Voilà que tu avais remis les pieds à la Pfo et ça te faisait si étrange. Ta maison pour sûr. Tu avais pris le temps de (re)visiter. Tous tes potes étaient parti.es et il ne restait que toi à présent. C'est ce qui te faisait le plus mal. Cette sensation qu'on t'ait volé un an de ta Vie et que les autres ont bien avancé. Tu vas devoir vivre avec. Tu arrives au bureau de la présidence trouvant donc une membre @Lex Reynolds. Tu toques doucement et entres quand tu as l'autorisation. - Si je veux obtenir la meilleure chambre de la maison, je dois m'y prendre comment ?

La tête penchée sur ton bureau, tu te redresses un peu quand tu entends toquée à la porte. " Oui ?" Tu regardes l'homme qui pénètre, il vient de revenir dans la maison de ce que t'as comprit. Tu le fixes un instant alors que déjà il te questionne, faisant parler ses exigences. "Bonjour, et Je dirais user de politesses et aller voir dans un hôtel pour demander une suite." Parce qu'après tout ici, c'est des chambres d'étudiants, pas un palace. Tu l'observes alors en restant silencieuse, curieuse de savoir quelle pourrait bien être  sa réaction face à ta réponse et t'as petite remarque pouvant heurter son éducation. Tu sais que tu devrais prendre des pincettes surtout avec les petits princes et princesses qu'il y a dans cette confrérie, mais tu sais très bien comment ça marche et t'as déjà Wendy qui te marche dessus, t'as pas envie que d'autres le fasse alors que t'es supposé être la présidente de cette maison.

En quelques mots, tu viens de découvrir une présidente qui a du répondant. Ca te change de Katalia mais rien n'est impossible dans la Vie. - Bonjour Lex. Tu aurais des conseils à me fournir pour avoir une belle chambre au sein de notre confrérie ? T'as appris à passer au-dessus des humeurs d'autrui maintenant. T'as bien compris que les réactions des autres ne dépendent pas de toi. T'es responsable de ce que tu dis mais pas de ce que comprend les autres.

Il te surprend clairement, tu te serais attendue à entendre un commentaire à la con, comme certain pfo ont l'art de le faire, toi y compris quand tu t'y mets. "Je dirais plutôt que tu dois en choisir une de libre et après tu l'aménages comme tu le désires ? Quitte à changer aussi le matelas ?" Tu sais que certains font cela pour améliorer leurs conforts, mais aussi éviter de dormir sur un matelas qui a déjà servit à une autre personne, surtout en ignorant ce que cette même personne à pu faire dessus. "Bien entendu, le tout à tes frais." Précises-tu parce que le budget de la Pfo tu ne peux pas le distribuer de la sorte, tu puises d'ailleurs déjà assez dans ton propre compte pour organiser l'un ou l'autre événement pour en amélioré la qualité.

Tu t'attendais à te faire envoyer chier copieusement mais non. La surprise se lit sur ton visage avant de muer. Tu hoches lentement la tête, réfléchissant à une autre connerie à sortir. - Donc si c'est à mes frais .. Je peux tout casser ? Tu ne le feras pas mais faut bien rentabiliser son temps.

"Et ensuite finir dans le bureau de la doyenne." Termines-tu sa phrase, amusé de le voir ainsi jouer de la sorte. "Je pourrais même te montrer le chemin." Tu risquerais toi aussi d'en prendre pour ton grade si jamais il osait faire un truc pareil, donc t'espères bien qu'il s'agit là de parole en l'air et pas une réelle demande de sa part... "Mais je te serais réellement reconnaissante de ne pas faire ça." Tu tournes un peu la tête vers l'un des murs de la pièce, petit sourire sur les lèvres. "Je doutes qu'un trou dans les murs soient une bonne carte de visite pour nous." Pour l'Elite que nous sommes.

- Alors, ça ne me dérange pas de finir dans ou sur le bureau de la présidence mais je doute que nous pensions à la même chose. Tu lances ce sous-entendu l'air de rien avant de siffloter et t'approcher d'un mur. - Un p'tit trou pour nous assurer que tu fasses bien ton boulot. Moi je suis pour. Je devrais soumettre cette proposition au vote tiens. Ce que tu ne feras toujours pas. - Je retiens à mes frais sans casser les murs. Et c'est toi qui fait la peinture donc ? Petit à petit, tu retrouves ton bagou qui te sied tant.

Il te cherche, te provoque, mais visiblement, il ne te connait pas, demoiselle qui ne manque pas de cran, tu poses alors tes mains sur le bord de ton bureau pour te reculer un peu. "Vas-y je t'en prie." Tu lui laisses le choix, au dessus ou en dessous. "Montre moi ta souplesse." T'arque un sourcil alors qu'il te parle de ton boulot. "Ma porte est ouverte, donc pas besoin de trou pour vérifier comme tu peux voir il est aisé de rentrer ici." Tu croises les bras. "Ou de chercher à passer sous le bureau." Allez savoir si tu parles avec une connotation sexuelle ou non maintenant, parce que là il s'agit dans tout les cas d'exercices physique. "Et sache que la seule peinture que je touche, c'est celle pour le body painting, je doute que ça te convienne." Tu le sens clairement que cette conversation ne ne va pas finir sur la chambre que tu vas lui attribuer... Sauf si monsieur sait resté conceentré.

- Si je vais en dessous, je compte pas faire la sieste, je préfère te prévenir. Bien que tu puisses dire non à tout moment. Pour le moment, tu viens t'asseoir sur son bureau, bien en face d'elle. Tu aurais peut-être dû la fermer la fameuse porte. Tant pis. T'as jamais eu de limites, tu ne les auras pas de sitôt. - Donc à mes frais, pas de trous nulle part, sous nous deux et pas de peinture sur le mur mais sur ton corps. Ca me va bien. D'autres choses à rajouter ?

T'arque un sourcil, les bras toujours croisées alors qu'il te parle de sieste. "Ah ouais et tu comptes faire quoi ?" Autant qu'il le dise cash non ? Tu le sais bien que jouer les filles naïve, ça ne te va pas du tout au teint, mais autant le pousser jusqu'au bout non ? Autant qu'il sache que t'as pas de tabou, que tu es loin d'être la digne petite héritière que ton père aimerait tant encore avoir. "Je dirais un peu plus d'acte et moins de paroles ?" Tu restes droites, le dos collé au fond de ton siège, ton regard rivé sur lui, cette étincelle de provocation plus que présente. Il a déjà bougé, fait le premier pas en venant poser son fessier sur ton bureau au risque d'en froisser quelques-unes, mais tu lui laisses le choix de se défiler ou non, comme lui l'a si bien dit, que tu pouvais lui dire d'arrêter. Mais un tel jeu, il est hors de question de le mettre sur pause ou de l'arrête comme il le propose, surtout quand l'autre partit est plus que plaisant. T'as été sage trop longtemps, t'as été trop longtemps rongé par cette histoire avec Manny alors maintenant qu'il est parti, t'as plus à penser à lui, t'as plus à porter tes satanés œillères comme tu le faisais.