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when I don't have you near. - elias

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La journée était bien entamée lorsque tu as déposé Louise chez ton frère. Ce dernier a été le premier à répondre par la positive lorsque tu as demandé s’il pouvait s’occuper de sa nièce le temps de quelques heures. Entre temps, tu t’es rendu chez ton thérapeute avec qui tu entreprends un chemin qui n’est pas simple mais nécessaire. Aller mieux c’est aussi prendre soin des personnes qui t’entourent mais aussi de toi. Tu as encore les paroles du médecin dans l’esprit. « Edie, vous ne pensez pas qu’il est temps de penser à vos émotions ? ». Difficile pour toi de raisonner de cette manière à savoir : songer à toi en premier. Non ce n’est pas possible mais tu peux les prendre en contre avec réalité tes sentiments. Voilà une quinzaine de minutes que tu as quitté le cabinet de ton thérapeute pour marcher en direction du métro de Boston. Tu n’as pas eu vraiment le courage de le prendre seule jusque’à présent et même en présence de ton petit ami, les efforts sont maigres. Tu soupires en songeant à cela, au temps que cela prend et à ce temps précieux que tu peux faire perdre à Elias. L’ambiance de Noel vibre dans chacune des rues de la ville et te rappelle votre voyage rapide à Londres. Tes parents étaient heureux de vous voir et ça t’a fait du bien de pouvoir parler un peu à ta mère, surtout de la fausse couche que tu as vécu il y a quelques mois. Elle t’a conseillé de laisser plus de place à Elias car pour lui ce n’est pas simple non plus. Néanmoins aujourd’hui, c’est avec un certain courage bien qu’emplit d’une certaine peur que tu veux essayer à nouveau de gagner sur ta peur des transports en communs. Ton accident de voiture laisse encore des séquelles mais tu veux y faire face. Alors que tu songes, tu entends à peine le Klaxon qui attire ton attention. Un sourire étire tes lippes lorsque tu aperçois le Wertheimer derrière son volant.   Une image qui ravive à chaque fois les sentiments que tu as pour lui et tu souris de plus belle avant de monter à bord. Tu embrasses ton petit ami puis attache ta ceinture. « ça va ? Pas trop de monde au travail ? Si jamais on peut reporter je comprendrais … ». Tu es toujours gênée de demander de l’aide, du temps à Elias qui a un emploi fort chargé en  ce moment.
@Elias Wertheimer
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Constamment, tu essaies de faire comprendre à Edie qu'elle a le droit de se sentir mal, de montrer ses failles également. Si elle ne se montre pas vulnérable avec toi, si elle ne se repose pas sur toi alors, sur qui peut-elle compter ? Tu sais que ce n'est pas simple pour elle de faire un pas vers toi. Tu essaies de te montrer patient même si parfois, tu aimerais qu'elle s'ouvre davantage. Tu fais tout pour qu'elle se sente bien et en confiance et ça prendra le temps que ça prendra. Le fait d'être passé par Londres pour Thanksgiving veut qu'elle se montre sous un autre jour. Peut-être que ça l'a boosté, peut-être que sa mère a trouvé les mots justes. Quoiqu'il en soit, aujourd'hui elle continue les séances de thérapie et te propose même de faire un premier test en prenant les transports en commun. Tu acceptes bien évidemment de l'accompagner dans sa démarche, heureux de savoir qu'elle souhaite aller de l'avant. Tu quittes donc le boulot un peu en avance, tu as réussi à déplacer ton dernier patient au lendemain matin pour pouvoir la récupérer chez son thérapeute. Tu récupères tes affaires, tes clés et ton manteau et let's go rejoindre la belle. Tu klaxonnes pour signaler ta réponse, sourire aux lèvres lorsque tu la vois perdue dans ses pensées. Elle est si belle Edie. Tu attends qu'elle te rejoigne, qu'elle s'installe avant de lui voler un baiser. T'en fais pas pour moi. Tu esquives un sourire avant d'allumer le contact. Et toi, ça c'est bien passé ? Vous en êtes où ? Ce n'est pas l'heure de pointe, vous allez donc pouvoir y aller tranquille, à son rythme. Pour le moment, tu te gares au parking relais, non loin d'un arrêt de bus proche de chez vous pour pouvoir démarrer le test tant redouté. @Edie Reuben
