I'm fine, Thanks. & You?
Second diplôme en sa possession et les choses commencent maintenant pour lui à changer. A l’approche de l’été, alors qu’il vient tout juste de rendre définitivement son casier avec un soupçon de regrets, la nostalgie le gagnant en observant quelques étudiants faire de même devant les regards curieux de tous ceux qui vont rester, il doit faire un choix qui impactera ses trente prochaines années. Soit il se débrouille par lui-même pour trouver un travail moyennement payé le temps de percer, soit il accepte de se faire pistonner et de travailler pour celle qui lui a toujours été agréable malgré les apparences.
Quelques jours se sont écoulés et c’est au pied du building à la devanture en train d’être modifiée qu’il se présente, presque potable dans un costume bon marché alors qu’il a eu un avant-gout de tout ce que le beau monde peut receler. La french Riviera n’est plus qu’un agréable souvenir durant lequel ils ont conservé certaines distances, faisant fi aujourd’hui de cette sympathie qu’il nourrit pour elle en silence.
A l’intérieur tout n’est que luxe et simplicité et là où beaucoup auraient parié sur la fioriture, Witter elle, n’a usé que de son gout pour la sobriété. Allant des fleurs fraiches ornant les quelques meubles aux posters géants qui tapissent ici et là la grandeur du bâtiment, publicités plébiscitant les bienfaits de leurs produits et longuement étudiées pour attirer une certaine classe de la société, tout s’obstine à le faire se sentir petit et insignifiant. Son malaise se traduit dans l’insistance de son regard perdu qui cherche vers qui se tourner pour l’aiguiller lorsque finalement il se fixe sur une femme immobile derrière son bureau, près d’un agent de sécurité. L’approche est timide, lente et progressive puisqu’il s’évertue à étudier cet endroit dans lequel il va possiblement évoluer durant les prochaines années. Enfin… S’il se plie au standing pour y être toléré à moins qu’il doive emprunter l’accès réservé au petit personnel. « Madame Witter. » Le titre de civilité lié à ce nom pour la toute première fois le plonge déjà dans ce monde qui lui a tendu les bras. Alors dans l'attente d'être toléré dans les étages supérieurs, elle lui fait signe d'aller s'assoir sur le coté, effleurant de sa manucure un téléphone pour prévenir sa patronne que son rendez-vous vient d'arriver.
Quelques jours se sont écoulés et c’est au pied du building à la devanture en train d’être modifiée qu’il se présente, presque potable dans un costume bon marché alors qu’il a eu un avant-gout de tout ce que le beau monde peut receler. La french Riviera n’est plus qu’un agréable souvenir durant lequel ils ont conservé certaines distances, faisant fi aujourd’hui de cette sympathie qu’il nourrit pour elle en silence.
A l’intérieur tout n’est que luxe et simplicité et là où beaucoup auraient parié sur la fioriture, Witter elle, n’a usé que de son gout pour la sobriété. Allant des fleurs fraiches ornant les quelques meubles aux posters géants qui tapissent ici et là la grandeur du bâtiment, publicités plébiscitant les bienfaits de leurs produits et longuement étudiées pour attirer une certaine classe de la société, tout s’obstine à le faire se sentir petit et insignifiant. Son malaise se traduit dans l’insistance de son regard perdu qui cherche vers qui se tourner pour l’aiguiller lorsque finalement il se fixe sur une femme immobile derrière son bureau, près d’un agent de sécurité. L’approche est timide, lente et progressive puisqu’il s’évertue à étudier cet endroit dans lequel il va possiblement évoluer durant les prochaines années. Enfin… S’il se plie au standing pour y être toléré à moins qu’il doive emprunter l’accès réservé au petit personnel. « Madame Witter. » Le titre de civilité lié à ce nom pour la toute première fois le plonge déjà dans ce monde qui lui a tendu les bras. Alors dans l'attente d'être toléré dans les étages supérieurs, elle lui fait signe d'aller s'assoir sur le coté, effleurant de sa manucure un téléphone pour prévenir sa patronne que son rendez-vous vient d'arriver.
MADE BY @ICE AND FIRE.
(Dan Hackman)
Run, wolf warrior, to ends eternal Through the wreckage of the death of the day. |