mon père est un avocat de renommée, réputation qu'il s'est forgé en Écosse puis dans la région du Massachusetts. En ce qui concerne mon milieu social, il est vrai que j'suis bien tombée. J'ai ainsi vécu toute ma vie sans la moindre pauvreté, sans le moindre manque. Les gens nous assuraient, à mois et mes frères, une vie financièrement paisible. Et jusqu'ici, je leur accorde raison. Cependant, après la prise d'indépendance de mes deux frères, ce fut à mon tour de prendre la mienne. J'savais que mes parents m'entretiendraient financièrement jusqu'à leur mort, mais il fallait que j'apprenne à gagner ma propre vie aussi. Il a fallut du temps pour que je m'y mette. C'était pas facile de prendre l'habitude de gagner sa vie quand l'argent m'tombait du ciel. Mais la peinture, passion première, m'y a incité. Pendant plusieurs mois après avoir fêté mes dix-huit ans, j'ai peint, peint, et encore peint, jusqu'à en avoir des crampes au doigts, en espérant pouvoir présenter mes oeuvres dans une galerie d'arts, et ainsi les vendre. Et c'est après avoir enchaîné plusieurs échecs dans différentes galeries que je mis les pieds dans la galerie d'arts Hannigan. Et à c'moment-là, ma vie a prit un tournant. C'était une luxueuse galerie, grande et spacieuse, avec des tableaux dont les miens n'étaient pas vraiment dignes. Le patron seul était présent. Un homme d'une petite cinquantaine d'année, quarante-sept ans exactement. Charles Hannigan. Un visage encore frais, un regard à en faire tomber plus d'une à la renverse, un charisme et une élégance incroyable, et une voix chaude à m'en donner des frissons. J'me souviens avoir sentit le rouge me monter aux joues. Le feeling est passé tout de suite entre nous et contre toute attente, celui qui va s'avérer devenir mon mari un peu plus de deux ans après m'engagea dans sa galerie après la signature d'un contrat. Car en effet, je suis mariée, et ce depuis maintenant trois ans. Mes parents ont - à mon plus grand étonnement d'ailleurs - accepté ma relation avec Charles. Après tout j'étais amoureuse, être avec Charles était le seul moyen pour que je sois comblée. Mes frères, eux, ne s'y sont jamais faits. Ils détestent Charles et ne me comprennent pas. Pourtant j'aime mon mari. Et il m'aime aussi, certainement plus que je ne l'aime d'ailleurs. Mais j'suis à l'université, entourée de gens - et plus particulièrement de garçons - de mon âge et ... et ouais. Ouais, j'ai du mal à m'empêcher de jouer d'mes charmes avec eux, de les draguer ouvertement, et parfois, de finir au pieu avec eux. Mariée volage, très volage. C'est exactement ça. Charles n'a jamais été au courant de quoi qu'ce soit. Et pourtant, ce petit manège dure depuis plus de deux ans. Plusieurs fois j'ai hésité à divorcer. Mais finalement, les sentiments sont toujours là, j'me suis pas mariée pour rien. La vie est ainsi faite. Et pourtant, elle est en train d'être bouleversée, encore une fois. La raison de tout ça : un certain Leandro.