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Le klaxon d’une voiture te tire de ta réflexion passagère et attire directement dans attention. Tu détournes la tête en arrière où tu reconnais la voiture et le visage de ton petit ami. Le sourire qui éclaire ton visage s’élargit un peu plus alors que tu le vois, toujours aussi beau même après toutes ses années. Le coeur tambourine et ravive des sentiments que tu t’étais interdit de ressentir peu de temps après que tu ais appris que tu étais enceinte. Une fois à l’intérieur de la voiture, tu voles un baiser à Elias tout en lui demandant comment il va et s’il n’a pas trop chamboulé son emploi du temps pour toi. Ça te gêne de l’embêter car tu sais qu’il a beaucoup à faire. Et surtout, tu imagines que même s’il se montre patient, ça doit être compliqué de te soutenir autant - surtout lorsque cela ne donne pas toujours de résultat. Tu serres tes lèvres en une ligne mince à sa première réponse avant de lui dire calmement. « Si justement c’est important. ». Il s’en fait pour toi, tu le sais. Pour autant, l’inverse est également valable. Une fois la ceinture bouclé et que Elias roule en direction d’un parking relais, il te demande comment ça s’est passé de ton coté. « Et bien ça va, je crois qu’avec ce thérapeute j’avance disons … avec plus de confiance et j’arrive à me fixer certains objectifs. ». Ta voix est enjoué car depuis que tu as entrepris cette thérapie, tu te sens plus à même en droit de ressentir ce qui ne va pas mais surtout de les exposer pour y voir plus clair. Tu apprends aussi à comprendre mieux les ressentis que peuvent avoir tes proches. Vous arrivez rapidement sur le parking, le moteur coupé. Tu te retournes pour voir l’environnement qui borde l’abri bus et l’heure semble bonne puisqu’il n’y a pas trop de monde. « Bon, on dirait qu’on va pouvoir y aller … ».
@Elias Wertheimer
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Edie t'a appelé à l'aide et toi, tu débarques rapidement pour lui venir en aide, comme à chaque fois. Pas par habitude, pas parce que tu te sens obligé de le faire mais bel et bien parce que tu l'aimes de tout ton coeur et qu'il est nécessaire pour toi d'être présent. C'est pas une obligation ou un devoir, ça te fait vraiment plaisir qu'elle te fasse confiance, qu'elle fasse appel à toi et t'es fier des progrès qu'elle entreprend jour après jour, autant pour elle que pour Louise par exemple. Du coup, tu la rejoins sur le lieu de rendez-vous et tu la rassures sur le fait que ça ne te pose aucun problème d'être ici à ses côtés, que tu n'avais rien de mieux à faire. Tu soupires avant d'étirer un sourire. Si je pouvais pas, je te dirais non bébé ! T'hausses les épaules naturellement parce que tu n'as pas envie qu'elle culpabilise pour quoique ce soit. Vous partez en direction du parking relais, proche d'un arrêt de bus à heure creuse. La plupart des gens travaillent à cette heure-ci ou étudient et c'est tant mieux pour vous. Tu sais que la foule l'angoisse. C'est vraiment génial. Je suis content que t'aies trouvé quelqu'un pour t'écouter et avec qui tu arrives à avancer. Bosser avec une personne en qui on a pas confiance, ça ne sert à rien. T'as déjà pu le constater. Elle a vu d'autres spécialistes avant de thérapeutes et aucun pas vers l'avant n'a été fait. En ce moment, tu te rends compte qu'elle arrive à avoir un oeil vers l'avenir et ça te fait plaisir. On va pouvoir y aller en effet. On va y aller tranquille, t'en fais pas. Tu détaches sa ceinture, retires les clés du contact et sors rapidement pour la rejoindre de l'autre côté. Tu observes les alentours, passes un bras qui se veut rassurant autour de ses épaules. Y a pas grand monde. Si tu sens que ça va pas, tu me le dis et on descend, comme la dernière fois. Tu tentes de te montrer doux, attentionné, sans trop en faire pour autant parce que tu crois en elle et tu ne veux pas qu'elle doute, tu sais qu'elle va s'améliorer de jour en jour et c'est en fixant de petits objectifs qu'on accomplit de grandes choses. @Edie Reuben
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C’est important pour toi de savoir que tu n’es pas un ennui pour ton petit ami. Ce dernier est pleinement dans la vie active, ses patients ont besoin de lui. Tu entends aussi ses inquiétudes, sur le fait qu’il est là pour toi en cas de besoin. Il fait son maximum mais tu veux aussi qu’il comprenne que tu peux l’entendre si jamais il ne peut pas être là et que tu ne le prendra pas mal. Tu hoches la tête avec entente lorsqu’il te dit que s’il ne pouvait pas être là, il ne le serait pas. Tu en profites pour lui confier que tu te sens bien avec ce thérapeute, qu’il te fait avancer mais que tu parviens à pousser certaines portes que tu ne pensais pas franchir avant. La voiture à l’arrêt, tu fixes l’abri bus tandis que les mots de Elias attire ton attention et éveille un sourire franc sur tes lippes, presque conquérant. « Mh, ne t’en fais pas je pense que ça va aller. ». Lui dis-tu une fois descendu de voiture alors que ton petit ami te rejoint de l’autre coté. Les paroles du jeune Wertheimer sont empreintes de douceur, de positivité et surtout de patience. « Ouais je sais … ». La dernière fois tu étais resté à peine dix minutes avant de sentir les prémices d’une crise d’angoisse. Tu glisses ta main dans celle de ton compagnon, et vous avancez à hauteur de l’arrêt de bus qui ne tarde pas arriver. Les portes s’ouvrent et vous montez à l’intérieur. Tu prends une inspiration pour calmer les battements de ton coeur et c’est parti.
