je ne peux pas m'empêcher de rire à ta remarque. l'ambiance est redescendue d'un cran et je peux donc me permettre de te taquiner un peu. d'être moins sur la défensive. « alors ça t'en sais rien. j'ai peut-être des tendances sm. paraît que l'orgasme que t'atteint en frôlant la mort c'est une expérience hors du commun » ça n'a rien à voir. je raconte n'importe quoi car mes nerfs redescendent. j'ai eu chaud, j'ai faillis te perdre et j'en suis parfaitement conscient. être en couple est tout nouveau pour moi. il faut que j'apprenne les limites que je peux avoir avec les autres ou pas. surtout que cette fois-ci, je ne suis pas en tort. c'est réellement le fait du hasard. j'ai repoussé cette pétasse mais elle ne m'a pas écouté. « ça fait du bien de l'entendre putain. tu peux plus m'quitter maintenant. t'es bloqué avec moi » je dis ça comme si c'était la fatalité mais j'en suis bien content. j'aime ce qu'il y a entre nous. je t'aime toi et pour rien au monde je ne voudrais que tu t'éloignes. je ne le supporterais pas. je ne m'en relèverais jamais vraiment. je le sais, j'ai un problème avec l'abandon. un souci que je n'ai pas encore réussi à résoudre. un putain de traumatisme qui m'oblige à prendre des cachets tous les jours. baiser endiablé avant que tu ne viennes te blottir contre moi. je te serres fortement. parait qu'on prend conscience de la valeur de quelqu'un quand on la perd. je ne veux pas attendre ce drame pour me rendre compte que je t'aime. que je tiens à toi plus qu'à n'importe quoi. « rien à voir avec le tien » rire qui s'échappe de mes lèvres lorsque mes mains descendent jusqu'à tes fesses que j'agrippe. elles sont à moi. je ne me suis jamais senti aussi possessif qu'avec toi. tu m'appartiens autant que je t'appartiens. la blonde fait son apparition dans mon champ de vision et je m'en amuse encore un peu. j'ai pas retenu la leçon ou quoi. c'est juste que j'ai réellement kiffé te voir aussi hargneuse pour moi. sortir les griffes. « merde, j'étais déjà chaud de vous voir vous battre dans la boue. quelle déception » je ne devrais pas te chercher autant, c'est plus fort que moi. t'en rajoute. j'adore ça. mon regard se tourne vers la fille et j'hausse un sourcil pour la provoquer un peu. tu joues à un jeu qui me plait beaucoup. mes yeux se reposent sur toi lorsque tu m'échappes. tu vas jusque la piste de danse. je sais ce que tu fais. et on sait tous les deux que je ne pourrais pas te résister bien longtemps. je te regarde quelques secondes te déhancher avant de te rejoindre. l'appel est bien trop fort pour que je lui résiste. je me place derrière toi et me colle à ton corps.

Alors voilà, il n'y a que lui pour te faire exploser de rire au milieu d'un tas de personnes complètement pétés les uns aux autres. Non mais là, il a fait fort quand même non ? Tu n'arrives même plus à stopper ton rire tellement sa réponse t'a surprise. — Dis-moi ce que tu as d'autre comme tendance, que je ne sois pas surprise plus tard ? Ah non, mais à ce stade, tu veux absolument tout savoir, t'es curieuse de découvrir les petits secrets et vice de ton homme. Si ça se trouve, il kiffe bien faire des choses complètement délirantes absolument loin d'imaginer. — Non, je suis enchaîné à toi H et tu ne peux plus me quitter également. Je te l'interdis formellement de te le mettre même en tête. Tu n'as pas besoin d'un vœu de mariage, d'une bague au doigt pour savoir que c'est lui. Que c'est avec lui que tu veux vivre toutes ces choses folles de la vie. Tu le ressens, c'est tout. — Le mien, il te fait quoi quand tu le touches ? Ses mains viennent justement poser bagages sur tes fesses, ton sourire s’épanouit, tu veux qu'il t'expose avec des mots, ce qu'il ressent lorsqu'il touche ton cul et pour accompagner ta question, tes mains viennent presser un peu plus fort son étreinte contre tes fesses. — Ce n'est pas un adversaire de taille bébé, le combat aurait prit fin dès que je lui aurais cassé un ongle ! Le genre de meuf pour qui un ongle manucuré compte plus que sa propre vie. Un ongle cassé et c'est la fin du monde. Mais tu ne veux pas plus t'y attarder, alors tu te glisses sur la piste pour laisser ton corps parler. Allumer ton petit ami, puisque c'est uniquement lui que tu vises dans ce déhanché sexy. Dos plaqué contre son torse, murmures qui parviennent à tes tympans. — Peut-être bien que oui, peut-être bien que non... Susurrant, ta joue contre la sienne. Une moue tordant tes lèvres. Une phrase laissée dans le suspense. Tu kiffes ça, prendre les rênes. Tête légèrement tournée de profil, index qui effleure sa mâchoire, regard qui vient se planter dans le sien sans cligner. Ton fessier qui ondule contre son bassin. Tu attrapes sa lèvre inférieure de tes dents, espiègle et joueuse.

