L'électricité qui passe entre nous, à travers ce baiser me rend dingue, j'ai l'impression que tout mon corps est en feu, à mille lieu d'ici et pourtant, je peux sentir la pression de sa main sur ma hanche. Lascivement nos langues dansent ensemble rendant le baiser foutrement érotisme. Il n'y avait aucun empressement juste un besoin dévorant l'un de l'autre mais, d'une façon bien différente que d'habitude. L'intensité est tellement forte que j'ai l'impression que mon cœur eut un raté. Jamais, je n'avais vécu un truc pareil... Lorsqu'on on rompt le baiser par manque d'air j'ai l'impression que mes lèvres me brûlent. Étrange. Quand il ouvre la bouche, que son souffle chaud frôle mes lèvres, un délicieux frisson vient se nicher dans le creux de reins. Il me faut quelques secondes pour assimiler ses mots et son geste. Chancelante, je prends appui contre le bord de la piscine tentant de retrouver un rythme et un souffle plus ou moins normal. Ça va ? finis-Je par lui demander dans un souffle à peine audible du moins, c'est l'impression que ça me donne au premier abord. Il a l'air aussi dérouté que moi. J'aime à croire qu'il a ressenti la même chose que moi, a la même intensité parce que là, j'ai juste l'impression d'être un bout de chiffon pris d'une combustion spontanée tellement ce baiser m'a fait perdre pieds.

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Quand je commence à redescendre, je prends vraiment conscience de ce qui vient d'arriver puis ses mots... là, toute suite un petit sourire vient prendre place sur mes lèvres parce que oui, je suis fière de le mettre dans cet état. C'est la première fois qu'il le montre et j'avoue que je savoure l'instant. Quand il me répond sa voix est encore un peu rauque et bordel ça le rend encore plus sexy. Il va vraiment finir par me rendre folle. C'est le pied. finis-je par répondre pour l'aider à penser à autre chose et l'aider à bien redescendre à son tour même si je sais combien c'est compliqué étant encore dans ce moment si particulier. N'aimant pas être loin de lui, je m'approche de lui, lui laissant tout de même un peu d'espace. Je lutte contre l'envie de le toucher, de sentir la chaleur de sa peau sur mes doigts, me presser contre lui comme si il me protégeait du monde extérieur en nous enfermant dans notre bulle... Il est trop perturbé et je respects son besoin de garder la tête froide bien que ça devient de plus en plus difficile pour moi de lutter contre mes pulsions. On peut rester ici et discuter ? Ou faire du jet ski, de la plongée ? C'est comme tu veux. Envoyant balader ma résolution, je m'approche de lui frôlant son bras, son épaule du bout des doigts. Trndrement, mes doigts remontent le long de sa nuque caressant celle-ci en se fraillant un chemin invisible dans ses cheveux. J'adore tout ce que tu as fait pour moi, pour nous mais, il y a une chose que tu dois savoir, je n'ai besoin que de toi pour être comblée. finis-je pzr lui avoier dans un murmure. Je sais qu'on a les moyens l'un comme l'autre mais, je ne veux pas qu'il pense que j'ai besoin d'un resto hors de prix ou ce genre de chose pour être heureuse. Tout ce dont j'ai besoin c'est lui et seulement lui.

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Oui, j'avais besoin d'être près de lui même si ça me rend complètement dingue mais, c'est un besoin incontrôlable qui me tord le creux de l'estomac. Quand mes doigts frôlent sa peau, j'ai l'impression qu'un courant électrique s'infiltre dans chaque fiche de mon être. C'est vraiment déstabilisant putain... Doucement, il fait en sorte que mes jambes encerclent sa taille pour mon plus grand plaisir. Sans que je m'y attende ses lèvres se promènent dans le creux de mon cou provoquant un nouveau raté dans les battements de mon cœur. Putain, il va avoir ma peau un jour si il continue comme ça ! Je le suis... bredouillais-je dune voix que je n'arrivais pas à reconnaître moi-même. Doucement, il relève la tête plantant son regard dans le mien et les mots qui sortent de ses lèvres me font fondre de l'intérieur. Mon cœur bat la chamade, le creux dans mon ventre ce fait encore plus sentir putain ! Il va vraiment finir par avoir ma peau bordel ! Le soufflé court, je ne lâche pas du regard luttant contre ce que mon cœur me hurle de lui dire. Sans quitter son regard, j'approche mon visage du sien, mes lèvres frôlent les siennes sans pour autant l'embrasser même si j'en meurs d'envie. Tu en as mis du temps... Doucement, mes bras s'enroulent autour de sa nuque collant littéralement mon cœur contre le sien. Il n'y a que toi. murmurais-je contre ses lèvres foutrement tentatrices. Ça me coûte de lui avouer ça mais, je ne veux plus fuir, me battre contre mes sentiments pour lui.

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Damon est assez réservé et c'est assez difficile de savoir ce qu'il ressent même si il fait pas mal d'effort pour le montrer par des gestes ou des jeux de mots. Ça m'est arriver de le lui reprocher une ou deux fois créant une légère friction mais, rien de bien grave. Parfois, même si on en a plus ou moins conscience on a besoin d'entendre ces mots par la personne qui fait chavirer notr cœur et je pense qu'il l'a compris vu la déclaration qu'il vient de me faire puis, je me dis qu'il n'était peut-être pas encore prêt c'est possible mais, je suis vraiment comblée d'avoir entendu ces mots de sa bouche il n'imagine pas à quel point. Ça valait vraiment la peine d'attendre. murmurais-je dans un souffle. Ce moment est si parfait, je voudrais qu'il ne s'arrête jamais, j'ai juste envie de profiter de nous encore et encore sans devoir nous souci du mon exterieur mais, ce n'est qu'un reve par contre, les mots qu'il vient de prononcer, la chaleur de son corms contre le mien me ramène à la réalité. Il n'y a rien à dire de plus. Tendrement, mes lèvres bougent à l'unisson avec les siennes savourant l'envie dévorante qu'on a lun de l'autre. Nos langues se retrouvent pour un ballet des plus sensuel me faisant literallement frissonner. Mon coeur bat à tout rompre tellement mes sentiments envers lui sont fort, ce qu'il me fait ressentir va au-delà de tout ce que j'aurais pu imaginer un jour. Avide de plus, mes doigts se referment dans ses cheveux les tirant légèrement alors que mon corps épouse parfaitement le sien. Je saks que si on ne se calme pas très vite, je doute que l'on puisse faire marche arrière et pourtant, là, tout de suite, je n'en n'ai ni l'envie, ni la force et ça, je l'assume amplement.

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