@Elias Wertheimer
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En y réfléchissant bien, tu ne pourrais rien lui refuser à Edie, comme à Louise d'ailleurs. Tu seras toujours présent pour elles et elles resteront à jamais tes priorités. C'est surement ce qui fait de toi un papa poule. Tu as beau l'engueuler parfois, lui faire la morale quand elle ne se comporte pas correctement, tu lui cèdes tout parce que tu l'aimes et que tu estimes qu'elle le mérite. Tu construis ta vie professionnelle autour de ta vie familiale et personnelle si on peut dire les choses ainsi. Oui, tu as métier utile, que tu apprécies et qui n'est pas toujours facile or, rien n'est urgent. Du moins, rien n'est aussi urgent que le bonheur et le bien-être de ta famille. Tu la rassures malgré tout et roules jusqu'au relais, non loin de l'arrêt de bus. Avant de descendre de la voiture, tu tentes de rassurer ta petite amie du mieux que tu le peux. Tu lui prends la main et vous marchez en direction du bus dans lequel vous grimpez dès que les portes s'ouvrent. Tu la suis, la laisses s'installer où et comme elle le souhaite. Tu lui sers juste de béquille en cas de besoin parce que tu sais qu'elle est capable de le faire, d'autant plus qu'elle se fait accompagnée désormais par quelqu'un qui doit surement lui proposer de nouvelles pistes à explorer. Tu ne veux pas lui causer de stress supplémentaire donc tu restes silencieux, juste présent. @Edie Reuben
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C’est toujours la même sensation. D’abord le palpitant qui s’affole tel un tambourin qui couinent avant de pleurer. Puis vient l’impression que tu peines  a respirer et des fourmillements dans le bout des doigts. Une fois à l’intérieur tout ce tourbillon s’entremêlent mais tu tentes de dompter tes craintes à force de raison. La main de ton petit ami dans la tienne est comme un ancrage auquel tu te lies avec confiance. Tu prends la décision de t’installer devant les sièges au plus proche de la sortie. Les portes du bus se referment est le voyage de cette expérience commence. Tu espères voir une amélioration à cette énième tentative. Voir ce thérapeute te permet de te confier mais surtout de voir au delà et d’échanger sur tes peurs. Tu sans que tu avances petit à petit certes mais ce sont les petites victoires qui forment la réussite attendue ? Tu serres un peu plus la main de Elias avant de reporter ton attention sur lui tout en menant une bataille intérieure avec ton anxiété. Ton autre main libre se tord un peu sous l’anxiété mais tu peux gérer. « J’ai discuté un peu de la fausse couche que l’on a subit … ». Le « on » inclus bien évidement Elias car il en a souffert tout comme toi. Désormais, tu arrivais à en parler en posant les mots justes dessus. « … je me suis rendu compte en parlant de tout ça que j’avais de la chance et que même si j’ai certaines craintes, tout ira bien parce que tu es là, qu’on a Louise et que sans toi je n’aurais pas vécu tout cela … ». Ton timbre de voix est serein et tu esquisses un sourire en regardant ton petit ami. Tu aimes profondément Elias et depuis que tu le connais tu as exploré différentes facettes du verbe aimer. C’est ainsi et tu ne regrettes rien. Le bus s’arrête pour le prochain arrêt ouvre ses portes, laisse les gens monter puis redémarre. Tu expires un petit soupire pour calmer l’angoisse qui ressurgit, puis ferme les yeux à nouveau.