te voir sourire me fait beaucoup de bien. j'ai pas envie d'imaginer te perdre un jour. surtout pas pour des bêtises pareilles. j'aurais été en train de flirter avec elle, de la draguer, j'aurais compris. mais pas là. je me tiens à carreau depuis qu'on s'est mis ensemble. ne vois-tu pas que je ne jure que par toi julia. t'es devenu mon quotidien. mon univers. l'impression que tout tourne autour de toi et j'adore ça. je découvre les joies de l'amour et ça me plait. mes sentiments pour toi grandissent un peu plus chaque jour. et je dois bien l'admettre, je suis littéralement accro à toi. « tu rêves, j'te l'dis pas. tu découvriras ça avec le temps t'inquiète » air amusé sur mon visage. faussement sérieux. je n'ai pas spécialement de tendance dans ce genre là mais pourquoi pas tester, je ne suis pas contre du tout, tu me connais. « je te quitterais le jour où tu ne seras plus heureuse avec moi ... et j'vais tout faire pour que ce jour n'arrive jamais » je veux te voir heureuse et épanouie. et pour ça je suis prêt à tout. te voir sourire est mon moteur. ma nouvelle raison de vivre. mes mains glissent jusqu'à tes fesses que j'agrippe fermement. sourire malicieux sur mes lèvres. « il m'rend dingue. j'ressens une grosse décharge d'adrénaline à chaque fois que mes doigts se posent dessus. et j'ai qu'une envie, ne plus les lâcher. elles m'excitent tes petites fesses bien fermes et rebondies » tu me teases. je rigole à ta remarque. lève même les yeux au ciel. « en vrai, ouais c'est sur » elle ne tenait presque plus debout, abimée par les ravages de l'alcool. tu me quittes pour la piste de danse. ondule sensuellement. mes yeux ne voient que toi. tu m'as déjà bien excité. je suis en feu. embrasé par l'aura que tu dégages. je ne mets pas longtemps avant de te rejoindre sur la piste de danse. me colle à toi. tu continues de jouer avec mes nerfs. mes mains se baladent sur toi pour suivre le même rythme, celui de la musique. « tu sais comment ça va se finir... » je ne suis pas le roi de la patience. c'est dangereux de jouer avec mes nerfs comme ça. on sait tous les deux comment ça va se finir. je ne vais pas tenir longtemps, bouillant comme jamais.

Tu as toujours peur qu'il te laisse Julia. C'est comme ça, tu n'y peux rien. L'impression que le karma pourrait très bien se décider à te rendre la vie encore plus difficile maintenant que tu es accro à quelqu'un. Alors, oui, tu as peur, mais au fur et à mesure que tu as avances à ses côtés, la peur s'estompe peu à peu. Elle est toujours là, mais disparaît petit à petit. — J'vais essayer de ne pas me montrer trop gourmande et curieuse alors. Tes grands yeux se fixent un instant sur lui. Tu abordes une allure langoureuse qui jure étrangement avec la vivacité de ton regard perçant. — Et en retour, promets-moi de me quitter sans me tromper si jamais je ne te rends plus heureux. Même si je me démènerais comme une acharnée pour toujours te faire nager dans le bonheur. Poursuis-tu en affichant ta dentition parfaite. Dos contre torse, cheveux dégagés sur un côté. — Á la bonne heure ! Mais bébé, ne laisse pas y traîner trop les mains, sinon après je ne pourrais plus cacher la bête... Que tu sens déjà vibrer contre tes fesses. Le regard que tu lui lances, implique un bizarre mélange de résignation et de fascination, une sorte d'enthousiasme pervers. — Et si nous faisions une nouvelle folie ce soir ? Répondant par un discret signe de tête... Un petit sourire complice s'éternise, relevant très subtilement tes pommettes. C'est surtout que tu en as marre de voir la blondasse aller et venir exprès devant les yeux de ton homme. D'ailleurs, pour l'empêcher d'arriver à ses fins, comme elle le souhaite, tu t'élances sur la pointe des pieds, pivote en lançant un regard sournois en direction de la demoiselle pour enrouler tes bras autour du cou d'Hebert. Capturant ses iris et toute son attention. Une scène qui vise à faire comprendre à la blondasse que malheureusement, elle n'aura cette place que dans ses rêves. — Pour cela que je t'ai proposé de nous éclipser. Petite menteuse va, t'es juste jalouse.

