Pourquoi 12 ? Essayant de comprendre la logique derrière ce nombre. L'ambiance était un peu moins tendue à présent. Maîtrisant ma prise d'air pour ne pas me faire, je n'avais pas le coffre pour la faire dans les meilleures conditions. Je pense que celle ci restera réservé à la personne pour qui elle est écrite. Mais je suis en train de la refaire pour la page de BY... Ma main quitte ses cheveux pour lui faire écouter une version presque finalisée (hrp: il manque les chœurs).

Et tu tiens les 12 à chaque fois ? L'observant en continuant de caresser ses cheveux. En effet, ça n'aidait en rien... Mais à nouveau, ce contact avait quelque chose d'apaisant alors ça ne me gênait pas réellement de rester ainsi. Les yeux rivés sur mon écran, je penche la tête sur le côté en entendant sa réponse. C'est plutôt moi qui suis heureux de vous avoir dans ma vie... Comme une famille qui m'acceptait comme j'étais.

Et après tu te retrouves avec des foulures... Une moue inquiète sur le visage, je pince les lèvres. Je sens son souffle réchauffer ma jambe à travers le tissu. Un sourire se dessine sur mon visage tandis que je lui ébouriffe doucement les cheveux. Il y aura au moins quelques personnes pour me pleurer si je venais à disparaître... Un sourire triste sur le visage, je me concentre à nouveau sur l'écran alors que ma main se détache pour attraper la souris.

Elle était bien plus sportive que je ne le serais jamais, à ne pas en douter. Levant la jambe de surprise lorsqu'elle me tape dans le tibia, je me cogne le genou contre la table dans la foulée. Un grognement s'échappe de ma bouche mais pas une seule plainte ne s'échappe de mes lèvres. Je suppose que c'est mérité... La regardant à nouveau avant de préfèrer la lumière bleue. Tu sais... Un enfant peut accepter beaucoup de chose de ses parents. Surtout quand on lui répète que c'est pour son bien, qu'on fait ça parce qu'on l'aime... Et lui, il accepte car tout ce qu'il attend en retour, c'est d'être aimé... Parce qu'un être humain a besoin de ça...

T'inquiète... Soufflant légèrement, le temps que la douleur s'évapore, je souris légèrement à sa réaction. Ma main se repose sur sa tête pour la rassurer. Mon ritcus se mue vers une expression plus triste. À chaque fois que j'ai aimé, j'ai souffert... Et je ne me sens plus capable d'encaisser... J'avais l'impression d'avancer vers le gouffre à chaque nouvel échec.