@Elias Wertheimer
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Edie accepte de monter dans le bus. Jusque là, en apparence, tout se passe bien. Tu te doutes que ce n'est pas la même chose à l'intérieur, que tout se bouscule, que c'est beaucoup plus compliqué qu'un simple pas dans un car. Du coup, tu glisses ta main autour de la sienne pour montrer que tu es là, qu'elle est en droit de se reposer sur toi au besoin. C'est ta façon de lui montrer que tu es fier d'elle mais que tu es également là pour la protéger. Vous vous s'installez proche de la sortie, Edie du côté de l'aller centrale au cas où elle devrait sortir rapidement. Tu essaies de ne pas relever les petits indices qui prouvent qu'il y a de l'anxiété, de la peur. C'est plus facile de l'ignorer, tu ne veux pas lui mettre une pression supplémentaire. Elle parle et tu continues la conversation pour faire diversion, même si ce n'est pas un sujet très agréable pour autant. Ce n'était pas une étape facile mais, on la traverse ensemble. Il vaut mieux se concentrer sur le positif et sur l'avenir plutôt que de ressasser le passé en effet. Tu esquives un petit sourire avant d'embrasser la paume de sa main. Le bus s'arrête, redémarre sans que ta petite-amie ait émie l'envie de descendre. Tu passes ton bras autour de ses épaules pour l'attirer contre toi. Je suis fier de toi. On peut descendre au prochain si tu le souhaites. Une étape après l'autre. Tu n'as pas envie qu'elle s'en rende malade. Le but n'est pas qu'elle soit davantage dans le mal. @Edie Reuben
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Elias va de l’avant, te rappelant une « Edie » que tu avais été il y a seulement quelques années. Est-ce que tu t’es perdue en chemin ? Tu ne saurais le dire mais tu apprends à réarmer face à tout ce qui te tracasse. Tu essais de lui parler de ce qui s’est passé au moins de juin mais tu vois bien que Elias compose avec, te poussant et t’entrainant à voir l’avenir plutôt que d’y songer encore et encore. Peux être que tu devrais prendre exemple sur lui, ne plus jamais en parler et voir le meilleur qui s’offre à vous désormais. Tu hoches la tête alors que ton petit ami expose son point de vue. Il en profite pour embrasser ta paume, puis passer un bras autour de tes épaules alors que le bus redémarre pour le prochain arrêt. Ses encouragements te font plaisir car tu te sens capable d’aller encore un peu plus loin. Tu te rapproches un peu plus de lui, posant ton menton sur son épaule, souriante à l’idée d’avoir fait des pas et d’avoir une petit victoire. « Je pense que je peux encore continuer mais on peut descendre au prochain arrêt si tu veux ? Il y a quelques petites boutiques qu’on peut regarder sur le chemin du retour, t’es partant ? ». Tu viens lui voler un baiser tendre sur ses lèvres tout en appuyant sur le bouton demande d’arrêt. Tu aimerais en profiter pour voir si Elias est attirer par un bijou en particulier car tu as une petite idée en tête mais tu hésites encore.
@Elias Wertheimer
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Tu sais que rien n'est parfait. Tu sais qu'il faut affronter les problèmes au jour le jour. On ne peut pas tout anticiper. Il faut faire des choix parfois. Tu préfères voir l'avenir lorsque tu es en compagnie d'Edie. Ce n'était pas le cas dans le passé, lorsqu'elle t'a quitté parce que tu étais un connard. Tu ressassais à chaque fois tes erreurs, que ce soit par rapport à tes relations mais également à ta famille. Aujourd'hui, tu vas de l'avant et tu tentes d'emmener ta petite amie avec toi, même si c'est pas toujours facile. Tu sais qu'elle doit vivre avec ses démons, les affronter jour après jour. T'es fier du chemin qu'elle a parcouru et tu espères qu'il en est de même pour elle. Tu espères vraiment qu'elle est fière, heureuse des progrès parce qu'elle le mérite. Totalement partant. J'aime beaucoup ce programme en effet. Tu esquives un sourire en rattrapant son visage pour l'embrasser à nouveau, un peu plus longuement et tant pis pour les autres, ces gens autour qui peuvent vous juger parce que c'est mignon ou au contraire parce que c'est dégueu. Faut que je me trouve une chemise, j'ai une conférence dans deux mois et je ne sais pas quoi porter. Faut surtout que tu guettes ce qui l'intéresse pour la Saint Valentin. Tu lui attrapes la main pour descendre au prochain arrêt lorsque le bus s'arrête. Elle va pouvoir enfin descendre et respirer. Tu sais que je suis fier de toi ? J'espère que tu l'es également. T'as besoin de l'entendre. @Edie Reuben
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