tu me fais te promettre de ne pas te tromper avant de rompre. je te regarde avec un sourire bienveillant, t'es touchante quand t'es comme ça julia. dans ce mood là. je craque. je fonds. je ne peux pas résister, c'est impossible. « j'te le promets. t'as ma parole, bébé » j'ai pas envie de te faire du mal. je crois que même si toi tu m'en fais, je serais incapable d'être trop méchant ou de faire quelque chose contre toi. enfin j'en sais rien. forcément si je te surprend avec autre homme, là je serais capable de vraiment vriller. mais j'ai pas envie de penser à tout ça alors que tu sembles me pardonner pour le quiproquo qui vient d'avoir lieu. tu m'attires inévitablement sur la piste de danse. je me colle contre toi. c'est l'endroit propice pour les rapprochements. « j'men tape qu'on voit l'excitation que j'ai pour ma meuf » je plisse les yeux en croisant ton regard. oh toi t'as une idée derrière la tête. et rien que cette pensée m'enchante un peu trop. j'ai le sourire un peu perfide sur les lèvres. « tout c'que tu veux. tu penses à quoi ? » tu te retournes enfin et enroule tes bras autour de mon cou. mes mains viennent machinalement se loger dans ton dos pour te rapprocher de moi. je suis avide de cette proximité. je n'en ai jamais assez. jamais rassasié. « tu veux aller où ma puce ? si tu veux on est pas très loin du dionysos » y'a moyen que ça te plaise assez. toi qui veut essayer de nouvelles choses ce soir. s'aventurer sur un autre terrain.

Promesse faite, tu espères qu'il la tiendra, parce que ça compte énormément pour toi, les promesses. Parce que t'as été élevée dans ce cadre, parce qu'on t'a appris à toujours tenir tes promesses. Et tu n'as guère envie de t'éloigner de lui. — Je te fais confiance. C'est bizarre non ? Tu as plus confiance en lui que tu n'as confiance en toi. Ça ne peut qu'être le bon, le contraire est totalement impossible à imaginer pour toi. Vos échanges commencent à partir en couille et t'as pas envie d'exhiber tes envies devant tout le monde, mais tu es ce qui se rapporte le plus à une femme en chaleur présentement. Tu as grave envie de lui sauter dessus. De le dessaper et de ne faire qu'une bouchée de lui. Alors tu proposes que vous alliez ailleurs. Dans un endroit à l'abri des regards. — Là, tout ce à quoi je pense, c'est de laisser mon corps valser sur le tien. Lèvres pincées entre les dents. Ce regard gourmand que tu laisses traîner sur sa silhouette. —  Le dionysos ? Je ne me rappelle pas y avoir mis les pieds. Mains que tu glisses dans la sienne pour le guider jusqu'au bar où tu te saisis de ton sac, vous frayant ensuite un chemin vers la sortie. En passant, tu ne manques pas d'envoyer un clin d'œil provocateur à la blondasse qui avait osé poser les yeux sur ton homme. Malheureusement pour elle, cet apollon t'appartient et t'as l'droit de faire ta maligne.

tu as gagné julia. tu gagnes toujours. quand t'es dans les parages, je ne réponds plus de moi même, pour d'autres raisons que mon pétage de plomb comportemental. t'as ce pouvoir sur moi. je ne vois rien d'autre que toi quand t'es à côté. obnubilé. obsédé. le nier ne servirait à rien. mes mains sur toi, je t'admire danser. tu es d'une beauté sans fin. on est ensemble depuis plus d'un mois et je ne t'ai encore trouvé aucun défaut. c'est fou ça. incroyable. le sourire jusqu'aux oreilles. tu me teases. me chauffe. tu n'as pas besoin de dépenser trop d'énergie, je te suis très réactif. « alors qu'est ce qu'on attends bébé ? » je te propose le dionysos et tu ne sembles absolument pas réticente à l'idée de me suivre là bas. mon visage se rapproche du tien. « tu vas adorer, fais moi confiance » murmure au creux de ton oreille. tu prends les devants. on se barre de la boîte de nuit. je capte forcément le regard que tu lances à la blonde. j'éclate de rire. tu ne lâches jamais rien. qu'est ce que je t'aime toi.