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la chaleur de nos corps ; hago

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harry venait enfin de terminer sa journée de travail. il salua les enfants et quitta l’école. une fois chez lui, il décida de prendre une douche et d’enfiler des vêtements décontractés. assis dans son canapé, harry envoya un message à hugo, lui disant qu’il pouvait venir quand il le désirait. sa porte était toujours grande ouverte pour lui. ils étaient plus que des amis. il ne pouvait pas nier son attirance pour hugo. il alluma la télévision et regarda les nouvelles. elles n’étaient pas intéressantes, comme d’habitude. ils répétaient la même affaire à tous les jours. il s’apprêtait à s’endormir sur son canapé, quand il entendit quelqu’un sonner. il se leva et alla ouvrir. — il était temps. j’étais en train de somnoler. il rit et fit entrer hugo. — comment ça va? j’espère que tu n’es pas trop épuisé de ta journée.

@Hugo Llandry :heaart:
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décalé. perdu dans l’espace temps. pour une fois que je ne suis pas de nuit. mon rythme est chamboulé. je suis habitué à vivre la nuit et dormir le jour. alors forcément, quand on me change mes habitudes, je suis déboussolé. crevé. je ne sais plus trop comment je vis. une semaine de service de jour est suffisante pour me flinguer l’esprit. ce soir c’est toi que je vois. j’ai profité du peu de temps que j’avais pour dormir un peu. la vérité c’est que je risque de ne pas dormir cette nuit et subir ma journée de demain. ces changements d’horaire sont compliqués à gérer. je traîne ma carcasse jusque chez toi. fin sourire sur mes lèvres lorsque tu m’ouvres la porte. « déjà ? il est à peine 8pm papi » mon rire se joint au tien. je ne me fais pas prier pour entrer chez toi. me mettre au chaud. il caille dehors. mes mains se frottent l’une contre l’autre pour tenter de de se réchauffer. « franchement ça va, c’est plus le changement d’horaire qui me fatiguent.. et toi alors ? » mon manteau quitte mon dos. je me mets à l’aise. « pas trop chiants tous ces gamins ? » je ne sais pas comment tu fais pour les supporter. je ne pourrais clairement pas.
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il avait hâte de voir hugo. ils se connaissaient depuis longtemps et avaient une belle complicité. ils étaient plus que des amis. ils aimaient coucher ensemble et vivre des moments inoubliables. même s’il était fatigué par sa journée, il allait faire de son mieux, afin de rester éveillé et pouvoir être avec hugo. il le fit entrer dans son appartement. — je ne suis pas un papi. étant professeur des écoles, harry pouvait avoir des grosses journées. les enfants avaient clairement plus d’énergie que lui. ils ne tenaient pas en place plus de vingt minutes, couraient dans tous les sens et s’exprimaient aisément. harry aimait leur apprendre plein de choses. les voir comprendre et réussir n’avait aucun prix. — moi ce sont les enfants, mais ça va. je suis habitué. il rit et passa une main dans ses cheveux. — je ne dirais pas qu’ils sont chiants, mais ils ont hâte aux vacances. comme moi. il rit. — veux-tu boire quelque chose?
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si toi, tu commences à peine à t'endormir. moi c'est le début de ma journée. habitué à faire des horaires de nuit. à travailler alors que tout le monde dort. j'ai un peu de mal à changer de rythme mais le mien reste celui là. décalé. une vie décalée des autres. c'est pas toujours facile et ce n'est clairement pas propice à une vie de famille. j'en suis conscient mais pour l'instant, c'est le genre de vie qui me déprime le moins. on verra plus tard pour changer. rien n'est fixé dans le temps. « tu m'étonnes, j'suis sur ça t'a calmé l'envie d'avoir des enfants plus tard » et je rigole parce que ça serait clairement mon cas. j'ai jamais eu cette envie de devenir père. pour cause, j'ai même jamais approché un bébé de toute ma vie. trop petit. trop fragile. « donc ils sont chiants, tu peux l'dire » je me marre en enlevant mon blouson. je fais comme chez moi. je connais cet endroit par coeur. « allez une bière. on s'commande un truc ou t'as déjà mangé ? » j'enlève mes chaussures aussi. elles sont de trop. « il fait bon chez toi » le chauffage est allumé. la soirée s'annonce bien. très bien même.
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il aimait hugo. ils étaient sur la même longueur d’onde, ayant une belle complicité. il aimait discuter avec lui sur plusieurs sujets intéressants, mais également des sujets loufoques. harry pouvait être lui-même avec son ami. — pas vraiment. j’adore les enfants. s’il n’aimait pas les enfants, il ne serait pas devenu professeur des écoles. il aimerait en avoir, mais pas maintenant. il n’avait pas encore trouvé la bonne personne avec qui partager sa vie. il était un véritable optimiste de l’amour, persuadé qu’il allait trouver sa personne. que ce soit un homme ou une femme. — je ne dirai jamais qu’ils m’épuisent, puisque ce n’est pas vrai. il demanda à son ami ce qu’il avait envie de boire. — avec plaisir. tu peux commander quelque chose. tu sais que je ne suis pas difficile. harry aimait pratiquement tout. — merci. il sourit et s’approcha de son ami. il l’embrassa légèrement dans le cou. — ça m’avait manqué.
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rire qui s'échappe inévitablement de mes lèvres. « c'est vrai, je t'imagine avec une tatouille de gosses toi, de quoi former une belle petite équipe de foot. » traits exagérés pour te taquiner. haussement de sourcil. provocation à laquelle tu vas certainement répondre. je l'espère en tout cas. j'entre chez toi. dans cet endroit que je connais par coeur. j'y ai passé des heures ici. je ne les compte même plus. c'est inutile. « ça roule ma poule » je dégaine mon portable et ouvre l'application pour commander à manger. ça sera plus simple. certes, pas forcément du très healthy mais on s'en tape. on risque d'en brûler pas mal des calories par la suite. tu t'approches de moi et dépose tes lèvres dans mon cou. sourire qui s'élargit instantanément. « laisse moi deux secondes, le temps de commander, sinon on va encore rien bouffer » comme la dernière fois. je me dépêche de commander un truc, n'importe quoi. le premier menu qui apparait à moi. je le prends. peu importe ce que c'est, j'aime tout. « okay, c'est bon. » je jette mon portable sur le canapé et relève les yeux vers toi. « j'ai l'impression de refaire notre conversation d'aujourd'hui... on sait tous les deux que ce n'est pas mon cou qui t'a manqué » sourire perfide sur le bord des lèvres. lueur dans les yeux qui ne laisse place à aucune autre interprétation possible. - @Harry Caldon
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