Le summer camp est arrivé, les couloirs de l'hôpital sont pratiquement déserts, Boston semble éteint. C'est à la fois flippant et déprimant de se dire qu'il y a aussi peu d'animation dans une ville comme celle-ci. Bien évidemment, les touristes sont venus en nombre mais depuis le temps que tu résides ici, tu te rends compte que ce n'est pas pareil. Et c'est également rassurant et agréable car il y a très peu de monde et donc d'activité. Tu prends prendre le temps de faire tes opérations, des consultations et pour autant, tu arriveras à quitter à l'heure. En parlant de quitter, c'est bientôt la fin de journée et pour ne pas rentrer chez toi et t'écrouler comme une larve sur le canapé, tu as besoin de faire le plein d'énergie. Tu marches donc, d'un pas un peu plus pressé, vers la machine à café. C'est à ce moment là que tu bouscules quelqu'un parce eu tu as les yeux braqués sur ton portable, faisant défiler des informations inutiles trouvées sur les réseaux. Vraiment désolé ! Tu fais voltefaces afin de présenter de réelles excuses et non des mots en l'air comme les derniers que tu as pu avoir.
(Jules Weaver)
some of us are aware, that it's good for us to care. some of us feel the icy wind, of poverty blowing in the air for those of us who simply like to socialize, for those of us who tend the sick and heed the people's cries. let me say to you, right on.