évasion

quinze janvier

Une nuit à la Dudley House, Cheyenne se retrouve dans un combat silencieux contre l'insomnie. Tournant et se retournant dans son lit, l'obscurité de sa chambre l'opprime. Les souvenirs de son passé difficile et les défis de son avenir la hantent, l'empêchant de trouver le sommeil. Finalement, elle abandonne toute tentative de sommeil. Alors que la lueur argentée de la lune inonde sa chambre, Cheyenne se lève doucement, prenant soin de ne pas réveiller ses camarades endormis. Elle sait qu'elle a besoin de respirer un peu d'air frais pour apaiser son esprit tourmenté. Lorsqu'elle sort de l'imposante bâtisse de la Dudley House, elle est frappée par la magnificence du ciel nocturne. Les étoiles scintillent au-dessus d'elle, parsemant l'infini d'un éclat argenté. Une nuit étoilée comme celle-ci est une rareté dans la grande ville, et Cheyenne se sent captivée par sa beauté. Elle s'assoit sur un banc à l'extérieur, les étoiles illuminant son visage alors qu'elle allume un joint. Chacune de ses bouffées semble emporter avec elle un peu du poids de ses soucis, lui permettant de se perdre dans la contemplation de l'univers. Pour Cheyenne, cette nuit étoilée devient un moment de méditation et de réflexion. Elle se rappelle d'où elle vient, des épreuves qu'elle a surmontées et de son désir ardent de forger son propre avenir. La beauté de la nuit et la tranquillité de cet instant lui apportent un réconfort et une clarté bienvenus, l'aidant à trouver un peu de paix dans l'obscurité de la nuit.

#rplibre

@Cheyenne Landon Depuis l'accident de Theodora, j'habite chez elle mais je me permets parfois de laisser quelques soirées à elle. J'en profite pour ne pas perdre tout lien avec la Dudley House. Je crèche dans l'ancienne chambre d'Andréa, celle qu'on partageait au moment de notre présidence. Après avoir passé un petit temps dans les bars étudiants, je décide de revenir à la Dudley pour rejoindre les bras de Morphée. Je ne suis pas si alcoolisé que ça, j'ai encore tout mon esprit. Demain, j'ai entrainement, alors je préfère ne pas trop abuser des bonnes choses. Lorsque je rejoins la maison, je vois une demoiselle à l'extérieur en train de fumer un joint. Rien d'inhabituel, c'est juste que je ne connais pas encore ce visage. Je m'annonce en m'approchant d'elle, le sourire aux lèvres. " t'es perdue ? " que je lui demande simplement. Phrase typique d'un gros lourd qui veut accoster une demoiselle. Sauf que je suis loin d'accoster qui que ce soit. Je tiens à ma vie et mes bijoux de famille. Qu'elle se rassure, je ne suis qu'un simple étudiant, elle peut voir mon pull harvard crimson inscrit sur ma poitrine.

hj : je me suis permise